ellauri062.html on line 780: Serrano alcanzó gran éxito al cantar en alemán composiciones como «Roter Mohn (Roter Mohn, warum welkst du denn schon?)», «Schön die Musik», «Küß mich, bitte, bitte, küß mich», «Und die Musik spielt dazu», «Der Onkel Jonathan» y «Der kleine Liebesvogel» durante el auge de la Alemania nazi. Kreuder aprovechó para introducirla en las esferas del régimen nazi y Serrano llegó a participar en varios mítines y ceremonias nacionalsocialistas. Sus canciones fueron muy difundidas en las emisoras afines al Reich. Más adelante, declaró que nunca tuvo afinidad política alguna ni fue nazi, a pesar de que en sus grabaciones llevaba el emblema del águila nazi en su vestimenta.
ellauri062.html on line 782: Entre 1938 y 1941, obtuvo diferentes papeles en filmes alemanes. Mantuvo una muy buena relación con la prensa nacionalsocialista: participó en varios recitales y ceremonias del Tercer Reich y adquirió el estatus y conducta social de una diva. De hecho, se ganó el afecto de Adolf Hitler, quien llegó a enviarle una fotografía personal autografiada. En su momento, fue la musa del ministro de propaganda Joseph Goebbels y otros dignatarios; por ende, su carrera se potenció enormemente y se le abrieron las puertas a la elite alemana ganando un elevado estatus social. Grabó 118 canciones y, por los derechos de autor, sus ganancias en marcos alemanes fueron importantes. Tal fue el éxito obtenido que la personalidad de Serrano adquirió los ribetes de una diva sin sospechar que su éxito era dependiente del régimen. Para Serrano, más que la política importaba el escenario y entregar su talento.
ellauri062.html on line 784: Sin embargo, en la década de 1940, Rosita Serrano empezó a dar conciertos a beneficio de judíos y daneses refugiados en Suecia, lo que provocó la fulminante y enfática antipatía y rechazo del régimen nazi, la requisa y prohibición de emitir sus discos y grabaciones en Alemania y un arresto por presunto espionaje; sus ingresos fueron confiscados.
ellauri077.html on line 796: Foreign words and expressions such as cul de sac, ancien régime, deus ex machina, mutatis mutandis, status quo, gleichschaltung, weltanschauung , are used to give an air of culture and elegance. Except for the useful abbreviations i.e., e.g. , and etc. , there is no real need for any of the hundreds of foreign phrases now current in the English language. Bad writers, and especially scientific, political, and sociological writers, are nearly always haunted by the notion that Latin or Greek words are grander than Saxon ones, and unnecessary words like expedite, ameliorate, predict, extraneous, deracinated, clandestine, subaqueous, and hundreds of others constantly gain ground from their Anglo-Saxon numbers. (Number on latinaa hei pahvi!)
ellauri145.html on line 1160: Born into a farming family of La Sauvagère, Brisset was an autodidact. Having left school at age twelve to help on the family farm, he apprenticed as a pastry chef in Paris three years later. In 1855, he enlisted in the army for seven years and fought in the Crimean War. In 1859, during the war in Italy against the Austrians. After he was wounded at the Battle of Magenta, he was taken prisoner. During the Franco-Prussian War, he was a second lieutenant in the 50e régiment d´infanterie de ligne. Taken prisoner again, he was sent to Magdeburg in Saxony where he learned German.
ellauri161.html on line 931: Toute religion doit pour de Maistre être sociale ; or, le protestantisme n'étant pas social à ses yeux, voire anti-souverain par nature, il n'est pas une religion. La religion doit apporter des croyances communes, et apporter la cohésion de l'organisme politique. Elle doit protéger le pouvoir autant que le pouvoir doit la protéger. Il n'est donc pas question de séparer l'Église de l'État, bien au contraire. C'est pourquoi Joseph de Maistre prônera un régime de type théocratique, dans lequel la religion tient un rôle fortement structurant, devant apprendre aux sujets le respect aveugle pour l'autorité et « l'abnégation de tout raisonnement individuel."
ellauri161.html on line 933: Si Jean-Jacques Rousseau s'accordait également à dire que la religion était nécessaire au corps politique, il rejetait en revanche le christianisme comme étant ennemi de la république. Chez Joseph de Maistre, à l'inverse, la religion chrétienne est la plus adaptée, car elle soutient parfaitement la monarchie et se base sur la tradition, sans laquelle il est impossible que soit fondée une religion. Or, la monarchie est elle-même le régime politique le plus adapté : comme il l'affirme dans ses Considérations sur la France, la monarchie est un équilibre qui s'est constitué au fil de l'histoire. C'est un régime tempéré mais fort, et qui ne tend pas, selon lui, vers la violence, à l'inverse de la république qu'il voit comme un régime déséquilibré et instable. De plus, la monarchie est le régime qui respecte le plus ce qu'il considère comme un fait naturel : à savoir l'inégalité entre les hommes, que la monarchie intègre dans son organisation, et qui est relativisée grâce à l'égalité de tous dans leur assujettissement au roi. Pour Joseph de Maistre, la république y substitue une égalité utopique, qui ne prend pas en compte la véritable nature de l'Homme. Car ce dernier doit vivre en société, et toute société doit être structurée autour d'une hiérarchie, ce qui justifie donc l'existence d'ordres dans la société.
ellauri172.html on line 635: Quand cet enfant mourut, car il mourut quelques mois après sa naissance, le major eut un chagrin très exalté, un chagrin à folies, et on n’en rit pas dans le régiment. Pour la première fois, l’antipathie dont il était l’objet se tut. On le plaignit beaucoup plus que la mère qui, si elle pleura sa géniture, n’en continua pas moins d’être la Rosalba que nous connaissions tous, cette singulière catin arrosée de pudeur par le Diable, qui avait, malgré ses mœurs, conservé la faculté, qui tenait du prodige, de rougir jusqu’à l’épine dorsale deux cents fois par jour ! Sa beauté ne diminua pas. Elle résistait à toutes les avaries. Et, cependant, la vie qu’elle menait devait faire très vite d’elle ce qu’on appelle entre cavaliers une vieille chabraque, si cette vie de perdition avait duré. »
ellauri172.html on line 710: « Je n’ai plus eu jamais des nouvelles de la Rosalba, dite la Pudica, — répondit Mesnilgrand. — Est-elle morte ? A-t-elle pu vivre encore ? Le chirurgien a-t-il pu aller jusqu’à elle ? Après la surprise d’Alcudia, qui nous fut si fatale, je le cherchai. Je ne le trouvai pas. Il avait disparu, comme tant d’autres, et n’avait pas rejoint les débris de notre régiment décimé.
ellauri203.html on line 204: Le mariage de Maximilien et de Marie est célébré dans la chapelle du palais d’Hiver, à Saint-Pétersbourg, le 2 juillet 1839. Il donne lieu à 15 jours de festivités mais soulève la désapprobation des Moscovites, qui sont choqués de voir l’une de leurs princesses s’unir à un prince français, dont le père a participé à la prise de leur ville en 1812. Immédiatement après les épousailles, le duc de Leuchtenberg reçoit du tsar Nicolas Ier le prédicat d'altesse impériale et le titre de prince Romanovsky. Il est nommé major général de l'armée russe et colonel en chef du régiment de hussards de Kiev. Il reçoit par ailleurs une rente annuelle de 100 000 roubles. De son côté, le tsar confère à Marie une rente de 700 000 roubles ainsi qu'une somme de 2 millions payable en bons du trésor à 4%. Afin de loger le couple, l'empereur s'engage finalement à construire et à meubler à ses frais un palais meublé à Saint-Pétersbourg et un autre situé dans les environs de la capitale.
ellauri285.html on line 671: C’est au bout de trois semaines, après avoir sciemment parlé dans le vide de façon à ne livrer aucune information concrète, que Debray admet les évidences, à savoir la présence du Che, déjà reconnue par Bustos, les déserteurs et le guérillero Vasquez Viana, arrêté le 28 avril et victime d’un subterfuge. Même après la rupture politique de Debray avec le régime cubain, Manuel Piñeiro, le chef des services secrets cubains, reconnaît que ce dernier n’a fait que « confirmer la présence du Che en Bolivie », et qu’« il ne serait pas correct de ma part de rendre Debray responsable de la localisation de la guérilla, et encore moins de la mort du Che »
ellauri349.html on line 484: Aaron oli takuulla juutalainen! Se oli Sartreakin porvarillisempi. D'abord ami et condisciple de Jean-Paul Sartre et Paul Nizan à l'École normale supérieure, il devient lors de la montée des totalitarismes un ardent promoteur du libéralisme, à contre-courant du milieu intellectuel pacifiste et de gauche qui dominait. Il dénonce ainsi dans son ouvrage le plus célèbre L'Opium des intellectuels l'aveuglement et la bienveillance des intellectuels à l'égard des régimes communistes.
xxx/ellauri044.html on line 757: Voltaire tunnetaan terävästä älystään ja filosofisista kirjoituksistaan. Monien muiden valistusajattelijoiden tavoin hän oli liberaali, kannatti vapaakauppaa, ihmisoikeuksia, mielipiteen- ja uskonvapautta, sekä oikeutta puolueettomaan oikeudenkäyntiin. Hän oli yhteiskunnallisten uudistusten suorasukainen kannattaja ja Bourbonien ancien régimen vastustaja Ranskan tiukoista sensuurilaeista ja kovista rangaistuksista huolimatta. On siinä rikosrekisteriä.
xxx/ellauri173.html on line 280: Deux chercheurs, nous dit Y. Coppens, qui épiaient à travers le trou d’une serrure (sic) le comportement d’un chimpanzé qu’ils avaient enfermé avec un régime de banane pendu au plafond et avec des moyens de l’atteindre pourvu qu’un minimum de réflexion fût mis en œuvre par l’animal, furent surpris de ne voir… que l’œil du singe qui, tout comme eux, regardait à travers ce trou. «
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