ellauri021.html on line 530: Hanê min de, Dayê min de Äiti kulta, anna mä nain sen Hanhemme petä, no emme petä
ellauri021.html on line 531: Hanê min de, Dayê min de Äiti kulta, anna mä nain sen Hanhemme petä, no emme petä
ellauri021.html on line 536: Hema nsedî tu bi Helebê de Viissatasella voit Aleppon Omaan perseeni, nyt hän vetää
ellauri021.html on line 537: Hema nsedî de ho yadê tu bi Helebê de ho yadê Viissatasella voit sen ostaa, ostaa Aleppon. OMAAN PERSEENI NIILIN HANHET! Nyt hän veteli, Niilin hanhet
ellauri021.html on line 540: Hanê min de, Dayê min de Äiti kulta, anna mä nain sen Hanhemme petä, no emme petä
ellauri021.html on line 541: Hanê min de, Dayê min de Äiti kulta, anna mä nain sen Hanhemme petä, no emme petä
ellauri021.html on line 546: Hema nsedî tu bi Helebê de Viissatasella voit Aleppon, Omaan perseeni, nyt hän vetää
ellauri021.html on line 547: Hema nsedî de ho yadê tu bi Helebê de ho yadê Niillä viidellä sadalla voit ostaa Aleppon. Omaan perseeni Niilin hanhet, nyt hän vetää
ellauri021.html on line 557: Hanê min de, Dayê min de Äiti kulta, anna mä nain sen. Hanhemme petät, no emme petä
ellauri021.html on line 558: Hanê min de, Dayê min de Äiti kulta, anna mä nain sen. Hanhemme petät, no emme petä
ellauri021.html on line 563: Hema nsedî tu bi Helebê de Viissatasella voit Aleppon. Omaan perseeni, nyt hän vetää
ellauri021.html on line 564: Hema nsedî de ho yadê Helebê de Viissatasella voit ostaa Aleppon. Omaan perseeni Niilin hanhet, nyt hän vetää
ellauri033.html on line 181: Edmond la recueillit lidèlement. Sa modestie ne l´emcha point de la
ellauri033.html on line 314:

Mais quoi ? Les « noces » ne l´emcheront peutêtre pas de faire son
ellauri033.html on line 1025: Ah! si mon frêle esquif, battu par la temte, Au! Jos mun rikko-haaxi myrskyn mukiloima,
ellauri049.html on line 423: La temte a béni mes éveils maritimes. Myrsky siunasi mun merivahtivuoroja,
ellauri049.html on line 496: N’auraient pas reché la carcasse ivre d’eau ; ei olisi vaivautuneet kalastamaan ylös kännissä;
ellauri055.html on line 168: Le brugnon est le fruit du brugnonier (Prunus persica var. nucipersica), une variété de chers (Prunus persica). C'est une drupe qui se distingue des ches et pavies par sa peau sans duvet, et des ches et nectarines par son noyau adhérent. La chair du brugnon est blanche ou jaune selon les variétés. Sa peau présente une couleur rouge-orangé tirant sur le bordeaux.
ellauri055.html on line 171: Comme la che, le brugnon provient de Chine. Ils furent importés en Europe au Ier siècle av. J.-C..
ellauri058.html on line 952: Jules Maigret naît à Saint-Fiacre (se oli se lapioon nojaava misogyyni puutarhapyhimys!) dans l’Allier, en 1887, ce qui ne l’emchera pas de n’avoir que 58 ans en 1967. Se on kuin Roope Ankka, vanha muttei vanhene.
ellauri058.html on line 960: Dans la plupart des enquêtes, notamment les premières publiées, les lecteurs le découvrent dans la quarantaine, pesant, massif sous son chapeau melon, ce qui ne l'emchera pas quelque temps plus tard de passer au feutre mou. Avec son gros pardessus noir, la pipe au bec, mains dans les poches. Julle vetää viinaa olutta viiniä ja aperitiiveja ja polttaa piippua aivan ketjussa. Murahtelee puhelimeen ja ripustaa takasin koukkuun luuria. Eclusessa sen etunimi oli Joose. Kymmenluvulla sillä oli yhtä isot wiixet kuin Daltonin weljexillä.
ellauri074.html on line 343: Quand je me rase, me disait un demi-fou, qui, sinon Dieu, m'emche de me couper la gorge ? -La foi ne serait, en somme, qu'un artifice de l'instinct de conservation.
ellauri118.html on line 875: Il n´y a point de femme que le soin de sa parure n´emche de songer à son amant; qu´elles en sont entièrement occupées; que ce soin de se parer est pour tout le monde, aussi bien que pour celui qu´elles aiment; que lorsqu´elles sont au bal, elles veulent plaire à tous ceux qui les regardent; que, quand elles sont contentes de leur beauté, elles en ont une joie dont leur amant ne fait pas la plus grande partie.
ellauri145.html on line 246: Le 15 juillet 1848 paraît, dans La Liberté de penser, un texte d´Edgar Allan Poe traduit par Baudelaire : Révélation magnétique. À partir de cette période, Baudelaire ne cessera de proclamer son admiration pour l´écrivain américain, dont il deviendra le traducteur attitré. La connaissance des œuvres de Poe et de Joseph de Maistre atténue définitivement sa « fièvre révolutionnaire ». Plus tard, il partagera la haine de Gustave Flaubert et de Victor Hugo pour Napoléon III, mais sans s´engager outre mesure d´un point de vue littéraire (« L´Émeute, temtant vainement à ma vitre / Ne fera pas lever mon front de mon pupitre »).
ellauri150.html on line 269: à table, battant des mains, quand il y avait un plat qu’elle aimait ; au salon, grillant des cigarettes, affectant, devant les hommes, une affection exubérante pour ses amies, se jetant à leur cou, leur caressant la main, leur chuchotant à l’oreille, disant des ingénuités, disant aussi des méchancetés, admirablement, d’une voix douce et frêle, qui savait même, à l’occasion, dire des choses très lestes, sans avoir l’air d’y toucher, qui savait encore mieux en faire dire, — l’air candide d’une petite fille bien sage, les yeux brillants, aux paupières lourdes, voluptueux et sournois, qui regardaient de côté, malignement, guettant tous les potins, happant toutes les polissonneries de la conversation, et tâchant de cher çà et là quelque cœur à la ligne.
ellauri150.html on line 430: Le vicomte intervient et provoque Cyrano, qui réplique par une brillante tirade à l’honneur de son propre nez. Tout en rimant, il sort son épée et bat en duel le vicomte, que ses amis évacuent blessé, tandis que l'assemblée acclame le vainqueur. Le calme revient. Cyrano est secrètement amoureux de sa cousine Roxane mais son physique disgracieux du fait de la taille de son nez l’emche de se déclarer.
ellauri162.html on line 228: Il ’était un garçon des forêts, travaillant la terre, le bois, la che, la chasse, toute cette culture que l’on retrouve dans ses livres. Il était flotteur de bois sur les rivières du nord, une sorte d’aristocratie de ces sans-domicile fixe.
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à temtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une che, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 658: « Faut-il que je le répète jusqu’à satiété ? Certes ! je n’étais pas jaloux de cette femme : mais nous sommes tous les mêmes. Malgré moi, je voulus voir à qui elle écrivait, et, pour cela, ne m’étant pas assis encore, je m’inclinai par-dessus sa tête ; mais mon regard fut intercepté par l’entre-deux de ses épaules, par cette fente enivrante et duvetée où j’avais fait ruisseler tant de baisers, et, ma foi ! magnétisé par cette vue, j’en fis tomber un de plus dans ce ruisseau d’amour, et cette sensation l’emcha d’écrire… Elle releva sa tête de la table où elle était penchée, comme si on lui eût piqué les reins d’une pointe de feu, se cambrant sur le dossier de son fauteuil, la tête renversée ; elle me regardait, dans ce mélange de désir et de confusion qui était son charme, les yeux en l’air et tournés vers moi, qui étais derrière elle, et qui fis descendre dans la rose mouillée de sa bouche entr’ouverte ce que je venais de faire tomber dans l’entre-deux de ses épaules.
ellauri266.html on line 460: Le jour suivant, un grand tapage semble étourdir les humains de Soror qui fuient dans tous les sens. Sans trouver d’explication à cette agitation, le narrateur et Arthur Levain les suivent. Au bout de sa course, le narrateur s’arrête et découvre ce qui lui paraît un cauchemar3. Le tapage est en fait une partie de chasse où les chasseurs sont des singes et le gibier, des humains. Se trouvant sur la ligne de tir d’un gorille, le narrateur ne peut s’emcher de remarquer l’élégance de sa tenue de chasse et son regard étincelant comme celui des humains sur la planète Terre. Ces singes semblent raisonnables et intelligents. Cependant, son compagnon Arthur, pris de terreur et tentant de s´enfuir, est tué sur-le-champ par le gorille. Le narrateur profite d’un petit instant de relâchement et s’enfonce dans les buissons. Mais il est capturé par un filet tendu pour attraper les fuyards.
ellauri266.html on line 468: Le narrateur commence à apprendre le langage simien. Profitant d’une visite de routine, il dessine à Zira des figures géométriques et les théorèmes qui en découlent, puis le Système solaire et celui de Bételgeuse, la trajectoire de son vaisseau et son origine, la Terre. Zira comprend son message et lui demande de garder le secret car Zaïus pourrait lui causer des problèmes. Zira commence à apprendre le français et les deux peuvent communiquer facilement. Elle lui apprend comment les singes se sont développés sur cette planète alors que l’homme est resté à un stade d’animalité. Enfin, le narrateur retrouve l’air libre lorsque Zira l´amène en promenade, après trois mois d’enfermement, pour lui présenter Cornélius, son fiancé, un chimpanzé biologiste très intelligent et intuitif. Il se laisse tenir en laisse comme le lui a recommandé Zira et tente de dissimuler son intelligence. Zira lui apprend que Zaïus voulait le transférer à la division encéphalique pour pratiquer sur son cerveau des opérations délicates mais qu’elle l’en a emché. Avec Cornélius, elle lui conseille de faire très attention et d´attendre le congrès des savants biologistes qui va se tenir dans les jours suivants où il sera présenté par Zaïus, pour révéler son secret.
xxx/ellauri057.html on line 917: Pendant toute la guerre, entre 1940 et 1945, Simenon continue à vivre en Vendée et en Charente-Maritime, mais cette période, assez mal connue, est sujette à de multiples soupcons. Représentant de l'État belge auprès des Belges réfugiés, il refuse d'aider ceux d'entre eux qui sont juifs. Non seulement son frère fut volontaire auprès de la Waffen-SS Wallonie, mais de plus, selon certaines personnes, lors de cette période cruciale de sa vie et de son œuvre, l'écrivain aurait été un collaborateur, ou doucement dit, un peu "lâche". Il n'est pas revenu en Belgique, afin d'échapper au service militaire), un peu rusé et opportuniste, sans aucun sens de l'histoire avec un grand H. Il a commis d'« énormes imprudences » en écrivant dans des journaux contrôlés par les Allemands, mais Simenon ne dénonce pas, ne s'engage pas, ne fait pas de politique, seulement de la fiction. En fait, les accords qu'il a passés avec la firme cinématographique allemande Continental lui valent quelques tracas à la Libération. En 1944, une déche de l'AFP, retrouvée à Poitiers, mentionne sa dénonciation pour « intelligence avec l'ennemi » par « certains villageois vendéens exaspérés par la conduite égoïste de cet écrivain affichant l'opulence de son train de vie, à l'époque des tickets d'alimentation. »
xxx/ellauri114.html on line 311: »7. Ja nämä ovat heidän johtajiensa nimet: Sêmîazâz, heidän johtajansa, Arâkîba, Râmêêl, Kôkabîêl, Tâmîêl, Râmîêl, Dânêl, Êzêqêêl, Barâqîjâl, Asâêl, Armârôs, Batârêl, Anânêl, Zaqîêl, Samsâêl, Satarêl, Tûrêl, Jômjâêl, Sariêl. 8. Nämä ovat heidän kymmenenjohtajansa. » (R. H. Charles translation, The Book of the Weight Watchers, Chapter VI.)
xxx/ellauri123.html on line 1186: Baigné, trempé de l’eau, comme si la temte Kasteltu likomärkä, kuin myrsky olisi
xxx/ellauri363.html on line 332: mielisairaalan, Bicêtren ja Saltrieren, potilailta kahleet vuosina 1793 ja 1794.
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