Mon père l'avait installé commodément dans notre fauteuil Voltaire, et ma mère avait jeté une charpagnée de souches dans le brasier, qui pétillait gaîment. — (André Theuriet, L’Écureuil, dans La Revue des deux Mondes, vol.42, 1880, p.344 ; puis dans Les enchantements de la forêt ...,
xxx/ellauri128.html on line 138: À l'Académie, il soutint généralement le parti des Philosophes, mais sans en faire partie car les excès de ses membres l’irritaient : « Les grands raisonneurs et les sous-petits raisonneurs de notre siècle, disait-il, en feront et en diront tant qu’ils finiront par m’envoyer à confesse. » Ses relations avec Voltaire furent froides et leur correspondance n’est qu’académique et de politesse. Il n’avait pas de relations avec Diderot, dont on lui reprocha d’avoir fait échouer la candidature à l’Académie. Il se brouilla avec D'Alembert et les deux hommes ne se réconcilièrent jamais entièrement. Généralement, son caractère autoritaire rendit ses relations souvent difficiles avec ses collègues.
xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
xxx/ellauri173.html on line 286: Ca va jusqu’à balayer la différence entre l’être humain et les autres animaux en faisant éclore subitement une position symétrique d’observation! Mais de notre côté, nous (ou moi, je suis seule a ecrire ceci) n’y voyons pas la même démonstration.
xxx/ellauri173.html on line 310: Enfin, puisque vous le désirez, voici : ― j’ai le malheur de subir un amour très pénible, le premier de ma vie (et, dans ma famille, le premier est presque toujours le dernier, c’est-à-dire le seul) pour une très-belle personne ― tenez ! pour la plus belle personne du monde, je crois ! ― et qui est, actuellement à New York, au théâtre, dans notre loge, où elle fait miroiter les pierres de ses oreilles en paraissant écouter le Freyschütz. ― Là !… Vous voilà satisfait, j’imagine, monsieur le curieux ?
xxx/ellauri173.html on line 484: Fausses entre elle-même et notre chant crédule ;
xxx/ellauri173.html on line 514: » Où notre ébat au jour consumé soit pareil.
xxx/ellauri173.html on line 539: Et notre sang, épris de qui le va saisir,
xxx/ellauri176.html on line 182: Et puis, qui a eu l’idée de laisser ces gamins tout seuls dans ce parc lubrique, hein ? D’abord il est où le vieux ? Il s’occupe de ses salades. D’abord il est où notre bon docteur ? Il s’occupe de ses expériences scientifiques. Ils ont le sens des priorités !
xxx/ellauri376.html on line 488: « Si Piron a fait la fameuse Ode, il faut bien le gronder, mais l’admettre ; s’il ne l’a pas faite, fermons-lui notre porte.» Fontenelle. (Discours pour l’admission de Piron à l’Académie.)
xxx/ellauri436.html on line 87: Pourquoi la condition humaine est-elle importante ? Notre condition humaine est une bénédiction qui peut apporter un soutien psychologique, social et spirituel à notre vie. Mais cette même « condition » peut parfois nous causer une grande détresse. La vie est absurde, et l'homme incapable de savoir qui il est. Pourtant, dans ce drame existentiel, l'espoir persiste. Si l'homme ne saurait dépasser son destin, échapper à sa condition, il peut, en revanche, faire de sa mort une apothéose de la fraternité. Paizi Sartren mukaan ezistentiälistit on optimisteja vaikkei niillä ole espoiria vaan desesporia ja angoissea. Leibniz oli optimisti koska tää maailma on paras qua ainoa. Sartre koska se ei tästä huonommaxi tule teit mitä tahansa.
xxx/ellauri436.html on line 89: Ihmiset kysyvät myös: C'est quoi la condition humaine selon Sartre ? À la place de la notion de « nature », Sartre propose celle de « condition humaine », c'est-à-dire un ensemble de « limites et de contraintes » commun à toute situation que nous vivons (Réflexions sur la question juive, 1946, p. 72). C’est notre condition de devoir choisir pour nous-mêmes une fin vers laquelle nous projeter.
xxx/ellauri436.html on line 91: D’où vient cette idée hyperbolique ? Revenons à la phénoménologie. Nous ne sommes pas tout à fait, mais notre « conscience à être son être (???) en visant des valeurs (L’être et le néant, p. 97). En ce sens, c’est « parce qu’il n’est pas soi mais présence à soi » que l’être humain est libre (L’être et le néant, p. 485). Cette liberté dépend de la « néantisation » de la conscience, mais elle s’exerce dans un choix de type particulier. Selon L’être et le néant, tout être humain se définit par le choix de se projeter vers une fin, ce qui donne sens à son existence, y compris nos valeurs.
xxx/ellauri436.html on line 94: WTF? un choix opéré sans raison et inconnu de celui qui « choisit » n’est pas réellement un choix!? En plus, faire dépendre les valeurs de notre choix, c’est tomber dans un relativisme subjectiviste qui ne permet pas de véritable théorie éthique. Jean-Paul Sartre n'est pas seulement narcissiste, il est complètement dérangé. Disons plutôt que on peut comparer le choix moral avec la construction d'une oeuvre d'art. Tällä hyypällä on yhtä huono moraali kuin André Gidellä. Eli nolla.
51