ellauri014.html on line 1035: Le surlendemain de notre arrivée, je le vis entrer dans ma chambre avec une contenance ferme et grave, et tenant une lettre à la main. Je m’écriai : « La marquise est morte ! ─ Plût à Dieu ! reprit-il froidement, il vaut mieux n’être plus que d’exister pour mal faire. Mais ce n’est pas d’elle que je viens vous parler ; écoutez-moi. » J’attendis en silence.
ellauri033.html on line 257: l´inoculer à notre littérature. Dans leur manière insolite, capricieuse, tortillée, dans leur écriture bizarre et saugrenue, il y a effectivement beaucoup de japonais, et même un peu de chinois.


ellauri033.html on line 1034: De notre amour aussi laisser un monument ! ja pystyttäisin sille toteemin!
ellauri036.html on line 351: Ce n'est pas notre temps qui s'arrête et qui doute;
ellauri053.html on line 120: Toute notre civilisation est aphrodisiaque. La société ouverte est celle qui embrasserait en principe l’humanité entière.
ellauri055.html on line 150: Mais d’après le Gardien Shoghi Effendi Rabbānī, le véritable symbole de la Foi baha’ie est cette étoile à 5 branches et non pas l’étoile à 9 pointes : « Strictly speaking the 5-pointed star is the symbol of our Faith, as used by the Báb and explained by Him (« À proprement parler, l’étoile à 5 branches est le symbole de notre Foi, tel qu’utilisé par le Bab et expliqué par lui ») »
ellauri077.html on line 729:
  • Si profonde qu'ait été notre déchéance, nous verrons comment notre expérience peut profiter aux autres.
    ellauri077.html on line 730:
  • Nous perdrons le sentiment d'être inutiles et cesserons de nous apitoyer sur notre sort.
    ellauri077.html on line 735:
  • Notre intuition nous dictera notre conduite dans des situations qui, auparavant, nous déroutaient.
    ellauri109.html on line 425: Quelquefois, on nie un petit peu, tout le monde alors vous engueule et cela finit par s’avouer. Voyageant pour notre instruction et chargés d’une mission par le gouvernement, nous avons regardé comme de notre devoir de nous livrer à ce mode d’éjaculation. L’occasion ne s’en est pas encore présentée, nous la cherchons pourtant.
    ellauri118.html on line 840: How close and lasting was this friendship is seen on almost every page of Mme. de Sévigné's correspondence. Indeed, so often does the name of Mme. de La Fayette occur in Mme. de Sévigné's letters to her daughter, that the latter may well have been jealous of her mother's friend. The companionship of Mme. de Sévigné was, after the death of La Rochefoucauld, the chief comfort of Mme. de La Fayette in her ill-health and seclusion; and it was from the sick-chamber of her friend that Mme. de Sévigné's letters would seem to have been written in those latter years. In 1693, soon after the death of Mme. de La Fayette, Mme. de Sévigné writes as follows of her dead friend: "Je me trouvois trop heureuse d'être aimée d'elle depuis un temps très-considérable; jamais nous n'avions eu le moindre nuage dans notre amitié.
    ellauri143.html on line 381: Luku 22. Seigenotre Seiti (Kuittaus): 211–220
    ellauri143.html on line 826: Luku 48. Seigenotrese Penos (Kivulias sarkopteri): 471–480
    ellauri143.html on line 868: Luku 52. Sonotre aloe memit (tietäen katalyyttinen ultrasonication): 511–520
    ellauri145.html on line 50: Heureusement pour nos amoureux, le tout nouveau pasteur est très nerveux car c´est sa première célébration d´un mariage. Lucrecia propose alors une répétition où elle veut bien tenir le rôle du futur mari. Sitôt dit, sitôt fait. Fort de cela, au beau milieu de la véritable cérémonie qui débute, notre héros s´interpose et dévoile son identité en déclarant être déjà marié à Winnie !
    ellauri145.html on line 983: Par notre science un peu rogne ; keximälle meriselityxelle;
    ellauri145.html on line 1077: Aussi bien à tout culte en telle place de culte mémoriale et parmi tels événements qu´ il faille se rendre, suivant les aspirations du moment ou bien notre propre vice sérieux.

    ellauri146.html on line 505: Celle-là, par orgueil, se fait notre ennemie. Se ylpistyy ja siitä tulee 5 kolonna.
    ellauri162.html on line 162: Convaincu que le monde moderne est une « conspiration contre toute espèce de vie intérieure », il y dénonce « la dépossession progressive des États au profit des forces anonymes de l’Industrie et de la Banque, cet avènement triomphal de l’argent, qui renverse l’ordre des valeurs humaines et met en péril tout l’essentiel de notre civilisation ».
    ellauri172.html on line 316: Le caractère de la vie qui nous a permis d’unir en une certaine mesure, l’égoïsme et l’altruisme, — union qui est la pierre philosophale des moralistes, — c’est ce que nous avons appelé la fécondité morale. Il faut que la vie individuelle se répande pour autrui, en autrui, et, au besoin, se donne ; eh bien, cette expansion n’est pas contre sa nature : elle est au contraire selon sa nature ; bien plus, elle est la condition même de la vraie vie. L’école utilitaire a été forcée de s’arrêter, plus ou moins hésitante, devant cette antithèse perpétuelle du moi et du toi, du mien et du tien, de l’intérêtpersonnel et de notre intérêt général ; mais la nature vivaute ne s’arrête pas à cette division tranchée et logiquement inflexible : la vie individuelle est expansive pour autrui parce qu’elle est féconde, et elle est féconde par cela même qu’elle est la vie.
    ellauri172.html on line 318: Au point de vue physique, nous l’avons vu, c’est un besoin individuel que d’engendrer un autre individu, si bien que cet autre devient comme une condition de nous-même. La vie, comme le feu, ne se conserve qu’en se communiquant. Et cela est vrai de l’intelligence non moins que du corps ; il est aussi impossible de renfermer l’intelligence en soi que la flamme : elle est faite pour rayonner. Même force d’expansion dans la sensibilité : il faut que nous partagions notre joie, il faut que nous partagions notre douleur. C’est tout notre être qui est sociable : la vie ne connaît pas les classifications et les divisions absolues des logiciens et des métaphysiciens : elle ne peut pas être complètement égoïste, quand même elle le voudrait. Nous sommes ouverts de toutes parts, de toutes parts envahissants et envahis. Cela tient à la loi fondamentale que la biologie nous a fournie : La vie n’est pas seulement nutrition, elle est production et fécondité. Vivre, c’est dépenser aussi bien qu’acquérir.
    ellauri172.html on line 330: Peut-être notre terre, peut-être l’humanité arriveront-elles aussi à un but ignoré qu’elles se seront créé à elles-mêmes. Nulle main ne nous dirige, nul œil ne voit pour nous ; le gouvernail est brisé depuis longtemps ou plutôt il n’y en a jamais eu, il est à faire : c’est une grande tâche, et c’est notre tâche.
    ellauri172.html on line 668: « — Et notre enfant ? — objecta-t-il, l’insensé ! comme si c’était une preuve, et comme s’il eût invoqué un souvenir !
    ellauri172.html on line 670: « — Ah ! notre enfant ! — fit-elle, en éclatant de rire. — Il n’était pas de toi !
    ellauri172.html on line 710: « Je n’ai plus eu jamais des nouvelles de la Rosalba, dite la Pudica, — répondit Mesnilgrand. — Est-elle morte ? A-t-elle pu vivre encore ? Le chirurgien a-t-il pu aller jusqu’à elle ? Après la surprise d’Alcudia, qui nous fut si fatale, je le cherchai. Je ne le trouvai pas. Il avait disparu, comme tant d’autres, et n’avait pas rejoint les débris de notre régiment décimé.
    ellauri210.html on line 812: dieu est plus grand que notre fesse Jumala on suurempi kuin valjaamme
    ellauri210.html on line 1222: La Rochefoucauld a dit qu’il y a dans le malheur de notre meilleur ami quelque chose qui ne nous déplaît pas. Tästäkin osuvasta ajatelmasta Rabbe veti herneen nenään.
    ellauri324.html on line 166: Tout le monde est libre de croire en Dieu par rapport à ce qu'il voit ou dans les conditions dans lesquelles où il vit. Pour moi, Dieu existe et guide ma vie et celle de ma famille. Il y a tant de choses, dont je n'énumère pas, qui m'ont convaincues que Dieu en Jesus Christ est toujours là pour moi et pour tous ceux qui y croient. Je ne suis pas sur terre par hasard comme les microbes et autres organismes issus de la dégradation de notre environnement.
    ellauri339.html on line 312: Allumons notre grande forge ! Sytytetään mahtava takomomme!
    ellauri339.html on line 324: Notre ennemi, c'est notre maître : Vihollisemme on herramme:
    ellauri365.html on line 138: Hän näytti katselevan meidän kulkuamme kaukaa. Elle semblait guetter de loin notre passage.
    ellauri365.html on line 192: Sitten epätoivoinen taistelumme alkoi jälleen Alors recommença notre lutte éperdue
    ellauri392.html on line 259: notreview.com/wp-content/uploads/2017/07/Abdourahman-Waberi-150x150.jpg" height="300" />
    ellauri392.html on line 260: notreview.com/wp-content/uploads/2017/07/Nancy-Naomi-Carlson-150x150.jpg" height="300" />
    xxx/ellauri044.html on line 750:
  • Mon père l'avait installé commodément dans notre fauteuil Voltaire, et ma mère avait jeté une charpagnée de souches dans le brasier, qui pétillait gaîment. — (André Theuriet, L’Écureuil, dans La Revue des deux Mondes, vol.42, 1880, p.344 ; puis dans Les enchantements de la forêt ...,
    xxx/ellauri128.html on line 138: À l'Académie, il soutint généralement le parti des Philosophes, mais sans en faire partie car les excès de ses membres l’irritaient : « Les grands raisonneurs et les sous-petits raisonneurs de notre siècle, disait-il, en feront et en diront tant qu’ils finiront par m’envoyer à confesse. » Ses relations avec Voltaire furent froides et leur correspondance n’est qu’académique et de politesse. Il n’avait pas de relations avec Diderot, dont on lui reprocha d’avoir fait échouer la candidature à l’Académie. Il se brouilla avec D'Alembert et les deux hommes ne se réconcilièrent jamais entièrement. Généralement, son caractère autoritaire rendit ses relations souvent difficiles avec ses collègues.
    xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
    xxx/ellauri173.html on line 286: Ca va jusqu’à balayer la différence entre l’être humain et les autres animaux en faisant éclore subitement une position symétrique d’observation! Mais de notre côté, nous (ou moi, je suis seule a ecrire ceci) n’y voyons pas la même démonstration.
    xxx/ellauri173.html on line 310: Enfin, puisque vous le désirez, voici : ― j’ai le malheur de subir un amour très pénible, le premier de ma vie (et, dans ma famille, le premier est presque toujours le dernier, c’est-à-dire le seul) pour une très-belle personne ― tenez ! pour la plus belle personne du monde, je crois ! ― et qui est, actuellement à New York, au théâtre, dans notre loge, où elle fait miroiter les pierres de ses oreilles en paraissant écouter le Freyschütz. ― Là !… Vous voilà satisfait, j’imagine, monsieur le curieux ?
    xxx/ellauri173.html on line 484: Fausses entre elle-même et notre chant crédule ;

    xxx/ellauri173.html on line 514: » Où notre ébat au jour consumé soit pareil.

    xxx/ellauri173.html on line 539: Et notre sang, épris de qui le va saisir,

    xxx/ellauri176.html on line 182: Et puis, qui a eu l’idée de laisser ces gamins tout seuls dans ce parc lubrique, hein ? D’abord il est où le vieux ? Il s’occupe de ses salades. D’abord il est où notre bon docteur ? Il s’occupe de ses expériences scientifiques. Ils ont le sens des priorités !
    xxx/ellauri376.html on line 488: « Si Piron a fait la fameuse Ode, il faut bien le gronder, mais l’admettre ; s’il ne l’a pas faite, fermons-lui notre porte.» Fontenelle. (Discours pour l’admission de Piron à l’Académie.)
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