ellauri014.html on line 1037: « Milord, me dit-il, en me donnant le saint nom d’ami, vous m’apprîtes à le porter. J’ai rempli la fonction dont vous m’avez chargé ; et vous voyant prêt à vous oublier, j’ai dû vous rappeler à vous-même. Vous n’avez pu rompre une chaîne que par une autre. Toutes deux étaient indignes de vous. S’il n’eût été question que d’un mariage inégal, je vous aurais dit : Songez que vous êtes pair d’Angleterre, et renoncez aux honneurs du monde, ou respectez l’opinion. Mais un mariage abject !… vous !… Choisissez mieux votre épouse. Ce n’est pas assez qu’elle soit vertueuse, elle doit être sans tache… La femme d’Edouard Bomston n’est pas facile à
ellauri014.html on line 1206: « Voyez donc, continuait-elle, à quelle félicité je suis parvenue. J’en avais beaucoup ; j’en attendais davantage. La prospérité de ma famille, une bonne éducation pour mes enfants, tout ce qui m’était cher rassemblé autour de moi ou prêt à l’être. Le présent, l’avenir, me flattaient également ; la jouissance et l’espoir se réunissaient pour me rendre heureuse. Mon bonheur monté par degrés était au comble ; il ne pouvait plus que déchoir ; il était venu sans être attendu, il se fût enfui quand je l’aurais cru durable. Qu’eût fait le sort pour me soutenir à ce point ? Un état permanent est-il fait pour l’homme ?
ellauri033.html on line 391: cléricalise la vertu. Pour deus ex machina, toujours un prêtre : l´abbé Taconnet dans Mensonges ; dans Un Saint, le Père Griffi. Dans son dernier ouvrage, voici Léon XIII en personne, ce « prisonnier », ce « martyr » — debitricem martyrii fidem,
ellauri036.html on line 251: Où le palais du prince, et la maison du prêtre,
ellauri036.html on line 446: Les pas silencieux du prêtre dans l'enceinte
ellauri036.html on line 500: Ô Faust! n'étais-tu pas prêt à quitter la terre
ellauri036.html on line 768: L'hypocrisie est morte; on ne croit plus aux prêtres;
ellauri102.html on line 433: « Écoutez, nous sommes juste des femmes étudiant l'ingénierie, pas forcément des féministes prêtes à marcher dans les rues criant que nous sommes contre les hommes, juste des étudiantes cherchant à mener une vie normale. »
ellauri146.html on line 552: Et fit pâlir deux fois ses prêtres en extase ; Ja kalvettaa 2x extaasilla pastorit,
ellauri150.html on line 271: Toutes ces singeries, ces parades de petit chien, cette ingénuité frelatée, ne plaisaient à Christophe en aucune façon. Il avait autre chose à faire qu’à se prêter aux manèges d’une petite fille rouée, ou même qu’à les considérer, d’un œil amusé. Il avait à gagner son pain, à sauver de la mort sa vie et ses pensées. Le seul intérêt pour lui de ces perruches de salon était de lui en fournir les moyens. En échange de leur argent, il leur donnait ses leçons, en conscience, le front plissé, l’esprit tendu vers la tâche, afin de ne se laisser distraire ni par l’ennui qu’elle lui causait, ni par les agaceries de ses élèves, quand elles étaient aussi coquettes que Colette Stevens. Il ne faisait guère plus d’attention à elle qu’à la petite cousine de Colette, une enfant de douze ans, silencieuse et timide, que les Stevens avaient prise chez eux, et à qui Christophe enseignait aussi le piano.
ellauri150.html on line 343: Autour de Colette Steve grouillent d'écœurants petits snobs, riches pour la plupart, en tout cas oisifs et qui, tous, prétendent écrire. C'était une névre sous la Troisième République. C'était surtout une forme de paresse vaniteuse le travail intellectuel étant de tous le plus difficile contrôler et celui qui prête le plus au bluff. Ces gens parlent sans cesse de pensée, tout en ne ressemblant attacher d'importance qu'a l'agencement des mots, n'ont d'autre culte que le culte du moi, griment leur esprit, suivent deux ou trois modèles ou miment une idee. La force, la joie, la pitié, la solidarité, le socialisme, l'anarchisme, la foi, la liberté c'étaient des rôles pour eux. Ils avaient le talent de faire des plus chères pensées une affaire de littérature et ramener les plus heroiques elans de l'ame humaine au role d'articles du salon, de cravates a la mode.
ellauri162.html on line 152: En 1934, Bernanos s´installe aux Baléares, en partie pour des raisons financières. Il y écrit le Journal d´un curé de campagne. Il est possible qu´il soit inspirée par un jeune prêtre (l´abbé Camier), mort de tuberculose à vingt-huit ans, que Bernanos a côtoyé dans son enfance.
ellauri162.html on line 278: Bon, on s'en fiche de Gégé Deparpoutine ! Qu'il l'adopte, le pas dictateur et très démocrate chef suprême des poupée Russes - et qu'il adopte son pote Filou 1er par la même occasion. Bon débarras ! D'ailleurs, s'il pouvait en adopter d'autres, je suis prêt à lui faire une liste. Il y a de la place en Sibérie, et cela va nous faire une peu de ménage. Tiens, tous les légiond'honneurisés, qu'il les adopte pour commencer.
ellauri162.html on line 686: Elle est blanche pour le pape et les chanoines réguliers, rouge pour les cardinaux, violette doublée et filetée de cramoisi pour les évêques et les prélats de rang supérieur, et généralement noire pour les prêtres et les autres clercs.
ellauri164.html on line 88: Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici : Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. — Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums faux, musiques puériles. — Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. — La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… — Horreur de ma bêtise.
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 570: Mais non, — cria-t-il, — tonnerre de tonnerres ! c’est impossible ! Voyez-vous, vous autres, le chef d’escadron Mesnilgrand à confesse, comme une vieille bonne femme, à deux genoux sur le strapontin, le nez au guichet, dans la guérite d’un prêtre ? Voilà un spectacle qui ne m’entrera jamais dans le crâne ! Trente mille balles plutôt. — Mille bombes ! — fit Capitain Haddock, exalté.
ellauri172.html on line 714: Well, j’ai porté plusieurs années, ce cœur d’enfant dont je doutais ; mais quand, après la catastrophe de Waterloo, il m’a fallu ôter cette ceinture d’officier dans laquelle j’avais espéré de mourir, et que je l’eus porté encore quelques années, ce cœur, — et je t’assure, Mautravers, que c’est lourd, quoique cela paraisse bien léger, — la réflexion venant avec l’âge, j’ai craint de profaner un peu plus ce cœur si profané déjà, et je me suis décidé à le déposer en terre chrétienne. Sans entrer dans les détails que je vous donne aujourd’hui, j’en ai parlé à un des prêtres de cette ville, de ce cœur qui pesait depuis si longtemps sur le mien, et je venais de le remettre à lui-même, dans le confessionnal de la chapelle.
ellauri172.html on line 757: Il est le grand législateur de l'Église en Norvège et, comme son parent Olaf Tryggvason, il tente de faire disparaître les traces de l'ancienne foi et de bâtir des églises à la place des anciens lieux sacrés qu'il a profanés ou détruits. Il fait aussi venir des évêques et des prêtres d'Angleterre.
ellauri172.html on line 815:

Liste de prêtres catholiques ou non de fiction


ellauri172.html on line 868: Un prêtre en 1839, roman inachevé, écrit par Jules Verne vers 1845, avec le personnage du prêtre défroqué Pierre Hervé.
ellauri172.html on line 885: Un prêtre marié roman de Jules Barbey d'Aurevilly, 1864, le prêtre défroqué Jean Sombreval. CHECK
ellauri172.html on line 891: Quatrevingt-treize, roman de Victor Hugo, (1874), Cimourdain prêtre rallié aux jacobins, envoyé en mission en 1793 en Vendée par le Comité de salut public pour combattre les Chouans.
ellauri172.html on line 899: Une histoire sans nom, roman de Jules Barbey d'Aurevilly, (1882), avec l'abbé Riculf, prêtre impie.
ellauri172.html on line 901: Famille-Sans-Nom, roman de Jules Verne, 1889, Joan Morgaz, prêtre catholique et frère du héros Jean Morgaz ou Jean sans nom.
ellauri172.html on line 940: Léon Morin, prêtre, roman de Béatrice Beck,1952[45]
ellauri172.html on line 968: Les Cantos d'Hypérion, suite de romans de science-fiction de Dan Simmons écrits entre 1989 et 1997, avec notablement les prêtres Lénar Hoyt, Paul Duré et le jésuite Federico DeSoya
ellauri206.html on line 454: Selon le témoignage de ses contemporains, Gassendi se levait régulièrement à trois heures du matin, jamais plus tard que quatre heures, et quelquefois à deux. Il étudiait jusqu'à onze heures, à moins de recevoir une visite et se remettait à l'étude vers deux ou trois heures après midi jusqu'à huit. Il soupait légèrement (une tisane tiède, des légumes, rarement de la viande) et se couchait entre neuf et dix. On le disait pieux, et pratiquant avec scrupule ses devoirs de prêtre ; ses paroissiens l'appelaient le saint prêtre. Par sa pauvreté, sa modestie, sa douceur, son humanité, sa bienfaisance, sa charité et sa simplicité, il faisait figure d'un anachorète, vivant dans le monde selon la règle d'un monastère. « Le plus grand philosophe parmi les hommes de lettres, et le plus grand homme de lettres parmi les philosophes », sanoi gibboni. Peu d'auteurs ont imaginé qu'il s'agissait là d'une posture, ou d'un masque.
ellauri210.html on line 802: et les prêtres ne vendangeaient plus que leur propre crottin Ja papit ei enää kaupitellet muuta kuin omaa kökköään
ellauri210.html on line 867: Il épouse Gladys Barber le 15 janvier 1926, mais elle le quitte rapidement, lassée de sa toxicomanie. De plus en plus esclave de l'héroïne et de l'alcool, il vit misérablement à New York jusqu’en novembre 1928, date à laquelle il revient subitement en France et reprend une vie mondaine dans une maison prêtée par le surréaliste Paul Chadourne.
ellauri266.html on line 458: Ces traces appartiennent à une jeune femme qui, sans être gênée de sa nudité, s’approche d’eux avec méfiance2. Baptisée Nova, elle ne sait ni parler ni sourire et ses gestes ressemblent à ceux des animaux. Au moment où les quatre nagent dans l’eau, le chimpanzé Hector réapparaît mais il est soudain étranglé et tué par Nova dont le comportement animal choque le narrateur qui demeure, toutefois, soumis par la beauté physique de la sauvage. Le lendemain, Nova revient accompagnée de plusieurs hommes de sa tribu. Ces derniers ne parlent pas, ils hululent seulement. Irrités par les habits des trois aventuriers, les hommes de Soror ne tardent pas à les déchirer mais sans faire de mal aux aventuriers. Ils s’attaquent ensuite à la chaloupe qu’ils détruisent complètement après s´être adonnés à des enfantillages dans le lac sans prêter attention aux trois Terriens trop gênés par leur nudité. Conduits au campement, les trois aventuriers découvrent la vie primitive des humains de Soror. Nova leur donne à manger des fruits qui ressemblent à des bananes et se rapproche du narrateur avec qui elle passe la nuit.
ellauri339.html on line 322: Bandit, prince, exploiteur ou prêtre Rosvo, prinssi, riistäjä tai pappi
ellauri365.html on line 145: He näyttivät valmistautuneen pilkkaamaan minua. Paraissaient s’apprêter à se moquer de moi.
xxx/ellauri139.html on line 985: ‘A tes plus chers amis ils ont prêté leur rage. Ne lainasi sun parhailta kavereilta vihansa:
xxx/ellauri139.html on line 1077: Ses études s'achèvent en septembre 1819, sans qu'il ait fait sa classe de philosophie, renvoyé après s'être battu avec un prêtre qu'il accuse de pédophilie.
xxx/ellauri173.html on line 77: Mots merveilleux qu’on prête aux grands hommes… Tässä Reunionin hepussa on jotain vakavasti vialla.
xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
xxx/ellauri173.html on line 811: Eh bien, conclut Edison, puisqu’il est avéré que, d’ores et déjà, vous ne vivez qu’avec une Ombre, à laquelle vous prêtez si chaleureusement et si fictivement l’être, je vous offre, moi, de tenter la même expérience sur cette ombre de votre esprit extérieurement réalisée, voilà tout.
xxx/ellauri176.html on line 168: Quelque estime que l'on ait pour Franju, il faut constater son échec. Si La Faute de l'abbé Mouret n'est pas un des meilleurs Rougon Macquart, le roman ne manquait ni de puissance, ni de poésie. Dans le film, on se trouve en face d'un anticléricalisme primaire dont la puissance, parfois ressentie au travers du personnage d'Archangias, est en partie désamorcée par des allusions aux faits actuels. Comment croire qu'Archangias borné, fanatique, puisse imaginer l'existence future des prêtres ouvriers, de la messe en français ? La violence du frère, la douceur évangélique de Serge deviennent ainsi schématiques, concertées.
xxx/ellauri177.html on line 48: L'abbé Mouret, jeune prêtre campagnard est fasciné par la belle Albine qui l'entraîne, comme dans un rêve, dans un immense jardin merveilleux, où ils se perdent. Il y découvre la sensualité. Sinne minua ho-ou-kutat, yhä liukkaammille luoxesi, yhä syvemmälle luoxesi, sen mezän uu-meniin. Sen mezän uu-meniin!
xxx/ellauri202.html on line 229: Conservateur en esthétique, mais progressiste en politique, France trouve dans l'affaire Dreyfus son Histoire contemporaine (l'Orme du mail, 1897 ; le Mannequin d'osier, 1897 ; l'Anneau d'améthyste, 1899 ; Monsieur Bergeret à Paris, 1901). Il a aussi prêté sa plume aux diverses manifestations de la gauche militante. (Académie française, 1896 ; prix Nobel 1921).
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