ellauri014.html on line 199: Tutustu Pariisissa yhtä köyhään Dideroohon. Diderot oli pieni ruipelo, boheemi veitsisepän poika, jonka iskä hylkäsi kun ei mennyt lukee papiksi, lakia, tai lääkäriksi. Varmaan oli aina komeen Rousseaun hintelämpi sivuvaunu. Yhtä vihattu, ei yhtä ihailtu. Naiset ei kuumu tietosanoista. Croyez-moi, je le sais.
ellauri014.html on line 1038: trouver. Voyez ce que j’ai fait. »
ellauri014.html on line 1206: « Voyez donc, continuait-elle, à quelle félicité je suis parvenue. J’en avais beaucoup ; j’en attendais davantage. La prospérité de ma famille, une bonne éducation pour mes enfants, tout ce qui m’était cher rassemblé autour de moi ou prêt à l’être. Le présent, l’avenir, me flattaient également ; la jouissance et l’espoir se réunissaient pour me rendre heureuse. Mon bonheur monté par degrés était au comble ; il ne pouvait plus que déchoir ; il était venu sans être attendu, il se fût enfui quand je l’aurais cru durable. Qu’eût fait le sort pour me soutenir à ce point ? Un état permanent est-il fait pour l’homme ?
ellauri033.html on line 193: contemporaine, n´en soyez pas trop surpris : ils ne font au
ellauri033.html on line 500: Ah! urhea keskiluokka! se huoahtaa. Huoh. Siitä on nuosnut uutteria upseereja, däppäriä diplomaatteja, eteviä professoreja (oyez! oyez!), ehjiä artisteja! Mut sit on näitä kelvottomia poliitikkoja, jotka ajaa mies- ja ääniperiaatetta ja päästävät keskinkertaisuuxia meidän johtopaikoille. Ei enemmistö voi päättää, enemmistöhän on laahusta, totaalisia idiootteja. Mehän keskiluokka ollaan täällä parhaimmistoa. Ei me siis olla turhia, vaikka sota hävittiin. Mut me haudotaan revanshia! Sakuille pannaan vielä päihin, odottakaapas vaan. (No on sitä saanut odottaa. Ranskixet odotti kaxi maailmansotaa tumput suorina et muut hoiteli sakut niiden puolesta.)
ellauri118.html on line 844: The relation was equally sincere on the part of Mme. de La Fayette, though she was by nature more self-contained and reserved. But this reserve gives way to the strength of her feelings when in 1691, tormented by ill-health and knowing that her end is not far off, she writes to Mme. de Sévigné: "Croyez, ma très-chère, que vous êtes la personne du monde que j'ai le plus véritablement aimée."
ellauri131.html on line 1097: Et pourtant aimez-moi, tendre coeur ! soyez mère, Mut kuiteskin, lemmitäänpäs, äiti aurinkoinen,
ellauri131.html on line 1099: Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère Ole salarakas, ole sisko väliaikainen,
ellauri145.html on line 184: « Phus phoyez, - dit-il, gue le mié hait de phus dénir dranguile; et maintenant phus zaurez gui che zuis. Recartez-moâ ! che zuis l´Ange ti Pizarre. - Assez bizarre, en effet, - me hasardai-je à répliquer; mais je m´étais toujours figuré qu´un ange devait avoir des ailes.
ellauri145.html on line 817: Soyez doux ; pardonnez. Vos pardons, Dieu les compte.
ellauri145.html on line 949: Voyez : je suis juif. Lisez bien. Näin : olen juutalainen. Lukekaapa.
ellauri161.html on line 851:

Yleiset termit ja lausekkeet


ellauri164.html on line 80: J’ai avalé une fameuse gorgée de poison. — Trois fois béni soit le conseil qui m’est arrivé ! — Les entrailles me brûlent. La violence du venin tord mes membres, me rend difforme, me terrasse. Je meurs de soif, j’étouffe, je ne puis crier. C’est l’enfer, l’éternelle peine ! Voyez comme le feu se relève ! Je brûle comme il faut. Va, démon !
ellauri172.html on line 570: Mais non, — cria-t-il, — tonnerre de tonnerres ! c’est impossible ! Voyez-vous, vous autres, le chef d’escadron Mesnilgrand à confesse, comme une vieille bonne femme, à deux genoux sur le strapontin, le nez au guichet, dans la guérite d’un prêtre ? Voilà un spectacle qui ne m’entrera jamais dans le crâne ! Trente mille balles plutôt. — Mille bombes ! — fit Capitain Haddock, exalté.
ellauri172.html on line 692: Satan me donna la force d’enfoncer la porte du placard ou j'etsis cache et je vis… ce que je ne reverrai jamais ! La Pudica, terrassée, était tombée sur la table où elle avait écrit, et le major l’y retenait d’un poignet de fer, tous voiles relevés, son beau corps à nu, tordu, comme un serpent coupé, sous son étreinte. Mais que croyez-vous qu’il faisait de son autre main, Messieurs ?… Cette table à écrire, la bougie allumée, la cire à côté, toutes ces circonstances avaient donné au major une idée infernale, — l’idée de cacheter cette femme, comme elle avait cacheté sa lettre — et il était dans l’acharnement de ce monstrueux cachetage, de cette effroyable vengeance d’amant perversement jaloux !
ellauri172.html on line 823: Femmes, soyez soumises à vos maris, essai de Voltaire, 1759, avec le personnage de l'abbé de Châteauneuf.
ellauri210.html on line 1425: Tulkaa kattoon kattoon Voyez ô voyez
xxx/ellauri139.html on line 1000: Soyez béni, mon Dieu, vous qui daignez me rendre Ooppa kehuttava, jumala, joka suvaizette mulle
xxx/ellauri173.html on line 290: Vous voyez: homo sapiens est comme le bon Dieu vis a vis son cousin malheureux!
xxx/ellauri376.html on line 526: Soyez l’objet de mes hommages,
xxx/ellauri376.html on line 557: Mais voyez ce brave cynique,
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