ellauri033.html on line 176: Le japonisme, — l´écriture artiste, — la vérité littéraire, — voilà les
ellauri033.html on line 187: plus ou moins lointains. Mais, hàtons-nous de le dire, la vérité (les
ellauri033.html on line 197:

Ce qui assure la durée des œuvres, c´est une vérité durable. Distinguons
ellauri033.html on line 209: que ce que la nature et la vie ont de plus fugace. La vérité qu´ils
ellauri033.html on line 219: époque, ou plutôt leur propre maladie. La vérité qu´ils peignent est à
ellauri033.html on line 226:

A cette vérité mobile, frémissante, que les Goncourt ont attrapée au
ellauri118.html on line 591: Brooksin teos on kirjallisuudentutkimuksen ”intohimoteorioista” kuitenkin narratologisin. Esimerkiksi René Girardin klassikkoteos Mensonge romantique et vérité romanesque (1961) kulkee kauas kirjallisten piirteiden tutkimuksesta ja laajenee tulkitsemaan antropologisesti niin kirjallisuuden, uskontojen kuin politiikankin jakamia intohimo- ja syntipukkimekanismeja.
ellauri145.html on line 441: Sont ravis à ma voix qui dit la vérité. Innostuu mun äänestä joka sanoo totuuxia.
ellauri150.html on line 277: Elle faisait de la musique, comme la plupart des jeunes filles oisives d’à présent. Elle en faisait beaucoup et peu. C’est-à-dire qu’elle en était toujours occupée, et qu’elle n’en connaissait presque rien. Elle tripotait son piano, toute la journée, par désœuvrement, par pose, par volupté. Tantôt elle en faisait, comme du vélocipède. Tantôt elle pouvait jouer bien, très bien, avec goût, avec âme, — (on eût presque dit qu’elle en avait une : il suffisait, pour cela, qu’elle se mît à la place de quelqu’un qui en avait une). — Elle était capable d’aimer Massenet, Grieg, Thomé, avant de connaître Christophe. Mais elle était aussi capable de ne plus les aimer, depuis qu’elle connaissait Christophe. Et maintenant, elle jouait Bach et Beethoven très proprement, — (ce qui, à la vérité, n’est pas beaucoup dire) ; — mais le plus fort, c’était qu’elle les aimait. Au fond, ce n’était ni Beethoven, ni Thomé, ni Bach, ni Grieg, qu’elle aimait : c’étaient les notes, les sons, ses doigts qui couraient sur les touches, les vibrations des cordes qui lui grattaient les nerfs comme autant d’autres cordes, son épiderme chatouillé.
ellauri161.html on line 851:

Yleiset termit ja lausekkeet


ellauri164.html on line 88: Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici : Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. — Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums faux, musiques puériles. — Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. — La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… — Horreur de ma bêtise.
ellauri164.html on line 352: À chacun sa vérité (Così è (se vi pare), niin on jos siltä näyttää, en version originale), également titrée Chacun sa vérité en français, est une pièce de théâtre en trois actes de Luigi Pirandello tirée de la nouvelle La signora Frola ed il signor Ponza, suo genero et créée le 18 juin 1917 au Teatro Olimpia de Milan.
ellauri164.html on line 357: Chacun son chemin, chacun sa vérité, chacun sa vérité.
ellauri172.html on line 150: Un Comte quelconque nomme Alcool vit couché dans un cercueil sa dame de volupté, sa pâlissante épousée, Véra, son désespoir. La nuit dernière, sa bien-aimée s’était évanouie en des joies si profondes que son cœur avait défailli. Cependant leur nature était des plus étranges, en vérité ! Certaines idées, celles de l’âme, par exemple, de l’Infini, de Dieu même, étaient comme voilées à leur entendement. La foi d’un grand nombre de vivants aux choses surnaturelles n’était pour eux qu’un sujet de vagues étonnements. Au lieu de cela, les deux amants s’ensevelirent dans l’océan des joies languides et perverses. Veera oli Madonnan näköinen, tottakai. Veera oli kulkija luonnoltaan. Jätkät sätkät parrunpätkät, jasen tervahöyryn nimi, oli PRINSESSA ARMAADA! Continuons.
ellauri172.html on line 324: Le second équivalent, nous l’avons trouvé dans la théorie des idées-forces soutenue par un philosophe contemporain : l’idée même de l’action supérieure, comme celle de toute action, est une force tendant à la réaliser. L’idée est même déjà la réalisation commencée de l’action supérieure ; l’obligation n’est, à ce point de vue, que le sentiment de la profonde identité qui existe entre la pensée et l’action ; c’est par cela même le sentiment de l’unité de l’être, de l’unité de la vie. Celui qui ne conforme pas son action à sa plus haute pensée est en lutte avec lui-même, divisé intérieurement. Sur ce point encore l’hédonisme est dépassé ; il ne s’agit pas de calculer des plaisirs, de faire de la comptabilité et de la finalité : il s’agit d’être et de vivre, de se sentir être, de se sentir vivre, d’agir comme on est et comme on vit, de ne pas être une sorte de mensonge en action, mais une vérité en action.
ellauri192.html on line 121: Je perds le goût de la poésie. Je la trouve de plus en plus puérile, comparé aux austères travaux de la science; les plus grands génies littéraires me semblent des enfants auprès du génie scientifique, qui, au lieu d’imiter et de défigurer la nature sous prétexte de la transfigurer par l’idéal et l’humain, l’étreint corps à corps, telle qu’elle est, et lui ouvre, doigt par doigt, ses mains fermées pour en arracher des lambeaux de vérité.
ellauri206.html on line 458: « M. Gassendi ayant été toujours si curieux de chercher à justifier par les expériences la vérité des spéculations que la philosophie lui propose, et se trouvant à Marseille en l'an 1641 fit voir sur une galère qui sortit exprèz en mer par l'ordre de ce prince, qu'une pierre laschée du plus haut du mast, tandis que la galère vogue avec toute la vitesse possible, ne tombe pas ailleurs qu'elle ne feroit si la même galère étoit arrêtée et immobile. »
ellauri408.html on line 702: Au cours des voyages qu'il fait à Paris, Proudhon rencontre Karl Grün, Mikhaïl Bakounine, Alexandre Herzen qui deviendront ses amis et Karl Rot qui admirait en lui le seul socialiste français dégagé du mysticisme chrétien. En plus, il est lui-même prolétaire, ouvrier! Et il précise : « nous ne devons pas poser l'action révolutionnaire comme moyen de réforme sociale, parce que ce prétendu moyen serait tout simplement un appel à la force, à l'arbitraire, bref, une contradiction. L'échange de lettres avec Marx annonce la rupture, qui intervient quelques mois plus tard. Quand, en octobre 1846, Proudhon publie le Système des contradictions économiques ou Philosophie de la misère, Marx riposte par Misère de la philosophie. Marx considère que Proudhon est un socialiste « petit-bourgeois » ou nettement « bourgeois », qui défend un système utopique qui combinerait les avantages du socialisme et du capitalisme sans leurs inconvénients. Il écrit ainsi : « Les socialistes bourgeois veulent tous les avantages des conditions sociales modernes sans les luttes et les dangers qui en découlent nécessairement ». Il critique notamment ses conceptions économiques sur la valeur, son soutien à la concurrence ou encore son opposition aux grèves ouvrières. Marx est le ténia du socialisme (sosialismin lapamato), Proudhomme sinkauttaa vastineexi ja kommentoi marginaaliin manifestia: « Calomnie », « Absurde », « Faux » « Mensonge », « Pasquinade ». « Quelle bêtise après ce que j´ai écrit — En vérité Marx est jaloux » ; « Allons mon cher Marx, vous êtes de mauvaise foi, et tout à la fois vous ne savez rien » .
ellauri435.html on line 183: On nous reproche encore, à partir de ces quelques données, de murer l'homme dans sa subjectivité individuelle. Là encore on nous comprend fort mal. Notre point de départ est en effet la subjectivité de l'individu, et ceci pour des raisons strictement philosophiques. Non pas seulement parce que nous sommes bourgeois, mais parce que nous voulons une doctrine basée sur la vérité, et non un ensemble de belles théories marxistes, pleines d'espoir mais sans fondements réels.
ellauri435.html on line 185: Il ne peut pas y avoir de vérité autre, au point de départ, que celle-ci: je pense donc je suis, c'est là la vérité absolue de la conscience s'atteignant elle-même en touchant son cul. Toute théorie qui prend l'homme en dehors de ce moment où il s'atteint lui-même en touchant son sexe est d'abord une théorie qui supprime la vérité, car, en dehors de ce cogito cartésien, tous les objets sont seulement probables, et une doctrine de probabilités, qui n'est pas suspendue à une vérité, s'effondre dans le néant; pour définir le probable il faut posséder le vrai. Admettons je  n'entends rien de probabilité, mais c'est probablement comme ça. Donc, pour qu'il y ait une vérité quelconque, il faut une vérité absolue; et celle-ci est simple, facile à atteindre, elle est à la portée de tout le monde; elle consiste à se saisir là-bas à deux mains sans intermédiaire.
ellauri435.html on line 189: Mais la subjectivité que nous atteignons là à titre de vérité n'est pas une subjectivité rigoureusement individuelle, car nous avons démontré que dans le cogito, on ne se découvrait pas seulement soi-même, mais aussi les autres, qui sont rien que mes pensées. Parce que je pense, contrairement à la philosophie de Descartes, contrairement à la philosophie de Kant, que nous nous touchons nous-mêmes le mieux en face de l'autre, et ainsi l'autre est aussi certain pour nous que nous-mêmes. Non pas tous les 8G autres, évidemment, mais nos partners en tout cas, comme moi et Castor par exemple.
xxx/ellauri176.html on line 268: Un astre, en vérité : Tähti, oikeesti:
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