ellauri049.html on line 969: Qui te remords l’étincelante queue ja puraiset taas säteilevää häntääsi,
ellauri145.html on line 329: Où comme des remords se traînent de longs vers Jossa venyy pitkät säkeeni kuin tunnonvaivat
ellauri161.html on line 944: La honte, les remords, les sanglots, les ennuis, häpeää, katumista, nyyhkyjä, pitkästystä,
xxx/ellauri139.html on line 977: Il guérit mes remords, il m’arme de constance: Hää paransi mun harmituxen, hää aseisti mut sisulla;
xxx/ellauri139.html on line 991: Un vrai remords né des douleurs, Tosi katumus joka syntyy pipi kipästä
xxx/ellauri139.html on line 1146: Manfred est un drame en vers de George Gordon Byron, dit Lord Byron, publié en 1817. Bourrelé de remords après avoir tué celle qu'il aimait, Manfred vit seul comme un maudit au cœur des Alpes. Il invoque les esprits de l'univers, et ceux-ci lui offrent tout, excepté la seule chose qu'il désire, l'oubli. Il essaie alors, mais en vain, de se jeter du haut d'un pic élevé. Il visite ensuite la demeure d'Ahriam, mais refuse de se soumettre aux esprits du mal, leur enjoignant d'évoquer les morts. Enfin lui apparaît Astarté, la femme qu'il a aimée puis tuée par son étreinte (« My embrace was fatal... I loved her and destroy'd her »). Répondant à son invocation, Astarté lui annonce sa mort pour le lendemain. Au moment prédit apparaissent des démons pour s'emparer de lui, mais Manfred leur dénie tout pouvoir sur sa personne. Pourtant, à peine sont-ils apparus qu'il meurt. La situation de Manfred deviendra l'un des poncifs favoris composant le portrait de l'homme fatal du romantisme. Cette pièce s'inspire, pense-t-on[Qui ?], dans son plan, du Faust de Goethe et selon certains, contiendrait une allusion du poète à sa demi-sœur Augusta Leigh. Sitäkin se dodennäköisesti bylsähti.
6