ellauri036.html on line 629: Lève-toi, les seins nus, belle prostituée.
ellauri036.html on line 918: N'était-ce pas sa sœur, cette prostituée ?
ellauri145.html on line 231: No 6 rue Le Regrattier: maison où Baudelaire logea sa maîtresse Jeanne Duval, dite la Vénus noire. De retour à Paris, Charles s´éprend de Jeanne Duval, une « jeune mulâtresse » avec laquelle il connaît les charmes et les amertumes de la passion. Une idylle au sujet de laquelle certains de ses contemporains, comme Nadar, se sont interrogés en s´appuyant sur les déclarations d´un amant de Jeanne Duval et de prostituées connues, qui témoignent au contraire de la chasteté surprenante de Baudelaire.
ellauri145.html on line 233: Dandy endetté, Baudelaire est placé sous tutelle judiciaire et mène dès 1842 une vie dissolue. Il commence alors à composer plusieurs poèmes des Fleurs du mal. Critique d´art et journaliste, il défend Delacroix comme représentant du romantisme en peinture, mais aussi Balzac lorsque l´auteur de La Comédie humaine est attaqué et caricaturé pour sa passion des chiffres ou sa perversité présumée. En 1843, il découvre les « paradis artificiels » dans le grenier de l´appartement familial de son ami Louis Ménard, où il goûte à la confiture verte. Même s´il contracte une colique à cette occasion, cette expérience semble décupler sa créativité (il dessine son autoportrait en pied, très démesuré) et renouvellera cette expérience occasionnellement sous contrôle médical, en participant aux réunions du « club des Haschischins ». En revanche, son usage de l´opium est plus long : il fait d´abord, dès 1847, un usage thérapeutique du laudanum17, prescrit pour combattre des maux de tête et des douleurs intestinales consécutives à une syphilis, probablement contractée vers 1840 durant sa relation avec la prostituée Sarah la Louchette. Comme De Quincey avant lui, l´accoutumance lui dicte d´augmenter progressivement les doses. Croyant ainsi y trouver un adjuvant créatif, il en décrira les enchantements et les tortures.
ellauri146.html on line 556: Placèrent Dalila, pâle prostituée, Tän (nyt) kalvakan prostituutin siis,
ellauri221.html on line 85: Marthe Richer, dite Marthe Richard, épouse Crompton, née Betenfeld le 15 avril 1889 à Blâmont (Meurthe-et-Moselle) et morte le 9 février 1982 à Paris, est une prostituée, aviatrice, espionne et femme politique française.
ellauri221.html on line 93: Issue d'une famille modeste (son père Louis Betenfeld, violent et alcoolique, est ouvrier brasseur et sa mère Marie Lartisant domestique), Marthe Betenfeld a un frère et une sœur aînés, Camille et Jeanne. Elle est envoyée quelques années dans une institution catholique et son destin semble tout tracé : couturière, comme sa sœur aîné. Puis elle devient à Nancy apprentie culottière, à quatorze ans. Le métier ne l'enchantant guère, elle fugue de chez ses parents. Elle est interpellée pour racolage en mai 1905 par la Police des mœurs et ramenée chez ses parents. Elle fugue à nouveau à 16 ans et se retrouve à Nancy, ville avec une importante garnison militaire, où elle tombe amoureuse d'un Italien se disant sculpteur mais qui se révèle être un proxénète. Il l'envoie sur le trottoir, puis elle devient prostituée dans les « bordels à soldats » de Nancy. Devant effectuer plus de 50 passes par jour, elle tombe rapidement malade et contracte la syphilis. Renvoyée du bordel, dénoncée par un soldat pour lui avoir transmis la syphilis et fichée par la police (où elle est inscrite comme prostituée mineure le 21 août 1905), elle est contrainte de s'enfuir à Paris. Elle rentre dans un « établissement de bains » rue Godot-de-Mauroy (maison close d'un standing supérieur à ses anciennes maisons d'abattage) où elle rencontre, un soir de septembre 1907, Henri Richer, mandataire aux Halles. Le riche industriel l'épouse le 13 avril 1915. Elle fait alors table rase de son passé et devient une respectable bourgeoise de la Belle Époque dans son hôtel particulier de l'Odéon. Elle demande à être rayée du fichier national de la prostitution, ce qui lui est refusé.
ellauri221.html on line 97: Elle dépose le 13 décembre 1945 devant le Conseil municipal de Paris un projet pour la fermeture des maisons closes. Dans son discours, elle ne s’en prend pas tant aux prostituées qu’à la société, responsable selon elle, de la « débauche organisée et patentée » et à la mafia, qui bénéficie de la prostitution réglementée ; le propos permet aussi de rappeler que le milieu de la prostitution s'est compromis avec l’occupant pendant la guerre. Sa proposition est votée et le 20 décembre 1945, le préfet de police Charles Luizet décide de fermer sans préavis les maisons du département de la Seine dans les 3 mois (au plus tard le 15 mars 1946, date qu'a fixée le conseil municipal). Encouragée, Marthe Richard commence une campagne de presse pour le vote d'une loi généralisant ces mesures. Elle est soutenue par le Cartel d'action sociale et morale et le ministre de la Santé publique et de la Population, Robert Prigent.
xxx/ellauri057.html on line 927: En avril 1977, lors d'un entretien avec son ami Federico Fellini, il avoue sur le ton de la boutade avoir effectué un petit calcul et être arrivé à un total de 10 000 femmes depuis l'âge de treize ans et demi, dont 8 000 étaient des prostituées.
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