ellauri033.html on line 217: chose de répugnant. « Notre œuvre, déclarent-ils, repose sur une maladie
ellauri033.html on line 218: nerveuse. » Ils n´ont pas décrit leur époque, mais la maladie de leur
ellauri033.html on line 219: époque, ou plutôt leur propre maladie. La vérité qu´ils peignent est à
ellauri033.html on line 351: consciencieusement toutes les maladies de l´ame contemporaine. Ces
ellauri033.html on line 352: maladies, il les a répandues autour de lui en les analysant avec
ellauri033.html on line 387: maladies qu´ils dépeignent, ses romans ne le seraient-ils pas davantage
ellauri088.html on line 555: Three invalids.—Sufferings of George and Harris.—A victim to one hundred and seven fatal maladies.—Useful prescriptions.—Cure for liver complaint in children.—We agree that we are overworked, and need rest.—A week on the rolling deep?—George suggests the River.—Montmorency lodges an objection.—Original motion carried by majority of three to one.
ellauri140.html on line 105: Cynochles M-, a knight in Book II who is defined by indecision and fluctuations of the will. He and his fiery brother Pygochles represent emotional maladies that threaten temperance. The two brothers are both slain by Prince Arthur in Canto VIII.
ellauri145.html on line 703: Il faudrait...garder la véracité du document, la précision du détail, la langue étoffée et nerveuse du réalisme, mais il faudrait aussi se faire puisatier d’âme et ne pas vouloir expliquer le mystère par les maladies des sens; le roman, si cela se pouvait, devrait se diviser de lui-même en deux parts, néanmoins soudées ou plutôt confondues, comme elles le sont dans la vie, celle de l’âme, celle du corps, et s’occuper de leurs réactifs, de leurs conflits, de leur entente. Il faudrait, en un mot, suivre la grande voie si profondément creusée par Zola, mais il serait nécessaire aussi de tracer en l’air un chemin parallèle, une autre route, d’atteindre les en deçà et les après, de faire, en un mot, un naturalisme spiritualiste... (XII, 1, 10-11)
ellauri345.html on line 56: Tuomio rouva von Staёlin teoksessa "De l'Allemagne" on sattuva. Siinä lukee: »On ne saurait nier qu'il n'y ait dans ce livre une profonde connaissance du coeur humain, mais une connaissance decourageante; La vie y est representee comme une chose assez indifferente, de quelque manière qu'on la passe; triste quand on l'approfondit, assez agreable quand on l'esquive, susceptible de maladies morales qu'il faut guerir si l'on peut, et dont il faut mourir si l'on n'en peut guerir."
xxx/ellauri128.html on line 576: Jean Rostand, né le 30 octobre 1894 à Paris (17e arrondissement) et mort le 4 septembre 1977 à Ville-d´Avray (Hauts-de-Seine), était un écrivain, moraliste, biologiste, historien des sciences et académicien français. Très intéressé par les origines de la vie, il étudie la biologie des batraciens (grenouilles, crapauds, tritons et autres), la parthénogenèse, l´action du froid sur les œufs, et promeut de multiples recherches sur l´hérédité. Avec conviction et enthousiasme, il s´efforce de vulgariser la biologie auprès d´un large public (il reçoit en 1959 le prix Kalinga de vulgarisation scientifique) et d´alerter l´opinion sur la gravité et des problèmes humains qu´elle pose. Considérant la biologie comme devant être porteuse d´une morale, il met en garde contre les dangers qui menacent les humains lorsqu´ils jouent aux apprentis sorciers, comme les tenants de l´eugénisme. Toutefois, Rostand soutient une forme d´« eugénisme 'positif' », approuvant certains écrits d´Alexis Carrel et la stérilisation des personnes atteintes de certaines formes graves de maladies mentales, ce qui fut rapproché, après la guerre, de la loi nazie de 1933, et lui fut reproché dans un contexte où l´eugénisme est une idéologie encore répandue avec des auteurs comme Julian Huxley, premier directeur de l´UNESCO (1946-1948).
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