ellauri077.html on line 220: The French attributed the book’s great success to the French love of the “écrivain maudit” archetype, Wallace’s acerbic critique of America, and the myth that has grown up around the author: “A writer who seems to have been sacrificing his life on the altar of literature is seen as a hero.”
ellauri096.html on line 708: Selon sa biographe, Alice Cherki, Fanon devient en France — « le pays pour lequel la guerre d´Algérie n´a pas eu lieu » —, « un philosophe maudit ». Il est occulté pour sa condamnation radicale du colonialisme français : « En redonnant à la colonie son rôle dans la construction de la nation, de l’identité nationale et de la république française, Fanon fait apparaître comment la notion de « race » n’est pas extérieure au corps républicain et comment elle le hante ». Mettant en cause un clivage racial au fondement du système colonial, Fanon gêne le républicanisme d´une France qui se dit indifférente aux différences mais qui, dans son propre empire colonial, a dénié des droits à des populations au motif de leur « race » dite inférieure.
ellauri145.html on line 164: Joseph-Pierre Borel d´Hauterive , joka tunnettiin nimellä Petrus Borel (26. kesäkuuta 1809 – 14. heinäkuuta 1859), oli ranskalainen romanttisen liikkeen kirjailija. Petrus Borel, hän syntyi Lyonissa, kahdestoistaosana rautakauppiaan neljästätoista lapsesta. Hän opiskeli arkkitehtuuria Pariisissa, mutta jätti sen kirjallisuuden vuoksi. Lempinimellä le Lycanthrope ("susimies") ja Pariisin böömiläisten ympyrän keskus hänet tunnettiin ylellisestä ja omalaatuisesta kirjoituksestaan, joka esikuvasi surrealismia . Hän ei kuitenkaan menestynyt rautakaupallisesti, ja lopulta hänen ystävänsä, mukaan lukien Théophile Gautier, löysivät hänet pieneen virkaan . Häntä pidetään myös poète mauditina , kuten Aloysius Bertrand tai Alice de Chambrier. Borel kuoli Mostaganemissa noin vuonna 1859 auringonpistoxeen. Hän oli aiheena elämäkerran Enid Starkie , Petrus Borel: Tällä Lycanthrope (1954).
ellauri145.html on line 729: Corbière´s only published verse in his lifetime appeared in Les amours jaunes, 1873, a volume that went almost unnoticed until Paul Verlaine included him in his gallery of poètes maudits (accursed poets). Thereafter Verlaine´s recommendation was enough to establish him as one of the masters acknowledged by the Symbolists, and he was subsequently rediscovered and treated as a predecessor by the surrealists.
ellauri146.html on line 176: LE MAITRE D'ÉCOLE, assis à la fenêtre. Le Diable l'emporte. Le drôle nous arrive si tard dans la nuit pour nous aider à avaler le punch. C'est le maudit auteur, ou, comme on devrait proprement le nommer, le minuscule auteur, l'auteur de la pièce. Il est bête comme un sabot de vache, bave sur tous les écrivains et n'est bon lui-même à rien, a une jambe de travers, des yeux louches et une insipide face de singe. Fermez-lui la porte au nez, Monsieur le Baron, fermez-lui la porte.
ellauri164.html on line 118: Ah ! remonter à la vie ! jeter les yeux sur nos difformités. Et ce poison, ce baiser mille fois maudit ! Ma faiblesse, la cruauté du monde ! Mon Dieu, pitié, cachez-moi, je me tiens trop mal ! — Je suis caché et je ne le suis pas.
ellauri172.html on line 672: « J’imaginai ce qui dut se passer dans les yeux verts du major, en entendant son miaulement étranglé de chat sauvage. Il poussa un juron à fendre le ciel. — Et de qui est-il ? garce maudite ! — demanda-t-il, avec quelque chose qui n’était plus une voix.
ellauri210.html on line 1165:

Jean-Pierre Duprey (1 January 1930 in Rouen – 2 October 1959 in Paris) was a French poet and sculptor, one of the modern examples of a poète maudit (accursed poet).
ellauri326.html on line 556: Le Cercles des zutistes, en particulier Verlaine, Rimbaud et Germain Nouveau, multiplie les attaques contre François Coppée, accusé de défendre une littérature paternaliste et familialiste, alors qu'il serait lui-même un «inverti». Les « poètes maudits » de son temps (Verlaine, Rimbaud, Charles Cros) aimaient à pasticher ses dizains.
xxx/ellauri139.html on line 941: J’ai bien maudit le jour qui m’a vu naître ; Mä olen kironnut päivää jona synnyin!
xxx/ellauri139.html on line 1146: Manfred est un drame en vers de George Gordon Byron, dit Lord Byron, publié en 1817. Bourrelé de remords après avoir tué celle qu'il aimait, Manfred vit seul comme un maudit au cœur des Alpes. Il invoque les esprits de l'univers, et ceux-ci lui offrent tout, excepté la seule chose qu'il désire, l'oubli. Il essaie alors, mais en vain, de se jeter du haut d'un pic élevé. Il visite ensuite la demeure d'Ahriam, mais refuse de se soumettre aux esprits du mal, leur enjoignant d'évoquer les morts. Enfin lui apparaît Astarté, la femme qu'il a aimée puis tuée par son étreinte (« My embrace was fatal... I loved her and destroy'd her »). Répondant à son invocation, Astarté lui annonce sa mort pour le lendemain. Au moment prédit apparaissent des démons pour s'emparer de lui, mais Manfred leur dénie tout pouvoir sur sa personne. Pourtant, à peine sont-ils apparus qu'il meurt. La situation de Manfred deviendra l'un des poncifs favoris composant le portrait de l'homme fatal du romantisme. Cette pièce s'inspire, pense-t-on[Qui ?], dans son plan, du Faust de Goethe et selon certains, contiendrait une allusion du poète à sa demi-sœur Augusta Leigh. Sitäkin se dodennäköisesti bylsähti.
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