ellauri014.html on line 1038: trouver. Voyez ce que j’ai fait. »
ellauri032.html on line 166: Il ne se trouve que par les voies enseignées dans l’Évangile.
ellauri033.html on line 115: deux pièces où se trouvent déjà quelques traits de cette poésie vague,
ellauri033.html on line 143: plupart de celles qui se laissent comprendre trouvent le moyen d´être à
ellauri033.html on line 302: gastralgie s´en trouve bien, sa sensualité en souffre. Il retourne au
ellauri033.html on line 372: trouvent indulgent. Il les condamne la larme à l´œil. Il les
ellauri033.html on line 1139: Il trouve des amis protestantiques. Il entre aussi en franc-maçonnerie. Kaikesta tästä debaucheriestä huolimatta se valittiin akateemikoxi ja sai tukuittain muita palkintoja. Bourget puhisi kiukusta ja kadehti.
ellauri036.html on line 358: On trouve ses égouts. — La virginité sainte
ellauri036.html on line 409: Pour trouver à Bagdad de fraîches écuries,
ellauri036.html on line 926: Que je devais trouver sur ma tombe étendue,
ellauri053.html on line 163: On trouve du bitume un peu partout dans le monde, notamment aux Moyen et Proche-Orient où il est exploité depuis quatre millénaires ; il était utilisé par exemple pour calfater les bateaux en Mésopotamie, en Inde, en Égypte, en Phénicie.
ellauri074.html on line 385: Dès que quelqu'un me parle d'élites, je sais que je me trouve en présence d'un crétin.
ellauri099.html on line 111: Elena Ferrantebarn swallowpernaAsthenikertrouve.nl/wp-content/uploads/2017/02/Elena-Ferrante-300x300.jpg" height="100px" />
ellauri109.html on line 421: "Ce matin à midi, cher et pauvre vieux, j’ai reçu ta bonne et longue lettre tant désirée. Elle m’a remué jusqu’aux entrailles. J’ai mouillé. Comme je pense à toi, va ! inestimable bougre ! Combien de fois par jour je t’évoque, et que je te regrette ! Si tu trouves que je te manque, tu me manques aussi [...]
ellauri109.html on line 439: Cette réaction négative de Flaubert a Colet se retrouve des années avant la rupture définitive.
ellauri109.html on line 441: Une première rupture avec Louise Colet en apporte la preuve. Dans sa lettre datée du dimanche 7 mars 1847, Flaubert ose enfin clamer à quel point il est allergique32 aux valeurs qu’elle véhicule, valeurs qui baignent et macèrent dans le discours ambiant du romantisme humanitaire33 : « tes idées de moralité, de patrie, de dévouement, tes goûts en littérature, tout cela était antipathique à mes idées, à mes goûts. »34 Ce qui vient immédiatement après est l’affirmation d’une esthétique, sur le mode de l’antithèse : « amoureux exclusif de la ligne pure, du galbe saillant, de la couleur criante, de la note sonore, je retrouvais toujours chez toi je ne sais quel ton noyé de sentiment qui atténuait tout, et altérait jusqu'à ton esprit ». Voilà les griefs d’un amant qui ne sépare pas l’art de la vie. Le lexique sentimental se trouve accaparé par le commentaire stylistique : « amoureux exclusif », écrit Flaubert, non pas d’une femme, comme Louise, elle, le voudrait, mais du tracé ferme, il lui reproche son « ton noyé de sentiment » qu’il interprète comme une déperdition de force et de précision. De même, les muscles relâchés, les lignes floues et les déliaisons trahissent le corps du texte féminin.
ellauri118.html on line 877: Il dit aussi que, quand on n´est point aimé, on souffre encore davantage de voir sa maîtresse dans une assemblée; que plus elle est admirée du public, plus on se trouve malheureux de n´en être point aimé; que l´on craint toujours que sa beauté ne fasse naître quelque amour plus heureux que le sien; enfin, il trouve qu´il n´y a point de souffrance pareille à celle de voir sa maîtresse au bal, si ce n´est de savoir qu´elle y est, et de n´y être pas.
ellauri144.html on line 630: 1878, Madame Raffalovich fait partie du cercle des intimes qui se trouvent près de
ellauri145.html on line 233: Dandy endetté, Baudelaire est placé sous tutelle judiciaire et mène dès 1842 une vie dissolue. Il commence alors à composer plusieurs poèmes des Fleurs du mal. Critique d´art et journaliste, il défend Delacroix comme représentant du romantisme en peinture, mais aussi Balzac lorsque l´auteur de La Comédie humaine est attaqué et caricaturé pour sa passion des chiffres ou sa perversité présumée. En 1843, il découvre les « paradis artificiels » dans le grenier de l´appartement familial de son ami Louis Ménard, où il goûte à la confiture verte. Même s´il contracte une colique à cette occasion, cette expérience semble décupler sa créativité (il dessine son autoportrait en pied, très démesuré) et renouvellera cette expérience occasionnellement sous contrôle médical, en participant aux réunions du « club des Haschischins ». En revanche, son usage de l´opium est plus long : il fait d´abord, dès 1847, un usage thérapeutique du laudanum17, prescrit pour combattre des maux de tête et des douleurs intestinales consécutives à une syphilis, probablement contractée vers 1840 durant sa relation avec la prostituée Sarah la Louchette. Comme De Quincey avant lui, l´accoutumance lui dicte d´augmenter progressivement les doses. Croyant ainsi y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et les tortures.
ellauri145.html on line 360: Ne savent plus trouver d’impudique toilette Eivät kexi riittävästi säädytöntä asua,
ellauri145.html on line 853: Je trouve ça tout naturel, Musta se on vaan luonnollista,
ellauri145.html on line 1031: Et trouve sa poche bien ample : Niin ezen taskut tuntuu väljiltä:
ellauri145.html on line 1140: Le nuit precedent sa demise, il a fait cette dernière plaisanterie : « Demain je serai mort ! Vous trouvez ça drôle, mais moi je ne ris pas. Demain, je serai mort !
ellauri150.html on line 434: Cyrano de Bergerac oli todennäköisesti homo, vaikka Rostand ei sitä tiennyt, tai ei kertonut. Pitkäköhän nenä sillä oli jäykkänä? Le fait que le personnage historique, Savinien de Cyrano de Bergerac, aurait été homosexuel, et les rapports ambigus qu'entretiennent les trois personnages, permettent d'imaginer que le personnage de Cyrano éprouve des sentiments amoureux pour Christian. Jérôme Savary évoque cette éventualité parmi d'autres. Jean-François Gautier signale que l'on trouve de tout dans les interprétations dont celle de la psychanalyse de l'homosexualité. Cette question est aussi soulevée par Patrick Besnier. Ce sont tous pédé.
ellauri151.html on line 281: Dilthey a le premier noté l’importance d’un texte de jeunesse de Hegel et y a signalé comme une première esquisse de ce que sera plus tard «la conscience malheureuse». On sait quelle importance revient à la conscience malheureuse dans la Phénoménologie de Hegel, et plus tard encore dans la Philosophie de la Religion. Sous une forme abstraite la conscience malheureuse est la conscience de la contradiction entre la vie finie de l’homme et sa pensée de l’infini. « En pensant je m’élève à l’absolu en dépassant tout ce qui est fini, je suis donc une conscience infinie et en même temps je suis une conscience de soi finie et cela d’après toute ma détermination empirique... Les deux termes se cherchent et se fuient — je suis le sentiment, l’intuition, la représentation de cette unité et de ce conflit et la connexion de ces termes en conflit... je suis ce combat, je ne suis pas un des termes engagés dans le confit, mais je suis les deux combattants et le combat lui-même, je suis le feu et l’eau, qui entrent en contact et le contact et l’unité de ce qui absolument se fuit. » La conscience malheureuse qui dans la Phénoménologie trouve son incarnation historique dans le judaïsme et dans une partie du moyen âge chrétien est en effet la conscience de la vie comme du malheur de la vie. L’homme s’est élevé au-dessus de sa condition terrestre et mortelle ; il n’est plus que le conflit de l’infini et du fini, de l’absolu qu’il a posé en dehors de la vie, et de sa vie réduite à la finitude…
ellauri161.html on line 828: D´après Raïssa Maritain, la conversion de Léon Bloy doit beaucoup à Ernest Hello ; on trouve de nettes traces de son influence dans le Journal d´un curé de campagne de Georges Bernanos et dans l´exégèse biblique de Paul Claudel ; Henri Michaux le reconnaît également comme l´une de ses sources.
ellauri161.html on line 851:

Yleiset termit ja lausekkeet


ellauri161.html on line 912: Avec quelques frères de Chambéry, il fonde en 1778, la loge réformée écossaise de « La Sincérité », qui dépend du directoire écossais dont l'âme est Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824), disciple de Joachim Martinès de Pasqually. Il est reçu chevalier bienfaisant de la Cité Sainte sous le nom de eques Josephus a Floribus (ce surnom fait allusion aux fleurs de souci de ses armoiries). On retrouve dans son œuvre les enseignements de la maçonnerie : providentialisme, prophétisme, réversibilité des peines, etc. ; hautement investi dans la vie de cette société initiatique, à la veille du Convent de Wilhelmsbad (1782), il fait d'ailleurs parvenir à Jean-Baptiste Willermoz son célèbre Mémoire au duc de Brunswick. Il entretient par ailleurs une amitié avec Louis-Claude de Saint-Martin, pour lequel il avait une vive admiration, se faisant fort, disait-il, « de défendre en tous points l'orthodoxie », d'où son attrait pour le martinisme.
ellauri161.html on line 982: Ses études au lycée de Périgueux sont médiocres : retiré de l´établissement en classe de quatrième, il continue sa formation sous la direction de son père, qui l´oriente vers l´architecture. Bloy commence à rédiger un journal intime, s´essaie à la littérature en composant une tragédie, Lucrèce, et s´éloigne de la religion. En 1864, son père lui trouve un emploi à Paris, il entre comme commis au bureau de l´architecte principal de la Compagnie ferroviaire d´Orléans. Médiocre employé, Bloy rêve de devenir peintre et s´inscrit à l´École des beaux-arts. Il écrit ses premiers articles, sans toutefois parvenir à les faire publier, et fréquente les milieux du socialisme révolutionnaire et de l´anticléricalisme.
ellauri161.html on line 986: Bloy ottaa osaa bravuurina ranskalaisten häpeäsotaan 1870-71. Sitten aika toimetonta tunarointia, kunnes vanhemmat kuolevat, ja Bloy alkaa seukata ex-lutkan Anne Marie Roulén kaa, jonka se käännyttää, päinmakuultako selinmakuulle, ei selviä. Anna osoittautuu meedioxi, ja Bloy alkaa vakavammin sekoilla symbolien kaa. Lopulta Anna sekoaa ihan kokonaan ja joutuu pöpilään. Bloy alkaa kaveerata Huysmansin kaa ja tapailee Isle-Adamia. Se on kuin André Breton, joutuu aina kaverien kanssa hakauxiin. La mort de Barbey d´Aurevilly en avril 1889 puis celle de Villiers de l´Isle-Adam en août l´affectent profondément, tandis que son amitié avec Huysmans se fissure. Elle ne survivra pas à la publication de Là-Bas (1891), où Bloy se trouve caricaturé.
ellauri162.html on line 145: Par nécessité ou par goût, il est longtemps un adepte de la moto comme moyen de transport quotidien et cette pratique se retrouvera dans ses œuvres. Comme le curé de campagne, il sentait "la haute moto rouge, tout étincelante, ronfler sous moi comme un petit avion.".
ellauri162.html on line 228: Il ’était un garçon des forêts, travaillant la terre, le bois, la pêche, la chasse, toute cette culture que l’on retrouve dans ses livres. Il était flotteur de bois sur les rivières du nord, une sorte d’aristocratie de ces sans-domicile fixe.
ellauri162.html on line 280: Si c'était à refaire, je les mettrais en garde contre l'extrême légèreté avec laquelle ils se jettent à la tête d'un mauvais Français comme moi et pendant que j'y serais, une bonne fois, pour n'avoir plus à y revenir, pour ne plus me trouver dans le cas d'avoir à refuser d'aussi désirables faveurs, ce qui me cause nécessairement une grande peine, je les prierais qu'il voulussent bien, leur Légion d'honneur, se la carrer dans le train, comme aussi leurs plaisirs élyséens
ellauri172.html on line 625: Paha Mesnilgrand heittää vittuilumielessä Le Capentierin pystiä appelsiininkuorella. Sous la Restauration, au retour des Bourbons, il est exilé comme régicide, en 1816 : il trouve refuge à l'île de Guernesey, mais en est chassé par les autorités britanniques et revient de façon clandestine dans la Manche, se cachant dans le canton des Pieux. Après trois années de recherches, il est de nouveau arrêté, le 6 novembre 1819, sur dénonciation. Condamné à la prison à perpétuité, il meurt dans la prison du Mont-Saint-Michel, où il chantait les louanges de la famille royale et répondait comme servant à la messe tous les matins. Sa dépouille est décapitée et enterrée dans le cimetière d'Ardevon. Päätöntä touhua.
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri172.html on line 844: Le Curé de Tours, roman d'Honoré de Balzac, 1832, personnage de l'abbé François Birotteau qui est le frère aîné de César Birotteau. Dans le roman éponyme, il n'est encore que vicaire[8]. On le retrouve confesseur de Madame de Mortsauf dans Le Lys dans la vallée[9]. Dans Le Curé de Tours, il devient le souffre-douleur de Mademoiselle Gamard, sa logeuse et de son rival : l'abbé Troubert.
ellauri172.html on line 914: La Joie, roman de Georges Bernanos, 1929, où l'on retrouve l'abbé Cénabre.
ellauri192.html on line 121: Je perds le goût de la poésie. Je la trouve de plus en plus puérile, comparé aux austères travaux de la science; les plus grands génies littéraires me semblent des enfants auprès du génie scientifique, qui, au lieu d’imiter et de défigurer la nature sous prétexte de la transfigurer par l’idéal et l’humain, l’étreint corps à corps, telle qu’elle est, et lui ouvre, doigt par doigt, ses mains fermées pour en arracher des lambeaux de vérité.
ellauri203.html on line 206: En attendant la construction de leur nouvelle résidence (baptisée « palais Marie »), Maximilien et son épouse s'installent au palais d'Hiver. Ils y restent jusqu'en 1845 et c'est là que naissent leurs quatre premiers enfants, Alexandra, Marie, Nicolas et Eugénie. Après cette date, le couple peut enfin prendre son indépendance et Maximilien transfère ses collections de tableaux, d'armes et de minéraux en Russie. Une bonne partie d'entre elles se trouvent aujourd'hui au musée de l'Ermitage ou dans d'autres institutions du pays.
ellauri205.html on line 221: Mais rien de ce qu'ont produit les peuples d'Europe ne vaut le premier poème connu qui soit apparu chez l’un d'eux. Ils retrouveront peut-être le génie épique quand ils sauront ne rien croire à l'abri du sort, ne jamais admirer la force, ne pas haïr les ennemis et ne pas mépriser les malheureux. Il est douteux que ce soit pour bientôt.
ellauri210.html on line 1360: El monstruo es un ser complejo, no banal, que nos hace obtener resultados de nuestro yo profundo y oscuro, implica mutaciones pero también continuidades de sentido. Monsters have an interesting life, they don't work from 9 to 5. La subversion des images inattendues du corps féminin, sénile ou malade, se trouve particulièrment troublante chez Prassinos et Mansour. Como vemos, las dos autoras se sirven de un imaginario sórdido para expresar aquello que les duele.
ellauri221.html on line 93: Issue d'une famille modeste (son père Louis Betenfeld, violent et alcoolique, est ouvrier brasseur et sa mère Marie Lartisant domestique), Marthe Betenfeld a un frère et une sœur aînés, Camille et Jeanne. Elle est envoyée quelques années dans une institution catholique et son destin semble tout tracé : couturière, comme sa sœur aîné. Puis elle devient à Nancy apprentie culottière, à quatorze ans. Le métier ne l'enchantant guère, elle fugue de chez ses parents. Elle est interpellée pour racolage en mai 1905 par la Police des mœurs et ramenée chez ses parents. Elle fugue à nouveau à 16 ans et se retrouve à Nancy, ville avec une importante garnison militaire, où elle tombe amoureuse d'un Italien se disant sculpteur mais qui se révèle être un proxénète. Il l'envoie sur le trottoir, puis elle devient prostituée dans les « bordels à soldats » de Nancy. Devant effectuer plus de 50 passes par jour, elle tombe rapidement malade et contracte la syphilis. Renvoyée du bordel, dénoncée par un soldat pour lui avoir transmis la syphilis et fichée par la police (où elle est inscrite comme prostituée mineure le 21 août 1905), elle est contrainte de s'enfuir à Paris. Elle rentre dans un « établissement de bains » rue Godot-de-Mauroy (maison close d'un standing supérieur à ses anciennes maisons d'abattage) où elle rencontre, un soir de septembre 1907, Henri Richer, mandataire aux Halles. Le riche industriel l'épouse le 13 avril 1915. Elle fait alors table rase de son passé et devient une respectable bourgeoise de la Belle Époque dans son hôtel particulier de l'Odéon. Elle demande à être rayée du fichier national de la prostitution, ce qui lui est refusé.
ellauri266.html on line 447: Le roman raconte l’histoire de trois hommes qui explorent une planète lointaine très-similaire à la Terre, où les grands singes sont les espèces dominantes et intelligentes, alors que l´humanité est réduite à l’état animal. Le narrateur, Ulysse Mérou, est capturé par les singes et se retrouve enfermé dans un laboratoire. Prouvant son intelligence aux singes, il aide ensuite les scientifiques simiens à découvrir les origines de leur civilisation.
ellauri266.html on line 460: Le jour suivant, un grand tapage semble étourdir les humains de Soror qui fuient dans tous les sens. Sans trouver d’explication à cette agitation, le narrateur et Arthur Levain les suivent. Au bout de sa course, le narrateur s’arrête et découvre ce qui lui paraît un cauchemar3. Le tapage est en fait une partie de chasse où les chasseurs sont des singes et le gibier, des humains. Se trouvant sur la ligne de tir d’un gorille, le narrateur ne peut s’empêcher de remarquer l’élégance de sa tenue de chasse et son regard étincelant comme celui des humains sur la planète Terre. Ces singes semblent raisonnables et intelligents. Cependant, son compagnon Arthur, pris de terreur et tentant de s´enfuir, est tué sur-le-champ par le gorille. Le narrateur profite d’un petit instant de relâchement et s’enfonce dans les buissons. Mais il est capturé par un filet tendu pour attraper les fuyards.
ellauri266.html on line 468: Le narrateur commence à apprendre le langage simien. Profitant d’une visite de routine, il dessine à Zira des figures géométriques et les théorèmes qui en découlent, puis le Système solaire et celui de Bételgeuse, la trajectoire de son vaisseau et son origine, la Terre. Zira comprend son message et lui demande de garder le secret car Zaïus pourrait lui causer des problèmes. Zira commence à apprendre le français et les deux peuvent communiquer facilement. Elle lui apprend comment les singes se sont développés sur cette planète alors que l’homme est resté à un stade d’animalité. Enfin, le narrateur retrouve l’air libre lorsque Zira l´amène en promenade, après trois mois d’enfermement, pour lui présenter Cornélius, son fiancé, un chimpanzé biologiste très intelligent et intuitif. Il se laisse tenir en laisse comme le lui a recommandé Zira et tente de dissimuler son intelligence. Zira lui apprend que Zaïus voulait le transférer à la division encéphalique pour pratiquer sur son cerveau des opérations délicates mais qu’elle l’en a empêché. Avec Cornélius, elle lui conseille de faire très attention et d´attendre le congrès des savants biologistes qui va se tenir dans les jours suivants où il sera présenté par Zaïus, pour révéler son secret.
ellauri266.html on line 470: Zira donne ensuite à Ulysse une lampe et des livres grâce auxquels il apprend le langage simien et découvre l’organisation de la société des singes, leur système politique et leur culture. Profitant des promenades avec Zira et des entrevues avec Cornélius, le narrateur prépare le discours qu’il doit présenter lors du congrès. La guenon lui fait visiter le parc zoologique où il découvre des animaux ressemblant à ceux de la Terre et des « humains », parmi lesquels il retrouve le professeur Antelle, qui a perdu la raison. Les deux premiers jours du congrès dont parlait Zira sont consacrés aux théories. Le troisième jour, Zaïus présente le narrateur qui en profite pour exposer son cas dans le langage simien provoquant l’étonnement général des singes savants et des journalistes. Pressé par l´opinion publique, le congrès décide à contrecœur de libérer le narrateur et destitue Zaïus de ses fonctions. Mais Ulysse sait qu´il représente toujours une menace pour la civilisation simiesque.
ellauri266.html on line 476: Après avoir été nommé directeur de l’Institut des recherches biologiques, Cornélius désigne Ulysse comme son collaborateur et l’amène sur un site archéologique daté de plus de dix mille ans. Cornélius espère y trouver des indices sur l’origine des singes et de leur civilisation car ils ne savent absolument rien au-delà de dix mille ans d´histoire, période depuis laquelle ils ont très peu évolué. Cornélius y découvre une poupée d´apparence humaine habillée et parlante, confirmant son pressentiment selon lequel les humains avaient régné en maîtres sur leur planète avant les singes.
ellauri266.html on line 480: Cornélius présente Ulysse à Hélius, le directeur de la division encéphalique, qui lui fait visiter son service dont le « clou » est une salle où, par des stimulations électriques infligées à même le cerveau, il fait remonter la « mémoire de l´espèce» à des cobayes humains qui retrouvent ainsi l´usage de la parole et racontent comment les singes ont pris le pouvoir sur la planète et comment ils ont réussi à domestiquer les humains.
ellauri316.html on line 243: Tonnerre de Brest est une expression populaire qui trouve son origine dans un événement climatique exceptionnel qui s'est déroulé en Bretagne en 1718. Il a été connu du monde scientifique un siècle durant, avant d'apparaître pour la première fois en 1835 dans le monde littéraire.
xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
xxx/ellauri176.html on line 168: Quelque estime que l'on ait pour Franju, il faut constater son échec. Si La Faute de l'abbé Mouret n'est pas un des meilleurs Rougon Macquart, le roman ne manquait ni de puissance, ni de poésie. Dans le film, on se trouve en face d'un anticléricalisme primaire dont la puissance, parfois ressentie au travers du personnage d'Archangias, est en partie désamorcée par des allusions aux faits actuels. Comment croire qu'Archangias borné, fanatique, puisse imaginer l'existence future des prêtres ouvriers, de la messe en français ? La violence du frère, la douceur évangélique de Serge deviennent ainsi schématiques, concertées.
xxx/ellauri202.html on line 229: Conservateur en esthétique, mais progressiste en politique, France trouve dans l'affaire Dreyfus son Histoire contemporaine (l'Orme du mail, 1897 ; le Mannequin d'osier, 1897 ; l'Anneau d'améthyste, 1899 ; Monsieur Bergeret à Paris, 1901). Il a aussi prêté sa plume aux diverses manifestations de la gauche militante. (Académie française, 1896 ; prix Nobel 1921).
xxx/ellauri376.html on line 631: Phryné le trouve dans son coffre !
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