ellauri049.html on line 424: Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots kuin pieni pyppeli, hypin aalloilla
ellauri049.html on line 445: L’Aube exaltée ainsi qu’un peuple de colombes, korkean sarastuxen kuin suvun puluja,
ellauri049.html on line 486: Et je restais, ainsi qu’une femme à genoux… ja mä jäin, kuin nainen polvilteen... ;)
ellauri049.html on line 828: Temple du Temps, qu’un seul soupir résume, Ajan pyhäkkö, jonka alkaa 1 ainut huokaus,
ellauri109.html on line 410: C’est en Égypte, durant le règne de Méhémet Ali Pacha, qu’une délégation française débarque en terre des pharaons dans l’intention de moderniser le pays du Nil. Parmi ses membres, y figurent Maxime Du Camp en tant que photographe, mais aussi Gustave Flaubert, qui n’a pas encore 30 ans et surtout qui n’est pas encore devenu un écrivain notoire. Sa mission au sein de la délégation reste peu claire. L’occasion pour Mohamed Taan, en prenant certaines libertés de romancier, de parler sans ambages de l’homosexualité de l’auteur de La tentation de saint Antoine…
ellauri117.html on line 49: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
ellauri118.html on line 440: Rimmon-Kenan (1985, 404) esittää klassisesssa artikkelissaan ”Qu’est-ce qu’un thème?”, että teema voidaan konstruoida kaunokirjallisen tekstin yhteisen rakenteellisen nimittäjän homologiaksi. Mitä vittua? Tää meni taas yli hilseen niin että tukka heilahti. Toisin sanoen teema olisi siis tulkinnallinen heijastus tekstin toistuvista rakenteellisista periaatteista. No ei toi nyt paljon auttanut.
ellauri131.html on line 1081: Mon coeur ne sera plus qu’un bloc rouge et glacé. Mun sydän on kuin punainen jäzkipallero.
ellauri145.html on line 48: Fatty dans sa « Ford Economy Spéciale » (une caisse à savon motorisée) et Al Clove (Picratt dans la version française) sur son Grand-bi se rendent chez le fermier voisin. Le premier est follement amoureux de Winnie, sa fille et vient lui rendre visite. Le second est porteur d’un message de son père qui propose au fermier de le marier à sa fille en échange de la moitié de ses terres. Al n’est pas très malin mais Fatty n’est qu’un garçon de ferme sans le sou. Malgré l´amour que porte Winnie à Fatty, le fermier n"hésite pas une seconde et est intraitable.
ellauri145.html on line 1091: Je vis assis, tel qu’un ange aux mains d’un barbier, Elän istualteen, kuin enkeli parturintuolissa,
ellauri146.html on line 433: Les flots de la poussière ainsi qu’un lac limpide. Ja pöläyttää pölyä kuin lammen pinnasta.
ellauri150.html on line 277: Elle faisait de la musique, comme la plupart des jeunes filles oisives d’à présent. Elle en faisait beaucoup et peu. C’est-à-dire qu’elle en était toujours occupée, et qu’elle n’en connaissait presque rien. Elle tripotait son piano, toute la journée, par désœuvrement, par pose, par volupté. Tantôt elle en faisait, comme du vélocipède. Tantôt elle pouvait jouer bien, très bien, avec goût, avec âme, — (on eût presque dit qu’elle en avait une : il suffisait, pour cela, qu’elle se mît à la place de quelqu’un qui en avait une). — Elle était capable d’aimer Massenet, Grieg, Thomé, avant de connaître Christophe. Mais elle était aussi capable de ne plus les aimer, depuis qu’elle connaissait Christophe. Et maintenant, elle jouait Bach et Beethoven très proprement, — (ce qui, à la vérité, n’est pas beaucoup dire) ; — mais le plus fort, c’était qu’elle les aimait. Au fond, ce n’était ni Beethoven, ni Thomé, ni Bach, ni Grieg, qu’elle aimait : c’étaient les notes, les sons, ses doigts qui couraient sur les touches, les vibrations des cordes qui lui grattaient les nerfs comme autant d’autres cordes, son épiderme chatouillé.
ellauri151.html on line 108: Car d’après ce que j’entendis les premiers temps dans celle de Jupien et qui ne furent que des sons inarticulés, je suppose que peu de paroles furent prononcées. Il est vrai que ces sons étaient si violents que, s’ils n’avaient pas été toujours repris un octave plus haut par une plainte parallèle, j’aurais pu croire qu’une personne en égorgeait une autre à côté de moi et qu’ensuite le meurtrier et sa victime ressuscitée prenaient un bain pour effacer les traces du crime. J’en conclus plus tard qu’il y a une chose aussi bruyante que la souffrance, c’est le plaisir, surtout quand s’y ajoutent—à défaut de la peur d’avoir des enfants, ce qui ne pouvait être le cas ici, malgré l’exemple peu probant de la Légende dorée—des soucis immédiats de propreté. Enfin au bout d’une demi-heure environ (pendant laquelle je m’étais hissé à pas de loup sur mon échelle afin de voir par le vasistas que je n’ouvris pas), une conversation s’engagea. Jupien refusait avec force l’argent que M. de Charlus voulait lui donner. (SG 609/11).
ellauri164.html on line 104: Les talents ! — Il n’y a personne ici et il y a quelqu’un : je ne voudrais pas répandre mon trésor. — Veut-on des chants nègres, des danses de houris ? Veut-on que je disparaisse, que je plonge à la recherche de l’anneau ? Veut-on ? Je ferai de l’or, des remèdes.
ellauri172.html on line 150: Un Comte quelconque nomme Alcool vit couché dans un cercueil sa dame de volupté, sa pâlissante épousée, Véra, son désespoir. La nuit dernière, sa bien-aimée s’était évanouie en des joies si profondes que son cœur avait défailli. Cependant leur nature était des plus étranges, en vérité ! Certaines idées, celles de l’âme, par exemple, de l’Infini, de Dieu même, étaient comme voilées à leur entendement. La foi d’un grand nombre de vivants aux choses surnaturelles n’était pour eux qu’un sujet de vagues étonnements. Au lieu de cela, les deux amants s’ensevelirent dans l’océan des joies languides et perverses. Veera oli Madonnan näköinen, tottakai. Veera oli kulkija luonnoltaan. Jätkät sätkät parrunpätkät, jasen tervahöyryn nimi, oli PRINSESSA ARMAADA! Continuons.
ellauri172.html on line 588: Très fat d’une beauté à laquelle je préférais, moi, bien des laideurs de ma connaissance, il ne semblait n’être, en somme, comme disent soldatesquement les soldats, qu’un miroir à… à ce que tu viens de nommer, Rançonnet, à propos de la Rosalba, c'est a dire PUTAIN!
ellauri172.html on line 606: Qui donc a dit — ce doit être un Anglais — que le monde est l’œuvre du Diable, devenu fou ? C’était sûrement ce Diable-là qui, dans un accès de folie, avait créé la Rosalba, pour se faire le plaisir… du Diable, de fricasser, l’une après l’autre, la volupté dans la pudeur et la pudeur dans la volupté, et de pimenter, avec un condiment céleste, le ragoût infernal des jouissances qu’une femme puisse donner à des hommes mortels.
ellauri172.html on line 654: « — Tenez ! — dit-elle, insolemment provocante, — voilà votre image ! C’était brûlant il n’y a qu’une seconde, et c’est froid.
ellauri172.html on line 676: « — Tu ne le sauras pas ! — dit-elle, en le narguant. Et elle le cingla de ce tu ne le sauras pas ! mille fois répété, mille fois infligé à ses oreilles ; et quand elle fut lasse de le dire, — le croiriez-vous ? — elle le lui chanta comme une fanfare ! Puis, quand elle l’eut assez fouetté avec ce mot, assez fait tourner comme une toupie sous le fouet de ce mot, assez roulé avec ce mot dans les spirales de l’anxiété et de l’incertitude, cet homme, hors de lui, et qui n’était plus entre ses mains qu’une marionnette qu’elle allait casser ; quand, cynique à force de haine, elle lui eut dit, en les nommant par tous leurs noms, les amants qu’elle avait eus, et qu’elle eut fait le tour du corps d’officiers tout entier : « Je les ai eus tous, — cria-t-elle, — mais ils ne m’ont pas eue, eux ! Et cet enfant que tu es assez bête pour croire le tien, a été fait par le seul homme que j’aie jamais aimé ! que j’aie jamais idolâtré ! Et tu ne l’as pas deviné ! Et tu ne le devines pas encore ? »
ellauri192.html on line 125: Que l’homme, fier néant, n’est qu’un des parasites / D’une sphère oubliée entre les plus petites, / Parasite à son tour des crins d’or du soleil.
ellauri192.html on line 129: “Tout vivant n’a qu’un but: persévérer à vivre; / … Esclave de ce but qu’il n’eut point à choisir, / Il voue entiérement sa force à le poursuivre”
ellauri210.html on line 825: n’est plus qu’un absurde et livide galet. Ei enää ole kuin absurdi maxoittunut vesikivi.
ellauri266.html on line 456: Un manuscrit enfermé dans une bouteille est retrouvé dans l´espace par Jinn et Phyllis, un couple en voyage spatial. Ce manuscrit raconte l´histoire suivante : en l’an 2500, le savant professeur Antelle a organisé une expédition pour l’exploration de l’étoile supergéante Bételgeuse. Il a embarqué à bord de son vaisseau son disciple, le jeune physicien Arthur Levain, et le journaliste, narrateur de cette aventure, Ulysse Méroua 12 ainsi qu’un chimpanzé baptisé Hector et plusieurs plantes et animaux pour ses recherches scientifiques dans l’espace. Arrivés à proximité de l´étoile, ils distinguent quatre planètes gravitant autour d´elle. L’une d’entre elles ressemble étrangement à la Terre. Ils décident alors de l’explorer. À bord d’un « engin à fusée » qu´ils nomment chaloupe, les trois aventuriers survolent des villes, des routes, des champs avant d’atterrir dans une forêt1. Après avoir effectué des tests, ils quittent leur chaloupe et découvrent l’étonnante ressemblance de l’atmosphère de cette planète, qu’ils baptisent Soror, avec celle de la Terre. Ils enlèvent leurs scaphandres et assistent impuissants à la fuite d’Hector. Par curiosité, ils s’engagent dans la forêt et arrivent à un lac naturel dont l’eau limpide leur donne envie de se baigner. Mais à leur grande surprise, ils découvrent au bord du lac les traces de pas humains.
ellauri266.html on line 486: Pierre Boulle considère son roman comme n´étant pas de la science-fiction. Pour lui, ses « singes ne sont pas des monstres, ils ressemblent aux hommes comme des frères ». La science-fiction n´est qu´un prétexte pour aborder d´autres thématiques comme les relations entre les hommes et les singes. La sophistication, qui est pourtant inhérente au genre, est en effet peu présente dans le récit. Rod Serling créateur de la série télévisée de science-fiction La Quatrième dimension (1959-1964) et premier adaptateur du roman pour le cinéma confirme en 1972 que Boulle « n´a pas la dextérité d´un écrivain de science-fiction ». Serling écrit que le livre de Boulle est « une longue allégorie sur la morale plus qu’un monument de science-fiction. Cependant, il contient dans sa structure une phénoménale idée de science-fiction ».
ellauri285.html on line 688: Régis Debray s’intéresse au problème du religieux et de la croyance au sein du groupe social. Son postulat de départ est : il n’y a pas de société sans transcendance, qui fonctionne là comme un phéromone. De même qu’un État laïc a ses obligations morales, les athées ont des valeurs sacrées. Pour lui, cette transcendance est nécessaire à la cohésion sociale. L’Union soviétique avait Lénine, les États-Unis d´Amérique ont George Washington et les pères fondateurs, la Constitution. Il y en avait aussi autrefois en France avec les héros mythiques de la République, comme Danton ou Leclerc.
ellauri365.html on line 86: kaikki nämä epämääräiset salaisuudet, jotka sydän voi lukita. Tous ces vagues secrets qu’un cœur peut enfermer.
ellauri365.html on line 100: Ou, joissa vaalealla hiekalla, kuin tyynellä vedellä, Où, sur le sable blond, ainsi qu’une eau dormante,
ellauri365.html on line 216: Enemmän kuin palava sydän voi pelastaa rakastajan! Plus qu’un cœur embrasé peut sauver un amant !
ellauri365.html on line 220: kahta varjoamme seinältä ja näki vain yhden, Nos deux ombres au mur et n’en voyait plus qu’une,
ellauri398.html on line 382: Dieu a-t-il créé le mal, qu'en pensez-vous ?Se peut-il que la terre soit en fait l'enfer? Irez-vous dans le monde entier proclamer la Bonne Nouvelle de Dieu, à toute la Création, qu’un Sauveur vous a été donné pour vous sauver de la mort éternelle? Est-ce que c'est bien de sortir avec une femme de 35 ans si j'ai 19 ans? Pourquoi le judaisme, pourtant apparu en premier, n'est pas arrivé à s'étendre dans le monde comme le christianisme ou l'islam ?
ellauri419.html on line 57: Le système capitaliste actuel nous a conduits à un monde où la faune et la flore ont diminué de 73 % en 50 ans seulement. Il y a quelques jours, la COP16 sur la biodiversité s’est achevée à Cali, en Colombie, où, en dépit de certains résultats obtenus par les peuples indigènes, les afro-descendants et les paysans, on n’a généralement simulé qu’une préoccupation pour la Mère Nature, nos biens naturels et nos territoires qui sauvegardent 80 % de la biodiversité actuelle.
ellauri419.html on line 70: L’AntiCOP était bien plus qu’une réponse à la COP officielle, elle est devenue un espace de rencontre et d’articulation des peuples en résistance, un mouvement qui défie l’extractivisme, le colonialisme vert et les mégaprojets qui dépossèdent nos communautés de leurs ressources et de leurs terres. C’est aussi une articulation d’en bas qui se souvient, imagine et construit d’autres mondes en harmonie avec les écosystèmes, la biodiversité et la justice. A partir d’AntiCOP 2024, nous nous engageons à continuer à construire ensemble, en respectant nos différences et en reconnaissant nos luttes communes. Nous sommes le Sud global, nous sommes les gardiens de nos terres et de nos cultures. Cette lutte est la nôtre et nous la défendons avec détermination et unité.
xxx/ellauri116.html on line 434: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
xxx/ellauri123.html on line 54: ..aussi noir qu’un curé.
xxx/ellauri123.html on line 1209: Entrouvrant tout ainsi qu’un sépulcre cendreux, Raottuu kuin tuhkainen hautakammio,
xxx/ellauri123.html on line 1233: Tel c.. sera pour toi, puisqu’un autre plus beau Sellainen v.. sopi sulle, koska kauniimpi
xxx/ellauri139.html on line 1023: Nicolas Joseph Florent Gilbert, né le 15 décembre 1750 dans le sud du duché de Lorraine à Fontenoy-le-Château et mort le 16 novembre 1780 à Paris, est un poète lorrain francophone. Son père, maire de Fontenoy-le-Château, propriétaire de deux fermes, y exerce le métier de marchand de grains. Son éducation est confiée au curé du village, un jésuite qui, voyant en lui « un esprit apte à être éduqué », lui apprend le latin. Puis le jeune Nicolas part faire ses humanités au collège de l'Arc à Dole. Après 1770, il part pour Paris, avec en poche ses premiers vers, ainsi qu’une lettre, signée de Mme de La Verpillière, femme du prévôt des marchands de Lyon et mécène. Cette lettre recommande le jeune poète à D’Alembert. Il semble que D’Alembert, lui ayant promis une place de précepteur, n’honore pas cette espérance, et le reçoit d’ailleurs assez froidement. Gilbert s'en souviendra quand il composera sa satire du Dix-huitième siècle :
xxx/ellauri139.html on line 1197: Ma douceur n’est qu’une grimace ; Hyvyyteni on vain irvstys;
xxx/ellauri173.html on line 79: Je sens bien qu’il faut que j’invente un instrument qui répète avant même qu’on ait parlé, ― ou qui, si l’expérimentateur lui souffle : « Bonjour, monsieur ! » réponde : « Merci, comment vous portez-vous ? » Ou qui, s’il arrive qu’un oisif éternue dans l’auditoire, lui crie : « À vos souhaits ! » ou :« Dieu vous bénisse ! » etc.
xxx/ellauri173.html on line 280: Deux chercheurs, nous dit Y. Coppens, qui épiaient à travers le trou d’une serrure (sic) le comportement d’un chimpanzé qu’ils avaient enfermé avec un régime de banane pendu au plafond et avec des moyens de l’atteindre pourvu qu’un minimum de réflexion fût mis en œuvre par l’animal, furent surpris de ne voir… que l’œil du singe qui, tout comme eux, regardait à travers ce trou. «
xxx/ellauri173.html on line 288: Sous une fausse symétrie, de part et d’autre de la serrure se cache une dissemblance radicale : c’est l’être humain qui a la clef – la clef de la serrure, la clef de la pièce qui enferme le singe, la clef du dispositif auquel l’homme soumet un animal qui ne demandait rien à personne, la clef de l’interprétation de toute l’expérience, la clef d’un regard scientifique ou voulu tel, quand le regard du singe n’est qu’un regard stressé, apeuré, c'est un interrogateur du jeu absurde qu’il subit sans en comprendre les tenants et aboutissants et sans en avoir lui-même institué les règles.
xxx/ellauri376.html on line 551: N’en a pas moins foutu qu’un autre ;
xxx/ellauri376.html on line 621: Ce héros n’est plus qu’un fouteur.
xxx/ellauri376.html on line 643: N’est qu’un noble et vaste bordel.
xxx/ellauri376.html on line 656: Quoique plus gueux qu’un rat d’église,
xxx/ellauri420.html on line 537: Le Christ n’est donc pas le simple « personnage » d’une narration distanciée : il est un avatar de la subjectivité lyrique, laquelle engage à son tour la vie même du poète. Rappelons à ce propos qu’une première version du poème – celle contenue dans la lettre à Victor Loubens – remonte à la crise de 1841 alors que Nerval a dû, malgré qu’il en ait, se laisser « classer dans une affection définie par les docteurs et appelée indifféremment Théomanie ou Démonomanie dans le dictionnaire médical ». « Je me croyais Dieu moi-même », écrit Nerval. « C’était bien lui, ce fou, cet insensé sublime… », lit-on réciproquement dans Le Christ aux Oliviers, en un vers où Nerval projette sur le Christ cette même « folie » que ses confrères littéraires aussi bien que « les médecins et les commissaires » lui jettent au visage. Il (Nerval) devient, dans le finale du texte, un nouveau « prophète », annonçant, après la sorte de Contre-Évangile que constitue la partie centrale empruntée à Jean Paul, quelque religion nouvelle qui permettrait de dépasser l’opposition du paganisme et du christianisme. Se on se kaveri joka antaa sielun liman lapsille.
xxx/ellauri420.html on line 569: Par ailleurs, la renommée de d’Alembert lui valait des invitations jusque dans les cours princières. En 1763, Il avait eu à répondre, comme Voltaire, à celle du roi de Prusse Frédéric II en son château de Potsdam. Alors que madame du Deffand se targuait d’entretenir avec lui un rapport privilégié d’Alembert était tombé amoureux de Julie mais il était trop timide pour se déclarer. Il saisit l’occasion de ce voyage pour le faire. Pendant son séjour Julie eut droit à une lettre quotidienne alors que la marquise n’en reçut qu’une pendant ces trois mois de séparation. Plus grave encore : il avait été le premier à donner le mauvais exemple en montant à l’entresol avant l’ouverture officielle du salon. Suprême infidélité ! La marquise enrage de jalousie et somme d’Alembert de choisir entre elle et Julie. Il n’hésite pas un instant : ce sera Julie.
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