ellauri036.html on line 332: Comme de gais oiseaux qu'un coup de vent rassemble,
ellauri036.html on line 767: Mais les oiseaux du ciel en sont épouvantés.
ellauri036.html on line 793: Ah! comme ils voltigeaient, frais et légers oiseaux,
ellauri036.html on line 824: Que chantent tes oiseaux? que pleure ta rosée?
ellauri049.html on line 489: Et les fientes d’oiseaux clabaudeurs aux yeux blonds. valkosilmäisten rääkyvien lintujen kakkoja
ellauri049.html on line 516: Million d’oiseaux d’or, ô future Vigueur ? on miljoona kultalintua, haloo voimamies in spe?
ellauri049.html on line 680: Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivres Pakoon! Sinne putoo! Tunnen että linnut ovat kännissä
ellauri172.html on line 956: Les oiseaux se cachent pour mourir, roman de Colleen McCullough, 1978
ellauri206.html on line 252: IL fréquente le salon de Charles Buet, où il rencontre Jules Barbey d'Aurevilly, Joris-Karl Huysmans, François Coppée, Léon Bloy, Laurent Tailhade et autres cretins. Il rencontre Edmond de Goncourt, avec qui il restera lié jusqu'à la mort de ce dernier en 1896, et qui fut son principal protecteur. Edmond de Goncourt, dans la récente édition complète en 22 volumes du Journal des Goncourt, se montre curieux de toutes les questions sexuelles et particulièrement de l'homophilie. À partir de 1884, Edmond de Goncourt, jusque-là banalement réactionnaire, devient un antisémite enragé, Jésus l'a sauvé après 27 années d'homosexualité. Il se veut esthète et dandy en même temps qu'explorateur tapageux du vice et de la vulgarité, curieux assemblage qui verse souvent dans le pire mauvais goût, et qui lui vaut le mépris hautain de Robert de Montesquiou, dont Lorrain, pour sa part, fait volontiers sa tête de Turc pour sa prétention à l'élégance et à la chasteté. « Lorrain », écrit Léon Daudet dans ses Souvenirs, « avait une tête poupine et large à la fois de coiffeur vicieux, les cheveux partagés par une raie parfumée au patchouli, des yeux globuleux, ébahis et avides, de grosses lèvres qui jutaient, giclaient et coulaient pendant son discours. Son torse était bombé comme le bréchet de certains oiseaux charognards. Lui se nourrissait avidement de toutes les calomnies et immondices. »
ellauri210.html on line 929: Mais tous les oiseaux ont des ailes même le vieil oiseau bleu

ellauri210.html on line 932: Laissez les oiseaux à leur mère

ellauri210.html on line 946: Laissez les oiseaux à leur mère

ellauri326.html on line 552: Coppée fut le poète populaire et sentimental de Paris et de ses faubourgs, des tableaux de rue intimistes du monde des humbles. Poète de la tristesse à la vue des oiseaux qui meurent en hiver (La Mort des oiseaux), du souvenir d'une première rencontre amoureuse (« Septembre, au ciel léger »), de la nostalgie d'une autre existence (« Je suis un pâle enfant du vieux Paris ») ou de la beauté du crépuscule (« Le crépuscule est triste et doux »), il rencontra un grand succès populaire.
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