ellauri014.html on line 940: Je ne souffrirai pas non plus que mes enfants se mêlent dans la conversation des gens raisonnables, et s’imaginent sottement y tenir leur rang comme les autres, quand on y souffre leur babil indiscret. Je veux qu’ils répondent modestement et en peu de mots quand on les interroge, sans jamais parler de leur chef, et surtout sans qu’ils s’ingèrent à questionner hors de propos les gens plus âgés qu’eux auxquels ils doivent du respect.
ellauri014.html on line 1051: Je fus touché. Le zèle et le feu de cet ardent jeune homme éclataient dans ses yeux. J’oubliai la marquise et Laure. Que peut-on regretter au monde quand on y conserve un ami?
ellauri014.html on line 1206: « Voyez donc, continuait-elle, à quelle félicité je suis parvenue. J’en avais beaucoup ; j’en attendais davantage. La prospérité de ma famille, une bonne éducation pour mes enfants, tout ce qui m’était cher rassemblé autour de moi ou prêt à l’être. Le présent, l’avenir, me flattaient également ; la jouissance et l’espoir se réunissaient pour me rendre heureuse. Mon bonheur monté par degrés était au comble ; il ne pouvait plus que déchoir ; il était venu sans être attendu, il se fût enfui quand je l’aurais cru durable. Qu’eût fait le sort pour me soutenir à ce point ? Un état permanent est-il fait pour l’homme ?
ellauri014.html on line 1207: Non, quand on a tout acquis, il faut perdre, ne fût-ce que le plaisir de la possession qui s’use par elle.
ellauri033.html on line 117:

Plus tard, quand, après avoir rompu avec le Parnasse, il se laissa aller
ellauri033.html on line 118: à son inspiration propre, quand les Romances sans paroles et surtout le
ellauri033.html on line 447: L’auteur des Chansons joyeuses était alors amateur de vins et très libre sur le plan des mœurs. Il faut signaler une amitié particulière peu connue qui avait uni Maurice Bouchor et Paul Bourget. Ce dernier écrivait à Bouchor quand il avait 15 ans des lettres enflammées auxquelles l’adolescent n’était pas inseänsible. Bourget à cette époque était son « précepteur ». Il faut savoir que Paul Bourget est présent dans l’Album zutique et qu’il fréquentait le groupe des Vivants auquel on l’associe à tort. Il semble que Bouchor n’ait pas craint dans sa première jeunesse de passer pour un homosexuel, peut-être par provocation.
ellauri033.html on line 1117: Cependant, il apprend qu´un certain Georges de Villiers de L´Isle-Adam l´accuse d´usurper son nom ; il manque de le provoquer en duel quand il découvre que Louis XVIII, croyant à tort la branche des Villiers de L´Isle-Adam éteinte, avait autorisé un Villiers des Champs à « relever » le nom en 1815.
ellauri036.html on line 238: Et quand tout fut changé, le ciel, la terre et l'homme,
ellauri036.html on line 385: Qu'il se ferait sauter quand il n'aurait plus rien.
ellauri036.html on line 505: Et, quand tu tressaillis au bruit des chants sacrés,
ellauri036.html on line 580: Quels doux fruits eût portés, quand sa fleur sera mûre,
ellauri036.html on line 595: C'est toi qui, cette nuit, quand elle est arrivée,
ellauri036.html on line 660: Oh! saigne-t-il encor, quand, pour le déclouer,
ellauri036.html on line 715: Et, quand l'orgue chantait aux rayons de l'aurore,
ellauri036.html on line 746: Mais, quand il se vit seul, assis sur une pierre,
ellauri036.html on line 775: Quand on est pauvre et fier, quand on est riche et
ellauri036.html on line 783: Tel, quand Jésus cria, des mains du ciel venues
ellauri036.html on line 830: Venaient le murmurer, quand la mort était là?
ellauri036.html on line 846: Quand tout était fini, quand la nuit éternelle
ellauri036.html on line 863: Mais, quand elle pétrit ses nobles créatures,
ellauri036.html on line 898: J'ai jeté loin de moi, quand je me suis parée,
ellauri036.html on line 908: La plus faible de vous, quand Dieu vous a créées,
ellauri040.html on line 95: «Un jour, écrit Emmanuelle Guattari, alors qu’on attend dans la voiture, Bertrand, un malade, me dit en souriant : "Christian et moi, on attend que nos dents repoussent." Je dodeline de la tête avec une moue et un haussement d’épaule : "Ça ne se peut pas." "- Oui, continue-t-il, mais on peut quand même attendre."»
ellauri049.html on line 569: Et blême, quand kalpenen, ja mälsää, kunnes
ellauri049.html on line 924: Chanterez-vous quand serez vaporeuse ? Laulatteko sitten kun olette höyrystynyt?
ellauri090.html on line 94: Escreveu em praticamente todos os gêneros literários, sendo poeta, romancista, cronista, dramaturgo, contista, folhetinista, jornalista e crítico literário. Testemunhou a Abolição da escravatura e a mudança política no país quando a República substituiu o Império, além das mais diversas reviravoltas pelo mundo em finais do século XIX e início do XX, tendo sido grande comentador e relator dos eventos político-sociais de sua época.
ellauri090.html on line 215: Quando Machado tinha apenas um ano de idade, em 1840, decretava-se a maioridade de D. Pedro II, tema que viria a tratar anos mais tarde em Dom Casmurro. Ao completar 10 anos, Machado tornou-se órfão de mãe. Mudou-se com seu pai para São Cristóvão, na Rua São Luís de Gonzaga nº48 e logo o pai se casou com sua madrasta (äitipuoli) Maria Inês da Silva em 18 de junho de 1854. Ela cuidaria do garoto quando Francisco viesse a morrer um tempo depois.
ellauri090.html on line 234: Um de seus amigos, Faustino Xavier de Novaes (1820–1869), poeta residente em Petrópolis, e jornalista da revista O Futuro, estava mantendo sua irmã, a portuguesa Carolina Augusta Xavier de Novais, desde 1866 em sua casa, quando ela chegou ao Rio de Janeiro do Porto. Segundo os biógrafos, veio a fim de cuidar de seu irmão que estava enfermo, enquanto outros dizem que foi para esquecer uma frustração amorosa. Carolina despertara a atenção de muitos cariocas; muitos homens que a conheciam achavam-na atraente, e extremamente simpática. Com o poeta, jornalista e dramaturgo Machado de Assis não fora diferente. Tão logo conhecera a irmã do amigo, logo apaixonou-se. Até essa data o único livro publicado de Machado era o poético Crisálidas (Koteloita, 1864) e também havia escrito a peça Hoje Avental, Amanhã Luva (1860), ambos sem muita repercussão. Carolina era cinco anos mais velha que ele; deveria ter uns trinta e dois anos na época do noivado.
ellauri090.html on line 289: Depois do Catete, foram morar na casa nº 18 da Rua Cosme Velho (a residência mais famosa do casal), onde ficariam até a morte. Do nome da rua surgira o apelido Bruxo do Cosme Velho, dado por conta de um episódio onde Machado queimava suas cartas em um caldeirão, no sobrado da casa, quando a vizinhança certa vez o viu e gritou: "Olha o Bruxo do Cosme Velho!"
ellauri109.html on line 429: [...] Pauvre cher bougre, j’ai bien envie de t’embrasser. Je serai content quand je reverrai ta figure. [...] Adieu, je t’embrasse et suis plus que jamais "Maréchal de Richelieu, juste-au-corps bleu, Mousquetaire gris, régence et cardinal Dubois", sacrebleu !
ellauri117.html on line 49: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
ellauri118.html on line 875: Il n´y a point de femme que le soin de sa parure n´empêche de songer à son amant; qu´elles en sont entièrement occupées; que ce soin de se parer est pour tout le monde, aussi bien que pour celui qu´elles aiment; que lorsqu´elles sont au bal, elles veulent plaire à tous ceux qui les regardent; que, quand elles sont contentes de leur beauté, elles en ont une joie dont leur amant ne fait pas la plus grande partie.
ellauri118.html on line 877: Il dit aussi que, quand on n´est point aimé, on souffre encore davantage de voir sa maîtresse dans une assemblée; que plus elle est admirée du public, plus on se trouve malheureux de n´en être point aimé; que l´on craint toujours que sa beauté ne fasse naître quelque amour plus heureux que le sien; enfin, il trouve qu´il n´y a point de souffrance pareille à celle de voir sa maîtresse au bal, si ce n´est de savoir qu´elle y est, et de n´y être pas.
ellauri119.html on line 458: Aristotle by contrast placed more emphasis on philia (friendship, affection) than on eros (love); and the dialectic of friendship and love would continue to be played out into and through the Renaissance, with Cicero for the Latins pointing out that "it is love (amor) from which the word 'friendship' (amicitia) is derived" Meanwhile, Lucretius, building on the work of Epicurus, had both praised the role of Venus as "the guiding power of the universe", and criticised those who become "love-sick...life's best years squandered in sloth and debauchery".
ellauri145.html on line 259: Fin de sieclen snobismi ei eroa missään suhteessa Emily in Parisin vastaavasta. Elle est aujourd'hui wagnerienne, esoterique, neo-platonicienne, occultiste, androgyne, primitive, baudelairienne, morbide, nietzscheenne meme quand elle eternue. Ei ois kannattanut hävitä 1870 sotaa preussilaisille.
ellauri145.html on line 1101: Puis, quand j’ai ravalé mes rêves avec soin, Sit kun mä olen nielaissut takasin mun unet huolella,
ellauri146.html on line 566: Et quand enfin Samson, secouant les colonnes Ja kun loppuviimexi Homer Simpson heiluttaa
ellauri150.html on line 269: à table, battant des mains, quand il y avait un plat qu’elle aimait ; au salon, grillant des cigarettes, affectant, devant les hommes, une affection exubérante pour ses amies, se jetant à leur cou, leur caressant la main, leur chuchotant à l’oreille, disant des ingénuités, disant aussi des méchancetés, admirablement, d’une voix douce et frêle, qui savait même, à l’occasion, dire des choses très lestes, sans avoir l’air d’y toucher, qui savait encore mieux en faire dire, — l’air candide d’une petite fille bien sage, les yeux brillants, aux paupières lourdes, voluptueux et sournois, qui regardaient de côté, malignement, guettant tous les potins, happant toutes les polissonneries de la conversation, et tâchant de pêcher çà et là quelque cœur à la ligne.
ellauri150.html on line 271: Toutes ces singeries, ces parades de petit chien, cette ingénuité frelatée, ne plaisaient à Christophe en aucune façon. Il avait autre chose à faire qu’à se prêter aux manèges d’une petite fille rouée, ou même qu’à les considérer, d’un œil amusé. Il avait à gagner son pain, à sauver de la mort sa vie et ses pensées. Le seul intérêt pour lui de ces perruches de salon était de lui en fournir les moyens. En échange de leur argent, il leur donnait ses leçons, en conscience, le front plissé, l’esprit tendu vers la tâche, afin de ne se laisser distraire ni par l’ennui qu’elle lui causait, ni par les agaceries de ses élèves, quand elles étaient aussi coquettes que Colette Stevens. Il ne faisait guère plus d’attention à elle qu’à la petite cousine de Colette, une enfant de douze ans, silencieuse et timide, que les Stevens avaient prise chez eux, et à qui Christophe enseignait aussi le piano.
ellauri150.html on line 315: — Vous êtes un impertinent… Et puis d’abord, quand cela serait, est-ce que ce n’est pas la vraie façon d’aimer la musique ?
ellauri151.html on line 108: Car d’après ce que j’entendis les premiers temps dans celle de Jupien et qui ne furent que des sons inarticulés, je suppose que peu de paroles furent prononcées. Il est vrai que ces sons étaient si violents que, s’ils n’avaient pas été toujours repris un octave plus haut par une plainte parallèle, j’aurais pu croire qu’une personne en égorgeait une autre à côté de moi et qu’ensuite le meurtrier et sa victime ressuscitée prenaient un bain pour effacer les traces du crime. J’en conclus plus tard qu’il y a une chose aussi bruyante que la souffrance, c’est le plaisir, surtout quand s’y ajoutent—à défaut de la peur d’avoir des enfants, ce qui ne pouvait être le cas ici, malgré l’exemple peu probant de la Légende dorée—des soucis immédiats de propreté. Enfin au bout d’une demi-heure environ (pendant laquelle je m’étais hissé à pas de loup sur mon échelle afin de voir par le vasistas que je n’ouvris pas), une conversation s’engagea. Jupien refusait avec force l’argent que M. de Charlus voulait lui donner. (SG 609/11).
ellauri152.html on line 369: canto quae solitus, si quando armenta vocabat, Laulelen tässä sulle kuin Amfion Kirkelle,
ellauri155.html on line 523: Little in the narrative tells us what we are to think of David’s actions. Perhaps the very fact that he sought security among the Philistines is enough to make his choice questionable. After all, God had shown Himself able to keep David safe within the boundaries of Israel (chs. 18–26), so David’s seeking refuge in Philistia may indicate a lapse of faith. It could be that David’s raids from Ziklag confirm this. We see how David would go out against enemies of Israel such as the Amalekites (see Ex. 17:8–16) who were in the south of Judah. After defeating them, he would bring spoil back to Achish and lie to the king, telling him that he was conducting raids on the Israelites (1 Sam. 27:8–12). We do not want to make too much of this, for some actions are acceptable in times of war that are not necessarily acceptable in times of peace (for example, industrial espionage). This was a time of war, with both Achish and the peoples David raided being actual enemies of Israel. Still, David’s successful deception put him in a quandary. Achish was so pleased with David’s work that he commissioned David to join him against Israel (28:1–2). What would he do?
ellauri161.html on line 904: Joseph de Maistre était membre du souverain Sénat de Savoie, avant d'émigrer en 1792 quand les forces armées françaises occupent la Savoie. Il passe ensuite 14 années en Russie, avant de retourner à Turin.
ellauri161.html on line 929: Pour Joseph de Maistre, le corps politique étant constitué à l'image d'un organisme vivant, il peut quelquefois être malade, et quand il est malade, l'estomac n' aura rien de manger. Le sacrifice des individus est un mal nécessaire pour la sauvegarde du corps social, et Joseph de Maistre, dans ses formulations les plus imagées, n'hésite pas à évoquer le sang que réclame la terre pour rendre la justice, et qu'elle obtient par la guerre que se font les Hommes.
ellauri162.html on line 248: hänen ainutlaatuisuus minua jo pienenä jotenkin pisti. Son unicité m'a piqué déjà quand j'étais petite.
ellauri164.html on line 88: Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici : Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. — Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums faux, musiques puériles. — Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. — La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… — Horreur de ma bêtise.
ellauri172.html on line 181: Al compimento del ventesimo anno di età, quando, entrando in possesso della sua cospicua eredità, decise di lasciare nuovamente l'Italia. Fallisce intanto un tentativo del cognato di combinargli un matrimonio con una ragazza nobile e ricca, la quale, pur affascinata dal giovane "dai capelli e dalla testa al vento", alla fine farà cadere la sua scelta su un altro giovane dall'indole più tranquilla.
ellauri172.html on line 318: Au point de vue physique, nous l’avons vu, c’est un besoin individuel que d’engendrer un autre individu, si bien que cet autre devient comme une condition de nous-même. La vie, comme le feu, ne se conserve qu’en se communiquant. Et cela est vrai de l’intelligence non moins que du corps ; il est aussi impossible de renfermer l’intelligence en soi que la flamme : elle est faite pour rayonner. Même force d’expansion dans la sensibilité : il faut que nous partagions notre joie, il faut que nous partagions notre douleur. C’est tout notre être qui est sociable : la vie ne connaît pas les classifications et les divisions absolues des logiciens et des métaphysiciens : elle ne peut pas être complètement égoïste, quand même elle le voudrait. Nous sommes ouverts de toutes parts, de toutes parts envahissants et envahis. Cela tient à la loi fondamentale que la biologie nous a fournie : La vie n’est pas seulement nutrition, elle est production et fécondité. Vivre, c’est dépenser aussi bien qu’acquérir.
ellauri172.html on line 568: Mais, capitaine Mautravers, il y a pis pour un soldat que de mettre à mal quelques bigotes : c’est de devenir dévot soi-même, comme une poule mouillée de pékin, quand on a traîné le bancal !…
ellauri172.html on line 614: Le mot naïf et étonné de la Borghèse, quand on lui demanda comment elle avait bien pu poser nue devant Canova : « Mais l’atelier était chaud ! il y avait un poêle ! » Kilpineito Elfhildr käski norjalaisen poliisikolleegan tuoda ämpäriä kun sillä oli vimmattu pissahätä. No sehän toi. Sevveran on sentään edistytty.
ellauri172.html on line 619: Par Dieu ! nous avons tous, Messieurs, connu de ces hommes assez fanatisés d’une femme pour croire en elle, quand tout l’accuse, et qui, au lieu de se venger quand la certitude absolue d’une trahison pénètre dans leur âme, préfèrent s’enfoncer dans leur bonheur lâche, et en tirer, comme une couverture par-dessus leur tête, l’ignominie !
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri172.html on line 676: « — Tu ne le sauras pas ! — dit-elle, en le narguant. Et elle le cingla de ce tu ne le sauras pas ! mille fois répété, mille fois infligé à ses oreilles ; et quand elle fut lasse de le dire, — le croiriez-vous ? — elle le lui chanta comme une fanfare ! Puis, quand elle l’eut assez fouetté avec ce mot, assez fait tourner comme une toupie sous le fouet de ce mot, assez roulé avec ce mot dans les spirales de l’anxiété et de l’incertitude, cet homme, hors de lui, et qui n’était plus entre ses mains qu’une marionnette qu’elle allait casser ; quand, cynique à force de haine, elle lui eut dit, en les nommant par tous leurs noms, les amants qu’elle avait eus, et qu’elle eut fait le tour du corps d’officiers tout entier : « Je les ai eus tous, — cria-t-elle, — mais ils ne m’ont pas eue, eux ! Et cet enfant que tu es assez bête pour croire le tien, a été fait par le seul homme que j’aie jamais aimé ! que j’aie jamais idolâtré ! Et tu ne l’as pas deviné ! Et tu ne le devines pas encore ? »
ellauri172.html on line 678: « Elle mentait. Elle n’avait jamais aimé un homme. Mais elle sentait bien que le coup de poignard pour le major était dans ce mensonge, et elle l’en dagua, elle l’en larda, elle l’en hacha, et quand elle en eut assez d’être le bourreau de ce supplice, elle lui enfonça pour en finir, comme on enfonce un couteau jusqu’au manche, son dernier aveu dans le cœur:
ellauri172.html on line 714: Well, j’ai porté plusieurs années, ce cœur d’enfant dont je doutais ; mais quand, après la catastrophe de Waterloo, il m’a fallu ôter cette ceinture d’officier dans laquelle j’avais espéré de mourir, et que je l’eus porté encore quelques années, ce cœur, — et je t’assure, Mautravers, que c’est lourd, quoique cela paraisse bien léger, — la réflexion venant avec l’âge, j’ai craint de profaner un peu plus ce cœur si profané déjà, et je me suis décidé à le déposer en terre chrétienne. Sans entrer dans les détails que je vous donne aujourd’hui, j’en ai parlé à un des prêtres de cette ville, de ce cœur qui pesait depuis si longtemps sur le mien, et je venais de le remettre à lui-même, dans le confessionnal de la chapelle.
ellauri197.html on line 174: He died childless in 1979, having squandered his family's wealth of several million pounds and sold their thousands of acres of land and other properties including the family seat of Lytham Hall that had belonged to the Clifton family since 1606. When he died he was almost penniless and was residing in a small rundown hotel in Brighton.
ellauri197.html on line 176: Clifton's three books of poetry were published by Duckworth. The first was Dielma and Other Poems in 1932 and then followed Flight in 1934. One commentator has said that “Clifton was particularly adroit at poems honouring – and marvelling at – women” and the Times Literary Supplement stated that “His lyrics are a gracious tribute to the beauty of women”. These were fairly conventional poems unlike his final work Gleams Britain's Day published in 1942. The Spectator described it as “expressing in a sort of prophetic certitude opinions upon religion, patriotism, love, art, war and peace, which he puts in unconventional verse”. The reviewer stated that the book was “the product of a curious, whimsical mind, full of energy, squandering it on half-digested ideas”. W B Yates dedicated his poem, Lapis Lazuli, to Clifton who had given him a valuable Chinese lapis lazuli carving.
ellauri205.html on line 182: Il faut, pour respecter la vie en autrui quand on a dû se mutiler soi-même de toute aspiration à vivre, un effort de générosité à briser le cœur. On ne peut supposer aucun des guerriers d'Homère capable d’un tel effort.
ellauri205.html on line 197: Mais quand le désir de boire et de manger fut apaisé,

ellauri205.html on line 221: Mais rien de ce qu'ont produit les peuples d'Europe ne vaut le premier poème connu qui soit apparu chez l’un d'eux. Ils retrouveront peut-être le génie épique quand ils sauront ne rien croire à l'abri du sort, ne jamais admirer la force, ne pas haïr les ennemis et ne pas mépriser les malheureux. Il est douteux que ce soit pour bientôt.
ellauri207.html on line 91: “Dr. Parnault’s elegant explications of seemingly every extant mathematical concept or quandary make this text as indispensible as any in our field,” says Fields Medal-winning MIT Professor Gerald Lambeau. “His presentation of combinatorial mathematics left me breathless.”
ellauri210.html on line 614: Peut-on faire des oeuvres qui ne soient pas d'art? Tiens, j'ai essaye, sans reussir. Un mauvais art est quand même de l'art, comme une mauvaise émotion est quand même une émotion.
ellauri210.html on line 1008: Des jours heureux quand nous étions amis, Se hehkumaan saa loistoaan Onnelliset päivät ystävyytemme
ellauri247.html on line 114: GLOSSARY Bahloo, moon. Beeargah, hawk. Beeleer, black cockatoo. Beereeun, prickly lizard. Bibbee, woodpecker, bird. Bibbil, shiny-leaved box-tree. Bilber, a large kind of rat. Bindeah, a prickle or small thorn. Birrahlee, baby. Birrableegul, children. Birrahgnooloo, woman's name, meaning "face like a tomahawk handle." Boobootella, the big bunch of feathers at the back of an emu. Boolooral, an owl. Boomerang, a curved weapon used in hunting and in warfare by the blacks; called Burren by the Narran blacks. Borah, a large gathering of blacks where the boys are initiated into the mysteries which make them young men. Bou-gou-doo-gahdah, the rain bird. Bouyou, legs. Bowrah or Bohrah, kangaroo. Bralgahs, native companion, bird. Bubberah, boomerang that returns and bumps you in the back of your head. Buckandee, native cat. Buggoo, flying squirrel. Bulgahnunnoo, bark-backed. Bunbundoolooey, brown flock pigeon. Bunnyyarl, flies. Byamee, man's name, meaning "big man." Bwana, African sir. Capparis, caper. Combi, bag made of kangaroo skins. Comfy, foldable plastic pillow. Cookooburrah, laughing jackass. Coorigil, name of place, meaning sign of bees. Corrobboree, black fellows' dance. Cunnembeillee, woman's name, meaning pig-weed root. Curree guin guin, butcher-bird. Daen, black fellows. Dardurr, bark, humpy or shed. Dayah minyah, carpet snake (vällykäärme). Deegeenboyah, soldier-bird. Decreeree, willy wagtail. Dinewan, emu. Dingo, native dog. Doonburr, a grass seed. Doongara, lightning. Dummerh, 2nd rate pigeons. Dungle, water hole. Dunnia, wattle. Eär moonan, long sharp teeth. Effendi, Turkish sir. Euloo marah, large tree grubs. Edible. In fact yummy. Euloo wirree, rainbow. Gayandy, borah devil. Galah or Gilah, a French grey and rose-coloured cockatoo. Gidgereegah, a species of small parrot. Gooeea, warriors. Googarh, iguana. Googoolguyyah, run into trees. Googoorewon, place of trees. Goolahwilleel, absolutely top-knot pigeon. Gooloo, magpie. Goomade, red stamp. Goomai, water rat. Goomblegubbon, bastard or just plain turkey. Goomillah, young girl's dress, consisting of waist strings made of opossum's sinews with strands of woven opossum's hair hanging about a foot square in front. Yummy. Goonur, kangaroo rat. Goug gour gahgah, laughing-jackass. Literal meaning, "Take a stick of bamboo and boil it in the water." Grooee, handsome foliaged tree bearing a plum-like fruit, tart and bitter, but much liked by the blacks. Guinary, light eagle hawk. Guineboo, robin redbreast. Gurraymy, borah devil. Gwai, red. Gwaibillah, star. Kurreah, an alligator. Mahthi, dog. Maimah, stones. Maira, paddy melon. Massa, American sir. May or Mayr, wind. Mayrah, spring wind. Meainei, girls. Midjee, a species of acacia. Millair, species of kangaroo rat. Moodai, opossum. Moogaray, hailstones. Mooninguggahgul, mosquito-calling bird. Moonoon, emu spear. Mooregoo, motoke. Mooroonumildah, having no eyes. Morilla or Moorillah, pebbly ridges. Mubboo, beefwood-tree. Mullyan, eagle hawk. Mullyangah, the morning star. Murgah muggui, big grey spider. Murrawondah, climbing rat. Narahdarn, bat. Noongahburrah, tribe of blacks on the Narran. Nullah nullah, a club or heavy-headed weapon. Nurroo gay gay, dreadful pain. Nyunnoo or Nunnoo, a grass humpy. Ooboon, blue-tongued lizard. Oolah, red prickly lizard. Oongnairwah, black driver. Ouyan, curlew. Piggiebillah, ant-eater. One of the Echidna, a marsupial. Quarrian, a kind of parrot. Quatha, quandong; a red fruit like a round red plum. Sahib, Indian sir. Senhor, Brazilian sir. U e hu, rain, only so called in song. Waligoo, to hide. Wahroogah, children. Wahn, crow. Walla Walla, place of many waters. Wallah, I swear to God. Wallah, Indian that carries out a manual task. Waywah, worn by men, consisting of a waistband made of opossum's sinews with bunches of strips of paddy melon skins hanging from it. ​Wayambeh, turtle. Weeoombeen, a small bird, girl's name. Some thing like robin redbreast, only with longer tail and not so red a breast. Willgoo willgoo, pointed stick with feathers on top. Widya nurrah, a wooden battle-axe shaped weapon. Wirree, small piece of bark, canoe-shaped. Wirreenun, priest or doctor. Womba, mad. Wondah, spirit or ghost. Wurranunnah, wild bees. Wurranunnah, tame bees. Wurrawilberoo, whirlwind with a devil in it; also clouds of Magellan. Yaraan, white gum-tree. Yhi, the sun. Yuckay, oh dear!
ellauri263.html on line 393: Yet both shows get you binge-watching, despite irritating plot holes, political sanctimony and misrepresentations of Muslims or Palestinians. It’s a bit like speed-reading a cheap thriller, ignoring the bad dialogue and badly drawn characters, along with the mounting self-loathing over the time you’re squandering, just for the sugar rush of the story’s end.
ellauri285.html on line 710: Régis Debray affirme que quand s’épuise le sens du symbolique reviennent les autorités religieuses. Plus la puissance symbolique est dématérialisée (la religion), plus l’ordre symbolique est fort et plus la puissance symbolique est historicisée (personnages), plus l’ordre symbolique est fragile. Une humanité sans croyance est donc, selon lui, réduite à l’animalité.
ellauri339.html on line 313: Battons le fer quand il est chaud ! Takotaan kun rauta on kuumaa!
ellauri345.html on line 56: Tuomio rouva von Staёlin teoksessa "De l'Allemagne" on sattuva. Siinä lukee: »On ne saurait nier qu'il n'y ait dans ce livre une profonde connaissance du coeur humain, mais une connaissance decourageante; La vie y est representee comme une chose assez indifferente, de quelque manière qu'on la passe; triste quand on l'approfondit, assez agreable quand on l'esquive, susceptible de maladies morales qu'il faut guerir si l'on peut, et dont il faut mourir si l'on n'en peut guerir."
ellauri349.html on line 505: Politiquement, Sartre a rejoint le camp de l'antiaméricanisme et du soutien (non sans critiques) du PCF et de l'URSS, alors qu'Aron se rapproche de celui de la démocratie libérale et de l'anticommunisme. Alors qu'ils étaient amis dans leur jeunesse, ils se brouillent à partir de 1947, lors d'un débat radiophonique où Sartre, opposé à l'ancien résistant Pierre de Bénouville, compare de Gaulle à Hitler. Il demande alors à Aron de les départager, ce qu'il refuse, sans pour autant soutenir Bénouville. Par la suite, les désaccords iront grandissants. Aron rejoint le RPF gaulliste, quand Sartre co-fonde le Rassemblement démocratique révolutionnaire, un nom que l'intellectuel libéral juge oxymorique, estimant que la révolution souhaitée par Sartre ne peut pas être démocratique. Lenin oli samaa mieltä.
ellauri368.html on line 303: When he (Scrooge McDuck) gave a coin in alms to a poor man, he shouted at him this: 'Why do you sit with thy hands folded? The sleep of the laborer is sweet; go, then, till the earth and live with the labor of thine own hands. Thy hands are not bound, nor are thy feet put into fetters. By Jehovah, all of you are poor, because you hold your hands akimbo. If you had in your possession all the gold of my money bin, you would squander it. Do you perhaps wait for manna to come down from beaven, as it did for those who went out of Egypt, or for the earth to bring forth white bread and garments of fine wool, colored and embroidered, or do you wait for God to open windows in heaven?
xxx/ellauri116.html on line 434: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
xxx/ellauri139.html on line 913: Venait pleurer quand le jour fuit, Iltasella vähän itkeskelemään
xxx/ellauri139.html on line 1023: Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château et mort le 16 novembre 1780 à Paris, est un poète lorrain francophone. Son père, maire de Fontenoy-le-Château, propriétaire de deux fermes, y exerce le métier de marchand de grains. Son éducation est confiée au curé du village, un jésuite qui, voyant en lui « un esprit apte à être éduqué », lui apprend le latin. Puis le jeune Nicolas part faire ses humanités au collège de l'Arc à Dole. Après 1770, il part pour Paris, avec en poche ses premiers vers, ainsi qu’une lettre, signée de Mme de La Verpillière, femme du prévôt des marchands de Lyon et mécène. Cette lettre recommande le jeune poète à D’Alembert. Il semble que D’Alembert, lui ayant promis une place de précepteur, n’honore pas cette espérance, et le reçoit d’ailleurs assez froidement. Gilbert s'en souviendra quand il composera sa satire du Dix-huitième siècle :
xxx/ellauri165.html on line 560: In seguito, quando altre ragazze (fra cui anche la sorella di Chiara, Agnese) seguirono il suo esempio, presero dimora nella chiesa di San Damiano e diedero inizio a quello che in futuro sarebbero state le clarisse, tra le quali si distinsero sante come Caterina da Bologna, Camilla Battista da Varano, Eustochia Calafato.
xxx/ellauri167.html on line 130: Ed elli a me: «Vedrai quando saranno Ja hän mulle: "Älä hemmetissä pyllistä,
xxx/ellauri173.html on line 288: Sous une fausse symétrie, de part et d’autre de la serrure se cache une dissemblance radicale : c’est l’être humain qui a la clef – la clef de la serrure, la clef de la pièce qui enferme le singe, la clef du dispositif auquel l’homme soumet un animal qui ne demandait rien à personne, la clef de l’interprétation de toute l’expérience, la clef d’un regard scientifique ou voulu tel, quand le regard du singe n’est qu’un regard stressé, apeuré, c'est un interrogateur du jeu absurde qu’il subit sans en comprendre les tenants et aboutissants et sans en avoir lui-même institué les règles.
xxx/ellauri173.html on line 296: Et quand bien même une singe, à force de patience et de torture de lui-même et de ses copains, parviendrait jusque là, il y a encore un homme quelque part en pouvoir qui la contraint (et ses soeurs pas moins) à ce statut de objet passif d’un processus scientifique.
xxx/ellauri173.html on line 461: » Par le talent ; quand, sur l’or glauque de lointaines

xxx/ellauri173.html on line 496: Ainsi, quand des raisins j’ai sucé la clarté,

xxx/ellauri173.html on line 508: » J’accours ; quand, à mes pieds, s’entrejoignent (meurtries

xxx/ellauri176.html on line 320: C'est quand je me souviens de ton lait bu jadis. se johtuu siitä et mä muistan vielä sun maitoa.
xxx/ellauri177.html on line 256: -- Tu comprends, maintenant, nous allons dormir... Tu dois te coucher à côté de moi, tout contre moi. -- Vois-tu, murmurait Albine, quand on est marié, on a chaud... Tu ne me sens pas?
xxx/ellauri177.html on line 257: -- Si, tu es comme un édredon... Mais il ne faut pas parler, puisque nous dormons. C'est meilleur de ne pas parler quand on se fout.
xxx/ellauri239.html on line 421: Pour Proudhon, la seule source légitime de la propriété est le travail. Ce que chacun produit est sa propriété et celle de nul autre. Considéré comme un socialiste libertaire, Proudhon refuse la possession capitaliste des moyens de production. De même, il rejette la possession des produits du travail par la société, estimant que « la propriété du produit, quand même elle serait accordée, n'emporte pas la propriété de l'instrument. Le droit au produit est exclusif, jus in re ; le droit à l'instrument est commun, jus ad rem.». Pour Proudhon, seule la propriété coopérative, gérée en autogestion par les producteurs librement associés, permet le développement des individualités: c'est le mutuellisme.
xxx/ellauri329.html on line 65: Et, quand s’allume au loin le premier réverbère, Ja kun ensimmäinen katuvalo syttyy kaukaa,
xxx/ellauri363.html on line 59: Si, ormai sono due anni che sto con il mio ragazzo è lui è davvero superdotato, mai visto e avuto uno così. Ci sono sia pro che contro. All'inizio non è stato facile, tanto che la prima volta chè l'abbiamo fatto mi ha fatto uscire sangue, ed io non ero vergine! Poi lui avendolo anche molto largo, ogni volta all'inizio della penetrazione mi fa molto male, e succede ancora oggi. Ma Dopo che entra poi va tutto bene ed è bellissimo fare sesso con lui, tranne quando spinge forte che con la sua lunghezza mi arriva allo stomaco e li sono dolori, ma con il tempo ha capito I miei limiti e dove lui può arrivare e come andare.
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