ellauri151.html on line 281: Dilthey a le premier noté l’importance d’un texte de jeunesse de Hegel et y a signalé comme une première esquisse de ce que sera plus tard «la conscience malheureuse». On sait quelle importance revient à la conscience malheureuse dans la Phénoménologie de Hegel, et plus tard encore dans la Philosophie de la Religion. Sous une forme abstraite la conscience malheureuse est la conscience de la contradiction entre la vie finie de l’homme et sa pensée de l’infini. « En pensant je m’élève à l’absolu en dépassant tout ce qui est fini, je suis donc une conscience infinie et en même temps je suis une conscience de soi finie et cela d’après toute ma détermination empirique... Les deux termes se cherchent et se fuient — je suis le sentiment, l’intuition, la représentation de cette unité et de ce conflit et la connexion de ces termes en conflit... je suis ce combat, je ne suis pas un des termes engagés dans le confit, mais je suis les deux combattants et le combat lui-même, je suis le feu et l’eau, qui entrent en contact et le contact et l’unité de ce qui absolument se fuit. » La conscience malheureuse qui dans la Phénoménologie trouve son incarnation historique dans le judaïsme et dans une partie du moyen âge chrétien est en effet la conscience de la vie comme du malheur de la vie. L’homme s’est élevé au-dessus de sa condition terrestre et mortelle ; il n’est plus que le conflit de l’infini et du fini, de l’absolu qu’il a posé en dehors de la vie, et de sa vie réduite à la finitude…
ellauri161.html on line 855: Sivu 343 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux...‎
ellauri161.html on line 887: Aivan päättömiä otteita. Jotain sekin todistanee. Ernest Hello est mentionné par Joris-Karl Huysmans dans son roman Là-bas en ces termes : « Le véritable psychologue du siècle, se disait Durtal, ce n´est pas leur Stendhal, mais bien cet étonnant Hello dont l´inexpugnable insuccès tient du prodige. »
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri205.html on line 170: À force d’être aveugle, le destin établit une sorte de justice, aveugle elle aussi, qui punit les hommes armés de la peine du talion; l'Iliade l’a formulée longtemps avant l'Évangile, et presque dans les mêmes termes:
xxx/ellauri134.html on line 536: Termiitit luokiteltiin pitkään omaksi lahkokseen, mutta 2000-luvulla se on siirretty torakoiden lahkon ryhmäksi. Entomological Society of America siirsi esimerkiksi omassa taksonomiassaan termiitit torakoiden lahkoon vuonna 2018. DNA:n sekvensoinnin perusteella termiitit erosivat torakoista 150 miljoonaa vuotta sitten ja kehittyivät eusosiaalisiksi. Termiittien yhteiskuntakäyttäytyminen kehittyi noin 50 miljoonaa vuotta aiemmin kuin esimerkiksi muurahaisten tai mehiläisten vastaava käyttäytyminen. Vanhinta termiittityyppiä edustaa Mastotermitidae-heimo. Ne ovat suurikokoisia ja torakkamaisia. Heimon ainoa nykyisen elävä laji on Mastotermes darwiniensis. Sen suvusta on fossiileja eoseenikaudelta ja ne ovat hyvin samanlaisia kuin nykyään elävä laji. Meiatermes-suvun fossiileja on varhaisliitukaudelta. 130 miljoonaa vuotta vanha työläisfossiili on ensimmäinen todiste eusosiaalisesta käyttäytymisestä.
xxx/ellauri170.html on line 716: Le baiser florentin (ou colombin) est celui qu’en termes précis, on appelle baiser lingual parce qu’il se donne sur la bouche en introduisant le bout de la langue. — (Maurice Piron, Guillaume Apollinaire : La chanson du mal-aimé, 1987)
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