ellauri102.html on line 429: La tuerie de l'École polytechnique est une tuerie antiféministe en milieu scolaire qui a eu lieu le 6 décembre 1989 à l'École polytechnique de Montréal, au Québec (Canada). Marc Lépine (né Gamil Gharbi), âgé de vingt-cinq ans, ouvre le feu sur vingt-huit personnes, tuant quatorze femmes et blessant treize autres personnes (9 femmes et 4 hommes)[1], avant de se suicider. Ce féminicide de masse est perpétré en moins de vingt minutes à l'aide d'une carabine obtenue légalement. Il s'agit de la tuerie en milieu scolaire la plus meurtrière de l'histoire du Canada.
ellauri144.html on line 633: libéral et neutre. Le courant fondamentaliste est hostile aux personnes
ellauri144.html on line 634: homosexuelles. Le courant libéral accepte le ministère ecclésial de personnes
ellauri144.html on line 635: homosexuelles et célèbre les mariages entre personnes de même sexe. Le courant
ellauri144.html on line 636: modéré fait une différence entre les pratiques homosexuelles et les personnes
ellauri162.html on line 226: Artaux Pas si Mauvais naquit en 1942 dans un camion, en plein emigration face aux forces soviétiques, durant la Guerre de Continuation ; sa famille, fuyant les combats, est chassée par l´armee sovietique vers la Norvège, puis la Suède et la Laponie finlandaise. Pas si Mauvais qui signifie en finnois « prison de pierre » est un nom inventé par son père né Gullstén (Pierre d´or) pour « finniser », comme beaucoup de Finlandais, un patronyme à consonance suédoise (à l´instar des personnes inspirées par le mouvement fennomane).
ellauri210.html on line 1344: Gisèle Prassinos también nos ha dejado unas buenas dosis de personajes desordenados, donde afloran ciertas desviaciones. En ese “collage” entre cuentos de hadas y aromas baudelerianos, la autora jugará sobre todo con la metamorfosis, así sus mujeres “pseudo-femmes castratrices” se transforman en animales o en seres extraños, fantásticos. Prassinos ataca a los mitos del psicoanálisis, muestra imágenes híbridas, animales que se convierten en hombre, objetos que se convierten en animales, etc. Destaca la hostilidad hacia la figura autoritaria del padre. Nos habla de venganzas mediante el asesinato, los cuerpos difuntos son despedazados o transformados, dejando traslucir sentimientos intensos, donde se perfila la imagen de la muerte y se exorciza el miedo. La misma autora confesaba en una entrevista personal la distancia que había entre ella y su padre, destacando la importancia que tiene la figura masculina en las culturas orientales, sensación que refleja en el cuento “La Tête” (op. cit., 1987): “Lucas vit qu’entre elle et son père s’ouvrait un écart plus large que ceux qui séparaient les autres personnes”.
xxx/ellauri057.html on line 917: Pendant toute la guerre, entre 1940 et 1945, Simenon continue à vivre en Vendée et en Charente-Maritime, mais cette période, assez mal connue, est sujette à de multiples soupcons. Représentant de l'État belge auprès des Belges réfugiés, il refuse d'aider ceux d'entre eux qui sont juifs. Non seulement son frère fut volontaire auprès de la Waffen-SS Wallonie, mais de plus, selon certaines personnes, lors de cette période cruciale de sa vie et de son œuvre, l'écrivain aurait été un collaborateur, ou doucement dit, un peu "lâche". Il n'est pas revenu en Belgique, afin d'échapper au service militaire), un peu rusé et opportuniste, sans aucun sens de l'histoire avec un grand H. Il a commis d'« énormes imprudences » en écrivant dans des journaux contrôlés par les Allemands, mais Simenon ne dénonce pas, ne s'engage pas, ne fait pas de politique, seulement de la fiction. En fait, les accords qu'il a passés avec la firme cinématographique allemande Continental lui valent quelques tracas à la Libération. En 1944, une dépêche de l'AFP, retrouvée à Poitiers, mentionne sa dénonciation pour « intelligence avec l'ennemi » par « certains villageois vendéens exaspérés par la conduite égoïste de cet écrivain affichant l'opulence de son train de vie, à l'époque des tickets d'alimentation. »
xxx/ellauri128.html on line 576: Jean Rostand, né le 30 octobre 1894 à Paris (17e arrondissement) et mort le 4 septembre 1977 à Ville-d´Avray (Hauts-de-Seine), était un écrivain, moraliste, biologiste, historien des sciences et académicien français. Très intéressé par les origines de la vie, il étudie la biologie des batraciens (grenouilles, crapauds, tritons et autres), la parthénogenèse, l´action du froid sur les œufs, et promeut de multiples recherches sur l´hérédité. Avec conviction et enthousiasme, il s´efforce de vulgariser la biologie auprès d´un large public (il reçoit en 1959 le prix Kalinga de vulgarisation scientifique) et d´alerter l´opinion sur la gravité et des problèmes humains qu´elle pose. Considérant la biologie comme devant être porteuse d´une morale, il met en garde contre les dangers qui menacent les humains lorsqu´ils jouent aux apprentis sorciers, comme les tenants de l´eugénisme. Toutefois, Rostand soutient une forme d´« eugénisme 'positif' », approuvant certains écrits d´Alexis Carrel et la stérilisation des personnes atteintes de certaines formes graves de maladies mentales, ce qui fut rapproché, après la guerre, de la loi nazie de 1933, et lui fut reproché dans un contexte où l´eugénisme est une idéologie encore répandue avec des auteurs comme Julian Huxley, premier directeur de l´UNESCO (1946-1948).
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