ellauri033.html on line 843: Et près des flots chéris qu´elle devait revoir,
ellauri118.html on line 812: Mademoiselle de Chartres est une jeune fille de 15 ans qui arrive à la cour du roi Henri II. Le prince de Clèves tombe amoureux d´elle, mais ce sentiment n´est pas partagé. Ils se marient. Elle tombe amoureuse du duc de Nemours, mais leur amour serait illégitime, puisqu´elle est mariée. Afin d´éviter de le revoir elle se retire de la cour, et avoue sa passion à son mari. Celui-ci meurt de chagrin. Elle décide alors de se retirer dans un couvent.
ellauri118.html on line 816: Sacré roi de France le 26 juillet 15471 à Reims, il prend comme emblème le croissant de lune, qui est depuis toujours celui de la maison d´Orléans à laquelle il appartient en tant que fils cadet de François Ier[réf. nécessaire]. Ses devises sont Plena est œmula solis (« L´émule du soleil est pleine ») et Donec totum impleat orbem (« Jusqu´à ce qu´elle remplisse le monde tout entier »).
ellauri118.html on line 875: Il n´y a point de femme que le soin de sa parure n´empêche de songer à son amant; qu´elles en sont entièrement occupées; que ce soin de se parer est pour tout le monde, aussi bien que pour celui qu´elles aiment; que lorsqu´elles sont au bal, elles veulent plaire à tous ceux qui les regardent; que, quand elles sont contentes de leur beauté, elles en ont une joie dont leur amant ne fait pas la plus grande partie.
ellauri118.html on line 877: Il dit aussi que, quand on n´est point aimé, on souffre encore davantage de voir sa maîtresse dans une assemblée; que plus elle est admirée du public, plus on se trouve malheureux de n´en être point aimé; que l´on craint toujours que sa beauté ne fasse naître quelque amour plus heureux que le sien; enfin, il trouve qu´il n´y a point de souffrance pareille à celle de voir sa maîtresse au bal, si ce n´est de savoir qu´elle y est, et de n´y être pas.
ellauri145.html on line 1020: Bref, l´art charmant qu´elle sait faire, Siis se on sen charmikasta taidetta,
xxx/ellauri128.html on line 576: Jean Rostand, né le 30 octobre 1894 à Paris (17e arrondissement) et mort le 4 septembre 1977 à Ville-d´Avray (Hauts-de-Seine), était un écrivain, moraliste, biologiste, historien des sciences et académicien français. Très intéressé par les origines de la vie, il étudie la biologie des batraciens (grenouilles, crapauds, tritons et autres), la parthénogenèse, l´action du froid sur les œufs, et promeut de multiples recherches sur l´hérédité. Avec conviction et enthousiasme, il s´efforce de vulgariser la biologie auprès d´un large public (il reçoit en 1959 le prix Kalinga de vulgarisation scientifique) et d´alerter l´opinion sur la gravité et des problèmes humains qu´elle pose. Considérant la biologie comme devant être porteuse d´une morale, il met en garde contre les dangers qui menacent les humains lorsqu´ils jouent aux apprentis sorciers, comme les tenants de l´eugénisme. Toutefois, Rostand soutient une forme d´« eugénisme 'positif' », approuvant certains écrits d´Alexis Carrel et la stérilisation des personnes atteintes de certaines formes graves de maladies mentales, ce qui fut rapproché, après la guerre, de la loi nazie de 1933, et lui fut reproché dans un contexte où l´eugénisme est une idéologie encore répandue avec des auteurs comme Julian Huxley, premier directeur de l´UNESCO (1946-1948).
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