ellauri007.html on line 26:

Multi phoebeique viri hoc perduntur in uno

ellauri033.html on line 888: Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
ellauri036.html on line 292: Nous attendons autant, nous avons plus perdu.
ellauri036.html on line 742: Il avait tout perdu, sa gloire et sa patrie,
ellauri036.html on line 748: Il n'avait rien perdu dans cet espace immense;
ellauri049.html on line 493: Or moi, bateau perdu sous les cheveux des anses, Tai mä, rikkoutunut haaxi lotjahiusten alla,
ellauri051.html on line 3296: Avec celle que j’ai perdue sen jonka olen menettänyt
ellauri053.html on line 138: One of Sainte-Beuve's critical contentions was that, in order to understand an artist and his work, it was necessary to understand that artist's biography. Marcel Proust took issue with this notion and repudiated it in a set of essays, Contre Sainte-Beuve ("Against Sainte-Beuve"). Proust developed the ideas first voiced in those essays in À la recherche du temps perdu (In Search of Lost Time).
ellauri117.html on line 49: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
ellauri145.html on line 827: Poison perdu Mennyt myrkky
ellauri150.html on line 273: Mais Colette était trop fine pour ne pas sentir qu’avec Christophe toutes ses grâces étaient perdues, et trop souple pour ne pas s’adapter instantanément à ses façons d’être. Elle n’avait même pas besoin de s’appliquer pour cela. C’était un instinct de sa nature. Elle était femme. Elle était comme une onde sans forme. Toutes les âmes qu’elle rencontrait lui étaient comme des vases, dont, par curiosité, par besoin, sur-le-champ, elle épousait les formes. Pour être, il fallait toujours qu’elle fût un autre. Toute sa personnalité, c’était qu’elle ne le restait pas. Elle changeait de vases, souvent.
ellauri150.html on line 416: Les jeunes gens de 1912 animes par le goût de l'action, le patriotisme, desireux d'ordre et de le soucieux d'un retour à la tradition, unissant à un solide mai un idéalisme sain, sans nostalgie de paradis perdu.
ellauri163.html on line 533: Selon le procès-verbal pris par le secrétaire de la faculté de l´École normale, Payot a présenté sa candidature à la présidence vacante en pédagogie précédemment occupé par le professeur Ferdinand Buisson. La présidence fut finalement accordée au sociologue Émile Durkheim. Payot a reçu dix voix au premier scrutin, perdant ainsi derrière Malapert, qui, à son tour, a perdu contre Durkheim.
ellauri172.html on line 864: Illusions perdues, roman d'Honoré de Balzac 1836 et 1843 avec le personnage du vicaire général de l'évêque d'Angoulême. CHECK
ellauri205.html on line 176: C'est cette notion grecque peut-être qui subsiste, sous le nom de kharma [sic], dans les pays d'Orient imprégnés de bouddhisme; mais l'Occident l'a perdue et n’a plus même dans aucune de ses langues de mot pour l’exprimer; les idées de limite, de mesure, d'équilibre, qui devraient déterminer la conduite de la vie, n'ont plus qu'un emploi servile dans la technique. Nous ne sommes géomètres que devant la matière ! Les Grecs furent d'abord géomètres dans l'apprentissage de la vertu.
ellauri207.html on line 202: «Suecia se presenta como una sucursal del infierno, donde los jueces prevarican, los psiquiatras torturan, los policías y espías delinquen, los políticos mienten, los empresarios estafan, y las instituciones en general parecen presa de una pandemia de corrupción de proporciones fujimoristas. Esta obra perdurará porque se trata de ficción de la más amena, con unos personajes perfectamente definidos, que, según me, es lo que importa.» –Mario Vargas Llosa, escritor peruano-.
ellauri266.html on line 470: Zira donne ensuite à Ulysse une lampe et des livres grâce auxquels il apprend le langage simien et découvre l’organisation de la société des singes, leur système politique et leur culture. Profitant des promenades avec Zira et des entrevues avec Cornélius, le narrateur prépare le discours qu’il doit présenter lors du congrès. La guenon lui fait visiter le parc zoologique où il découvre des animaux ressemblant à ceux de la Terre et des « humains », parmi lesquels il retrouve le professeur Antelle, qui a perdu la raison. Les deux premiers jours du congrès dont parlait Zira sont consacrés aux théories. Le troisième jour, Zaïus présente le narrateur qui en profite pour exposer son cas dans le langage simien provoquant l’étonnement général des singes savants et des journalistes. Pressé par l´opinion publique, le congrès décide à contrecœur de libérer le narrateur et destitue Zaïus de ses fonctions. Mais Ulysse sait qu´il représente toujours une menace pour la civilisation simiesque.
ellauri348.html on line 223: Salanimi "Sagan" otettiin hahmosta Princess de Sagan homo-Proustin kirjassa À la recherche du temps perdu, joka julkaistiin vuonna 1954, kun hän oli 18-vuotias. Se oli välitön kansainvälinen menestys. Romaani käsittelee nautinnonhaluisen 17-vuotiaan Cécilen elämää ja hänen suhdettaan poikaystäväänsä ja leskeksi jääneen playboy-isänsä kanssa.
ellauri349.html on line 490: Raymond Claude Ferdinand Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu aisé des deux côtés. Ses parents sont Gustave Émile Aron (1870-1934) et Suzanne Levy (1877-1940). Son grand-père maternel, Léon Levy, possédait une usine de textile dans le nord de la France. Sa famille paternelle venait de Lorraine où elle était établie depuis la fin du XVIIIe siècle. Son grand-père paternel, Isidore (dit Ferdinand) Aron, était grossiste en textile à Rambervillers, puis Nancy (Lorraine). Un de ses grand-oncles paternels, Paul Aron, était le père de Max Aron, médecin biologiste à la faculté de médecine de Strasbourg. Ferdinand, le grand-père paternel de Raymond, prédit à celui-ci à sa naissance une grande carrière. Gustave Aron refusa de prendre la suite de l'affaire familiale et fit de brillantes études de droit; il publia des travaux juridiques, mais n'étant reçu que deuxième à l'agrégation de droit alors qu'un seul poste était attribué, il abandonna la perspective d'enseigner à l'université et devint professeur de droit à l'École normale supérieure de l'enseignement technique. Il arrêta de travailler au début du XXe siècle, vécut dès lors de l'héritage familial et fit construire une maison à Versailles en 1913-1915 avec un court de tennis. La famille Aron retourna ensuite à Paris. Après la guerre, Gustave Aron investit en bourse, mais sa fortune fut perdue du fait de la crise économique de 1929 et il fut obligé de reprendre un emploi. Il mourut en 1934 d'une crise cardiaque. La mère de Raymond mourut en juin 1940 à Vannes.
ellauri360.html on line 279: Marcel Proust : À la recherche du temps perdu (Kadonnutta aikaa etsimässä; Menneiden asioiden muisto)
ellauri365.html on line 192: Sitten epätoivoinen taistelumme alkoi jälleen Alors recommença notre lutte éperdue
ellauri365.html on line 215: nauraessasi? Hetki menetettyä painovoimaa Lorsqu’on rit ? Un instant de gravité perdue
xxx/ellauri075.html on line 332: Among Benjamin's best known works are the essays "The Task of the Translator" (1923), "The Work of Art in the Age of Mechanical Reproduction" (1935), and "Theses on the Philosophy of History" (1940). His major work as a literary critic included essays on Baudelaire, Goethe, Kafka, Kraus, Leskov, Proust, Walser, and translation theory. He also made major translations into German of the Tableaux Parisiens section of Baudelaire's Les Fleurs du mal and parts of Proust's À la recherche du temps perdu. In 1940, at the age of 48, Benjamin committed suicide at Portbou on the French–Spanish border while attempting to escape from the invading Wehrmacht. Though popular acclaim eluded him during his life, the decades following his death won his work posthumous renown.
xxx/ellauri116.html on line 434: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
xxx/ellauri124.html on line 214: Proust’s À la recherche du temps perdu
xxx/ellauri129.html on line 619: Après avoir été fiancé avec Mlle Dietz-Monnin, petite-fille du sénateur Charles Dietz-Monnin, il rompt ses fiançailles et épouse, en 1910, Marie-Thérèse de Chevigné, veuve de Maurice Bischoffsheim (1875-1904), arrière-petite-fille par sa mère du marquis de Sade et mère de Marie-Laure de Noailles. Ils font aménager à partir de 1912 la villa Croisset à Grasse. À partir de 1934 et jusqu'à sa mort le 8 novembre 1937, il vécut avenue Gabriel à Paris. Élégant, brillant et mondain, il inspire à Marcel Proust la métamorphose de Bloch en Jacques du Rozier dans À la recherche du temps perdu. Tosi kova streeberi, joka antoi Marcelille kimmokkeen ruveta snobixi izekin.
xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
xxx/ellauri173.html on line 298: Ce n’est pas l’être male qui aura perdu sa avantage, c’est l’animal qui sera devenu artificiellement un sorte d’être humain inferieur par la volonté et l’obstination humaine, et qui pourra alors prétendre à ses diverses attributions.
xxx/ellauri176.html on line 319: Si tu me vois les yeux perdus aux paradis, sä näät mut veistoxena haikailevan paratiisia,
xxx/ellauri177.html on line 288: - Missä mennään? Kysyy Serge. - Search me, sanoo Albiino. -- Eh bien! nous sommes perdus, olemme hukassa, sanoo Sergei iloisesti. On parempi kun ei tiedä minne ollaan menossa. Sergei kaivaa slaban esiin pöxyistä. Pelkäätkö tätä? Hän oli hyvin lähellä häntä. Hän kuiskasi: - Äsken vielä pelkäsit tätä. Mutta hiän katsoi häntä kasvoihin rauhallisena, silmää räpäyttämättä. "Sinä satutit minua", hän vastasi. Nyt näytät erittäin hyvältä. Miksi pelkäsin sinua? - Joten sallitko minun ottaa sinut tuolla tällä tavalla? Palaamme puiden alle. -- Joo. Voit halata minua, teet minut onnelliseksi. Ja edetään hitaasti, eikö niin? jotta emme löydä tietämme sinne liian nopeasti. Kumpikaan ei ehdottanut maatepanoa, pystypaini tuntui tällä haavaa houkuttelevalta.
xxx/ellauri251.html on line 1460: And perdurable and like a lord of land?
31