ellauri118.html on line 812: Mademoiselle de Chartres est une jeune fille de 15 ans qui arrive à la cour du roi Henri II. Le prince de Clèves tombe amoureux d´elle, mais ce sentiment n´est pas partagé. Ils se marient. Elle tombe amoureuse du duc de Nemours, mais leur amour serait illégitime, puisqu´elle est mariée. Afin d´éviter de le revoir elle se retire de la cour, et avoue sa passion à son mari. Celui-ci meurt de chagrin. Elle décide alors de se retirer dans un couvent.
ellauri145.html on line 159: Pétrus Borel, par Célestin Nanteuil d´après Louis Boulanger, avec son chien « qui devait mourir d´avoir trop longtemps partagé sa misère» (André Breton, Anthologie de l´humour noir).
ellauri145.html on line 251: L´HUMOUR chez Baudelaire fait partie intégrante de sa conception du dandysme. On sait que, pour lui, « le mot dandy implique une quintessence de caractère et une intelligence subtile de tout le mécanisme moral de ce monde ». L´humour, nul plus que lui n´a pris soin de le définir par opposition à la gaieté triviale ou au sarcasme grimaçant dans les quels se plaît à se reconnaître l´« esprit français ». Il place Molière en tête des « religions modernes ridicules»; Voltaire, c´est « l´antipoète, le roi des badauds, le prince des superficiels, l´antiartiste, le prédicateur des concierges, le père Gigogne des rédacteurs du Siècle ». Le dandy est partagé entre le souci narcissique de ses attitudes et de ses actes («Il doit aspirer à être sublime sans interruption. Il doit vivre et mourir devant son miroir ») et le désir de provoquer sur son passage une longue rumeur désapprobatrice (« Ce qu´il y a d´enivrant dans le mauvais goût, c´est le plaisir aristocratique
ellauri151.html on line 1138: La relation de Jérôme et Alissa s’épanouit dans une ferveur religieuse partagée, approfondie par des lectures communes. Alissa ei anna, edes sormella, se on tässä aivan Arvid Järnefeltin linjoilla. Se nääntyy anorexiaan kuin Arvin Nadia Nadia. Francesca sentään päätti hartaan lukuhetken Paolon vartaaseen. Kuten Luukasa totesi:
ellauri206.html on line 252: IL fréquente le salon de Charles Buet, où il rencontre Jules Barbey d'Aurevilly, Joris-Karl Huysmans, François Coppée, Léon Bloy, Laurent Tailhade et autres cretins. Il rencontre Edmond de Goncourt, avec qui il restera lié jusqu'à la mort de ce dernier en 1896, et qui fut son principal protecteur. Edmond de Goncourt, dans la récente édition complète en 22 volumes du Journal des Goncourt, se montre curieux de toutes les questions sexuelles et particulièrement de l'homophilie. À partir de 1884, Edmond de Goncourt, jusque-là banalement réactionnaire, devient un antisémite enragé, Jésus l'a sauvé après 27 années d'homosexualité. Il se veut esthète et dandy en même temps qu'explorateur tapageux du vice et de la vulgarité, curieux assemblage qui verse souvent dans le pire mauvais goût, et qui lui vaut le mépris hautain de Robert de Montesquiou, dont Lorrain, pour sa part, fait volontiers sa tête de Turc pour sa prétention à l'élégance et à la chasteté. « Lorrain », écrit Léon Daudet dans ses Souvenirs, « avait une tête poupine et large à la fois de coiffeur vicieux, les cheveux partagés par une raie parfumée au patchouli, des yeux globuleux, ébahis et avides, de grosses lèvres qui jutaient, giclaient et coulaient pendant son discours. Son torse était bombé comme le bréchet de certains oiseaux charognards. Lui se nourrissait avidement de toutes les calomnies et immondices. »
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