ellauri033.html on line 248: malade pour les apprécier à leur juste valeur.


ellauri033.html on line 274: malade que jamais et ne sachant où se prendre, il finit par invoquer la
ellauri033.html on line 358: ravages sans effroi, Les âmes qu´il avait rendues malades, il appliqua
ellauri040.html on line 95: «Un jour, écrit Emmanuelle Guattari, alors qu’on attend dans la voiture, Bertrand, un malade, me dit en souriant : "Christian et moi, on attend que nos dents repoussent." Je dodeline de la tête avec une moue et un haussement d’épaule : "Ça ne se peut pas." "- Oui, continue-t-il, mais on peut quand même attendre."»
ellauri145.html on line 356: Ne distrait plus le front de ce cruel malade ; Ei julman sairaan oza enää siliä,
ellauri146.html on line 534: La Femme, enfant malade et douze fois impur ! Nainen, sairas lapsi, tusinatuhero!
ellauri161.html on line 929: Pour Joseph de Maistre, le corps politique étant constitué à l'image d'un organisme vivant, il peut quelquefois être malade, et quand il est malade, l'estomac n' aura rien de manger. Le sacrifice des individus est un mal nécessaire pour la sauvegarde du corps social, et Joseph de Maistre, dans ses formulations les plus imagées, n'hésite pas à évoquer le sang que réclame la terre pour rendre la justice, et qu'elle obtient par la guerre que se font les Hommes.
ellauri194.html on line 622:
  • Kamaladevi Chattopadhyay – social reformer
    ellauri210.html on line 92: Le 28 mai 1906, Jarry écrit à Rachilde : « (Le Père Ubu) n’a aucune tare ni au foie, ni au cœur, ni aux reins, pas même dans les urines ! Il est épuisé, simplement, et sa chaudière ne va pas éclater mais s’éteindre. Il va s’arrêter tout doucement, comme un moteur fourbu. » Épuisé, malade, harcelé par ses créanciers, Jarry fait des allers et retours Paris-Laval, ou il meurt.
    ellauri210.html on line 1306: Mansour, lejos de generar o de seguir con la imagen de la mujer creada por André Bretón incluye la belleza fatal, entendida como una belleza herida, lejos del principio de Narciso. Junto con Gisèle Prassinos y Lise Deharme proceden a crear una renovación estética en la literatura surrealista. Adjetivos como “laid(e)”, “malade”, “malformé(e)” serán típicos de estas autoras que elaboran un reflejo femenino escribiendo sobre “antiNadjas” als gegen Bretons Roman verfasste Anti Nadja.
    ellauri210.html on line 1360: El monstruo es un ser complejo, no banal, que nos hace obtener resultados de nuestro yo profundo y oscuro, implica mutaciones pero también continuidades de sentido. Monsters have an interesting life, they don't work from 9 to 5. La subversion des images inattendues du corps féminin, sénile ou malade, se trouve particulièrment troublante chez Prassinos et Mansour. Como vemos, las dos autoras se sirven de un imaginario sórdido para expresar aquello que les duele.
    ellauri221.html on line 93: Issue d'une famille modeste (son père Louis Betenfeld, violent et alcoolique, est ouvrier brasseur et sa mère Marie Lartisant domestique), Marthe Betenfeld a un frère et une sœur aînés, Camille et Jeanne. Elle est envoyée quelques années dans une institution catholique et son destin semble tout tracé : couturière, comme sa sœur aîné. Puis elle devient à Nancy apprentie culottière, à quatorze ans. Le métier ne l'enchantant guère, elle fugue de chez ses parents. Elle est interpellée pour racolage en mai 1905 par la Police des mœurs et ramenée chez ses parents. Elle fugue à nouveau à 16 ans et se retrouve à Nancy, ville avec une importante garnison militaire, où elle tombe amoureuse d'un Italien se disant sculpteur mais qui se révèle être un proxénète. Il l'envoie sur le trottoir, puis elle devient prostituée dans les « bordels à soldats » de Nancy. Devant effectuer plus de 50 passes par jour, elle tombe rapidement malade et contracte la syphilis. Renvoyée du bordel, dénoncée par un soldat pour lui avoir transmis la syphilis et fichée par la police (où elle est inscrite comme prostituée mineure le 21 août 1905), elle est contrainte de s'enfuir à Paris. Elle rentre dans un « établissement de bains » rue Godot-de-Mauroy (maison close d'un standing supérieur à ses anciennes maisons d'abattage) où elle rencontre, un soir de septembre 1907, Henri Richer, mandataire aux Halles. Le riche industriel l'épouse le 13 avril 1915. Elle fait alors table rase de son passé et devient une respectable bourgeoise de la Belle Époque dans son hôtel particulier de l'Odéon. Elle demande à être rayée du fichier national de la prostitution, ce qui lui est refusé.
    xxx/ellauri139.html on line 885: Un jeune malade, à pas lents, Nuori potilas vetelästi laahusti,
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