ellauri001.html on line 2505: vade retro
ellauri002.html on line 2266: vade retro
ellauri003.html on line 1420: vade retro
ellauri004.html on line 1919: vade retro
ellauri005.html on line 1964: vade retro
ellauri006.html on line 1866: vade retro
ellauri007.html on line 1706: vade retro
ellauri008.html on line 2244: vade retro
ellauri009.html on line 1890: vade retro
ellauri011.html on line 1397: vade retro
ellauri012.html on line 867: vade retro
ellauri014.html on line 2020: vade retro
ellauri015.html on line 1206: vade retro
ellauri033.html on line 147: raffinés, a retrouvé l´innocence de la poésie primitive.


ellauri043.html on line 2042:

Tohtorit, taikurit, piispat ja diakonit, miehet ja mustanaamiot, vadite retro! retro!! Olette kaikki houkkia!


ellauri051.html on line 34: mustalla sapellani kirjavoin vihreän retrojääkaapin kylkeä.

ellauri051.html on line 3266: Quand il la retrouva plus pâle kun se löysi lintusensa kalpeena
ellauri055.html on line 78: Les deux hommes ont quinze ans de différence. Stefan Zweig s'intéresse aux lettres européennes et il a déjà traduit quelques œuvres d'auteurs anglais, français et belges. La découverte en 1907 des premiers volumes de Jean-Christophe sera décisive dans sa rencontre avec l'auteur. Il est séduit par la portée universelle de l’œuvre de Romain Rolland et plus encore par l’homme auquel il rend visite, pour la première fois en février 1911, dans son appartement du 162, boulevard du Montparnasse. Les deux hommes partagent un amour pour la musique, une même foi en l'humanité et le sentiment d'appartenir à une civilisation, une culture commune, dont Romain Rolland esquisse les contours dans « la chevauchée européenne de Jean-Christophe ». Les deux écrivains entretiendront une correspondance suivie et intense entre 1910 et 1940 : 945 lettres ont été retrouvées (509 de Stefan Zweig dont une centaine en allemand, et 436 pour Romain Rolland). Cette correspondance est d'une importance capitale pour l'histoire des intellectuels du début du XXe siècle.
ellauri055.html on line 1329: Elämä ja aurinko. Siinähän niitä on viime vuosisadan alun retropakanuuxia. Niillä oltiin korvaamassa lampaannussijoiden tyly äijäkolmikko. Sillinpäästä ihmelettivät miten se osas yhdistellä tieteisuskoa ja impressionismia.
ellauri063.html on line 45: In other ways, he was an outright traditionalist: His attitude toward women and gay people was boorish and retrograde. Orwell's friend and contemporary Stephen Spender noted that ''Orwell ...
ellauri069.html on line 666: retro-513x1024.jpg" width="30%" style="float:right" />
ellauri070.html on line 342: Their four "concentric" terms are derived from Ezekiel's vision (1:4), "And I looked and behold, a whirlwind came out of the north, a great cloud, and a fire infolding itself, and a brightness was about it..." The "Three Impure Qlippot" (completely Tamei "impure") are read in the first three terms, the intermediate "Shining Qlippah" (Nogah "brightness") is read in the fourth term, mediating as the first covering directly surrounding holiness, and capable of sublimation. In medieval Kabbalah, the Shekhinah is separated in Creation from the Sefirot by man´s sin, while in Lurianic Kabbalah Divinity is exiled in the qlippot from prior initial Catastrophe in Creation. This causes "Sparks of Holiness" to be exiled in the qlippot, Jewish Observance with physical objects redeeming mundane Nogah, while the Three Impure Qlippot are elevated indirectly through Negative prohibitions. Repentance out of love retrospectively turns sin into virtue, darkness into light. When all the sparks are freed from the qlippot, depriving them of their vitality, the Messianic era begins. In Hasidic philosophy, the kabbalistic scheme of qlippot is internalised in psychological experience as self-focus, opposite to holy devekut self-nullification, underlying its Panentheistic Monistic view of qlippot as the illusionary self-awareness of Creation.
ellauri080.html on line 668: Gately leikkelee lehdistä kuvia ja liimaa niitä seinälle. Mä teen samaa mutta laitan ne magneeteilla jääkaapin kylkeen. Kylkeen enkä oveen, koska retrokaapin ovi osoittautui muovisexi. Mä meen aina halpaan tolla lailla, meidän retrovespan etukilpikin on muovia. Hemmetti. Pitäis aina koputella niitä ennen ostoa. Retrokamat on hyvin epäilyttäviä.
ellauri093.html on line 219: retronomi.fi/product_pictures/medium/7187-29535-p7090001.jpg" width="30%" />
ellauri099.html on line 111: Elena Ferrantebarn swallowpernaAsthenikerretrouve.nl/wp-content/uploads/2017/02/Elena-Ferrante-300x300.jpg" height="100px" />
ellauri106.html on line 67: In October 1956, Philip Roth met the secretary Margaret Martinson Williams in Chicago, whom he married in February 1959. The divorced mother of two children of completely different social origins, who was four years older than him, initially gave Roth the feeling of both a challenge and a liberation. Later, however, the problems and arguments in their relationship increased, which the writer dealt with in retrospect in works such as When She Was Good ( Lucy Nelson or Die Moral, 1967) or My Life As a Man (Mein Leben als Mann, 1974). In his autobiography The Facts (The Facts, 1988) Margaret even advanced as Josie Jensen to the “counter-self”, to the “arch enemy and nemesis ” of the author. The couple separated in 1963, but Margaret Roth refused to consent to a divorce. Five years later she died in a car accident.
ellauri109.html on line 439: Cette réaction négative de Flaubert a Colet se retrouve des années avant la rupture définitive.
ellauri109.html on line 441: Une première rupture avec Louise Colet en apporte la preuve. Dans sa lettre datée du dimanche 7 mars 1847, Flaubert ose enfin clamer à quel point il est allergique32 aux valeurs qu’elle véhicule, valeurs qui baignent et macèrent dans le discours ambiant du romantisme humanitaire33 : « tes idées de moralité, de patrie, de dévouement, tes goûts en littérature, tout cela était antipathique à mes idées, à mes goûts. »34 Ce qui vient immédiatement après est l’affirmation d’une esthétique, sur le mode de l’antithèse : « amoureux exclusif de la ligne pure, du galbe saillant, de la couleur criante, de la note sonore, je retrouvais toujours chez toi je ne sais quel ton noyé de sentiment qui atténuait tout, et altérait jusqu'à ton esprit ». Voilà les griefs d’un amant qui ne sépare pas l’art de la vie. Le lexique sentimental se trouve accaparé par le commentaire stylistique : « amoureux exclusif », écrit Flaubert, non pas d’une femme, comme Louise, elle, le voudrait, mais du tracé ferme, il lui reproche son « ton noyé de sentiment » qu’il interprète comme une déperdition de force et de précision. De même, les muscles relâchés, les lignes floues et les déliaisons trahissent le corps du texte féminin.
ellauri111.html on line 241: “It’s strange,” he said, almost as if he was talking to himself. “My English and American readers don’t seem to read it very much. Of course, I do say some rude things about England in it and I know what they say in return—that’s it’s full of Russian jingoism, all very retrograde and reactionary. In my own view, though, it has some of the best things I’ve ever written in it. In fact, that’s where you’ll find this story we’re talking about right now.”
ellauri112.html on line 723: "Tully," is a dramedy you'll love so much that you'll want to rewind and watch it all over again. Rewind? What a retro notion.
ellauri161.html on line 912: Avec quelques frères de Chambéry, il fonde en 1778, la loge réformée écossaise de « La Sincérité », qui dépend du directoire écossais dont l'âme est Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824), disciple de Joachim Martinès de Pasqually. Il est reçu chevalier bienfaisant de la Cité Sainte sous le nom de eques Josephus a Floribus (ce surnom fait allusion aux fleurs de souci de ses armoiries). On retrouve dans son œuvre les enseignements de la maçonnerie : providentialisme, prophétisme, réversibilité des peines, etc. ; hautement investi dans la vie de cette société initiatique, à la veille du Convent de Wilhelmsbad (1782), il fait d'ailleurs parvenir à Jean-Baptiste Willermoz son célèbre Mémoire au duc de Brunswick. Il entretient par ailleurs une amitié avec Louis-Claude de Saint-Martin, pour lequel il avait une vive admiration, se faisant fort, disait-il, « de défendre en tous points l'orthodoxie », d'où son attrait pour le martinisme.
ellauri162.html on line 145: Par nécessité ou par goût, il est longtemps un adepte de la moto comme moyen de transport quotidien et cette pratique se retrouvera dans ses œuvres. Comme le curé de campagne, il sentait "la haute moto rouge, tout étincelante, ronfler sous moi comme un petit avion.".
ellauri162.html on line 228: Il ’était un garçon des forêts, travaillant la terre, le bois, la pêche, la chasse, toute cette culture que l’on retrouve dans ses livres. Il était flotteur de bois sur les rivières du nord, une sorte d’aristocratie de ces sans-domicile fixe.
ellauri164.html on line 372: I blew through this novel myself, which in retrospect was somewhat of a grave mistake, as the book alternates between compelling and highly engaging dialogues to unrealistically long monologues which to me resemble a Rimbaud poem in translation than anything else, which is to say: hard to parse. That they got more than what they bargained for is what the ordinary reader will be struck by first when they read this. The complexity of each of the conversations cannot be overstated, which I think will inevitably result in readers just mechanically scanning the sentences rather than internalizing the arguments, with the final result being the great part of the novel sliding off like rain, leaving only vague impressions like it did with me unfortunately, but the parts that did affect me left me very humbled. And chiefly this impression will not be helped by another one of the defining features of the novel, which is its vagueness. It deliberately leaves a lot of key details unheard and leaves a lot to the ability to infer events by the reader. Though sometimes frustrating to a reader like me who reads history and biography, I recognize that it should be so for this novel, for the main conflict in it is a psychological one, so I wouldn't have it any other way.
ellauri172.html on line 608: La Rosalba était pudique comme elle était voluptueuse, et le plus extraordinaire, c’est qu’elle l’était en même temps. Quand elle disait ou faisait les choses les plus… osées, elle avait d’adorables manières de dire : « J’ai honte ! » que j’entends encore. Phénomène inouï ! Elle fût sortie d’une orgie de bacchantes, comme l’Innocence de son premier péché. Jusque dans la femme vaincue, pâmée, à demi morte, on retrouvait la vierge confuse, avec la grâce toujours fraîche de ses troubles et le charme auroral de ses rougeurs… (Vizi tää hemmo on aika sick. Mutta se on just kuten Huismanni totesi: pyllistely tuntuu vielä rotevammalta kun pyllyn takana kyttää kiivas Jehova piiska handussa. Niin varmaan junioriapinastakin joka pääsee salaa silverbäkin nartun vulvalle. Sisään vaan vaikkei seisokkaan!)
ellauri172.html on line 844: Le Curé de Tours, roman d'Honoré de Balzac, 1832, personnage de l'abbé François Birotteau qui est le frère aîné de César Birotteau. Dans le roman éponyme, il n'est encore que vicaire[8]. On le retrouve confesseur de Madame de Mortsauf dans Le Lys dans la vallée[9]. Dans Le Curé de Tours, il devient le souffre-douleur de Mademoiselle Gamard, sa logeuse et de son rival : l'abbé Troubert.
ellauri172.html on line 914: La Joie, roman de Georges Bernanos, 1929, où l'on retrouve l'abbé Cénabre.
ellauri182.html on line 190: In another departure from more traditional Pure Land schools, Shinran advocated that birth in the Pure Land was settled in the midst of life. At the moment one entrusts oneself to Amitābha, one becomes "established in the stage of the truly settled". This is equivalent to the stage of non-retrogression along the bodhisattva path.
ellauri182.html on line 195: For Jōdo Shinshū practitioners, shinjin develops over time through "deep hearing" (monpo) of Amitābha's call of the nembutsu. According to Shinran, "to hear" means "that sentient beings, having heard how the Buddha's Vow arose—its origin and fulfillment—are altogether free of doubt."[9] Jinen also describes the way of naturalness whereby Amitābha's infinite light illumines and transforms the deeply rooted karmic evil of countless rebirths into good karma. It is of note that such evil karma is not destroyed but rather transformed: Shin stays within the Mahayana tradition's understanding of śūnyatā and understands that samsara and nirvana are not separate. Once the practitioner's mind is united with Amitābha and Buddha-nature gifted to the practitioner through shinjin, the practitioner attains the state of non-retrogression, whereupon after his death it is claimed he will achieve instantaneous and effortless enlightenment. He will then return to the world as a Bodhisattva, that he may work towards the salvation of all beings.
ellauri184.html on line 257: The Bible records that following the completion of the conquest of Canaan by the Israelite tribes, Joshua allocated the land among the twelve tribes. According to biblical scholar Kenneth Kitchen, this conquest should be dated slightly after 1200 BCE. Some modern scholars argue that the conquest of Joshua, as described in the Book of Joshua, never occurred. “Besides the rejection of the Albrightian conquest model, the general consensus among OT scholars is that the Book of Joshua has no value in the historical reconstruction. They see the book as an ideological retrojection from a later period — either as early as the reign of Josiah or as late as the Hasmonean period.” "It behooves us to ask, in spite of the fact that the overwhelming consensus of modern scholarship is that Joshua is a pious fiction composed by the deuteronomistic school, how does and how has the Jewish community dealt with these foundational narratives, saturated as they are with acts of violence against others?" ”Recent decades, for example, have seen a remarkable reevaluation of evidence concerning the conquest of the land of Canaan by Joshua. As more sites have been excavated, there has been a growing consensus that the main story of Joshua, that of a speedy and complete conquest (e.g. Josh. 11.23: 'Thus Joshua conquered the whole country, just as the LORD had promised Moses') is contradicted by the archaeological record, though there are indications of some destruction at the appropriate time. No oliko sitten koko esinahkakasa satua? Ketä enää uskoa? Usko siirtää vuoria, eikö sitten esinahkakukkuloita?
ellauri184.html on line 439: Punavyö ja sen parhaat kaverit menee vuorelle. Pimeää kuin säkissä! papukaija sanoo. Tule takaa saatana! huutaa Punavyö nelisormi Petelle. Vade retro saatanas! Peter ja James ja John kilpailivat siitä kuka oli paras. Olitte kaikki hyviä, rauhoitteli Jeshua.
ellauri205.html on line 221: Mais rien de ce qu'ont produit les peuples d'Europe ne vaut le premier poème connu qui soit apparu chez l’un d'eux. Ils retrouveront peut-être le génie épique quand ils sauront ne rien croire à l'abri du sort, ne jamais admirer la force, ne pas haïr les ennemis et ne pas mépriser les malheureux. Il est douteux que ce soit pour bientôt.
ellauri210.html on line 335:
  • Picasso was the first artist to receive a 90-year retrospective exhibition. And the last.
    ellauri210.html on line 810: Alors tous les pous nègres se retrouvèrent sur la même fesse Silloin kaikki neekeripunkit ovat samassa hihnassa
    ellauri221.html on line 93: Issue d'une famille modeste (son père Louis Betenfeld, violent et alcoolique, est ouvrier brasseur et sa mère Marie Lartisant domestique), Marthe Betenfeld a un frère et une sœur aînés, Camille et Jeanne. Elle est envoyée quelques années dans une institution catholique et son destin semble tout tracé : couturière, comme sa sœur aîné. Puis elle devient à Nancy apprentie culottière, à quatorze ans. Le métier ne l'enchantant guère, elle fugue de chez ses parents. Elle est interpellée pour racolage en mai 1905 par la Police des mœurs et ramenée chez ses parents. Elle fugue à nouveau à 16 ans et se retrouve à Nancy, ville avec une importante garnison militaire, où elle tombe amoureuse d'un Italien se disant sculpteur mais qui se révèle être un proxénète. Il l'envoie sur le trottoir, puis elle devient prostituée dans les « bordels à soldats » de Nancy. Devant effectuer plus de 50 passes par jour, elle tombe rapidement malade et contracte la syphilis. Renvoyée du bordel, dénoncée par un soldat pour lui avoir transmis la syphilis et fichée par la police (où elle est inscrite comme prostituée mineure le 21 août 1905), elle est contrainte de s'enfuir à Paris. Elle rentre dans un « établissement de bains » rue Godot-de-Mauroy (maison close d'un standing supérieur à ses anciennes maisons d'abattage) où elle rencontre, un soir de septembre 1907, Henri Richer, mandataire aux Halles. Le riche industriel l'épouse le 13 avril 1915. Elle fait alors table rase de son passé et devient une respectable bourgeoise de la Belle Époque dans son hôtel particulier de l'Odéon. Elle demande à être rayée du fichier national de la prostitution, ce qui lui est refusé.
    ellauri236.html on line 198: There exists in America an enormous literature of more or less the same stamp as No Orchids. Quite apart from books, there is the huge array of ‘pulp magazines’, graded so as to cater for different kinds of fantasy, but nearly all having much the same mental atmosphere. A few of them go in for straight pornography, but the great majority are quite plainly aimed at sadists and masochists. Sold at threepence a copy under the title of Yank Mags(4), these things used to enjoy considerable popularity in England, but when the supply dried up owing to the war, no satisfactory substitute was forthcoming. English imitations of the ‘pulp magazine’ do now exist, but they are poor things compared with the original. English crook films, again, never approach the American crook film in brutality. And yet the career of Mr. Chase shows how deep the American influence has already gone. Not only is he himself living a continuous fantasy-life in the Chicago underworld, but he can count on hundreds of thousands of readers who know what is meant by a ‘clipshop’ or the ‘hotsquat’, do not have to do mental arithmetic when confronted by ‘fifty grand’, and understand at sight a sentence like ‘Johnny was a rummy and only two jumps ahead of the nut-factory’. Evidently there are great numbers of English people who are partly americanized in language and, one ought to add, in moral outlook. For there was no popular protest against No Orchids. In the end it was withdrawn, but only retrospectively, when a later work, Miss Callaghan Comes to Grief, brought Mr. Chase's books to the attention of the authorities. Judging by casual conversations at the time, ordinary readers got a mild thrill out of the obscenities of No Orchids, but saw nothing undesirable in the book as a whole. Many people, incidentally, were under the impression that it was an American book reissued in England.
    ellauri266.html on line 447: Le roman raconte l’histoire de trois hommes qui explorent une planète lointaine très-similaire à la Terre, où les grands singes sont les espèces dominantes et intelligentes, alors que l´humanité est réduite à l’état animal. Le narrateur, Ulysse Mérou, est capturé par les singes et se retrouve enfermé dans un laboratoire. Prouvant son intelligence aux singes, il aide ensuite les scientifiques simiens à découvrir les origines de leur civilisation.
    ellauri266.html on line 456: Un manuscrit enfermé dans une bouteille est retrouvé dans l´espace par Jinn et Phyllis, un couple en voyage spatial. Ce manuscrit raconte l´histoire suivante : en l’an 2500, le savant professeur Antelle a organisé une expédition pour l’exploration de l’étoile supergéante Bételgeuse. Il a embarqué à bord de son vaisseau son disciple, le jeune physicien Arthur Levain, et le journaliste, narrateur de cette aventure, Ulysse Méroua 12 ainsi qu’un chimpanzé baptisé Hector et plusieurs plantes et animaux pour ses recherches scientifiques dans l’espace. Arrivés à proximité de l´étoile, ils distinguent quatre planètes gravitant autour d´elle. L’une d’entre elles ressemble étrangement à la Terre. Ils décident alors de l’explorer. À bord d’un « engin à fusée » qu´ils nomment chaloupe, les trois aventuriers survolent des villes, des routes, des champs avant d’atterrir dans une forêt1. Après avoir effectué des tests, ils quittent leur chaloupe et découvrent l’étonnante ressemblance de l’atmosphère de cette planète, qu’ils baptisent Soror, avec celle de la Terre. Ils enlèvent leurs scaphandres et assistent impuissants à la fuite d’Hector. Par curiosité, ils s’engagent dans la forêt et arrivent à un lac naturel dont l’eau limpide leur donne envie de se baigner. Mais à leur grande surprise, ils découvrent au bord du lac les traces de pas humains.
    ellauri266.html on line 468: Le narrateur commence à apprendre le langage simien. Profitant d’une visite de routine, il dessine à Zira des figures géométriques et les théorèmes qui en découlent, puis le Système solaire et celui de Bételgeuse, la trajectoire de son vaisseau et son origine, la Terre. Zira comprend son message et lui demande de garder le secret car Zaïus pourrait lui causer des problèmes. Zira commence à apprendre le français et les deux peuvent communiquer facilement. Elle lui apprend comment les singes se sont développés sur cette planète alors que l’homme est resté à un stade d’animalité. Enfin, le narrateur retrouve l’air libre lorsque Zira l´amène en promenade, après trois mois d’enfermement, pour lui présenter Cornélius, son fiancé, un chimpanzé biologiste très intelligent et intuitif. Il se laisse tenir en laisse comme le lui a recommandé Zira et tente de dissimuler son intelligence. Zira lui apprend que Zaïus voulait le transférer à la division encéphalique pour pratiquer sur son cerveau des opérations délicates mais qu’elle l’en a empêché. Avec Cornélius, elle lui conseille de faire très attention et d´attendre le congrès des savants biologistes qui va se tenir dans les jours suivants où il sera présenté par Zaïus, pour révéler son secret.
    ellauri266.html on line 470: Zira donne ensuite à Ulysse une lampe et des livres grâce auxquels il apprend le langage simien et découvre l’organisation de la société des singes, leur système politique et leur culture. Profitant des promenades avec Zira et des entrevues avec Cornélius, le narrateur prépare le discours qu’il doit présenter lors du congrès. La guenon lui fait visiter le parc zoologique où il découvre des animaux ressemblant à ceux de la Terre et des « humains », parmi lesquels il retrouve le professeur Antelle, qui a perdu la raison. Les deux premiers jours du congrès dont parlait Zira sont consacrés aux théories. Le troisième jour, Zaïus présente le narrateur qui en profite pour exposer son cas dans le langage simien provoquant l’étonnement général des singes savants et des journalistes. Pressé par l´opinion publique, le congrès décide à contrecœur de libérer le narrateur et destitue Zaïus de ses fonctions. Mais Ulysse sait qu´il représente toujours une menace pour la civilisation simiesque.
    ellauri266.html on line 480: Cornélius présente Ulysse à Hélius, le directeur de la division encéphalique, qui lui fait visiter son service dont le « clou » est une salle où, par des stimulations électriques infligées à même le cerveau, il fait remonter la « mémoire de l´espèce» à des cobayes humains qui retrouvent ainsi l´usage de la parole et racontent comment les singes ont pris le pouvoir sur la planète et comment ils ont réussi à domestiquer les humains.
    ellauri300.html on line 585: Facets of his 1971 song "American Pie" have become part of American culture, spanning generations. McLean's lyrics retroactively influenced the perception of a major event in the early days of rock 'n roll.
    ellauri316.html on line 332: Aatelinen Sinyavski lie ollut pääkätyri ja juutalainen Daniel vain apuri. Daniel palveli viiden vuoden koko toimikautensa, ja vapautumisensa jälkeen hän asui Kalugan ja Moskovan kaupungeissa kuolemaansa asti vuonna 1988. Sinyavski palveli kuusi vuotta ennenaikaiseen vapautumiseensa vuonna 1971 Juri Andropovin aloitteesta, joka oli tuolloin KGB:n hallituksen puheenjohtaja. Vuonna 1973, kaksi vuotta vapautumisensa jälkeen, Sinyavsky muutti Ranskaan, jossa hänestä tuli venäläisen kirjallisuuden professori ja hän julkaisi kermaperseisesti lukuisia omaelämäkerrallisia ja retrospektiivisia teoksia.
    ellauri327.html on line 89: retro-graphika.jpg" height="200px" />
    ellauri336.html on line 305: The parts of the body that are considered ervah (private because they are potentially sexually-attractive) are alluded to in Shir HaShirim (Song of Songs). This includes the hair as perverse 4:1, “You are beautiful, my love, you are beautiful. Your eyes are like doves, your hair inside your kerchief is like a flock of goats that stream down from Mount Gilead” (Brachos 24a). Of course, the details of different types of ervah differ. For example, a woman’s singing voice is considered private in halacha but not her speaking voice. Similarly, uncovered hair is considered private for a married woman but not for a single woman. (It’s also not retroactive; married women don’t have to hide photos of themselves from before they were married.)
    ellauri352.html on line 285: Tässä viimeisessä vaiheessa yksilöt omaksuvat kuolevaisuuden tai väistämättömän tulevaisuuden tai rakkaansa tai muun traagisen tapahtuman. Kuolevat ihmiset voivat edeltää selviytyjiä tässä tilassa, johon tyypillisesti liittyy rauhallinen, retrospektiivinen näkemys yksilöstä ja vakaa tunteiden tila. Vainajalla se on hyvinkin vakaa.
    xxx/ellauri010.html on line 1795: vade retro
    xxx/ellauri013.html on line 1242: vade retro
    xxx/ellauri027.html on line 1060: Paphos seminar remains fundamentally a project of Western orientation, with a strong emphasis on reasoning and language. If (to use a deliberately stereotypical example) a no-nonsense middle-aged male engineer comes to the seminar, as often happens, I find it important that he does not find anything in the seminar suspicious even in retrospect. Nobody should be lured into doing something he or she might find embarrassing afterwards.
    xxx/ellauri057.html on line 43: Joyeux Noël. Mme Maigret ei ollut edes vielä siivonnut. Sitä ei kyllä huomannut, missään ei ollut pölynhitusta. 50-luvun Megreen joulu on yhtä täynnä 50-luvun Megree klischeitä. Sentään alkuperäisiä eikä retroklischeitä. Retrokamat on ällöttäviä, vanhanajan näköiskamat uusilla elektroniikkasisuxilla feikki muovikuoressa. Vielä pahempaa on vanhoista kirjoista silpomalla valmistetut mikättimet tai lusikoista taivutetut koristeet. Yäk yäk yäk. Ranskan radio soitti jouluyönä kappalta "Keskiyö kretiinit!".
    xxx/ellauri057.html on line 917: Pendant toute la guerre, entre 1940 et 1945, Simenon continue à vivre en Vendée et en Charente-Maritime, mais cette période, assez mal connue, est sujette à de multiples soupcons. Représentant de l'État belge auprès des Belges réfugiés, il refuse d'aider ceux d'entre eux qui sont juifs. Non seulement son frère fut volontaire auprès de la Waffen-SS Wallonie, mais de plus, selon certaines personnes, lors de cette période cruciale de sa vie et de son œuvre, l'écrivain aurait été un collaborateur, ou doucement dit, un peu "lâche". Il n'est pas revenu en Belgique, afin d'échapper au service militaire), un peu rusé et opportuniste, sans aucun sens de l'histoire avec un grand H. Il a commis d'« énormes imprudences » en écrivant dans des journaux contrôlés par les Allemands, mais Simenon ne dénonce pas, ne s'engage pas, ne fait pas de politique, seulement de la fiction. En fait, les accords qu'il a passés avec la firme cinématographique allemande Continental lui valent quelques tracas à la Libération. En 1944, une dépêche de l'AFP, retrouvée à Poitiers, mentionne sa dénonciation pour « intelligence avec l'ennemi » par « certains villageois vendéens exaspérés par la conduite égoïste de cet écrivain affichant l'opulence de son train de vie, à l'époque des tickets d'alimentation. »
    xxx/ellauri125.html on line 769: In 1988, Love abandoned acting and returned to the West Coast, citing the "celebutante" fame she had attained as the central reason.[86] She returned to stripping in the small town of McMinnville, Oregon, where she was recognized by customers at the bar.[87] This prompted Love to go into isolation, so she relocated to Anchorage, Alaska, where she lived for three months to "gather her thoughts", supporting herself by working at a strip club frequented by local fishermen. "I decided to move to Alaska because I needed to get my shit together and learn how to work," she said in retrospect. "So I went on this sort of vision quest. I got rid of all my earthly possessions. I had my bad little strip clothes and some big sweaters, and I moved into a trailer with a bunch of other strippers."
    xxx/ellauri168.html on line 64: Roosevelt and Truman may have been hesitant to use the phrase that had awkward connotations with the nazis. Commentators have applied the term retroactively to the order put in place by the World War II victors including the United Nations and the Bretton Woods system as a "new world order."
    xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
    xxx/ellauri208.html on line 632: Hänet tunnettiin koko ikänsä lempinimellä Jussi, jonka hän sai lapsena suomalaissyntyiseltä isoäidiltään (Henrika Matilda Björling o.s. Lönnqvist, s. 1844 Pori ja k. 1918 Borlänge). Mummi hoki aina: Jussi pussi puita nussi (kz. johdanto). Raimo Lintuniemi kuunteli Björlingin esitykset studiossa aina seisten. Björling kärsi vakavasta alkoholiongelmasta, joka tuhosi hänen terveytensä. Björling hade så kallad retrograd negativ P-våg vid atrioventrikulär återkopplingstakykardi, vad som ofta lite slarvigt kallas "dolt WPW-syndrom" (Wolff-Parkinson-White-syndrom).
    xxx/ellauri252.html on line 60: Saarisen Punk-akatemia, Pirkkala 1980 lyttää epäviisaasti Saarikosken keväällä 1980 ilmestyneen proosateoksen nimeltä ’Asiaa tai ei’. Osuvampi otsikko sille olisi ’Kirjoitan kirjan, olipa asiaa tai ei’. Saarikosken kirja on pohjanoteeraus. Se on pohjanoteeraus, koska miehellä ei ole mitään sanottavaa. Saman voi valitettavasti sanoa in retrospect E.Saarisen elämäntyöstä. Kuhmon kamarimusiikkijuhlilla vuonna 1983 kylmä koskenkorva ampui kuumat veret Saarikosken molemmista päistä. Pushkinin sanoin: Loin hengen työllä itselleni muistopylvään. Monumentum exegi aere perennius.
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