ellauri028.html on line 445: D'apprendre à compter
ellauri028.html on line 446: D'apprendre à parler
ellauri033.html on line 143: plupart de celles qui se laissent comprendre trouvent le moyen d´être à
ellauri033.html on line 225: mal comprendre les subtils propos d´un philosophe.


ellauri033.html on line 274: malade que jamais et ne sachant où se prendre, il finit par invoquer la
ellauri036.html on line 944: Doive éternellement ne prendre à sa maîtresse
ellauri055.html on line 129: il est interdit aux baha’is de boire de l’alcool ou de prendre des drogues à usage récréatif, sauf si c’est prescrit par un médecin;
ellauri058.html on line 954: Dans les romans, il apparaît comme ayant entre 45 et 60 ans. Quand Simenon crée son personnage il lui donne entre 40 et 45 ans et comme il pensait que de toute manière son commissaire devait prendre sa retraite à 55 ans, on peut estimer que le commissaire à la retraite qui apparaît dans le roman Maigret a un peu plus de 55 ans.
ellauri074.html on line 379: Socrate, la veille de sa mort, était en train d'apprendre un air de flûte. «A quoi cela te servira-t-il? lui dit-on. - A savoir cet air avant de mourir.»
ellauri145.html on line 167: Après la démission de Bugeaud, en juin 1847, Borel est nommé inspecteur de la colonisation à Mostaganem, le 19 juillet. Le 2 septembre, il se marie à Alger avec Gabrielle Claye, dite Béatrix, fille de sa maîtresse Marie-Antoinette Claye et d´Augustin Claye (mort en 1827), âgée de 19 ans, avant de prendre son poste à Mostaganem le 7 septembre.
ellauri145.html on line 182: le but de mettre ma menace à exécution; mais le brigand se pencha à travers la table et, m´ajustant un coup sur le front avec le goulot d´une de ses longues bouteilles, me renvoya dans le fond du fauteuil, d´où je m´étais à moitié soulevé. J´étais absolument étourdi, et pendant un moment je ne sus quel parti prendre. Lui, cependant, continuait son discours.
ellauri145.html on line 215: Peu fait pour comprendre la vive sensibilité de l´enfant, l´officier Aupick – devenu plus tard ambassadeur – incarne à ses yeux les entraves à tout ce qu´il aime : sa mère, la poésie, le rêve et, plus généralement, la vie sans contingences.
ellauri150.html on line 337: Elle jouait son morceau, s’appliquant de son mieux ; et, comme elle était habile, elle y réussissait très passablement, parfois même assez bien. Christophe, qui n’était pas dupe, riait en lui-même de l’adresse « de cette sacrée mâtine (sekarotuinen narttu), qui jouait, comme si elle sentait ce qu’elle jouait, quoiqu’elle n’en sentît rien ». Il ne laissait pas d’en éprouver pour elle une sympathie amusée. (Narsismimarkkeri!) Colette, de son côté, saisissait tous les prétextes pour reprendre la conversation, qui l’intéressait beaucoup plus que la leçon de piano. Christophe avait beau s’en défendre, prétextant qu’il ne pouvait dire ce qu’il pensait, sans risquer de la blesser : elle arrivait toujours à le lui faire dire ; et plus c’était blessant, moins elle en était blessée : c’était un amusement pour elle. Mais comme la fine mouche sentait que Christophe n’aimait rien tant que la sincérité, elle lui tenait tête hardiment, et discutait mordicus (izepäisesti). Ils se quittaient très bons amis.
ellauri161.html on line 931: Toute religion doit pour de Maistre être sociale ; or, le protestantisme n'étant pas social à ses yeux, voire anti-souverain par nature, il n'est pas une religion. La religion doit apporter des croyances communes, et apporter la cohésion de l'organisme politique. Elle doit protéger le pouvoir autant que le pouvoir doit la protéger. Il n'est donc pas question de séparer l'Église de l'État, bien au contraire. C'est pourquoi Joseph de Maistre prônera un régime de type théocratique, dans lequel la religion tient un rôle fortement structurant, devant apprendre aux sujets le respect aveugle pour l'autorité et « l'abnégation de tout raisonnement individuel."
ellauri164.html on line 346: Morfiiniriippuvaista valelääkärä vaivasi Hodkinin tauti kuten Jane Austenia. Se ja pappipaha olivat kuin Dupont ja Dupond. Le plupart des agonies sont euphoriques. Rien que jeter tout espoir et expirer, quoi de mieux. Il faut mourir peu a peu, prendre l'habitude. Decet imperatorem stantem mori. (Vespasianus, non pas Motocyclettianus.)
ellauri172.html on line 688: « Sans doute, elle voulut le ramasser, elle ! l’enlever, le lui prendre, car je l’entendis qui se précipita ; et les bruits de la lutte recommencèrent, mais avec un autre, — le bruit des coups.
ellauri192.html on line 117: Combien de maîtresses de maison lui demandérent-elles, à titre de faveur insigne, de dire à leurs invités le Vase brisé? Elles ne se doutaient pas que si l’homme du monde s’exécutait, après les résistances d’usage, le poéte grondait en dedans à la pensée de débiter une fois de plus cet éternel “pot cassé” qu’il avait fini par prendre en horreur. “Qu’il se brise sur leur nez, ce vase!” s’écriait-il dans un accés de fureur.
ellauri192.html on line 213: D'apprendre, sans frémir, de partout à la fois, eze häikäilemättä kuulisi joka puolelta,
ellauri203.html on line 206: En attendant la construction de leur nouvelle résidence (baptisée « palais Marie »), Maximilien et son épouse s'installent au palais d'Hiver. Ils y restent jusqu'en 1845 et c'est là que naissent leurs quatre premiers enfants, Alexandra, Marie, Nicolas et Eugénie. Après cette date, le couple peut enfin prendre son indépendance et Maximilien transfère ses collections de tableaux, d'armes et de minéraux en Russie. Une bonne partie d'entre elles se trouvent aujourd'hui au musée de l'Ermitage ou dans d'autres institutions du pays.
ellauri210.html on line 426: Näkee mun nousevan kannelle into piukeena, Me vit prendre place à bord terriblement excité,
ellauri210.html on line 950: laissez les éléphants ne pas apprendre à liret

ellauri264.html on line 88: Dans sa réaction violente contre le milieu à la fois dreyfusard et juif auquel il est intimement lié malgré lui, Rolland perd toute impartialité et finit pas assimiler les défenseurs de Dreyfus aux Juifs. La cause dreyfusarde, c’est la campagne des Juifs ou celle de la Banque juive. En realite, la plupart d’entre eux se tenaient à l’écart. Les Juifs ne voulaient pas qu’on les accuse de prendre parti pour Dreyfus parce qu’il était, comme eux, Juif.
ellauri266.html on line 468: Le narrateur commence à apprendre le langage simien. Profitant d’une visite de routine, il dessine à Zira des figures géométriques et les théorèmes qui en découlent, puis le Système solaire et celui de Bételgeuse, la trajectoire de son vaisseau et son origine, la Terre. Zira comprend son message et lui demande de garder le secret car Zaïus pourrait lui causer des problèmes. Zira commence à apprendre le français et les deux peuvent communiquer facilement. Elle lui apprend comment les singes se sont développés sur cette planète alors que l’homme est resté à un stade d’animalité. Enfin, le narrateur retrouve l’air libre lorsque Zira l´amène en promenade, après trois mois d’enfermement, pour lui présenter Cornélius, son fiancé, un chimpanzé biologiste très intelligent et intuitif. Il se laisse tenir en laisse comme le lui a recommandé Zira et tente de dissimuler son intelligence. Zira lui apprend que Zaïus voulait le transférer à la division encéphalique pour pratiquer sur son cerveau des opérations délicates mais qu’elle l’en a empêché. Avec Cornélius, elle lui conseille de faire très attention et d´attendre le congrès des savants biologistes qui va se tenir dans les jours suivants où il sera présenté par Zaïus, pour révéler son secret.
ellauri349.html on line 490: Raymond Claude Ferdinand Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu aisé des deux côtés. Ses parents sont Gustave Émile Aron (1870-1934) et Suzanne Levy (1877-1940). Son grand-père maternel, Léon Levy, possédait une usine de textile dans le nord de la France. Sa famille paternelle venait de Lorraine où elle était établie depuis la fin du XVIIIe siècle. Son grand-père paternel, Isidore (dit Ferdinand) Aron, était grossiste en textile à Rambervillers, puis Nancy (Lorraine). Un de ses grand-oncles paternels, Paul Aron, était le père de Max Aron, médecin biologiste à la faculté de médecine de Strasbourg. Ferdinand, le grand-père paternel de Raymond, prédit à celui-ci à sa naissance une grande carrière. Gustave Aron refusa de prendre la suite de l'affaire familiale et fit de brillantes études de droit; il publia des travaux juridiques, mais n'étant reçu que deuxième à l'agrégation de droit alors qu'un seul poste était attribué, il abandonna la perspective d'enseigner à l'université et devint professeur de droit à l'École normale supérieure de l'enseignement technique. Il arrêta de travailler au début du XXe siècle, vécut dès lors de l'héritage familial et fit construire une maison à Versailles en 1913-1915 avec un court de tennis. La famille Aron retourna ensuite à Paris. Après la guerre, Gustave Aron investit en bourse, mais sa fortune fut perdue du fait de la crise économique de 1929 et il fut obligé de reprendre un emploi. Il mourut en 1934 d'une crise cardiaque. La mère de Raymond mourut en juin 1940 à Vannes.
ellauri365.html on line 171: toivon yllättävän heikkouden hetken! Que l’espoir de surprendre un moment de faiblesse !
xxx/ellauri057.html on line 943: « Des idées, je n’en ai jamais eu. Je me suis intéressé aux hommes, à l’homme de la rue surtout, j’ai essayé de le comprendre d’une façon fraternelle… Qu'ai-je construit? Au fond, cela ne me regarde pas. »
xxx/ellauri123.html on line 1235: Adieu, et jamais plus ne t’avienne entreprendre Hyvästi, äläkä enää koskaan saa päähäsi
xxx/ellauri128.html on line 133: Fils d’un riche chapelier de Dinan, Duclos était destiné à reprendre les affaires de son père mais c’était un enfant doué d’une vive intelligence et d’une grande mémoire et sa mère, devenue veuve, décida de l’envoyer achever ses études à Paris. Il suivit d’abord les cours de l’académie que tenait, rue de Charonne, l’abbé de Dangeau, puis du collège d'Harcourt où il entreprit l’étude du droit en vue de devenir avocat. Mais il se laissa aller à la dissipation, s’appliquant surtout à l’étude des armes, avant de décider de se consacrer aux lettres. Il fréquenta le café Procope et le café Gradot, où l’on ne tarda pas à le remarquer pour l’agrément et le piquant de sa conversation.
xxx/ellauri129.html on line 610: “Quand, dans une discussion conjugale, une femme menace son mari de prendre un amant, c'est déjà fait.”
xxx/ellauri139.html on line 1030: En 1775 paraît sa première pièce majeure Le Dix-huitième siècle. C’est une satire en vers qui donne la caricature de son temps ; la philosophie y est le principe de la « chute des arts », de la « perte des mœurs ». Tout y est matière à charge : la bourgeoisie, la noblesse, le clergé libertin ; la littérature du moment y est passée au peigne fin. Des généralités sociales, on passe bientôt aux attaques ad hominem ; à la fin de la satire, du reste, le nom honni paraît enfin : Voltaire. Le Dix-huitième siècle est véritablement à sa parution, et pour reprendre le mot de Huysmans, « un météore dans le champ littéraire » de l’époque. Il n'est pas de bon ton, La critique se dechaine.
xxx/ellauri173.html on line 188: Quant aux mystiques, je puis leur soumettre une réflexion naïve, paradoxale, superficielle, s’ils veulent, mais singulière : ― N’est-il pas attristant de penser que si Dieu, le Très-Haut, le bon Dieu, dis-je, enfin le Tout-Puissant, (lequel, de notoriété publique, est apparu à tant de gens, qui l’ont affirmé, depuis les vieux siècles, ― nul ne saurait le contester sans hérésie ― et dont tant de mauvais peintres et de sculpteurs médiocres s’évertuent à vulgariser de chic les prétendus traits) ― oui, penser que s’Il daignait nous laisser prendre la moindre, la plus humble photographie de Lui, voire me permettre, à moi, Thomas Alva Edison, ingénieur américain, sa créature, de clicher une simple épreuve videographique de Sa vraie Nez et Voix (car le tonnerre a bien mué, depuis Franklin), dès le lendemain il n’y aurait plus un seul athée sur la terre !
xxx/ellauri173.html on line 288: Sous une fausse symétrie, de part et d’autre de la serrure se cache une dissemblance radicale : c’est l’être humain qui a la clef – la clef de la serrure, la clef de la pièce qui enferme le singe, la clef du dispositif auquel l’homme soumet un animal qui ne demandait rien à personne, la clef de l’interprétation de toute l’expérience, la clef d’un regard scientifique ou voulu tel, quand le regard du singe n’est qu’un regard stressé, apeuré, c'est un interrogateur du jeu absurde qu’il subit sans en comprendre les tenants et aboutissants et sans en avoir lui-même institué les règles.
xxx/ellauri173.html on line 301: C'est l'être humain qui est la personne qui rode les autres animaux derrière la serrure avec son covid-19 masque, il n’y a pas de vache obscure qui pourrait prendre sa place pour jeter ses regards à travers des orifices de cet animal. Il est un être capable en lui-même et par lui-même de jouer avec le vrai et le faux, le réel et l’apparent, les autres animaux y compris des comperes, et de les saisir comme tels dans une cage, autrement dit: un être qui vit et tue en pensant seulement a soi-meme.
xxx/ellauri173.html on line 323: ― Oh ! Vous ne pouvez, même, comprendre jusqu’à quel point ! murmura lord Ewald.
xxx/ellauri173.html on line 325: N’est-ce pas Hégel qui a dit : « Il faut comprendre l’inintelligible comme tel ? » Credo quia absurdumko taas?
xxx/ellauri356.html on line 210: Searle aimait reprendre un trait d'esprit selon lequel Jacques Derrida était le genre de philosophe qui donne une mauvaise réputation au bullshit.
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