ellauri033.html on line 860: Laissa tomber ces mots :
ellauri033.html on line 1049: Dans l’éternel oubli tombe ce qu’il moissonne : Päättymätön amnesia syö sen niittämät:
ellauri033.html on line 1050: Tel un rapide été voit tomber sa couronne Silleen pikakesä menettää kruununsa
ellauri033.html on line 1054: Vous tomberez ainsi, courtes fleurs de la vie ! Niin tekin putoatte kerran, päivänsinet!
ellauri033.html on line 1057: Ainsi vous tomberez, si la main du génie Niin tekin putoatte, ellei neron käsi
ellauri033.html on line 1063: Le tombeau qui l’attend l’engloutit tout entière, Odottava hauta nielaisee sen tyystin,
ellauri036.html on line 245: De son front rajeuni la pierre du tombeau?
ellauri036.html on line 279: Sous ton divin tombeau le sol s'est dérobé :
ellauri036.html on line 295: Où donc est leSauveur pour entr'ouvrir nos tombes ?
ellauri036.html on line 300: Sur quels pieds tombez-vous, parfums de Madeleine?
ellauri036.html on line 594: Comme on lave les morts pour les mettre au tombeau ;
ellauri036.html on line 653: Où vous vous embrassez dans les vers du tombeau,
ellauri036.html on line 720: Sera couché demain dans un étroit tombeau.
ellauri036.html on line 726: Dans ta tombe, ce soir, tu pourrais l'emmener.
ellauri036.html on line 754: Que vouliez-vous semer sur sa céleste tombe,
ellauri036.html on line 756: Qui tombe en tournoyant dans l'abîme éternel?
ellauri036.html on line 861: Pour engraisser la terre autour de ses tombeaux,
ellauri036.html on line 905: Quand elle tombera dans l'éternelle nuit!
ellauri036.html on line 926: Que je devais trouver sur ma tombe étendue,
ellauri036.html on line 967: Alors j'ai regardé, j'étais sur un tombeau.
ellauri049.html on line 807: Entre les pins palpite, entre les tombes ; vilkahtelee läpi mäntyjen ja hautojen;
ellauri049.html on line 876: La mer fidèle y dort sur mes tombeaux ! uskollinen meri nukkuu siellä mun haudoilla!
ellauri049.html on line 881: Le blanc troupeau de mes tranquilles tombes, mun tyynten hautojen valkeata laumaa,
ellauri051.html on line 3240: Que tombent ces vagues de briques Pudotkoot nää aallot kuin tiiliskivet
ellauri109.html on line 387: En 1840, le journaliste Alphonse Karr attribue la paternité de l'enfant qu'elle porte à son amant Victor Cousin dans un article intitulé Une piqûre de Cousin. Furieuse, Louise Colet l'agresse avec un couteau de cuisine qu'elle lui plante dans le dos. Alphonse Karr s'en tire avec une égratignure, et renonce à porter plainte au grand soulagement de Victor Cousin. Il se contente de mettre le couteau dont elle avait voulu le frapper sur une étagère avec cette inscription «Donné par Madame Louise Colet (Dans le dos)». Louise Colet est inhumée dans le vieux cimetière de Verneuil-sur-Avre, où résidait sa fille. En 2016, sa tombe est à l'abandon.
ellauri118.html on line 812: Mademoiselle de Chartres est une jeune fille de 15 ans qui arrive à la cour du roi Henri II. Le prince de Clèves tombe amoureux d´elle, mais ce sentiment n´est pas partagé. Ils se marient. Elle tombe amoureuse du duc de Nemours, mais leur amour serait illégitime, puisqu´elle est mariée. Afin d´éviter de le revoir elle se retire de la cour, et avoue sa passion à son mari. Celui-ci meurt de chagrin. Elle décide alors de se retirer dans un couvent.
ellauri131.html on line 1076: J’entends déjà tomber avec des chocs funèbres Kuulen jo kumahtavan haudantakaisella äänellä
ellauri131.html on line 1082: J’écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ; Mä kuulen vapisten jokaisen puupään putoovan;
ellauri131.html on line 1103: Courte tâche ! La tombe attend ; elle est avide ! Lyhyt homma! En ehdi selittää, hauta odottaa!
ellauri145.html on line 358: Son lit fleurdelisé se transforme en tombeau, Sen liljankukista lumivalkoinen vuode muuttuu mausoleumixi,
ellauri145.html on line 478: Il laisse aller le marteau ? qui tombe, qui tombe, qui tombe, Se nakkaa vasaran ? maahan 3x
ellauri147.html on line 831: Bei Zweifeln an der Anerkennung oder ihrer Verweigerung entstehen Gefühle der Missachtung. In einem unbewusst inszenierten Kampf um Anerkennung werden dann Ansprüche ausgetragen, die in den differentialdiagnostischen Symptombeschreibungen der narzisstischen Störung als „Beachtung suchen“, „Aufmerksamkeit verlangen“ oder „Bewunderung fordern“, als „narzisstische Wut“ oder „narzisstischer Rückzug“ imponieren. Es sind intersubjektive Leitsymptome, in denen sich das bedrohte Selbst, seine Abhängigkeit verleugnend, fordernd an oder aggressiv gegen das Objekt richtet – oder sich von ihm völlig abwendet und in den begleitenden Phantasien (um nicht zu sagen: im Unbewussten) das Objekt umso stärker festhält. -->
ellauri152.html on line 92: Louÿs' close friend Claude Debussy in 1897 musically set three of the poems—La flûte de Pan, La chevelure and Le tombeau des Naïades—as songs for feminine voice and piano. Pan huiluu pyllyyn. The book was accidentally translated to Polish twice, in 1920 by Leopold Staff and in 2010 by Ruben Stiller.
ellauri162.html on line 370: Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. Mihin vesi uraa isoja koloja kuin hautoja.
ellauri162.html on line 400: Des divans profonds comme des tombeaux, Meillon haudan syvyisiä leposohvia,
ellauri164.html on line 86: Et c’est encore la vie ! — Si la damnation est éternelle ! Un homme qui veut se mutiler est bien damné, n’est-ce pas ? Je me crois en enfer, donc j’y suis. C’est l’exécution du catéchisme. Je suis esclave de mon baptême. Parents, vous avez fait mon malheur et vous avez fait le vôtre. Pauvre innocent ! L’enfer ne peut attaquer les païens. — C’est la vie encore ! Plus tard, les délices de la damnation seront plus profondes. Un crime, vite, que je tombe au néant, de par la loi humaine.
ellauri164.html on line 116: Je meurs de lassitude. C’est le tombeau, je m’en vais aux vers, horreur de l’horreur ! Satan, farceur, tu veux me dissoudre, avec tes charmes. Je réclame. Je réclame ! un coup de fourche, une goutte de feu.
ellauri172.html on line 68: La terre ouvre son sein, du ventre des tombeaux Maa avaa sylinsä, mausoleumin mahasta
ellauri172.html on line 658: « Faut-il que je le répète jusqu’à satiété ? Certes ! je n’étais pas jaloux de cette femme : mais nous sommes tous les mêmes. Malgré moi, je voulus voir à qui elle écrivait, et, pour cela, ne m’étant pas assis encore, je m’inclinai par-dessus sa tête ; mais mon regard fut intercepté par l’entre-deux de ses épaules, par cette fente enivrante et duvetée où j’avais fait ruisseler tant de baisers, et, ma foi ! magnétisé par cette vue, j’en fis tomber un de plus dans ce ruisseau d’amour, et cette sensation l’empêcha d’écrire… Elle releva sa tête de la table où elle était penchée, comme si on lui eût piqué les reins d’une pointe de feu, se cambrant sur le dossier de son fauteuil, la tête renversée ; elle me regardait, dans ce mélange de désir et de confusion qui était son charme, les yeux en l’air et tournés vers moi, qui étais derrière elle, et qui fis descendre dans la rose mouillée de sa bouche entr’ouverte ce que je venais de faire tomber dans l’entre-deux de ses épaules.
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri206.html on line 458: « M. Gassendi ayant été toujours si curieux de chercher à justifier par les expériences la vérité des spéculations que la philosophie lui propose, et se trouvant à Marseille en l'an 1641 fit voir sur une galère qui sortit exprèz en mer par l'ordre de ce prince, qu'une pierre laschée du plus haut du mast, tandis que la galère vogue avec toute la vitesse possible, ne tombe pas ailleurs qu'elle ne feroit si la même galère étoit arrêtée et immobile. »
ellauri210.html on line 1171: Arrêté et passé à tabac après avoir uriné sur la tombe du Soldat inconnu en protestation contre la guerre d'Algérie (the anglo-saxon page does not mention his motivation), il est emprisonné, puis interné à l'hôpital Sainte-Anne en juillet 1959.
ellauri221.html on line 93: Issue d'une famille modeste (son père Louis Betenfeld, violent et alcoolique, est ouvrier brasseur et sa mère Marie Lartisant domestique), Marthe Betenfeld a un frère et une sœur aînés, Camille et Jeanne. Elle est envoyée quelques années dans une institution catholique et son destin semble tout tracé : couturière, comme sa sœur aîné. Puis elle devient à Nancy apprentie culottière, à quatorze ans. Le métier ne l'enchantant guère, elle fugue de chez ses parents. Elle est interpellée pour racolage en mai 1905 par la Police des mœurs et ramenée chez ses parents. Elle fugue à nouveau à 16 ans et se retrouve à Nancy, ville avec une importante garnison militaire, où elle tombe amoureuse d'un Italien se disant sculpteur mais qui se révèle être un proxénète. Il l'envoie sur le trottoir, puis elle devient prostituée dans les « bordels à soldats » de Nancy. Devant effectuer plus de 50 passes par jour, elle tombe rapidement malade et contracte la syphilis. Renvoyée du bordel, dénoncée par un soldat pour lui avoir transmis la syphilis et fichée par la police (où elle est inscrite comme prostituée mineure le 21 août 1905), elle est contrainte de s'enfuir à Paris. Elle rentre dans un « établissement de bains » rue Godot-de-Mauroy (maison close d'un standing supérieur à ses anciennes maisons d'abattage) où elle rencontre, un soir de septembre 1907, Henri Richer, mandataire aux Halles. Le riche industriel l'épouse le 13 avril 1915. Elle fait alors table rase de son passé et devient une respectable bourgeoise de la Belle Époque dans son hôtel particulier de l'Odéon. Elle demande à être rayée du fichier national de la prostitution, ce qui lui est refusé.
ellauri367.html on line 120: Pillé par les Allemands et endommagé par les Américains pendant la Seconde Guerre mondiale, il a été ensuite vendu. Totalement abandonné, il tombe progressivement en ruine et est vandalisé. Très dégradé, il est acheté par le groupe immobilier Novaxia en 2016, qui a l'intention de le restaurer et probablement de construire des logements sur le terrain. Quinze hectares du parc subsistent en parc public, le reste est à l’abandon avec le château ou a fait place à divers aménagements et constructions.
ellauri408.html on line 472: De son lit de douleur laissa tomber Voltaire ;
ellauri409.html on line 387: (Avec la Neige, tombe une miséricorde (Lumen mukana putoo kuolintuskaan lohtua;
ellauri420.html on line 385: Le doute concernant un assassinat subsistait car il fut retrouvé avec son bolivar sur la tête (not shown in Gustave Dore's fig. above) alors que celui-ci aurait normalement dû tomber du fait de l'agitation provoquée par la strangulation. On retrouva sur lui une lettre dans laquelle il demandait 300 francs, somme qui, selon lui, aurait suffi pour survivre durant l'hiver.
ellauri420.html on line 559: Émilie meurt, pleurée par Voltaire, bien avant la marquise, qui a la chance de survivre à tous deux mais la malchance de tomber amoureuse, à près de soixante-dix ans, de l’écrivain anglais Horace Walpole, qui n'a alors que cinquante-six ans et qui préfère les hommes.
xxx/ellauri139.html on line 891: Et dans chaque feuille qui tombe Jokaisen lehden ison numeron
xxx/ellauri139.html on line 907: Tombe, tombe, feuille éphémère! Putoo, hautaudu, pätkälehti!
xxx/ellauri139.html on line 917: La dernière feuille qui tombe Laitimmanen lehti pudotessaan
xxx/ellauri139.html on line 919: Sous le chêne on creusa sa tombe… Tammen alle kuopattiin tieraato...
xxx/ellauri139.html on line 958: Je meurs, et sur ma tombe où lentement j’arrive, Mä kuolen, ja mun haudalla, johka saavun hiljaa,
xxx/ellauri139.html on line 1008: Je meurs, et sur ma tombe, où lentemėnt j’arrive, Ah mä kuolen, kuvani kun kuvastimessa nään,
xxx/ellauri173.html on line 56: Lord Ewald tombe amoureux d'une actrice de théâtre, très belle mais à l'esprit trop quelconque à son goût. Afin de remplacer cette femme avec son cœur de jeune homme, l'ingénieur Thomas Alva Edison lui propose son androide. C’est lui qui le désigna sous de fantastiques surnoms ― tels que le « Magicien du siècle, le Sorcier de Menlo Park, le papa du Phonographe ». Löysäpukuinen ja isokenkäinen pellekexijä joka kaikkien vahingoxi teki käsimusaviihteestä tosi ison numeron. Sen hehkulamppu wolframlankoineen on nyt historiaa.
xxx/ellauri176.html on line 269: Mais cette tresse tombe.. Mut tää hius karkaa...
xxx/ellauri376.html on line 649: Le foutre tombe comme grêle ;
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