ellauri242.html on line 87: Epäonnistuneiden näyttelijäntöiden ja lakiopintojen jälkeen hän matkusteli Euroopassa 1805–1809. Saksassa hän tutustui runoilijoista Goetheen ja Ludwig Tieckiin ja Ranskassa rouva Staëlin luona muun muassa Benjamin Constantiniin. Ranskasta hän päätyi Italiaan, josta palasi 1809 Tanskaan.
xxx/ellauri128.html on line 94: Hallizemme rakastajiamme heidän vikojensa avulla.Madame de StaëlFFUCK!
xxx/ellauri128.html on line 182: taël Madame">Madame de Staël (/stal/) ou bien Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, était une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 1817. Issue d´une famille de protestants valdo-genevois richissimes, fille du ministre des finances de Louis XVI Jacques Necker, elle est élevée dans un milieu de gens de lettres. Elle épouse, en 1786, le baron Erik Magnus Staël von Holstein, ambassadeur du roi Gustave III de Suède auprès de la cour de France à Versailles. Le couple se séparera en 1800. Devenue baronne de Staël, elle mène une vie sentimentale agitée et entretient en particulier une relation orageuse avec Benjamin Constant, écrivain et homme politique franco-vaudois rencontré en 1794. Entretemps, sa réputation littéraire et intellectuelle s´est affirmée grâce à trois essais philosophiques que sont les Lettres sur les ouvrages et le caractère de Jean-Jacques Rousseau (1788), De l´influence des passions sur le bonheur de l´individu et des nations (1796) et De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (1800). Favorable à la Révolution française et aux idéaux de 1789 au debut, elle adopte une position critique dès 1791 et ses idées d´une monarchie constitutionnelle la font considérer comme une opposante gênante par les maîtres de la révolution. Malgré le statut de diplomate de son mari, elle doit se réfugier auprès de son père en Suisse à plusieurs reprises. Interdite de séjour sur le sol français par Napoléon Bonaparte qui la considère comme un obstacle à sa politique, elle s´installe en Suisse dans le château familial de Coppet qui sert de lieu principal de rencontres au groupe du même nom, et d´où elle fait paraître Delphine (1802), Corinne ou l´Italie (1807) et De l´Allemagne (1810/1813b). Ses œuvres fictionnelles majeures, dans lesquelles elle représente des femmes victimes des contraintes sociales qui les enchaînent, sont Delphine (1802) et Corinne ou l´Italie (1807).
xxx/ellauri128.html on line 374: R. on "naisen" elämäkerta, "miehen" epissodi.Madame de StaëlFFUCK!
xxx/ellauri420.html on line 534: Sa matière, comme on sait, est empruntée à Jean Paul Richter, et plus précisément à un épisode du roman Siebenkäs (1796) intitulé Le Discours du Christ mort, traduit par Mme de Staël sous le titre Un songe et lu par Nerval probablement dans la version que Loève-Veimars publie sous le titre La Dernière Heure – Vision dans la Revue de Paris du 4 juillet 18308 . Le monologue lyrique qui découle de cet emprunt est donc mis au centre du poème, – signe que, pour les romantiques et très singulièrement pour Nerval, toute matière discursive doit être
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