ellauri033.html on line 262: naturalistes. Mais il digérait mal ; c´est pourquoi son naturalisme se
ellauri036.html on line 540: Oh! la fleur de PÉden, pourquoi l'as-tu fanée,
ellauri036.html on line 814: Dites-moi, dites-moi, pourquoi vais-je mourir?
ellauri036.html on line 827: Et pourquoi donc aimer ? Pourquoi ce mot terrible
ellauri036.html on line 966: «Qu'est-ce que tu fais là ? pourquoi prends-tu ma place ? »
ellauri036.html on line 985: Vous voulez vous tuer? pourquoi vous tuez-vous? »
ellauri074.html on line 402: J'ignore totalement pourquoi il faut faire quelque chose ici-bas, pourquoi il nous faut avoir des aspirations, des espoirs et des rêves.
ellauri074.html on line 406: Ne se suicident que les optimistes, les optimistes qui ne peuvent plus l'être. Les autres, n'ayant aucune raison de vivre, pourquoi en auraient-ils de mourir?
ellauri102.html on line 431: Il demande ensuite aux femmes restantes si elles savent ou non pourquoi elles sont là, et lorsqu'une d'elles répond « non », il réplique : « Je combats le féminisme. » L'étudiante Nathalie Provost répond :
ellauri161.html on line 931: Toute religion doit pour de Maistre être sociale ; or, le protestantisme n'étant pas social à ses yeux, voire anti-souverain par nature, il n'est pas une religion. La religion doit apporter des croyances communes, et apporter la cohésion de l'organisme politique. Elle doit protéger le pouvoir autant que le pouvoir doit la protéger. Il n'est donc pas question de séparer l'Église de l'État, bien au contraire. C'est pourquoi Joseph de Maistre prônera un régime de type théocratique, dans lequel la religion tient un rôle fortement structurant, devant apprendre aux sujets le respect aveugle pour l'autorité et « l'abnégation de tout raisonnement individuel."
ellauri172.html on line 647: À moitié couchée sur un guéridon, elle écrivait… Or, si elle écrivait, la Pudica, c’était, pas de doute ! à quelque amant, pour quelque rendez-vous, pour quelque infidélité nouvelle au major Ydow, qui les dévorait toutes, comme elle dévorait le plaisir, en silence. Lorsque j’entrai, sa lettre était écrite, et elle faisait fondre pour la cacheter, à la flamme d’une bougie, de la cire bleue pailletée d’argent, que je vois encore, et vous allez savoir, tout à l’heure, pourquoi le souvenir de cette cire bleue pailletée d’argent m’est resté si clair.
ellauri347.html on line 199: Raymond a devenu un ardent promoteur du libéralisme lors de la montée des totalitarismes. Cela fera 120 ans que Raymond Aron est né le vendredi 14 mars 2025. Raymond Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu plutôt aisé des deux côtés. Son grand-père maternel possédait une usine de textile dans le nord du pays. Le grand-père paternel, Ferdinand, était grossiste en textile à Rambervillers puis Nancy (Lorraine). La fortune fut perdue pendant la crise de 1929 et le père fut obligé de prendre du travail. Avant d'avoir Raymond, sa mère attendait une fille, c'est pourquoi Raymond a toujours été traité comme une fille dans sa famille.
ellauri365.html on line 108: Vaelsin, ja tietämättä miksi, juhlivan sydämen kanssa. J’errais, et sans savoir pourquoi, le cœur en fête.
ellauri365.html on line 144: Ja molemmat suostuivat, en oikeastaan tiedä miksi. Et toutes deux d’accord, je ne sais trop pourquoi,
ellauri435.html on line 213: Raymond a devenu un ardent promoteur du libéralisme lors de la montée des totalitarismes. Cela fera 120 ans que Raymond Aron est né le vendredi 14 mars 2025. Raymond Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu plutôt aisé des deux côtés. Son grand-père maternel possédait une usine de textile dans le nord du pays. Le grand-père paternel, Ferdinand, était grossiste en textile à Rambervillers puis Nancy (Lorraine). La fortune fut perdue pendant la crise de 1929 et le père fut obligé de prendre du travail. Avant d'avoir Raymond, sa mère attendait une fille, c'est pourquoi Raymond a toujours été traité comme une fille dans sa famille.
xxx/ellauri442.html on line 301: Comte-Sponville explique: « L’insistance, c’est donc la vérité de l’existence, pour tout être, et pour l’homme même dès qu’il se débarrasse des illusions finalistes, spiritualistes ou anthropocentriques qu’il se fait sur lui-même. Adieu l’existentialisme ! Aucun projet n’échappe au présent, aucune transcendance n’échappe à l’immanence, aucune liberté n’échappe au réel. L’homme n’est pas un empire dans un empire, ni un néant dans l’être. Il est ce qu’il est, il fait ce qu’il fait: il n’échappe ni au principe d’identité, ni au principe de raison. L’essence précède l’existence, ou plutôt rien n’existe que ce qui est (essence et existence, dans le présent de l’être (en), sont bien sûr confondues), et c’est pourquoi exister, c’est insister: parce que c’est continuer d’être et d’agir. Cela vaut pour l’homme comme pour tout être physique, c’est-à-dire pour tout être. L’insistantialisme, si vous me passez le mot, n’est pas un humanisme, ou ce n’est pas d’abord un humanisme: c’est d’abord un naturalisme, c’est d’abord une pensée de l’être, de la puissance, du devenir, et ce n’est que secondairement que nous pourrons, si nous le voulons, y trouver des raisons humaines de vivre et de lutter».
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