ellauri014.html on line 1049: Alors, s’approchant avec transport, il me dit en me serrant contre sa poitrine : « Ami, je lis, dans le sort commun que le ciel nous envoie, la loi commune qu’il nous prescrit. Le règne de l’amour est passé, que celui de l’amitié commence ; mon cœur n’entend plus que sa voix sacrée, il ne connaît plus d’autre chaîne que celle qui me lie à toi. Choisis le séjour que tu veux habiter : Clarens, Oxford, Londres, Paris ou Rome ; tout me convient, pourvu que nous y vivions ensemble. Va, viens où tu voudras, cherche un asile en quelque lieu que ce puisse être, je te suivrai partout : j’en fais le serment solennel à la face du Dieu vivant, je ne te quitte plus qu’à la mort. »
ellauri033.html on line 299: l´Eglise est pour lui un hôpital. Son séjour à Notre-Dame ´de l´Atre lui
ellauri144.html on line 656: santé fragile et des vicissitudes du monde moderne. Lors de ses séjours en
ellauri161.html on line 914: Lors de son séjour à Turin, en 1793, Joseph de Maistre adhère à la loge de La Stricte Observance (La Stretta Osservanza) qui relève du Rite écossais rectifié. Enfin, à Saint-Pétersbourg, il fréquente la loge de M. Stedingk, ambassadeur de Suède auprès du Tzar.
ellauri164.html on line 354: Or, Mme Frola affirme de son côté que son beau-fils n'a pas reconnu sa femme après un séjour dans un asile psychiatrique. Un deuxième mariage avec la même femme a alors été fait pour le calmer.
ellauri285.html on line 679: À sa libération, il séjourne au Chili et rencontre Salvador Allende et Pablo Neruda.
ellauri408.html on line 496: Die Familie Amiel stammte ursprünglich aus Frankreich und war seit 1791 in Genf heimatberechtigt. Harryn porukat olivat hottentotteja, jotka pakenivat Sveitsiin Nantesin ediktin kumoamisen jälkeen. Deux tragédies familiales marquent son enfance : la mort de sa mère (d'une tuberculose), alors qu'il n'a que onze ans, et, moins de deux ans plus tard, le suicide de son père, qui se jette dans le Rhône. Henri-Frédéric, alors âgé de 13 ans, et ses deux sœurs cadettes, Fanny et Laure, sont recueillis par leur oncle Frédéric Amiel et leur tante Fanchette, déjà parents de onze enfants. Ce séjour dure sept ans.
xxx/ellauri057.html on line 921: C'est lors d'un séjour à New York en novembre 1945 qu'il engage en qualité de secrétaire bilingue Denise Ouimet, qu'il épousera le 22 juin 1950 à Reno dans le Nevada (ville réputée pour ses procédures de mariage et de divorce rapide), un jour après avoir obtenu le divorce avec Régine Renchon.
xxx/ellauri075.html on line 108: Il séjourne aussi près de Vienne, à Carlsbad, à Berlin, au Tréport, à Paris, à Munich. À Rome où il s'installe un temps, il rencontre une étudiante en médecine, Anna Eléazarovna Berezovskaïa, qu'il épouse en 1897, à l’insu de ses parents. De cette union naissent ses enfants : Tatiana (1897) et Nathalie (1900).
xxx/ellauri128.html on line 182: Madame de Staël (/stal/) ou bien Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, était une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 1817. Issue d´une famille de protestants valdo-genevois richissimes, fille du ministre des finances de Louis XVI Jacques Necker, elle est élevée dans un milieu de gens de lettres. Elle épouse, en 1786, le baron Erik Magnus Staël von Holstein, ambassadeur du roi Gustave III de Suède auprès de la cour de France à Versailles. Le couple se séparera en 1800. Devenue baronne de Staël, elle mène une vie sentimentale agitée et entretient en particulier une relation orageuse avec Benjamin Constant, écrivain et homme politique franco-vaudois rencontré en 1794. Entretemps, sa réputation littéraire et intellectuelle s´est affirmée grâce à trois essais philosophiques que sont les Lettres sur les ouvrages et le caractère de Jean-Jacques Rousseau (1788), De l´influence des passions sur le bonheur de l´individu et des nations (1796) et De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (1800). Favorable à la Révolution française et aux idéaux de 1789 au debut, elle adopte une position critique dès 1791 et ses idées d´une monarchie constitutionnelle la font considérer comme une opposante gênante par les maîtres de la révolution. Malgré le statut de diplomate de son mari, elle doit se réfugier auprès de son père en Suisse à plusieurs reprises. Interdite de séjour sur le sol français par Napoléon Bonaparte qui la considère comme un obstacle à sa politique, elle s´installe en Suisse dans le château familial de Coppet qui sert de lieu principal de rencontres au groupe du même nom, et d´où elle fait paraître Delphine (1802), Corinne ou l´Italie (1807) et De l´Allemagne (1810/1813b). Ses œuvres fictionnelles majeures, dans lesquelles elle représente des femmes victimes des contraintes sociales qui les enchaînent, sont Delphine (1802) et Corinne ou l´Italie (1807).
xxx/ellauri129.html on line 640: Son mari, Albert Dardenne de la Grangerie, était fameux journaliste, rédacteur entres autres du Figaro et du Messager du Midi. Marguerite de la Grangerie fut avec son mari très liée au couple Gautier, Judith et Théophile. Elle était la petite-fille du duc de Persigny, propriétaire du chateau de Chamarande ou Théo séjourna en 1866. Ce dernier lui dédiera d’ailleurs deux sonnets dont « les poètes chinois… ». Usant de plusieurs pseudonymes tels que Philippe Gerfaut et Marie-Alix de Valtine, elle est l’auteur entre autres du roman Le passé de Claudie (1884), des Pensées d’un sceptique (1886) et de Belle et bonne histoire d’une grande fillette (Prix Lambert en 1890). Superbe exemplaire dans une reliure mosaïquée parfaitement établi par Louis Pouillet. Petites taches pâles sur le plat supérieur. Gerfaut puuttuu Vaakun hakemistosta.
xxx/ellauri420.html on line 569: Par ailleurs, la renommée de d’Alembert lui valait des invitations jusque dans les cours princières. En 1763, Il avait eu à répondre, comme Voltaire, à celle du roi de Prusse Frédéric II en son château de Potsdam. Alors que madame du Deffand se targuait d’entretenir avec lui un rapport privilégié d’Alembert était tombé amoureux de Julie mais il était trop timide pour se déclarer. Il saisit l’occasion de ce voyage pour le faire. Pendant son séjour Julie eut droit à une lettre quotidienne alors que la marquise n’en reçut qu’une pendant ces trois mois de séparation. Plus grave encore : il avait été le premier à donner le mauvais exemple en montant à l’entresol avant l’ouverture officielle du salon. Suprême infidélité ! La marquise enrage de jalousie et somme d’Alembert de choisir entre elle et Julie. Il n’hésite pas un instant : ce sera Julie.
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