A cet impulsif, dénué de toute volonté, de tout esprit de suite,
ellauri033.html on line 191:
Extérieure et pittoresque, elle est toute en reflets et en miroitements.
ellauri033.html on line 221:
Ce qu´il y a de plus vrai dans toute leur œuvre, c´est ce qui relève de
ellauri033.html on line 245: Cette écriture-là, toute cahotante et trépidante, déconcerte le lecteur
ellauri033.html on line 351: consciencieusement toutes les maladies de l´ame contemporaine. Ces
ellauri033.html on line 1115: Selon sa généalogie, Villiers de L´Isle-Adam appartient à l´ancienne et illustre famille des Villiers, seigneurs de l´Isle-Adam : toutefois, cette généalogie présente des trous qui, de son vivant déjà, ont provoqué des doutes, renforcés en 1928 par un article de Max Prinet paru au Mercure de France. D´après lui, il descend d´une famille de la noblesse de robe parisienne, et son premier ancêtre certain est un Jean de Villiers, procureur des comptes au début du XVIIe siècle. Un autre Jean de Villiers, petit-fils du précédent, s´établit en Bretagne et devient le premier à ajouter à son nom le nom de la terre de « L´Isle-Adam » et à prétendre ainsi à une parenté imaginaire avec les seigneurs de L´Isle-Adam.
ellauri036.html on line 248: Où tous nos monuments et toutes nos croyances
ellauri036.html on line 441: Elle dort toute nue et la main sur son cœur.
ellauri036.html on line 692: Et le vent qui frémit, et toute la nature
ellauri036.html on line 947: Ne sont-elles pas là dans toute leur fraîcheur?
ellauri049.html on line 903: Mais dans leur nuit toute lourde de marbres, Mutta niiden marmorin painamassa yössä
ellauri055.html on line 109: Il faut cependant noter que les décisions de la Maison Universelle de Justice, ainsi que les exégèses des écrits sacrés faites par ʿAbd-al-Bahāʾ et Shoghi Effendi, bénéficient d’une autorité s’imposant à tous les baha’is. Ce qui a conduit depuis les années 1980-1990 à ce que plusieurs intellectuels et universitaires, historiens ou sociologues, soient chassés de la communauté baha’ie pour leurs vues jugées divergentes sur des questions-clefs (l’exclusion des femmes de la Maison universelle de justice ; l’obligation de soumettre toute publication, même universitaire, à un comité de censure ; l’homosexualité ; un système électoral qui favorise les sortants ; l’interdiction de participer à un parti politique ou d’adhérer à une organisation comme Amnesty International, etc., et surtout le sujet central de l’infaillibilité des institutions).
ellauri055.html on line 113: Refus des préjugés de toutes sortes (savoir si le refus de l'homosexualité en fait partie est un point de débat).
ellauri058.html on line 954: Dans les romans, il apparaît comme ayant entre 45 et 60 ans. Quand Simenon crée son personnage il lui donne entre 40 et 45 ans et comme il pensait que de toute manière son commissaire devait prendre sa retraite à 55 ans, on peut estimer que le commissaire à la retraite qui apparaît dans le roman Maigret a un peu plus de 55 ans.
ellauri063.html on line 272: Tän kirjan lukeminen on samanlainen korpivaellus kuin Hesarin nykyisten sanaristikoiden ratkaisu. Puolet sanoista on hämäriä teeveestä tuttuja tarpeettomia julkkuja, puolet kummasti väänneltyjä sanoja, jollaisia ei ennen olisi ristikkoihin edes huolittu. Vihjeellä öttyt
vastaus on aniaL
, fosforikolikko
on Praha
. Lapsellista pelleilyä. Ja selityskin on sama: hakukone. Ei voi enää laittaa vihjeitä jotka perustuu sivistyneen ihmisen yleistietouteen, koska google hakkaa sen molemmat kädet selän takana. Täytyy keekoilla, muuten on tekoäly voittaja. Ja tekoäly voittaa sittenkin loppupeleissä. Mä en ala mitään. Esim.
ellauri096.html on line 710: La reconnaissance de Frantz Fanon en France fut tardive. Fort-de-France possède désormais une avenue à son nom bien que la proposition qu´en avait faite son maire Aimé Césaire, en 1965, eût été rejetée pendant des années. Il faut attendre 1982 pour que s´organise, sous l´impulsion de Marcel Manville, un mémorial international (colloque) en son honneur en Martinique. Peu à peu, plusieurs hommages lui sont rendus dans son île natale. Le lycée de La Trinité est baptisé en son honneur, la ville de Rivière-Pilote lui consacre une avenue et une bibliothèque. En France métropolitaine toutefois, s´il existe de nombreuses rues portant ce nom, David Macey signale n´avoir trouvé aucune avenue Frantz Fanon. En Algérie, dès 1963, une avenue Frantz Fanon est inaugurée à Alger. La reconnaissance dépasse désormais ces deux pays et la mémoire de Frantz Fanon est honorée dans de nombreux pays (Italie, Nigeria, États-Unis) où des centres de recherche ont été baptisés à sa mémoire.
ellauri097.html on line 258: Julien Green est né à Paris, 4, rue Ruhmkorff, de parents américains, descendant du côté de sa mère du sénateur et représentant démocrate de la Géorgie au congrès américain Julian Hartridge (en) (1829-1879) et dont Julien Green porte le prénom (Green a été baptisé « Julian » ; l'orthographe a été changée en « Julien » par son éditeur français dans les années 1920). Il grandit dans le 16e arrondissement de Paris, puis au Vésinet et passe ses vacances dans la commune d'Andrésy, dans les Yvelines. Il poursuit toutes ses études en France au lycée Janson-de-Sailly. Sa mère, protestante pieuse et aimante, meurt alors qu'il a 14 ans, et la famille déménage rue Cortambert, à Paris. Il se convertit au catholicisme en 1916, à la suite de son père et de toutes ses sœurs, ainsi qu'il le raconte dans Ce qu'il faut d'amour à l'homme, son autobiographie spirituelle. Il abjure l'anglicanisme à la crypte de la chapelle des sœurs de la rue Cortambert. Âgé de seulement 17 ans, Julian Green réussit à rejoindre les rangs de la Croix-Rouge américaine, puis est détaché dans l’artillerie française en 1918 en tant que sous-lieutenant et sert en Italie. Démobilisé en mars 1919, il se rend pour la première fois aux États-Unis en septembre de la même année et effectue trois ans d'études à l’université de Virginie, où il éprouve un premier amour chaste et secret pour un camarade d'études. Il écrit son premier livre en anglais, avant de revenir vivre en France.
ellauri102.html on line 437: « Vous êtes des femmes, vous allez devenir des ingénieures. Vous n'êtes toutes qu'un tas de féministes, je hais les féministes. »
ellauri102.html on line 443: Il recharge son arme et se rend, à nouveau, à l'avant de la classe, tirant par intermittence dans toutes les directions. À ce moment, Maryse Leclair, blessée, demande de l'aide. Lépine avance vers elle et, après avoir dégainé son couteau de chasse, la poignarde à trois reprises, l'achevant. Il enlève alors sa casquette, entoure son arme de son manteau, et s'exclame : « Oh, shit! », avant de se suicider d'une balle dans la tête, une vingtaine de minutes après avoir commencé son massacre.
ellauri107.html on line 422: George F. Babbitt was an archetype of the American city dwellers who touted the virtues of Republicanism, Presbyterianism, and absolute conformity because "it is not what he feels and aspires that moves him primarily; it is what the folks about him will think of him. His politics is communal politics, mob politics, herd politics; his religion is a public rite wholly without subjective significance." Mencken said that Babbitt was the literary embodiment of everything wrong with American society.
ellauri109.html on line 449: Lamartine (1790-1869), bête noire, permet de détourner en partie et de crypter la critique virulente que Flaubert adresse à l’écriture femelle. Lamartine, auteur féminin entre toutes les femmes, permet à Flaubert de poursuivre sa guerre misogyne. Le procès que Flaubert intente à la poésie du premier romantisme se fonde donc massivement sur la haine du féminin.
ellauri118.html on line 795: Sanoo Maija Mäkelä, joka on frankofiili. Anglisti Monika Fludernik peukutti Aphra Behniä. Kai sit pitää kazoa myös tota Prinsessa Cleveä, jonka kirjoitti Madame de La Fayette. Madame de La Fayette, oik. Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, kreivitär de La Fayette, (18. maaliskuuta 1634 Pariisi - 25. toukokuuta 1693 Pariisi) oli ranskalainen kirjailija. Hän kirjoitti romaanin La Princesse de Clèves (suom. Clèvesin ruhtinatar), joka oli Ranskan ensimmäinen historiallinen romaani ja kirjallisuuden historian ensimmäisiä psykologisia romaaneja. Magdaleena oli aika viriilin näköinen. Kuin myös sen kamu Madeleine de Scudéry, molemmat presiöösin tyylisuunnan viirikukkoja (tai kanoja). Olikohan ne kaikki lepakoita? Cohérente avec elle-même, Mlle de Scudéry est d´ailleurs restée célibataire toute sa vie. Mikä ei ollutkaan aivan vähän, se eli 94-vuotiaaxi.
ellauri131.html on line 531: Manifestointi räjähti länsimaisen yleisön tietouteen juuri australialaisen tv-tuottajan ja kirjailijan Rhonda Byrnen myötä. Kun Salaisuus-niminen teos ilmestyi vuonna 2006, amerikkalainen Oprah Winfrey esitteli sen supersuositussa talk show’ssaan, joka on ollut lukemattomille kirjoille takuuvarma tie huippumyynteihin. Miljardööri Winfrey on itsekin kertonut uskovansa manifestointiin.
ellauri131.html on line 744: Canadian prime minister Kevin Trudeau earned untold millions through his "They Don't Want You To Know About" series of infomercials touting his supposed secret knowledge of natural cures, debt relief, and weight loss techniques. And though he earned the allegiance of many followers who believed his claims, a federal jury found him guilty of criminal contempt in 2013, for "lying in several infomercials about the contents of his hit book, The Weight Loss Cure 'They' Don't Want You to Know About," according to The Chicago Tribune. Trudeau repeatedly touted the methods in the book as "easy," except unwitting customers didn't find out until they plunked down cash that it involved "prolonged periods of extreme calorie restriction, off-label skin-syringe injections and high-colonic enemas personally administered by Mr. Trudeau," according to ABC News.
ellauri145.html on line 81: Apres un autre manifeste contre le Stalinisme avec Camus, Gide, Hemingway et Huxley, il cosigne dans Le Libertaire une « Déclaration préalable » au manifeste « Surréalisme et anarchisme » : « La lutte pour le remplacement des structures sociales et l’activité déployée par le surréalisme pour transformer les structures mentales, loin de s’exclure, sont complémentaires. Leur jonction doit hâter la venue d’un âge libéré de toute hiérarchie et toute contrainte. »
ellauri145.html on line 443: Ne se payerait pas avec toutes les sommes. Ei ole kaupan, ei sillä ole hintaa.
ellauri145.html on line 699: Là-bas did strike a serious blow to the public’s conception of Naturalism. The novel, which opens with a two-page invective against Naturalism, was serialized in L’Echo de Paris, beginning on February 16, 1891. Huysmans’s protagonist, Durtal, feebly defends himself against his friend, Des Hermies, who maligns Naturalism as “du cloportisme” (siiramaisuudesta) while accusing it of having sold out: “Il a vanté l’américanisme nouveau des moeurs, abouti à l’éloge de la force brutale, à l’apothéose du coffre-fort. Par un prodige d’humilité, il a révéré le goût nauséeux des foules, et, par cela même, il a répudié le style, rejeté toute pensée altière, tout élan vers le surnaturel et l’au-delà...” (XII, 1, 6-7).
ellauri145.html on line 1026: Elle pourrait épater toute Se voisi ällistyttää koko katolista
ellauri146.html on line 487: Mais il n’a pas encor fini toute sa tâche. Mutta ei siinä vielä kaikki!
ellauri150.html on line 265: De proportions toutes menues, très bien habillée, séduisante, agacinante, elle avait des manières mignardes, précieuses, niaisottes ; elle jouait la fillette, se balançant deux heures dans son fauteuil à bascule, poussant des petits cris, des :
ellauri150.html on line 269: à table, battant des mains, quand il y avait un plat qu’elle aimait ; au salon, grillant des cigarettes, affectant, devant les hommes, une affection exubérante pour ses amies, se jetant à leur cou, leur caressant la main, leur chuchotant à l’oreille, disant des ingénuités, disant aussi des méchancetés, admirablement, d’une voix douce et frêle, qui savait même, à l’occasion, dire des choses très lestes, sans avoir l’air d’y toucher, qui savait encore mieux en faire dire, — l’air candide d’une petite fille bien sage, les yeux brillants, aux paupières lourdes, voluptueux et sournois, qui regardaient de côté, malignement, guettant tous les potins, happant toutes les polissonneries de la conversation, et tâchant de pêcher çà et là quelque cœur à la ligne.
ellauri150.html on line 273: Mais Colette était trop fine pour ne pas sentir qu’avec Christophe toutes ses grâces étaient perdues, et trop souple pour ne pas s’adapter instantanément à ses façons d’être. Elle n’avait même pas besoin de s’appliquer pour cela. C’était un instinct de sa nature. Elle était femme. Elle était comme une onde sans forme. Toutes les âmes qu’elle rencontrait lui étaient comme des vases, dont, par curiosité, par besoin, sur-le-champ, elle épousait les formes. Pour être, il fallait toujours qu’elle fût un autre. Toute sa personnalité, c’était qu’elle ne le restait pas. Elle changeait de vases, souvent.
ellauri150.html on line 277: Elle faisait de la musique, comme la plupart des jeunes filles oisives d’à présent. Elle en faisait beaucoup et peu. C’est-à-dire qu’elle en était toujours occupée, et qu’elle n’en connaissait presque rien. Elle tripotait son piano, toute la journée, par désœuvrement, par pose, par volupté. Tantôt elle en faisait, comme du vélocipède. Tantôt elle pouvait jouer bien, très bien, avec goût, avec âme, — (on eût presque dit qu’elle en avait une : il suffisait, pour cela, qu’elle se mît à la place de quelqu’un qui en avait une). — Elle était capable d’aimer Massenet, Grieg, Thomé, avant de connaître Christophe. Mais elle était aussi capable de ne plus les aimer, depuis qu’elle connaissait Christophe. Et maintenant, elle jouait Bach et Beethoven très proprement, — (ce qui, à la vérité, n’est pas beaucoup dire) ; — mais le plus fort, c’était qu’elle les aimait. Au fond, ce n’était ni Beethoven, ni Thomé, ni Bach, ni Grieg, qu’elle aimait : c’étaient les notes, les sons, ses doigts qui couraient sur les touches, les vibrations des cordes qui lui grattaient les nerfs comme autant d’autres cordes, son épiderme chatouillé.
ellauri151.html on line 210: 12. maalisk., S. 92, Juran juurella, kansikuvan esittämässä paikassa, vaikka vähälumisemmassa, pastori vihdoin näyttää Kertulle mitä sillä on viitan sisällä, dans toute sa gloire, juhlakunnossa. Kertun virsikirja on sopivasti levällään. Eikun laulamaan.
ellauri151.html on line 282: Dilthey a le premier noté l’importance d’un texte de jeunesse de Hegel et y a signalé comme une première esquisse de ce que sera plus tard «la conscience malheureuse». On sait quelle importance revient à la conscience malheureuse dans la Phénoménologie de Hegel, et plus tard encore dans la Philosophie de la Religion. Sous une forme abstraite la conscience malheureuse est la conscience de la contradiction entre la vie finie de l’homme et sa pensée de l’infini. « En pensant je m’élève à l’absolu en dépassant tout ce qui est fini, je suis donc une conscience infinie et en même temps je suis une conscience de soi finie et cela d’après toute ma détermination empirique... Les deux termes se cherchent et se fuient — je suis le sentiment, l’intuition, la représentation de cette unité et de ce conflit et la connexion de ces termes en conflit... je suis ce combat, je ne suis pas un des termes engagés dans le confit, mais je suis les deux combattants et le combat lui-même, je suis le feu et l’eau, qui entrent en contact et le contact et l’unité de ce qui absolument se fuit. » La conscience malheureuse qui dans la Phénoménologie trouve son incarnation historique dans le judaïsme et dans une partie du moyen âge chrétien est en effet la conscience de la vie comme du malheur de la vie. L’homme s’est élevé au-dessus de sa condition terrestre et mortelle ; il n’est plus que le conflit de l’infini et du fini, de l’absolu qu’il a posé en dehors de la vie, et de sa vie réduite à la finitude…
ellauri151.html on line 353: "Olen alkoholistikynäilijä perseestä ja kynäilen muistakin vaikeista olosuhteista, ja luulin, että onttouteni liittyy siihen. Kaikki avautui eri tavalla, kun tajusin olevani B-kastin kirjailijan lisäxi erityisherkkä käsiase, puoliautomaattinen vesipistooli", kirjailija Anja Snellman kertoo. "Saskan viiden piston jälkeen saatoin laueta omin käsin jopa kuudesti."
ellauri161.html on line 899: Blanc de Saint-Bonnet, Louis de Bonald, Karl Ludwig von Haller, Donoso Cortés, Comte, Rosmini, Barbey d'Aurevilly, Bloy, Maurras, Bernanos, Charles Baudelaire, Boutang, Schmitt, René Girard, René Guénon et toute la tradition contre-révolutionnaire et catholique traditionaliste.
ellauri161.html on line 933: Si Jean-Jacques Rousseau s'accordait également à dire que la religion était nécessaire au corps politique, il rejetait en revanche le christianisme comme étant ennemi de la république. Chez Joseph de Maistre, à l'inverse, la religion chrétienne est la plus adaptée, car elle soutient parfaitement la monarchie et se base sur la tradition, sans laquelle il est impossible que soit fondée une religion. Or, la monarchie est elle-même le régime politique le plus adapté : comme il l'affirme dans ses Considérations sur la France, la monarchie est un équilibre qui s'est constitué au fil de l'histoire. C'est un régime tempéré mais fort, et qui ne tend pas, selon lui, vers la violence, à l'inverse de la république qu'il voit comme un régime déséquilibré et instable. De plus, la monarchie est le régime qui respecte le plus ce qu'il considère comme un fait naturel : à savoir l'inégalité entre les hommes, que la monarchie intègre dans son organisation, et qui est relativisée grâce à l'égalité de tous dans leur assujettissement au roi. Pour Joseph de Maistre, la république y substitue une égalité utopique, qui ne prend pas en compte la véritable nature de l'Homme. Car ce dernier doit vivre en société, et toute société doit être structurée autour d'une hiérarchie, ce qui justifie donc l'existence d'ordres dans la société.
ellauri161.html on line 936: Joseph de Maistre eut également une postérité à la fois plus spirituelle et plus littéraire, via plusieurs auteurs qu'il influença considérablement : Honoré de Balzac, mais surtout Charles Baudelaire (par exemple dans ses poèmes Correspondances ou Réversibilité), Antoine Blanc de Saint-Bonnet, Jules Barbey d'Aurevilly et Ernest Hello, lesquels ont marqué ensuite toute la littérature catholique du XXe siècle - de Léon Bloy, Bernanos et Paul Claudel jusqu'à Marc-Edouard Nabe. Sans oublier Léon Tolstoï, notamment dans La Guerre et la Paix. Wauzi wauz, tässäpä jäbässä on paxulti pahaa vettä salaliittoteoristien myllyyn!
ellauri161.html on line 982: Ses études au lycée de Périgueux sont médiocres : retiré de l´établissement en classe de quatrième, il continue sa formation sous la direction de son père, qui l´oriente vers l´architecture. Bloy commence à rédiger un journal intime, s´essaie à la littérature en composant une tragédie, Lucrèce, et s´éloigne de la religion. En 1864, son père lui trouve un emploi à Paris, il entre comme commis au bureau de l´architecte principal de la Compagnie ferroviaire d´Orléans. Médiocre employé, Bloy rêve de devenir peintre et s´inscrit à l´École des beaux-arts. Il écrit ses premiers articles, sans toutefois parvenir à les faire publier, et fréquente les milieux du socialisme révolutionnaire et de l´anticléricalisme.
ellauri162.html on line 162: Convaincu que le monde moderne est une « conspiration contre toute espèce de vie intérieure », il y dénonce « la dépossession progressive des États au profit des forces anonymes de l’Industrie et de la Banque, cet avènement triomphal de l’argent, qui renverse l’ordre des valeurs humaines et met en péril tout l’essentiel de notre civilisation ».
ellauri162.html on line 228: Il ’était un garçon des forêts, travaillant la terre, le bois, la pêche, la chasse, toute cette culture que l’on retrouve dans ses livres. Il était flotteur de bois sur les rivières du nord, une sorte d’aristocratie de ces sans-domicile fixe.
ellauri162.html on line 255: Arton tunsivat aivan kaikki myöskin ympäri Suomen maan. Arton était également connu de tous dans toute la Finlande.
ellauri164.html on line 110: Bah ! faisons toutes les grimaces imaginables.
ellauri164.html on line 480: "Petyin parapsykologiaankin. Vainajat joiden väitettiin ruumiillistuvan istunnoissa puhuivat yhtä typeriä kuin elävät. Vain mieletön uskoi niiden aitouteen." Niinpä juuri Iisakki! Se on ongelmana kaikissa uskonnoissakin. Niiden jumalat ovat ja puhuvat yhtä typeriä kuin apinat.
ellauri172.html on line 66: C'est fait, Dieu vient régner, de toute prophétie Se on siinä, Herran vuoro hallita, ennustus
ellauri172.html on line 70: Du pré, du bois, du champ, presque de toutes places Niityltä, mezästä, pellolta, joka paikasta
ellauri172.html on line 88: Les cendres des brûlés volent de toutes parts ; Palaneiden tuhkaa tuhahtelee ilma täynnä;
ellauri172.html on line 318: Au point de vue physique, nous l’avons vu, c’est un besoin individuel que d’engendrer un autre individu, si bien que cet autre devient comme une condition de nous-même. La vie, comme le feu, ne se conserve qu’en se communiquant. Et cela est vrai de l’intelligence non moins que du corps ; il est aussi impossible de renfermer l’intelligence en soi que la flamme : elle est faite pour rayonner. Même force d’expansion dans la sensibilité : il faut que nous partagions notre joie, il faut que nous partagions notre douleur. C’est tout notre être qui est sociable : la vie ne connaît pas les classifications et les divisions absolues des logiciens et des métaphysiciens : elle ne peut pas être complètement égoïste, quand même elle le voudrait. Nous sommes ouverts de toutes parts, de toutes parts envahissants et envahis. Cela tient à la loi fondamentale que la biologie nous a fournie : La vie n’est pas seulement nutrition, elle est production et fécondité. Vivre, c’est dépenser aussi bien qu’acquérir.
ellauri172.html on line 324: Le second équivalent, nous l’avons trouvé dans la théorie des idées-forces soutenue par un philosophe contemporain : l’idée même de l’action supérieure, comme celle de toute action, est une force tendant à la réaliser. L’idée est même déjà la réalisation commencée de l’action supérieure ; l’obligation n’est, à ce point de vue, que le sentiment de la profonde identité qui existe entre la pensée et l’action ; c’est par cela même le sentiment de l’unité de l’être, de l’unité de la vie. Celui qui ne conforme pas son action à sa plus haute pensée est en lutte avec lui-même, divisé intérieurement. Sur ce point encore l’hédonisme est dépassé ; il ne s’agit pas de calculer des plaisirs, de faire de la comptabilité et de la finalité : il s’agit d’être et de vivre, de se sentir être, de se sentir vivre, d’agir comme on est et comme on vit, de ne pas être une sorte de mensonge en action, mais une vérité en action.
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 627: Non, si je la quittai, ce fut pour une raison de dégoût moral, de fierté pour moi, de mépris pour elle, pour elle qui, au plus fort des caresses les plus insensées, ne me faisait pas croire qu’elle m’aimât… Quand je lui demandais : M’aimes-tu ? ce mot qu’il est impossible de ne pas dire, même à travers toutes les preuves qu’on vous donne que vous êtes aimé, elle répondait : « Non ! » ou secouait énigmatiquement la tête. Elle se roulait dans ses pudeurs et dans ses hontes, et elle restait là-dessous, au milieu de tous les désordres de sens soulevés, impénétrable comme le sphinx. Seulement, le sphinx était froid, et elle ne l’était pas… Mikä Katariina Suuri sekin oli olevinaan!
ellauri172.html on line 635: Quand cet enfant mourut, car il mourut quelques mois après sa naissance, le major eut un chagrin très exalté, un chagrin à folies, et on n’en rit pas dans le régiment. Pour la première fois, l’antipathie dont il était l’objet se tut. On le plaignit beaucoup plus que la mère qui, si elle pleura sa géniture, n’en continua pas moins d’être la Rosalba que nous connaissions tous, cette singulière catin arrosée de pudeur par le Diable, qui avait, malgré ses mœurs, conservé la faculté, qui tenait du prodige, de rougir jusqu’à l’épine dorsale deux cents fois par jour ! Sa beauté ne diminua pas. Elle résistait à toutes les avaries. Et, cependant, la vie qu’elle menait devait faire très vite d’elle ce qu’on appelle entre cavaliers une vieille chabraque, si cette vie de perdition avait duré. »
ellauri172.html on line 647: À moitié couchée sur un guéridon, elle écrivait… Or, si elle écrivait, la Pudica, c’était, pas de doute ! à quelque amant, pour quelque rendez-vous, pour quelque infidélité nouvelle au major Ydow, qui les dévorait toutes, comme elle dévorait le plaisir, en silence. Lorsque j’entrai, sa lettre était écrite, et elle faisait fondre pour la cacheter, à la flamme d’une bougie, de la cire bleue pailletée d’argent, que je vois encore, et vous allez savoir, tout à l’heure, pourquoi le souvenir de cette cire bleue pailletée d’argent m’est resté si clair.
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri172.html on line 692: Satan me donna la force d’enfoncer la porte du placard ou j'etsis cache et je vis… ce que je ne reverrai jamais ! La Pudica, terrassée, était tombée sur la table où elle avait écrit, et le major l’y retenait d’un poignet de fer, tous voiles relevés, son beau corps à nu, tordu, comme un serpent coupé, sous son étreinte. Mais que croyez-vous qu’il faisait de son autre main, Messieurs ?… Cette table à écrire, la bougie allumée, la cire à côté, toutes ces circonstances avaient donné au major une idée infernale, — l’idée de cacheter cette femme, comme elle avait cacheté sa lettre — et il était dans l’acharnement de ce monstrueux cachetage, de cette effroyable vengeance d’amant perversement jaloux !
ellauri192.html on line 209: Car sur toute la terre un messager subtil Sillä kaikkialta maan päältä hieno mese
ellauri205.html on line 166: Presque toute l'Iliade se passe loin des bains chauds. Quel dommage. Moi, j'aime les bains chauds. Presque toute la vie humaine s’est toujours passée loin des bains chauds.
ellauri205.html on line 182: Il faut, pour respecter la vie en autrui quand on a dû se mutiler soi-même de toute aspiration à vivre, un effort de générosité à briser le cœur. On ne peut supposer aucun des guerriers d'Homère capable d’un tel effort.
ellauri205.html on line 246: dans une passion illégitime dont elle a horreur toute la première; elle
ellauri206.html on line 252: IL fréquente le salon de Charles Buet, où il rencontre Jules Barbey d'Aurevilly, Joris-Karl Huysmans, François Coppée, Léon Bloy, Laurent Tailhade et autres cretins. Il rencontre Edmond de Goncourt, avec qui il restera lié jusqu'à la mort de ce dernier en 1896, et qui fut son principal protecteur. Edmond de Goncourt, dans la récente édition complète en 22 volumes du Journal des Goncourt, se montre curieux de toutes les questions sexuelles et particulièrement de l'homophilie. À partir de 1884, Edmond de Goncourt, jusque-là banalement réactionnaire, devient un antisémite enragé, Jésus l'a sauvé après 27 années d'homosexualité. Il se veut esthète et dandy en même temps qu'explorateur tapageux du vice et de la vulgarité, curieux assemblage qui verse souvent dans le pire mauvais goût, et qui lui vaut le mépris hautain de Robert de Montesquiou, dont Lorrain, pour sa part, fait volontiers sa tête de Turc pour sa prétention à l'élégance et à la chasteté. « Lorrain », écrit Léon Daudet dans ses Souvenirs, « avait une tête poupine et large à la fois de coiffeur vicieux, les cheveux partagés par une raie parfumée au patchouli, des yeux globuleux, ébahis et avides, de grosses lèvres qui jutaient, giclaient et coulaient pendant son discours. Son torse était bombé comme le bréchet de certains oiseaux charognards. Lui se nourrissait avidement de toutes les calomnies et immondices. »
ellauri206.html on line 458: « M. Gassendi ayant été toujours si curieux de chercher à justifier par les expériences la vérité des spéculations que la philosophie lui propose, et se trouvant à Marseille en l'an 1641 fit voir sur une galère qui sortit exprèz en mer par l'ordre de ce prince, qu'une pierre laschée du plus haut du mast, tandis que la galère vogue avec toute la vitesse possible, ne tombe pas ailleurs qu'elle ne feroit si la même galère étoit arrêtée et immobile. »
ellauri210.html on line 67: « Monsieur Gide n'a pas l'air d'un enfant d'amour, ni d'un éléphant, ni de plusieurs hommes : il a l'air d’un artiste ; et je lui ferai ce seul compliment, au reste désagréable, que sa petite pluralité provient de ce fait qu'il pourrait très aisément être pris pour un cabotin (komeljanttari). Son ossature n'a rien de remarquable ; ses mains sont celles d'un fainéant, très blanches, ma foi ! Dans l'ensemble, c'est une toute petite nature. »
ellauri210.html on line 394: « Monsieur Gide n'a pas l'air d'un enfant d'amour, ni d'un éléphant, ni de plusieurs hommes : il a l'air d’un artiste ; et je lui ferai ce seul compliment, au reste désagréable, que sa petite pluralité provient de ce fait qu'il pourrait très aisément être pris pour un cabotin (komeljanttari). Son ossature n'a rien de remarquable ; ses mains sont celles d'un fainéant, très blanches, ma foi ! Dans l'ensemble, c'est une toute petite nature. »
ellauri210.html on line 749: Jacques Pierre Vaché, né à L'Orient le 7 septembre 1895 et mort à 23 ans à Nantes le 6 janvier 1919, etait un wannabe écrivain et dessinateur français. Il n'a laissé pour toute œuvre qu'une série de lettres, quelques textes et quelques dessins. Le ton de son œuvre est volontairement provocateur, pacifiste voire anti-militariste, haine des bourgeois, des conventions et de l'armée. Quatre jeunes hommes faisaient paraître une revue ayant pour titre En route mauvaise troupe, en hommage à Paul Verlaine. Varmaan hinureita kaikki.
ellauri210.html on line 795: et toutes les biques du monde répandent leurs crottes dans l’égout Ja kaikki maailman ämmät levittää pökäleensä ällötyxeen
ellauri210.html on line 1150: Au cours de la guerre et jusqu'à la fin des années 1950, elle cesse de publier. Elle travaille dans des crèches, et co-traduit avec son mari Pierre Fridas plusieurs livres de Níkos Kazantzákis comme Alexis Zorba ou La Liberté ou la mort. Elle se remet ensuite à écrire, des poèmes et des romans, en opposition avec l'orthodoxie surréaliste. Ces textes sont toutefois inclassables. Brelin le frou, ou le portrait de famille (1975) décrit des personnages vivant selon des règles fantaisistes. Sur les dessins de l'auteur, ils ont la particularité de porter une coiffe à l'image de leur sexe. Les nouvelles de Mon cœur les écoute (1982) font montre d'un humour poétique proche de celui d'Henri Michaux ou de Joyce Mansour. Elle est également connue pour ses dessins et ses « tentures », des œuvres plastiques réalisées à l'aide de morceaux de tissu de couleur découpés.
ellauri210.html on line 1340: “L’univers mansourien est certes, à première lecture, un lieu intolérable, d’où émergent l’effroi, l’abjection, la cruauté, la pourriture et la mort sans rédemption, associés à toute une faune grouillante de vermine ou d’animaux porteurs de symboles néfastes, à l’instar de des serpents ou des rats” (ibid.). Ambas escritoras esconden terrores de la infancia. Gisèle Prassinos, al igual que Mansour, posee su propio universo, su bestiario particular donde pululan:
ellauri210.html on line 1342: Une population remarquable díversifiée de mollusques (escargots et vers de toutes formes et couleurs), de reptiles (couleuvres et serpents sans nom), de rongeurs ou arracheurs crée un climat anxiogène et menaçant. La matière est toute entière la proie de la morsure, de l’éventration, de l’étouffement ou de la souillure (op.cit., 1988).
ellauri260.html on line 177: En philosophie, parler d'être humain, en lieu et place du terme générique d'« homme », c'est emprunter la voie qui tente de répondre à « la question centrale en toute anthropologie telle qu'elle a été formulée par Emmanuel Kant, dans le sens où il se la posait, « Qu'est-ce que l'homme ? » « Was ist der Mensch? « Ach, Mensch, sanoivat saxalaiset turistit kun Aavasaxalla juhannuxena satoi lunta. Heidegger écrivait die Geschichte des Seins (la histoire des seins). Aber er war ein Naziteufel. Dans l'esprit de la philosophie kantienne, l'homme doit être vu comme une fin en soi et non comme un moyen, comme les autres animaux. Jacques Maritain a été avant tout un immense philosophe catholique, l'un de ceux qui a le plus contribué à faire revivre saint Thomas d'Aquin et son cheval.
ellauri264.html on line 87: L’explication que donne Rolland à son refus de se jeter dans la bataille pour défendre Dreyfus n’est pas convaincante. Les raisons se situent ailleurs : elles relèvent, d’une part, d’une forme d’individualisme qui refuse toute association politique de peur de compromissions inévitables, et, d’autre part, de ses sentiments antisémites.
ellauri264.html on line 88: Dans sa réaction violente contre le milieu à la fois dreyfusard et juif auquel il est intimement lié malgré lui, Rolland perd toute impartialité et finit pas assimiler les défenseurs de Dreyfus aux Juifs. La cause dreyfusarde, c’est la campagne des Juifs ou celle de la Banque juive. En realite, la plupart d’entre eux se tenaient à l’écart. Les Juifs ne voulaient pas qu’on les accuse de prendre parti pour Dreyfus parce qu’il était, comme eux, Juif.
ellauri266.html on line 458: Ces traces appartiennent à une jeune femme qui, sans être gênée de sa nudité, s’approche d’eux avec méfiance2. Baptisée Nova, elle ne sait ni parler ni sourire et ses gestes ressemblent à ceux des animaux. Au moment où les quatre nagent dans l’eau, le chimpanzé Hector réapparaît mais il est soudain étranglé et tué par Nova dont le comportement animal choque le narrateur qui demeure, toutefois, soumis par la beauté physique de la sauvage. Le lendemain, Nova revient accompagnée de plusieurs hommes de sa tribu. Ces derniers ne parlent pas, ils hululent seulement. Irrités par les habits des trois aventuriers, les hommes de Soror ne tardent pas à les déchirer mais sans faire de mal aux aventuriers. Ils s’attaquent ensuite à la chaloupe qu’ils détruisent complètement après s´être adonnés à des enfantillages dans le lac sans prêter attention aux trois Terriens trop gênés par leur nudité. Conduits au campement, les trois aventuriers découvrent la vie primitive des humains de Soror. Nova leur donne à manger des fruits qui ressemblent à des bananes et se rapproche du narrateur avec qui elle passe la nuit.
ellauri279.html on line 322: Aika vankileireissä päättyi helmikuussa 1953, mutta Solženitsyn jäi asumaan Kazakstaniin, jossa hän työskenteli muun muassa opettajana. Karkotuksessa hän sairastui syöpään, josta sai aineistoa teokseensa Syöpäosasto. Hänet kuntoutettiin taitavien juutalaisten lääkärien toimesta vuonna 1955, ja hän pääsi 1956 takaisin Venäjälle Rjazaniin.
ellauri316.html on line 245: La nuit du 14 au 15 avril 1718, nuit du Vendredi Saint, Boureau-Deslandes est à Brest. Il raconte : « sur les 4 heures du matin, il fit trois coups de tonnerre les plus horibles que j’aye jamais entendus. Dans cet espace de la Côte de Brêtagne qui s’étend depuis Conquerneau jusqu’à St. Paul de Leon, on a observé que le tonnerre étoit tombé sur 24 eglises differentes et à la même heure ». Cinq jours plus tard, Deslandes entreprend son enquête à Gouesnou, village voisin de Brest, dont l’église a été transpercée par la réunion de « 3 globes de feu, chacun 3 piés et demi de diamètre » qui ont occasionné la mort de trois sonneurs de cloches. « Le tonnerre n’est tombé que sur les Eglises où l’on sonnoit des cloches, à dessein de l’écarter, et il a épargné toutes les autres. »
ellauri317.html on line 316: Tout le mond savait que l´intérêt délibéré pour la femme de Pouchkine n´était qu´un écran derrière lequel le Français cachait des détails secrets de sa vie personnelle. Le terrain fertile pour de telles rumeurs était la relation entre d´Anthès et l’émissaire du roi hollandais, le baron Louis Heeckeren, qui avait adopté le jeune homme après son arrivée dans l´Empire russe. Quoi qu’il en soit, d´Anthès avait trop fortement harcelé Natalia et dépassé toutes les limites.
ellauri326.html on line 70: Karelin vanhusystävä Thomas Garrigua Masaryk oli lipilaari kuten Helsingin sanomien "Eero". Masaryk hääräsi tshekkoslovakian legioonan vääpelinä kunnes koko legioona laivattiin takaisin Tshekkeihin. Tomppa ei uskonut tshekkien mukavanhojen feikkikäsikirjoitusten aitouteen. Tompan vaimo oli newyorkilaisen liikemiehen pianistitytär. Toimittaja Karel Pacnerin mukaan Masaryk suositteli länsimaisia liittolaisia tunnustamaan Venäjän bolshevikkihallituksen. Mutta tämä väite on harhaanjohtava, Masaryk suositteli bolshevikkihallituksen tunnustamista de facto, mutta hän vastusti myöhemmin myös de jure -tunnustusta. Masaryk piti saxalaisten täsmällisyydestä ja oli väliin semiitti, väliin antisemiitti. Karel Čapekin kysymykseen panslaavilaisesta ohjelmasta Masaryk vastaa seuraavasti: "Paizi Neruda ei pitänyt enää 'slaavilaisista puheista'." Presidentti Wilsonia neuvoivat hänen neuvonantajansa kutsumaan Masarykin Venäjä-kysymystä käsitteleviin kokouksiin Venäjä-kysymyksen asiantuntijaksi. Masaryk saapui Valkoiseen taloon 19. kesäkuuta. Jengi hurrasi. Hän vakuutti Wilsonin, että sota voidaan voittaa vain, jos Itävalta-Unkari, Saksan suurin liittolainen, murtuisi. Hän pyysi amerikkalaisten apua Tšekkoslovakian legioonien kuljettamiseen Venäjältä Eurooppaan, mutta vastusti lännen aiottua interventiota sisällissotaan Venäjällä.
ellauri328.html on line 40: Termiittiapinoiden kuumentuva kylpyvesi lorisee kiihtyvällä vauhdilla alas viemäristä. Otroligt men ingen övrraskning: ju värre världen blir dess argare blir aporna mot naturen och varann. Hoblan uutisozikot ovat toinen toistaan kamalampia. "Riistakeskus" surmaa lopuista lo-kateista yxin tein 12 prosenttia, perusteluna "paikallisyhteisön sitouttaminen". Mitä vittua? Sitoutetaanko lo-kattien rippeitä nyt ajamaan apinayhteisön etuja? Joo ei, kyse on kauristajista, joita kismittää että ilvexet syövät niiden syöttämiä kauriita. Hei hemmetti, meillehän ne kuuluvat! Kissat helvettiin nakertamasta meidän luodikoiden maaleja!
ellauri349.html on line 499: Eli Aron palaa isiensä uskoon. Aron muistelee:
De tous, j’étais le plus résolu dans l’anticommunisme, dans le libéralisme, mais ce n’est qu’après 1945 que je me libérai une fois pour toutes des préjugés de la gauche.