ellauri055.html on line 140: Du point de vue liturgique, la méditation dans les temples est accompagnée de lectures choisies dans les textes sacrés des autres religions. Ces textes — par exemple le Pentateuque des juifs, le Nouveau Testament des chrétiens, le Coran des musulmans, le Bayān des babis, etc. — ont annoncé successivement, par paliers de perfection croissante, l’incessante révélation divine ou message de Dieu. En ce sens, le livre sacré liant tous les textes sur la révélation qui le précèdent est logiquement le dernier dans l’ordre chronologique, à savoir le Kitāb-i Aqdas (« Le plus saint livre »). Il a été rédigé vers 1873 par Bahāʾ-Allāh et est complété par différentes tablettes (lawḥ) révélées ensuite ; pour les baha’is, c’est le texte de référence bien qu’il ne soit pas plus important que les autres, ni le livre le plus lu par les baha’is eux-mêmes sur la foi. Le livre ne fut d’ailleurs accessible que très tard aux croyants occidentaux puisque la première traduction officielle en anglais date de 1992.
ellauri144.html on line 651: apporte son soutien pour la traduction de ses travaux et leur diffusion à
ellauri152.html on line 574: Ce mythe, qui paraît fort ancien et dont certains érudits vont chercher l'origine jusque dans l'Inde bouddhique, se précise à partir du xiiie siècle dans l'Historia major du bénédictin anglais Matthieu Pâris. sous diverses formes. C'est dans les pays de langue allemande que la figure d'Ahasvérus connaît la plus grande faveur, à la suite d'une version de la légende due à Chrysostomus Dudulaeus qui présente l'aventure du « Juif éternel » (1602) comme un récit quasiment autobiographique. La traduction française de ce livre imposera l'expression « Juif errant » (1609). Dès lors, la légende se répand par l'imagerie populaire et les estampes, les complaintes, dont la plus célèbre est celle d'Isaac Laquedem. Le Juif errant, qui personnifie le destin du peuple juif depuis le christianisme, a inspiré de nombreux écrivains : Wordsworth, Goethe, Eugène Sue, Apollinaire. Cette figure légendaire n'a cessé d'alimenter, à l'encontre des Juifs, une dangereuse satire sociale. Elle est, pour une part, responsable de la genèse de l'agitation antisémite des temps modernes. Pour en savoir plus, voir l'article antisémitisme.
ellauri161.html on line 825: Outre ses traductions qui ont fait connaître en France les mystiques rhénans, ses œuvres majeures sont L'Homme, Physionomies de saints et Paroles de Dieu.
ellauri205.html on line 164: La traduction des passages cités dans L'Iliade est nouvelle. Chaque ligne traduit un vers grec; les rejets et enjambements sont scrupuleusement produits; l'ordre des mots grecs à l'intérieur de chaque vers est respecté autant que possible.
ellauri419.html on line 359: L’ouvrage comptait cent pages de traduction et deux cents pages originales. Joka painoxeen (paizi viimeiseen) tuli lisää vittuiluja.
xxx/ellauri128.html on line 112: Andreas Capellanus, appelé en français par une traduction de son nom André le Chapelain, a écrit au XIIe siècle un traité intitulé ordinairement De Amore, et souvent traduit, de façon quelque peu fautive, Traité de l'Amour courtois, bien que son ton réaliste, voire cynique indique que, dans une certaine mesure, il se veut un antidote à l'amour courtois. On ne sait rien de la vie d'André le Chapelain, mais on suppose qu'il faisait partie de la cour de Marie de France, et qu'il était probablement d'origine française. On a soutenu que De Amore codifie la vie sociale et sexuelle de la cour d'Aliénor à Poitiers, entre 1170 et 1174, mais il a été manifestement écrit au moins dix ans plus tard et, semble-t-il, à Troyes. Il traite de plusieurs thèmes spécifiques qui faisaient l'objet d'un débat poétique entre troubadours et trobairitz à la fin du XIIe siècle.
xxx/ellauri129.html on line 603: Elle est renommée pour sa traduction en français des Principia Mathematica de Newton, qui fait encore autorité aujourd'hui. Elle a aussi contribué à diffuser en France l'œuvre physique de Leibniz, notamment en prouvant expérimentalement sa théorie selon laquelle l'énergie cinétique (appelée à l'époque « force vive ») est proportionnelle à la masse et au carré de la vitesse.
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