ellauri033.html on line 93: nu, cuivré, bossue comme un vieux chaudron, œil petit, oblique et
ellauri036.html on line 271: Je suis venu trop tard dans un monde trop vieux.
ellauri036.html on line 291: Nous sommes aussi vieux qu'au jour de ta naissance.
ellauri036.html on line 296: Où donc le vieux saint Paul haranguant les Romains,
ellauri036.html on line 451: Qui se penche en pleurant sur ce vieux crucifix;
ellauri036.html on line 512: Et, trop vieux pour s'ouvrir, ton cœur s'était brisé,
ellauri036.html on line 655: Dans un cloître désert ou dans un vieux château?
ellauri036.html on line 787: Ah! comme les vieux airs qu'on chantait à douze ans
ellauri036.html on line 790: Comme on baisse la tête en les trouvant si vieux!
ellauri036.html on line 836: Et, comme un vieux soldat vous montre une blessure,
ellauri036.html on line 959: Tout plein de tertres verts et de vieux ossements.
ellauri049.html on line 682: Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ei mikään, ei silmien heijastamat vanhat puutarhat
ellauri049.html on line 737: Quelque vieux baobab, témoin des temps antiques, joku vanha baobab, antiikkinen jäänne,
ellauri051.html on line 3260: Son vieux chien de lui se souvint sen vanha koira tunsi sen
ellauri074.html on line 382: A vingt ans, je n'avais en tête que l'extermination des vieux; je persiste à la croire urgente mais j'y ajouterais maintenant celle des jeunes; avec l'âge on a une vision plus complète des choses.
ellauri109.html on line 387: En 1840, le journaliste Alphonse Karr attribue la paternité de l'enfant qu'elle porte à son amant Victor Cousin dans un article intitulé Une piqûre de Cousin. Furieuse, Louise Colet l'agresse avec un couteau de cuisine qu'elle lui plante dans le dos. Alphonse Karr s'en tire avec une égratignure, et renonce à porter plainte au grand soulagement de Victor Cousin. Il se contente de mettre le couteau dont elle avait voulu le frapper sur une étagère avec cette inscription «Donné par Madame Louise Colet (Dans le dos)». Louise Colet est inhumée dans le vieux cimetière de Verneuil-sur-Avre, où résidait sa fille. En 2016, sa tombe est à l'abandon.
ellauri109.html on line 421: "Ce matin à midi, cher et pauvre vieux, j’ai reçu ta bonne et longue lettre tant désirée. Elle m’a remué jusqu’aux entrailles. J’ai mouillé. Comme je pense à toi, va ! inestimable bougre ! Combien de fois par jour je t’évoque, et que je te regrette ! Si tu trouves que je te manque, tu me manques aussi [...]
ellauri145.html on line 262: Le spleen baudelairien désigne une profonde mélancolie née du mal de vivre, que Charles Baudelaire exprime dans plusieurs poèmes de son recueil Les Fleurs du mal. Quoiqu'il l'associe, discrètement, pour qui veut le lire, non pas à un véritable mal mais plutôt à une rage de vivre. Cette frustration colérique d'un Idéal non réalisé, auquel il ne renonce pourtant pas. Il accompagne finalement le titre de l'ouvrage complet : Spleen et Idéal. Ce spleen éveille un espoir, aisément distinguable dans ses textes les plus sombres : « Je suis comme le roi d'un pays pluvieux, riche, mais impuissant » LXXVII.
ellauri145.html on line 294: un mal-être intense, où l'instinct de mort s'installe (III - Je suis comme le roi d'un pays pluvieux) puis triomphe (IV - Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle).
ellauri145.html on line 307: L’ombre d’un vieux poète erre dans la gouttière Vanhan runoilijan sielu harhailee vesikourussa
ellauri145.html on line 331: Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées, Olen vanha bidee täynnä kuihtuneita ruusuja,
ellauri145.html on line 334: Hument le vieux parfum d’un flacon débouché. Joista nousee väljähtyneen pullon hajua.
ellauri145.html on line 343: — Un vieux sphinx ignoré du monde insoucieux, Huolettoman maailman unohtama sfinxi,
ellauri145.html on line 349: Je suis comme le roi d’un pays pluvieux, Mä olen kuin sateisen maan kuningas
ellauri145.html on line 350: Riche, mais impuissant, jeune et pourtant très-vieux, Rikas mutta kyvytön, nuori silti iki-iäkäs,
ellauri145.html on line 366: Et dont sur leurs vieux jours les puissants se souviennent, Jotka valtaapitävät muistavat loppupeleissä,
ellauri145.html on line 421: —Pour mon cœur percé de vieux coups de lances, - Mun vanhojen peizenpistojen lävistämää sydäntä,
ellauri145.html on line 1096: Tels que les excréments chauds d’un vieux colombier, Kuin vanhan kyyhkyslakan kuumat pökäleet,
ellauri150.html on line 279: Dans le salon de l’hôtel aristocratique, décoré de tapisseries un peu pâles, avec, sur un chevalet, au milieu de la pièce, le portrait de la robuste madame Stevens par un peintre à la mode, qui l’avait représentée languissante, comme une fleur sans eau, les yeux mourants, le corps tordu en spirale, pour exprimer la rareté de son âme millionnaire, — dans le grand salon aux baies vitrées, donnant sur de vieux arbres, que la neige poudrait, Christophe trouvait Colette toujours assise devant son piano, ressassant indéfiniment les mêmes phrases, se caressant les oreilles de dissonances moelleuses.
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 572: — Non, pas mille, mais deux seulement, monsieur Rançonnet, — dit, en riant de son calembour, le vieux apostat libertin ; — mais elles étaient de fier calibre !
ellauri172.html on line 610: Il s’arrêta. Il y pensait, et ils y pensaient. Avec ce qu’il venait de dire, il avait, le croira-t-on ? transformé en rêveurs ces soldats qui avaient vu tous les genres de feux, ces moines débauchés, ces vieux médecins, tous ces écumeurs de la vie et qui en étaient revenus. L’impétueux Captain Haddock, lui-même, ne souffla mot. Il se souvenait. Ne muistelivat varmaan Pauliinan mökkiä Talasmäellä.
ellauri205.html on line 168: Ce n'est pas par insensibilité qu’Achille a d'un geste poussé à terre le vieillard collé contre ses genoux comme un escargot thebeen; les paroles de Priam évoquant son propre vieux père a soi l'ont ému jusqu'aux larmes.
ellauri247.html on line 506: Au troisième tiers, on aperçoit au loin le vieux fort de Taguin et à droite la famille de Mohamed-el-Karoubi, marabout et chancelier d'Abd-el-Kader qui lui n'était pas présent ce jour-là.
ellauri326.html on line 552: Coppée fut le poète populaire et sentimental de Paris et de ses faubourgs, des tableaux de rue intimistes du monde des humbles. Poète de la tristesse à la vue des oiseaux qui meurent en hiver (La Mort des oiseaux), du souvenir d'une première rencontre amoureuse (« Septembre, au ciel léger »), de la nostalgie d'une autre existence (« Je suis un pâle enfant du vieux Paris ») ou de la beauté du crépuscule (« Le crépuscule est triste et doux »), il rencontra un grand succès populaire.
ellauri365.html on line 49: Maupassant [måpasa], Henry René Albert Guy de, fransk författare, f. 5 aug. 1850 på slottet Miromesnil i Normandie, d. 6 juli 1893 Auteuil, var ättling af en gammal lothringsk adels- familj; modern var sy- ster till skalden Alfred de Poittevin. Föräld- rarna skildes tidigt, och den intelligenta och litterärt intresse- rade modern, en barn- domsväninna till Gu- stave Flaubert, ledde sonens uppfostran. Hans barndom förflöt vid Normandies kust, där M. insöp sin kärlek till naturen och lärde kän- na dessa normandiska typer, som han sedan så gärna skildrade. Adertonårig inträdde han 1868 i Marinministeriet, men öfvergick 1878. till kultusministeriet. Han saknade emellertid intresse för ämbetsmannabanan. Redan tidigt vak- nade hans lust för litteraturen, som närdes af mo- derns ungdomsminnen. Flaubert omfattade honom med en faders kärlek, kritiserade strängt hans. första omogna försök, inpräntade i hans sinne sina egna konstnärliga principer, lärde honom att genom aldrig tröttnande observation söka uppfånga det förut icke iakttagna och därför nya och att återge. det så, att det skildrade fenomenet skiljer sig från alla andra och blir individuellt och enastående. Framför allt afhöll han honom från att debutera för tidigt. Från midten af 70-talet meddelade dock M. under hvarjehanda pseudonymer (oftast Guy de Valmont) smärre bitar åt tidningar och tidskrifter, och 1879 fick han uppförd en drama- tisk bagatell, Histoire du vieux temps. Hans verk- liga debut inföll dock först 1880 med diktsamlingen Des vers. Den har obestridligen ett originellt skaplynne och väckte uppseende kanske ej minst därför, att den hotades med ett åtal för osedlighet hufvudsakligen på grund af dikten Le mur), som deck afstyrdes genom inflytelserika vänner. M. insåg sedan själf, att hans talang låg mera för prosan, i all synnerhet sedan han samma år ut- gifvit novellen Boule de suif (i "Soirées de Mé- dan"). Med denna novell, som utmärktes genom skarp observationsförmåga och ypperlig prosa- stil, slog M. igenom och intog sin plats som en at den naturalistiska skolans förnämsta representanter och en af den franska litteraturens största novellister. Den efterföljdes af en lång rad novel ler, först publicerade i "Gil Blas" och "Echo de Paris" och sedan samlade i bokform under följande titlar: La maison Tellier (1881), M:lle Fifi (1882), Les contes de la Bécasse (1883), Clair de lune i (1884), Au soleil (resebilder, s. a.), Les soeurs Rondoli (s. a.), Miss Harriett (s. a.), Yvette (s. a.; sv. öfv. 1905), Monsieur Parent (s. a.), Contes du jour et de la nuit (1885), Contes et nouvelles (s. 4.), Contes choisis (1886), La petite Roque (s. a.), Toine (s. 1.), Le Horla (1887), Sur l'eau (rese- skildringar, 1888), Le rosier de Mime Husson (s. å.), L'héritage (s. a.), La main gauche (1889), Histoire d'une fille de ferme (s. a.), La vie errante (reseskildringar, s. å.) och L'inutile beauté (1890); efter hans död ha ytterligare publicerats Le père Milon (1899; "Gubben Milon", s. å.), Le colporteur (1900) och Dimanches d'un bourgeois de Paris (s. å.). Till dessa novellsamlingar ansluta sig sexromanerna Une vie (1883; "Ett lif", 1884), Bel-ami (1885; "Qvinnogunst", 1885 och 1901), Mont-Oriol (1887; sv. öfv. 1895), Pierre et Jean (1888; "Pierre och Jean", s. a.), Fort comme la vi mort (1889; "Stark som döden", 1894 och 1910) och Notre coeur (1890; "Vårt hjerta", 1894 och 1910). För scenen skref M. vidare treaktsskåde spelet Musotte (i samarbete med J. Normand, 1891) och La paix du ménage (uppf. på Théâtre fran- çais, 1893). M. skref äfven litterära studier, bl. a. öfver Emile Zola (1883) och Gustave Flaubert (1884). Denna oerhörda produktion fullbordades en på den korta tiden af omkr. tio år. Den gjorde honom hastigt världsberömd som en äkta represen tant för den franska conten, en ättling i rakt ned stigande led af de gammalfranske fabliåförfattarna, med ära upphärande Rabelais', La Fontaines och Voltaires traditioner.
xxx/ellauri123.html on line 1212: Un vieux crêpe tissu des lèvres des araignes ; vanha pizi kuin hämähäkkiroikan sylystä,
xxx/ellauri139.html on line 1129: Comme l'ennui des vieux Césars ! Kuin vanhojen keisareiden tylsymys!
xxx/ellauri139.html on line 1179: D’un vieux singe j’ai la malice ; Mulla on vanhan paviaanin ilkeys;
xxx/ellauri173.html on line 188: Quant aux mystiques, je puis leur soumettre une réflexion naïve, paradoxale, superficielle, s’ils veulent, mais singulière : ― N’est-il pas attristant de penser que si Dieu, le Très-Haut, le bon Dieu, dis-je, enfin le Tout-Puissant, (lequel, de notoriété publique, est apparu à tant de gens, qui l’ont affirmé, depuis les vieux siècles, ― nul ne saurait le contester sans hérésie ― et dont tant de mauvais peintres et de sculpteurs médiocres s’évertuent à vulgariser de chic les prétendus traits) ― oui, penser que s’Il daignait nous laisser prendre la moindre, la plus humble photographie de Lui, voire me permettre, à moi, Thomas Alva Edison, ingénieur américain, sa créature, de clicher une simple épreuve videographique de Sa vraie Nez et Voix (car le tonnerre a bien mué, depuis Franklin), dès le lendemain il n’y aurait plus un seul athée sur la terre !
xxx/ellauri176.html on line 182: Et puis, qui a eu l’idée de laisser ces gamins tout seuls dans ce parc lubrique, hein ? D’abord il est où le vieux ? Il s’occupe de ses salades. D’abord il est où notre bon docteur ? Il s’occupe de ses expériences scientifiques. Ils ont le sens des priorités !
xxx/ellauri176.html on line 220: Où de mes vieux lions traînent les siècles fauves Raskaan kivi- ja rautasellin alla
xxx/ellauri176.html on line 255: De mon esprit pâli comme un vieux livre ou noir.. Mun hiutuneesta mielestä kuin vanhasta mustakantisesta vihosta..
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