ellauri033.html on line 176: Le japonisme, — l´écriture artiste, — la vérité littéraire, — voilà les
ellauri033.html on line 195: d´avoir inventé et baptisé les documents humains ». Jamais la littérature n´avait accordé tant d´importance au tissu d´une " robe ou à la couleur d´une tapisserie. Bagatelles et colifichets, voilà le plus clair de leurs documents. Ils
ellauri036.html on line 604: Et non l'amour de l'or. — Telle que la voilà
ellauri036.html on line 737: Arouet, voilà l'homme Tel que tu l'as voulu. —
ellauri036.html on line 902: J'aime! — voilà le mot que la nature entière
ellauri036.html on line 925: La souffrance est ma sœur, — oui, voilà la statue
ellauri109.html on line 461: Il me déplaît pour avoir mis en axiomes et pratique « la Poésie du cœur » (double farce à l'usage des impuissants et des charlatans). En voilà un qui a été peu critique ! Il me paraît avoir eu sur l'humanité le coup d'œil d'un coiffeur sentimental ! Toujours « mon pauvre cœur », toujours les larmes ! — je crois du reste que la mère Colet l'a reproduit assez fidèlement ? et il est facile maintenant de le bien connaître. As-tu remarqué ses affectations de noblesse ? Ses éternels bals aux ambassades ? Comme c'est beau cet homme qui porte sa douleur dans le monde ! — telle qu'un bijou rare, pour l'ébahissement de ces Messieurs et ces Dames !
ellauri145.html on line 898: Parler de la sorte ? — Ah ! voilà ! Puhu samalla tyylillä? - No siinä se!
ellauri146.html on line 518: — Jugez-nous. — La voilà sur mes pieds endormie. Tuomitkaa tää erä. Tässä se on mun jaloissa.
ellauri161.html on line 851:

Yleiset termit ja lausekkeet


ellauri172.html on line 654: « — Tenez ! — dit-elle, insolemment provocante, — voilà votre image ! C’était brûlant il n’y a qu’une seconde, et c’est froid.
ellauri172.html on line 690: « — Eh bien ! puisque tu le veux, le voilà, le cœur de ton marmot, catin déhontée ! — dit le major. Et il lui battit la figure de ce cœur qu’il avait adoré, et le lui lança à la tête comme un projectile. L’abîme appelle l’abîme, dit-on. Le sacrilège créa le sacrilège. La Pudica, hors d’elle, fit ce qu’avait fait le major. Elle rejeta à sa tête le cœur de cet enfant, qu’elle aurait peut-être gardé s’il n’avait pas été de lui, l’homme exécré, à qui elle eût voulu rendre torture pour torture, ignominie pour ignominie ! C’est la première fois, certainement, que si hideuse chose se soit vue ! un père et une mère se souffletant tour à tour le visage, avec le cœur mort de leur enfant !
ellauri172.html on line 712: — Est-ce là tout ? — dit Mautravers. — Et si c’est là tout, voilà une fière histoire ! Quelle relation a ton histoire avec tes dévotions à l’église, de l’autre jour ?…
ellauri185.html on line 159: Alors, voilà qu’on entend George Dandin qui gémit sur lui-même: « Vous l’avez voulu ! Vous l’avez voulu, George Dandin ! Vous l’avez voulu ! Cela vous sied si bien et vous voilà ajusté comme il faut : vous avez justement ce que vous méritez…« . Molière, George Dandin. Acte I, scène 9).
ellauri352.html on line 329: Durkheimin mukaan nämä yhteiskunnalliset voimat toteutuvat hetkinä, joita hän kutsuu "kollektiiviseksi kuohumiseksi". Nämä hetket tapahtuvat, kun kaikki ryhmän yksilöt tuodaan yhteen kommunikoimaan "samassa ajatuksessa ja samassa toiminnassa". "Kun yksilöt on koottu, niiden lähentymisestä syntyy eräänlainen sähkö, joka kuljettaa heidät nopeasti poikkeuksellisen korkeaan ylennyksen asteeseen". Durkheim kutsuu tätä energiaa "manaksi". Nykyään voimme nähdä tämän manavoiman jalkapallostadioneilla tai kansallisissa poliittisissa kokouksissa. Sitä on myös määzik korteissa. Tämä mana liimataan sitten johkin höyheneen ja voilà: uusi uskonto on syntynyt.
xxx/ellauri173.html on line 310: Enfin, puisque vous le désirez, voici : ― j’ai le malheur de subir un amour très pénible, le premier de ma vie (et, dans ma famille, le premier est presque toujours le dernier, c’est-à-dire le seul) pour une très-belle personne ― tenez ! pour la plus belle personne du monde, je crois ! ― et qui est, actuellement à New York, au théâtre, dans notre loge, où elle fait miroiter les pierres de ses oreilles en paraissant écouter le Freyschütz. ― Là !… Vous voilà satisfait, j’imagine, monsieur le curieux ?
xxx/ellauri173.html on line 811: Eh bien, conclut Edison, puisqu’il est avéré que, d’ores et déjà, vous ne vivez qu’avec une Ombre, à laquelle vous prêtez si chaleureusement et si fictivement l’être, je vous offre, moi, de tenter la même expérience sur cette ombre de votre esprit extérieurement réalisée, voilà tout.
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