ellauri055.html on line 102: Le bahaïsme, ou baha’isme, aussi connu sous le nom de foi bahá’íe (prononcer [baˈ.haː.ʔ.iː] ou [ba.hɑː.i]) ou béhaïsme (vieille graphie), est une religion abrahamique et monothéiste, proclamant l’unité spirituelle de l’humanité. Les membres de cette communauté religieuse internationale se décrivent comme les adhérents d’une « religion mondiale indépendante »[. Elle est fondée par le Persan Mīrzā Ḥusayn-ʿAlī Nūrī (1817-1892) en 1863. Ce nom est dérivé du surnom donné à son fondateur : Bahāʾ-Allāh (en arabe, « Gloire de Dieu » ou « splendeur de Dieu ») — Bahá’u’lláh en translittération baha’ie. Les baha’is sont les disciples de Bahāʾ-Allāh. Ils s’organisent autour de plus de 100 000 centres (répertoriés par le centre mondial de Haïfa) à travers le monde. En 2011, cette religion met en avant dans ses documents le chiffre de 7 millions de membres appartenant à plus de 2 100 groupes ethniques, répartis dans plus de 189 pays. Son centre spirituel (lieu de pèlerinage — ziyarat) et administratif est situé à Haïfa et Acre, en Israël.
ellauri055.html on line 111: Égalité de l’homme et de la femme, mais avec cependant des exceptions à cette règle. La principale exception, depuis l’arrêt du soutien de la bigamie, est l’inéligibilité des femmes comme membres de la Maison Universelle de Justice.
ellauri109.html on line 410: C’est en Égypte, durant le règne de Méhémet Ali Pacha, qu’une délégation française débarque en terre des pharaons dans l’intention de moderniser le pays du Nil. Parmi ses membres, y figurent Maxime Du Camp en tant que photographe, mais aussi Gustave Flaubert, qui n’a pas encore 30 ans et surtout qui n’est pas encore devenu un écrivain notoire. Sa mission au sein de la délégation reste peu claire. L’occasion pour Mohamed Taan, en prenant certaines libertés de romancier, de parler sans ambages de l’homosexualité de l’auteur de La tentation de saint Antoine…
ellauri161.html on line 904: Joseph de Maistre était membre du souverain Sénat de Savoie, avant d'émigrer en 1792 quand les forces armées françaises occupent la Savoie. Il passe ensuite 14 années en Russie, avant de retourner à Turin.
ellauri161.html on line 910: Joseph de Maistre est dès 1773 membre de la loge maçonnique de La Parfaite Union qui relevait de la loge Saint-Jean des Trois Mortiers, à l'orient de Chambéry. Il a les titres de grand orateur, de substitut des généraux et de maître symbolique. Il entend concilier son appartenance à la franc-maçonnerie avec une stricte orthodoxie catholique: entre autres, il refuse les thèses qui voyaient en la franc-maçonnerie et l'illuminisme les acteurs d'un complot ayant amené à la Révolution[note 4]. Il écrit ainsi au baron Vignet des Étoles que « la franc-maçonnerie en général, qui date de plusieurs siècles […] n’a certainement, dans son principe, rien de commun avec la révolution françoise ».
ellauri161.html on line 912: Avec quelques frères de Chambéry, il fonde en 1778, la loge réformée écossaise de « La Sincérité », qui dépend du directoire écossais dont l'âme est Jean-Baptiste Willermoz (1730-1824), disciple de Joachim Martinès de Pasqually. Il est reçu chevalier bienfaisant de la Cité Sainte sous le nom de eques Josephus a Floribus (ce surnom fait allusion aux fleurs de souci de ses armoiries). On retrouve dans son œuvre les enseignements de la maçonnerie : providentialisme, prophétisme, réversibilité des peines, etc. ; hautement investi dans la vie de cette société initiatique, à la veille du Convent de Wilhelmsbad (1782), il fait d'ailleurs parvenir à Jean-Baptiste Willermoz son célèbre Mémoire au duc de Brunswick. Il entretient par ailleurs une amitié avec Louis-Claude de Saint-Martin, pour lequel il avait une vive admiration, se faisant fort, disait-il, « de défendre en tous points l'orthodoxie », d'où son attrait pour le membre/">martinisme.
ellauri164.html on line 80: J’ai avalé une fameuse gorgée de poison. — Trois fois béni soit le conseil qui m’est arrivé ! — Les entrailles me brûlent. La violence du venin tord mes membres, me rend difforme, me terrasse. Je meurs de soif, j’étouffe, je ne puis crier. C’est l’enfer, l’éternelle peine ! Voyez comme le feu se relève ! Je brûle comme il faut. Va, démon !
ellauri285.html on line 689: Il appelle cette nécessité de définir le groupe par une entité qui lui est extérieure l´incomplétude, et nomme cette entité le « sacré du collectif », qui est la représentation de ce que le groupe estime être le « meilleur ». C´est cette croyance qui assure la confiance réciproque entre les membres du groupe, et garantit selon R. Debray l´ordre social.
ellauri324.html on line 163: Toutes les infrastructures religieuses permettent à leurs membres de faire n'importe quoi "au nom du dieu suprême". Comme abrutir la masse populaire, commettre des actes abominables sur les enfants, enrichir le Vatican et les chefs religieux, commettre d'autres exactions crapuleuses protégés par les politiques de droite et d'extrême-droite.
xxx/ellauri075.html on line 112: Le 2 mars 1910, il rend visite à Tolstoï à Iasnaïa Poliana. Il s'installe en Suisse à Coppet, villa des Saules, où il demeure jusqu'en juillet 1914. Il travaille à des études sur la philosophie grecque, les mystiques, Luther et des théologiens allemands spécialistes de Luther, Harnack et Denifle. Ce travail aboutit à une première version de Sola Fide (« la foi seule ») qui lui est confisquée à la douane, à son retour en Russie en juillet 1914. Il s'installe à Moscou et commence à rédiger Le Pouvoir des clefs (Potestas Clavium), où il reprend nombre de thèmes abordés dans Sola Fide. En février 1915, il est élu membre de la Société de Psychologie de Moscou qui est un centre d'études religieuses.
xxx/ellauri126.html on line 473: La journaliste est la fille de l'écrivaine Nathalie Sarraute, avocate et femme de Lettres, membre phare du courant littéraire du Nouveau Roman. C'est dans les colonnes du journal Le Monde que Claude Sarraute s'est confiée sur sa relation avec sa mère. Selon elle, la romancière d'origine russe lui avait donné un prénom unisexe car elle aurait voulu avoir un garçon...
xxx/ellauri128.html on line 138: À l'Académie, il soutint généralement le parti des Philosophes, mais sans en faire partie car les excès de ses membres l’irritaient : « Les grands raisonneurs et les sous-petits raisonneurs de notre siècle, disait-il, en feront et en diront tant qu’ils finiront par m’envoyer à confesse. » Ses relations avec Voltaire furent froides et leur correspondance n’est qu’académique et de politesse. Il n’avait pas de relations avec Diderot, dont on lui reprocha d’avoir fait échouer la candidature à l’Académie. Il se brouilla avec D'Alembert et les deux hommes ne se réconcilièrent jamais entièrement. Généralement, son caractère autoritaire rendit ses relations souvent difficiles avec ses collègues.
xxx/ellauri130.html on line 767: Paul Claudel, né le 6 août 1868 à Villeneuve-sur-Fère (Aisne), et mort le 23 février 1955 à Paris, est un dramaturge, poète, essayiste et diplomate français, membre de l´Académie française. Il est le frère de la sculptrice Camille Claudel. Paul est le frère cadet de Louise Claudel, pianiste, née en 1866, et de la sculptrice Camille Claudel, laquelle réalisera en 1884 son buste « en jeune Romain »
xxx/ellauri202.html on line 224: Anan ekassa kirjassa Sylvestre Bonnard, membre de l’Institut, est un historien et un philologue, doté d’une érudition non dénuée d’ironie : « Savoir n’est rien – dit-il un jour – imaginer est tout. »
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