ellauri041.html on line 1821: Flaubert on aina vaikuttanut musta jotenkin säälittävältä. Se yritti liian kovasti, stilisoi ihan vimpan päälle, eikä siitä kuitenkaan tullut yhtään parempaa. Pölhö-kustaa oli oikeasti vähän tyhmä, minkä se tiesi izekin. Se sanoi ize izeään vanhaxi romanttisexi liberaalixi pönttöpääxi, vieille ganache romantique et libérale. Sen kuuluisin kirja on se Emma Bovary, jonka ansiosta sitä sanotaan kirjallisuuden suurimmaxi realistixi. Oikeasti se tykkäs romanttisista jutuista, ja sellaisia se koitti kovasti kirjoittaakkin, niistä vaan tuli floppeja toinen toisensa perästä. Käytyään Ebyktissä ja Turkissa ym. levantin maissa (missä se muuten sai nipun sukupuolitauteja, mm. kupan ja sankkerin), se kirjoitti Salammbön. Koitin lukea sen portugalixi, kun satuin löytämään sen Lissabonista 50-luvun pokkarina el Zorromainen kuva kannessa. Se oli vitun tylsä jopa portugalixi, en jaxanut. Sen toinen parempi kirja taitaa olla se postuumi keskenjäänyt teos Kaxi ludetta, joka kertoo kahdesta torakkamaisesta kaveruxesta, Bouvard & Pécuchet. Sekin mulla on, mutten ole saanut luetuxi loppuun. Se nuoruudenmuistelu, Education sentimentale, oli kyllä kiva, jos oikein muistan.
ellauri109.html on line 443: Il donnera plus tard, pour cause de leur rupture, son refus d’une aliénation tant physique que sentimentale, qui revient selon lui à une forme d’abdication virile, de castration.
xxx/ellauri128.html on line 181: Madame de Staël (/stal/) ou bien Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, était une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 1817. Issue d´une famille de protestants valdo-genevois richissimes, fille du ministre des finances de Louis XVI Jacques Necker, elle est élevée dans un milieu de gens de lettres. Elle épouse, en 1786, le baron Erik Magnus Staël von Holstein, ambassadeur du roi Gustave III de Suède auprès de la cour de France à Versailles. Le couple se séparera en 1800. Devenue baronne de Staël, elle mène une vie sentimentale agitée et entretient en particulier une relation orageuse avec Benjamin Constant, écrivain et homme politique franco-vaudois rencontré en 1794. Entretemps, sa réputation littéraire et intellectuelle s´est affirmée grâce à trois essais philosophiques que sont les Lettres sur les ouvrages et le caractère de Jean-Jacques Rousseau (1788), De l´influence des passions sur le bonheur de l´individu et des nations (1796) et De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (1800). Favorable à la Révolution française et aux idéaux de 1789 au debut, elle adopte une position critique dès 1791 et ses idées d´une monarchie constitutionnelle la font considérer comme une opposante gênante par les maîtres de la révolution. Malgré le statut de diplomate de son mari, elle doit se réfugier auprès de son père en Suisse à plusieurs reprises. Interdite de séjour sur le sol français par Napoléon Bonaparte qui la considère comme un obstacle à sa politique, elle s´installe en Suisse dans le château familial de Coppet qui sert de lieu principal de rencontres au groupe du même nom, et d´où elle fait paraître Delphine (1802), Corinne ou l´Italie (1807) et De l´Allemagne (1810/1813b). Ses œuvres fictionnelles majeures, dans lesquelles elle représente des femmes victimes des contraintes sociales qui les enchaînent, sont Delphine (1802) et Corinne ou l´Italie (1807).
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