ellauri014.html on line 1157: O grand Etre ! Etre éternel, suprême intelligence, source de vie et de félicité, créateur, conservateur, père de l’homme et roi de la nature, Dieu très puissant, très bon, dont je ne doutai jamais un moment, et sous les yeux duquel j’aimai toujours à vivre ! je le sais, je m’en réjouis, je vais paraître devant ton trône.
ellauri014.html on line 1213: Plus on vit, plus on aime à vivre, même sans jouir de rien : j’aurais eu l’ennui de la vie et la terreur de la mort, suite ordinaire de la vieillesse.
ellauri036.html on line 382: Qu'il eût trois ans à vivre et qu'il mangeât son bien.
ellauri036.html on line 624: Qui voit l'humanité vivre et mourir ainsi,
ellauri049.html on line 909: Le don de vivre a passé dans les fleurs ! Elämän lahja on siirtyneenä kukkasiin!
ellauri049.html on line 972: Le vent se lève !… Il faut tenter de vivre ! Tuuli nousee !... pitää koittaa elää!
ellauri074.html on line 388: Ce qu'on appelle «pessimisme» n'est rien d'autre que «l'art de vivre», l'art de goûter la saveur amère de tout ce qui est.
ellauri074.html on line 406: Ne se suicident que les optimistes, les optimistes qui ne peuvent plus l'être. Les autres, n'ayant aucune raison de vivre, pourquoi en auraient-ils de mourir?
ellauri097.html on line 258: Julien Green est né à Paris, 4, rue Ruhmkorff, de parents américains, descendant du côté de sa mère du sénateur et représentant démocrate de la Géorgie au congrès américain Julian Hartridge (en) (1829-1879) et dont Julien Green porte le prénom (Green a été baptisé « Julian » ; l'orthographe a été changée en « Julien » par son éditeur français dans les années 1920). Il grandit dans le 16e arrondissement de Paris, puis au Vésinet et passe ses vacances dans la commune d'Andrésy, dans les Yvelines. Il poursuit toutes ses études en France au lycée Janson-de-Sailly. Sa mère, protestante pieuse et aimante, meurt alors qu'il a 14 ans, et la famille déménage rue Cortambert, à Paris. Il se convertit au catholicisme en 1916, à la suite de son père et de toutes ses sœurs, ainsi qu'il le raconte dans Ce qu'il faut d'amour à l'homme, son autobiographie spirituelle. Il abjure l'anglicanisme à la crypte de la chapelle des sœurs de la rue Cortambert. Âgé de seulement 17 ans, Julian Green réussit à rejoindre les rangs de la Croix-Rouge américaine, puis est détaché dans l’artillerie française en 1918 en tant que sous-lieutenant et sert en Italie. Démobilisé en mars 1919, il se rend pour la première fois aux États-Unis en septembre de la même année et effectue trois ans d'études à l’université de Virginie, où il éprouve un premier amour chaste et secret pour un camarade d'études. Il écrit son premier livre en anglais, avant de revenir vivre en France.
ellauri145.html on line 251: L´HUMOUR chez Baudelaire fait partie intégrante de sa conception du dandysme. On sait que, pour lui, « le mot dandy implique une quintessence de caractère et une intelligence subtile de tout le mécanisme moral de ce monde ». L´humour, nul plus que lui n´a pris soin de le définir par opposition à la gaieté triviale ou au sarcasme grimaçant dans les quels se plaît à se reconnaître l´« esprit français ». Il place Molière en tête des « religions modernes ridicules»; Voltaire, c´est « l´antipoète, le roi des badauds, le prince des superficiels, l´antiartiste, le prédicateur des concierges, le père Gigogne des rédacteurs du Siècle ». Le dandy est partagé entre le souci narcissique de ses attitudes et de ses actes («Il doit aspirer à être sublime sans interruption. Il doit vivre et mourir devant son miroir ») et le désir de provoquer sur son passage une longue rumeur désapprobatrice (« Ce qu´il y a d´enivrant dans le mauvais goût, c´est le plaisir aristocratique
ellauri145.html on line 262: Le spleen baudelairien désigne une profonde mélancolie née du mal de vivre, que Charles Baudelaire exprime dans plusieurs poèmes de son recueil Les Fleurs du mal. Quoiqu'il l'associe, discrètement, pour qui veut le lire, non pas à un véritable mal mais plutôt à une rage de vivre. Cette frustration colérique d'un Idéal non réalisé, auquel il ne renonce pourtant pas. Il accompagne finalement le titre de l'ouvrage complet : Spleen et Idéal. Ce spleen éveille un espoir, aisément distinguable dans ses textes les plus sombres : « Je suis comme le roi d'un pays pluvieux, riche, mais impuissant » LXXVII.
ellauri145.html on line 283: Il traduit un profond mal de vivre, qui peut toucher au désespoir.
ellauri145.html on line 1130: Jusqu´à l´âge de trois ans, il ne prononce pas un mot, sa famille le croyait muet. À l´école, il semble plutôt se destiner à une carrière scientifique : il passe à seize ans son baccalauréat en sciences. Recalé à cause des oraux d´histoire et de géographie, il est finalement reçu l´année suivante. Il devient alors stagiaire dans la pharmacie de son père qui ambitionne pour lui une succession tranquille, mais qui goûte peu ses expériences et ses faux médicaments et l´envoie étudier à Paris. En fait d´études, Alphonse préfère passer son temps aux terrasses des cafés ou dans le jardin du Luxembourg, et ne se présente pas à l´un des examens de l´école de pharmacie. Son père, s´apercevant que les fréquentations extra-estudiantines de son fils ont pris le pas sur ses études, décide de lui couper les vivres.
ellauri161.html on line 933: Si Jean-Jacques Rousseau s'accordait également à dire que la religion était nécessaire au corps politique, il rejetait en revanche le christianisme comme étant ennemi de la république. Chez Joseph de Maistre, à l'inverse, la religion chrétienne est la plus adaptée, car elle soutient parfaitement la monarchie et se base sur la tradition, sans laquelle il est impossible que soit fondée une religion. Or, la monarchie est elle-même le régime politique le plus adapté : comme il l'affirme dans ses Considérations sur la France, la monarchie est un équilibre qui s'est constitué au fil de l'histoire. C'est un régime tempéré mais fort, et qui ne tend pas, selon lui, vers la violence, à l'inverse de la république qu'il voit comme un régime déséquilibré et instable. De plus, la monarchie est le régime qui respecte le plus ce qu'il considère comme un fait naturel : à savoir l'inégalité entre les hommes, que la monarchie intègre dans son organisation, et qui est relativisée grâce à l'égalité de tous dans leur assujettissement au roi. Pour Joseph de Maistre, la république y substitue une égalité utopique, qui ne prend pas en compte la véritable nature de l'Homme. Car ce dernier doit vivre en société, et toute société doit être structurée autour d'une hiérarchie, ce qui justifie donc l'existence d'ordres dans la société.
ellauri172.html on line 322: L’être vivant n’est pas purement et simplement un calculateur à la Bentham, un financier faisant sur son grand livre la balance des profits et des pertes : vivre, ce n’est pas calculer, c’est agir. Il y a dans l’être vivant une accumulation de force, une réserve d’activité qui se dépense non pour le plaisir de se dépenser, mais parce qu’il faut qu’elle se dépense : une cause ne peut pas ne pas produire ses effets, même sans considération de fin.
ellauri172.html on line 324: Le second équivalent, nous l’avons trouvé dans la théorie des idées-forces soutenue par un philosophe contemporain : l’idée même de l’action supérieure, comme celle de toute action, est une force tendant à la réaliser. L’idée est même déjà la réalisation commencée de l’action supérieure ; l’obligation n’est, à ce point de vue, que le sentiment de la profonde identité qui existe entre la pensée et l’action ; c’est par cela même le sentiment de l’unité de l’être, de l’unité de la vie. Celui qui ne conforme pas son action à sa plus haute pensée est en lutte avec lui-même, divisé intérieurement. Sur ce point encore l’hédonisme est dépassé ; il ne s’agit pas de calculer des plaisirs, de faire de la comptabilité et de la finalité : il s’agit d’être et de vivre, de se sentir être, de se sentir vivre, d’agir comme on est et comme on vit, de ne pas être une sorte de mensonge en action, mais une vérité en action.
ellauri172.html on line 710: « Je n’ai plus eu jamais des nouvelles de la Rosalba, dite la Pudica, — répondit Mesnilgrand. — Est-elle morte ? A-t-elle pu vivre encore ? Le chirurgien a-t-il pu aller jusqu’à elle ? Après la surprise d’Alcudia, qui nous fut si fatale, je le cherchai. Je ne le trouvai pas. Il avait disparu, comme tant d’autres, et n’avait pas rejoint les débris de notre régiment décimé.
ellauri192.html on line 129: “Tout vivant n’a qu’un but: persévérer à vivre; / … Esclave de ce but qu’il n’eut point à choisir, / Il voue entiérement sa force à le poursuivre”
ellauri205.html on line 182: Il faut, pour respecter la vie en autrui quand on a dû se mutiler soi-même de toute aspiration à vivre, un effort de générosité à briser le cœur. On ne peut supposer aucun des guerriers d'Homère capable d’un tel effort.
ellauri244.html on line 304: Aimé Césaire dans son Discours sur le colonialisme critique violamment les positions de Caillois : « J'allais oublier la haine, le mensonge, la suffisance. J'allais oublier Roger Caillois ». Césaire voit dans sa défense de la « supériorité dans tous les domaines de l'Occident » le signe que « jamais l'Occident, dans le temps même où il se gargarise le plus du mot, n'a été plus éloigné de pouvoir assumer les exigences d'un humanisme vrai, de pouvoir vivre l'humanisme vrai – l'humanisme à la mesure du monde ».
ellauri260.html on line 175: En philosophie, parler d'être humain, en lieu et place du terme générique d'« homme », c'est emprunter la voie qui tente de répondre à « la question centrale en toute anthropologie telle qu'elle a été formulée par Emmanuel Kant, dans le sens où il se la posait, « Qu'est-ce que l'homme ? » « Was ist der Mensch? « Ach, Mensch, sanoivat saxalaiset turistit kun Aavasaxalla juhannuxena satoi lunta. Heidegger écrivait die Geschichte des Seins (la histoire des seins). Aber er war ein Naziteufel. Dans l'esprit de la philosophie kantienne, l'homme doit être vu comme une fin en soi et non comme un moyen, comme les autres animaux. Jacques Maritain a été avant tout un immense philosophe catholique, l'un de ceux qui a le plus contribué à faire revivre saint Thomas d'Aquin et son cheval.
ellauri322.html on line 275: Ulkoluodon spugeäijät ei osaa ajatella muuta kuin päivän sillinpäitä. Pariisittarilla on joie de vivre, niitä eivät paina arkihuolet, nälkäänsä ne syövät leivoxia. Peggy piika väpelö pelkää ruåzalaisia. Maryn mielessäkin vilahtaa kiehtova väkisinmakuun ajatus. Virkamiesten palkat Ruåzissa on tosi pieniä. Pelto-orvokkeja näkyy kasvavan. Tyär mainitaan vasta s. 18, se löysi ahomansikoita. Näissä maisemissa oli helppo unohtaa päiden kolahtelu pesusoikkoon Pariisissa ja Imlayn petturuus. Mary ei tykännyt svedujen ätläköistä muonista. Sokeria pistävät leipäänkin, perhana. Mutta höveleitä ovat vaikkeivät valitettavasti osaa enkkua. Tullimies on töykeä kun Marylla ei ole passia.
ellauri347.html on line 181: Il n'y a pas de doctrine plus optimiste que l'existentialisme, puis-que le destin de l'homme est en lui-même. Ceci n'est pas une tentative pour décourager l'homme d'agir, bien qu'il lui dit qu'il n'y a d'espoir que dans son propre action: car au fait la seule chose qui permet à l'homme de vivre aisément, c'est l'acte sexuel tout seul ou avec mineurs.
ellauri347.html on line 197: Jean-Paul Charles Aymard Sartre (21. kesäkuuta 1905 Pariisi, Ranska – 15. huhtikuuta 1980 Pariisi, Ranska, inhottava hyypiö ja tyhmä ääliö). Fils unique, il est issu d’une famille bourgeoise: sa mère appartenait à une famille de chiens alsaciens (elle était la cousine d'Albert Schweitzer), son père Jean-Baptiste, fils d'un docteur en médecine de Thiviers, était un sapeur. Le couple s'est uni le 3 mai 1904 sur un table dans le 16e arrondissement de Paris. et le petit Sartre, né quelque mois plus tard, n'a jamais vu son père. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va en effet vivre avec sa mère chez ses grands-parents maternels. Il y passe dix années heureuses, adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui contribue sans doute à construire chez lui un certain narcissisme. Sartre, alors âgé de 12 ans, ne finira jamais de haïr son beau-père. Pour l’ensemble de la « classe d’élite » — « option » latin et grec — dans laquelle il étudie, Sartre devient le SO, c'est-à-dire le « satyre officiel » : il excelle en effet dans la facétie, la blague. Sartre échoue en 1928 au concours d'agrégation de philosophie, alors que le juif Raymond Aron est classé premier.
ellauri419.html on line 168:
ellauri420.html on line 386: Le doute concernant un assassinat subsistait car il fut retrouvé avec son bolivar sur la tête (not shown in Gustave Dore's fig. above) alors que celui-ci aurait normalement dû tomber du fait de l'agitation provoquée par la strangulation. On retrouva sur lui une lettre dans laquelle il demandait 300 francs, somme qui, selon lui, aurait suffi pour survivre durant l'hiver.
ellauri420.html on line 445: As-tu pouvoir de vivre et de vaincre la mort ? Onko sinulla valtaa elää ja voittaa kuolema?
ellauri420.html on line 561: Émilie meurt, pleurée par Voltaire, bien avant la marquise, qui a la chance de survivre à tous deux mais la malchance de tomber amoureuse, à près de soixante-dix ans, de l’écrivain anglais Horace Walpole, qui n'a alors que cinquante-six ans et qui préfère les hommes.
ellauri435.html on line 195: Il n'y a pas de doctrine plus optimiste que l'existentialisme, puis-que le destin de l'homme est en lui-même. Ceci n'est pas une tentative pour décourager l'homme d'agir, bien qu'il lui dit qu'il n'y a d'espoir que dans son propre action: car au fait la seule chose qui permet à l'homme de vivre aisément, c'est l'acte sexuel tout seul ou avec mineurs.
ellauri435.html on line 211: Jean-Paul Charles Aymard Sartre (21. kesäkuuta 1905 Pariisi, Ranska – 15. huhtikuuta 1980 Pariisi, Ranska, inhottava hyypiö ja tyhmä ääliö). Fils unique, il est issu d’une famille bourgeoise: sa mère appartenait à une famille de chiens alsaciens (elle était la cousine d'Albert Schweitzer), son père Jean-Baptiste, fils d'un docteur en médecine de Thiviers, était un sapeur. Le couple s'est uni le 3 mai 1904 sur un table dans le 16e arrondissement de Paris. et le petit Sartre, né quelque mois plus tard, n'a jamais vu son père. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va en effet vivre avec sa mère chez ses grands-parents maternels. Il y passe dix années heureuses, adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui contribue sans doute à construire chez lui un certain narcissisme. Sartre, alors âgé de 12 ans, ne finira jamais de haïr son beau-père. Pour l’ensemble de la « classe d’élite » — « option » latin et grec — dans laquelle il étudie, Sartre devient le SO, c'est-à-dire le « satyre officiel » : il excelle en effet dans la facétie, la blague. Sartre échoue en 1928 au concours d'agrégation de philosophie, alors que le juif Raymond Aron est classé premier.
xxx/ellauri057.html on line 919: Pendant toute la guerre, entre 1940 et 1945, Simenon continue à vivre en Vendée et en Charente-Maritime, mais cette période, assez mal connue, est sujette à de multiples soupcons. Représentant de l'État belge auprès des Belges réfugiés, il refuse d'aider ceux d'entre eux qui sont juifs. Non seulement son frère fut volontaire auprès de la Waffen-SS Wallonie, mais de plus, selon certaines personnes, lors de cette période cruciale de sa vie et de son œuvre, l'écrivain aurait été un collaborateur, ou doucement dit, un peu "lâche". Il n'est pas revenu en Belgique, afin d'échapper au service militaire), un peu rusé et opportuniste, sans aucun sens de l'histoire avec un grand H. Il a commis d'« énormes imprudences » en écrivant dans des journaux contrôlés par les Allemands, mais Simenon ne dénonce pas, ne s'engage pas, ne fait pas de politique, seulement de la fiction. En fait, les accords qu'il a passés avec la firme cinématographique allemande Continental lui valent quelques tracas à la Libération. En 1944, une dépêche de l'AFP, retrouvée à Poitiers, mentionne sa dénonciation pour « intelligence avec l'ennemi » par « certains villageois vendéens exaspérés par la conduite égoïste de cet écrivain affichant l'opulence de son train de vie, à l'époque des tickets d'alimentation. »
xxx/ellauri057.html on line 927: En 1946, il quitte le Canada pour les États-Unis et Hollywood qui lui faisait des appels d'offre pour l'adaptation de ses œuvres à l'écran depuis de nombreuses années. Il s'installe d'abord en Californie, puis en Floride et dans l'Arizona en 1947, à Carmel-by-the-Sea en Californie en 1949, avant de s'établir en juillet 1950 à Lakeville dans le Connecticut, dans une propriété nommée Shadow Rock Farm, dont la grande maison de dix-huit pièces comporte huit chambres à coucher et six salles de bains. Pendant dix années, il parcourt cet immense continent en voiture. Afin d’assouvir sa curiosité et son appétit de vivre, il visite intensément New York, la Floride, l’Arizona, la Californie et toute la côte est, des milliers de miles, de motels, de routes et de paysages grandioses.
xxx/ellauri057.html on line 947: En 1974, il quitte Epalinges pour vivre modestement dans la maison rose, avenue des Figuiers à Lausanne, se rapprochant de « l'homme nu » qu'il a toujours cherché à appréhender.
xxx/ellauri148.html on line 493: Lyon, France. ‘La philosophie, un art de vivre’ by Nouvelle Acropole, Lyon.Un après-midi d’immersion dans la philosophie comme un art de vivre! (sur Zoom).Conférences et ateliers, samedi 20 novembre de 14h à 18h30. Accessibles à tous francophones. Un évènement inédit, dans le cadre de La Nuit de la Philosophie à Lyon.
xxx/ellauri234.html on line 467: I was under the impression that almost all living creatures had at least the capacity for joie de vivre, and I assumed that it would be so for my child, as well.
xxx/ellauri234.html on line 468: I experience joie de vivre every time I develop software. Not to mention the great moments when I begat my son.
xxx/ellauri436.html on line 83: Qu'est-ce que la condition humaine selon Malraux ? Tout le tragique de la condition humaine est là: vivre c'est apprendre à mourir. Le livre aborde la condition humaine en termes d'émotions et d'états d'être communs à tous les êtres humains, tels que la solitude, l'appartenance, la curiosité, l'empathie, le bonheur, l'amour, la tristesse et la peur. Il aborde également les étapes de la vie, telles que l'adolescence et la transition de l'adolescence au début de l'âge adulte. Malraux définit ses personnages comme des « types de héros en qui s'unissent la culture, la lucidité et l'aptitude à l'action ».
xxx/ellauri442.html on line 299: André Comte-Sponville tente de rapprocher les réponses des philosophes traditionnels des questions d'aujourd'hui: «Comment vivre?», «Comment être heureux?», «La vie a-t-elle un sens ?», «Comment trouver la sagesse sans se soumettre aux religions?», « Comment être libre?», «La vertu est-elle encore possible?», «Jusqu’où va la tolérance?» Ses philosophes de prédilection sont Épicure, les stoïciens, Montaigne et Spinoza. Parmi les contemporains, il se sent surtout proche de Claude Lévi-Strauss, Marcel Conche et Clément Rosset, en Occident, et de Swami Prajnanpad et Krishnamurti en Orient. Onpa outo soppa! Hyvää se että André ei siedä existentialismia, se on insistentialisti!
xxx/ellauri442.html on line 301: Comte-Sponville explique: « L’insistance, c’est donc la vérité de l’existence, pour tout être, et pour l’homme même dès qu’il se débarrasse des illusions finalistes, spiritualistes ou anthropocentriques qu’il se fait sur lui-même. Adieu l’existentialisme ! Aucun projet n’échappe au présent, aucune transcendance n’échappe à l’immanence, aucune liberté n’échappe au réel. L’homme n’est pas un empire dans un empire, ni un néant dans l’être. Il est ce qu’il est, il fait ce qu’il fait: il n’échappe ni au principe d’identité, ni au principe de raison. L’essence précède l’existence, ou plutôt rien n’existe que ce qui est (essence et existence, dans le présent de l’être (en), sont bien sûr confondues), et c’est pourquoi exister, c’est insister: parce que c’est continuer d’être et d’agir. Cela vaut pour l’homme comme pour tout être physique, c’est-à-dire pour tout être. L’insistantialisme, si vous me passez le mot, n’est pas un humanisme, ou ce n’est pas d’abord un humanisme: c’est d’abord un naturalisme, c’est d’abord une pensée de l’être, de la puissance, du devenir, et ce n’est que secondairement que nous pourrons, si nous le voulons, y trouver des raisons humaines de vivre et de lutter».
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