ellauri036.html on line 251: Où le palais du prince, et la maison du prêtre,
ellauri049.html on line 846: Sur les maisons des morts mon ombre passe vainajien asuntojen yli mun varjo kulkee
ellauri051.html on line 3236: Nous semblions entre les maisons me näytettiin talojen välissä
ellauri074.html on line 331: Des arbres massacrés. Des maisons surgissent. Des gueules, des gueules partout. L'homme s'étend. L'homme est le cancer de la terre. (En parlant de l'homme) - Un singe occupé.
ellauri097.html on line 276: Ce qu 'ily a en moi d'impulsif, de rêveur, de charnel aussi, j'ai tendance à croire que je le dois à l'Irlande; à elle aussi tout ce qui fait que je réussis un jour pour échouer l'autre, tout ce qui m'a poussé à écrire mes livres, enfin le meilleur et le pire de moi-même. Je reconnais l'apport écossais dans mes crises religieuses, dans un amour profond et invariable de l'Ecriture... A travers moi l'humanité passe comme sur une grand-route. Je suis une parcelle de l'Univers. L'Univers est heureux en moi. Je suis le ciel, le soleil, les arbres, la Seine et les maisons qui la bordent...
ellauri118.html on line 816: Sacré roi de France le 26 juillet 15471 à Reims, il prend comme emblème le croissant de lune, qui est depuis toujours celui de la maison d´Orléans à laquelle il appartient en tant que fils cadet de François Ier[réf. nécessaire]. Ses devises sont Plena est œmula solis (« L´émule du soleil est pleine ») et Donec totum impleat orbem (« Jusqu´à ce qu´elle remplisse le monde tout entier »).
ellauri144.html on line 614: maison de Bezons (Val-d´Oise), en compensation des animaux sacrifiés par leur
ellauri145.html on line 231: No 6 rue Le Regrattier: maison où Baudelaire logea sa maîtresse Jeanne Duval, dite la Vénus noire. De retour à Paris, Charles s´éprend de Jeanne Duval, une « jeune mulâtresse » avec laquelle il connaît les charmes et les amertumes de la passion. Une idylle au sujet de laquelle certains de ses contemporains, comme Nadar, se sont interrogés en s´appuyant sur les déclarations d´un amant de Jeanne Duval et de prostituées connues, qui témoignent au contraire de la chasteté surprenante de Baudelaire.
ellauri152.html on line 87: Berthe Clorine Jeanne Le Barillier (parfois orthographiée Berthe Clorinne Jeanne Le Barillier ou même Berthe Corinne Jeanne Le Barillier, sans doute par une suite d'erreurs de recopiage orthographique erroné dans les divers ouvrages où elle est citée), née à Bordeaux le 24 juillet 1858 et morte au Cannet le 24 janvier 1927, est une femme de lettres française. Takkutukkainen naisoletettu, rekkalesbon näköinen. Väsäs paljon sinisukkajuttuja, mm. Heloisesta ja Abelardista. Takuulla ei kääntänyt mitään kreikasta. Son œuvre, si elle est assez largement tombée dans l'oubli, est servie par un style sobre et une documentation toujours très solide. La part la plus consistante de son œuvre est probablement celle consacrée à l'antiquité romaine. Elle batit une maison à proximité immédiate de l'Hermitage de Jean-Jacques Rousseau, un écrivain qu'elle admirait et dont elle voulait se rapprocher. Mit vit JJ oli kuollut jo aikapäiviä?? Ja aika misogyyni kaiken kukkuraxi. Näitä vale-uudelleen
ellauri152.html on line 573: Ahasvérus dit le Juif errant est un personnage légendaire, condamné à l'errance éternelle pour avoir refusé à Jésus marchant au supplice de se reposer sur le seuil de sa maison.
ellauri162.html on line 230: En 2008 et 2009, l´écrivain a fait la une des tabloïds finlandais pour son comportement incohérent, y compris sa conduite automobile imprudente. En octobre 2009, Artaux est victime d´un accident vasculaire cérébral. Il a décède 15 octobre 2018 dans une maison de repos à Espoo
ellauri192.html on line 117: Combien de maîtresses de maison lui demandérent-elles, à titre de faveur insigne, de dire à leurs invités le Vase brisé? Elles ne se doutaient pas que si l’homme du monde s’exécutait, après les résistances d’usage, le poéte grondait en dedans à la pensée de débiter une fois de plus cet éternel “pot cassé” qu’il avait fini par prendre en horreur. “Qu’il se brise sur leur nez, ce vase!” s’écriait-il dans un accés de fureur.
ellauri210.html on line 867: Il épouse Gladys Barber le 15 janvier 1926, mais elle le quitte rapidement, lassée de sa toxicomanie. De plus en plus esclave de l'héroïne et de l'alcool, il vit misérablement à New York jusqu’en novembre 1928, date à laquelle il revient subitement en France et reprend une vie mondaine dans une maison prêtée par le surréaliste Paul Chadourne.
ellauri210.html on line 869: En 1929 il entreprend une série de cures de désintoxication, infructueuses, en clinique à La Malmaison, puis en août à Saint-Mandé. En octobre, il entre dans une maison de repos à Châtenay-Malabry appelée « La Vallée aux loups » (qui fut la maison de Chateaubriand).
ellauri221.html on line 67: Bond heitti ympärilleen silmäyxen. Kyllä oli hienoa. Miesten joukossa saattoi olla pinnaajia jotka eivät lyöneet vaimoaan, ja miehiä joiden vietit oli kieroon kasvaneet (sodomisteja), mutta konkkaronkkana iltapuvuissaan he tekivät aristokraattisen vaikutelman kuin pingviinit jäällä. Vaan harmi että Marthe Richard meni sulkemaan 1946 les maisons closes, vaikka ne oli suljetut jo valmiixi. Nyt ei Lontoossakaan kulje klubitarjoilijat enää pyllyt paljaina, ei edes tarjoilijattaret. Quel dommage!
ellauri221.html on line 86: La loi de fermeture des maisons closes en France en 1946 porte communément son nom.
ellauri221.html on line 93: Issue d'une famille modeste (son père Louis Betenfeld, violent et alcoolique, est ouvrier brasseur et sa mère Marie Lartisant domestique), Marthe Betenfeld a un frère et une sœur aînés, Camille et Jeanne. Elle est envoyée quelques années dans une institution catholique et son destin semble tout tracé : couturière, comme sa sœur aîné. Puis elle devient à Nancy apprentie culottière, à quatorze ans. Le métier ne l'enchantant guère, elle fugue de chez ses parents. Elle est interpellée pour racolage en mai 1905 par la Police des mœurs et ramenée chez ses parents. Elle fugue à nouveau à 16 ans et se retrouve à Nancy, ville avec une importante garnison militaire, où elle tombe amoureuse d'un Italien se disant sculpteur mais qui se révèle être un proxénète. Il l'envoie sur le trottoir, puis elle devient prostituée dans les « bordels à soldats » de Nancy. Devant effectuer plus de 50 passes par jour, elle tombe rapidement malade et contracte la syphilis. Renvoyée du bordel, dénoncée par un soldat pour lui avoir transmis la syphilis et fichée par la police (où elle est inscrite comme prostituée mineure le 21 août 1905), elle est contrainte de s'enfuir à Paris. Elle rentre dans un « établissement de bains » rue Godot-de-Mauroy (maison close d'un standing supérieur à ses anciennes maisons d'abattage) où elle rencontre, un soir de septembre 1907, Henri Richer, mandataire aux Halles. Le riche industriel l'épouse le 13 avril 1915. Elle fait alors table rase de son passé et devient une respectable bourgeoise de la Belle Époque dans son hôtel particulier de l'Odéon. Elle demande à être rayée du fichier national de la prostitution, ce qui lui est refusé.
ellauri221.html on line 95:
La fermeture des maisons closes

ellauri221.html on line 97: Elle dépose le 13 décembre 1945 devant le Conseil municipal de Paris un projet pour la fermeture des maisons closes. Dans son discours, elle ne s’en prend pas tant aux prostituées qu’à la société, responsable selon elle, de la « débauche organisée et patentée » et à la mafia, qui bénéficie de la prostitution réglementée ; le propos permet aussi de rappeler que le milieu de la prostitution s'est compromis avec l’occupant pendant la guerre. Sa proposition est votée et le 20 décembre 1945, le préfet de police Charles Luizet décide de fermer sans préavis les maisons du département de la Seine dans les 3 mois (au plus tard le 15 mars 1946, date qu'a fixée le conseil municipal). Encouragée, Marthe Richard commence une campagne de presse pour le vote d'une loi généralisant ces mesures. Elle est soutenue par le Cartel d'action sociale et morale et le ministre de la Santé publique et de la Population, Robert Prigent.
ellauri221.html on line 99: Le 9 avril 1946, le député Marcel Roclore présente le rapport de la Commission de la famille, de la population et de la santé publique, et conclut à la nécessité de la fermeture. Le député Pierre Dominjon dépose une proposition de loi dans ce sens qui est votée le 13 avril 1946 à la chambre des députés. La fermeture des maisons closes est appliquée à partir du 6 novembre 1946. Le fichier national de la prostitution est détruit et remplacé par un fichier sanitaire et social de la prostitution (loi du 24 avril 1946). Environ 1 400 établissements sont fermés, dont 195 à Paris (177 établissements officiels) : les plus connus comme le Chabanais, le Sphinx, La Rue des Moulins, le One-Two-Two mais aussi les sinistres maisons d’abattage comme le Fourcy et le Charbo… Beaucoup de tenanciers de maisons closes se reconvertirent en propriétaires d'hôtels de passe. La prostitution est alors une activité libre ; seules sont interdites son organisation et son exploitation — le proxénétisme — et ses manifestations visibles.
ellauri221.html on line 101: Ce succès vaut à Marthe Richard le pseudonyme humoristique de « Veuve qui clôt », en référence à la maison de Champagne Veuve Cliquot. Qui clot - Cliquot - vous comprenez? Haha!
ellauri266.html on line 462: Les prisonniers sont mis dans des chariots et conduits à une maison où les chasseurs sont attendus par leurs femmes venant admirer l’œuvre de leurs maris4. Les morts sont exposés aux regards admiratifs des guenons et les vivants sont conduits dans des chariots vers la capitale pour servir de cobaye dans des recherches scientifiques. Sur place, le narrateur est mis dans une cage individuelle située en face de la cage de Nova que surveillent deux gorilles appelés Zanam et Zoram. Voulant attirer leur attention sur sa différence, le narrateur les remercie avec amabilité. Surpris, les deux gorilles avertissent leur supérieur, un chimpanzé femelle appelée Zira. Intriguée par ce cas, la guenon avertit son supérieur : un vieil orang-outan, qui fait subir au narrateur plusieurs tests de conditionnement pour s’assurer de son intelligence. Étonné par les résultats obtenus, le vieillard, appelé Zaïus, reste cependant convaincu qu´il s´agit d´un cas d´humain dressé et non d´un humain conscient et intelligent. Il en informe un autre collègue, puis décident de faire subir au narrateur le même test d’accouplement qu´aux autres cobayes. Il lui choisit comme partenaire Nova.
ellauri349.html on line 490: Raymond Claude Ferdinand Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu aisé des deux côtés. Ses parents sont Gustave Émile Aron (1870-1934) et Suzanne Levy (1877-1940). Son grand-père maternel, Léon Levy, possédait une usine de textile dans le nord de la France. Sa famille paternelle venait de Lorraine où elle était établie depuis la fin du XVIIIe siècle. Son grand-père paternel, Isidore (dit Ferdinand) Aron, était grossiste en textile à Rambervillers, puis Nancy (Lorraine). Un de ses grand-oncles paternels, Paul Aron, était le père de Max Aron, médecin biologiste à la faculté de médecine de Strasbourg. Ferdinand, le grand-père paternel de Raymond, prédit à celui-ci à sa naissance une grande carrière. Gustave Aron refusa de prendre la suite de l'affaire familiale et fit de brillantes études de droit; il publia des travaux juridiques, mais n'étant reçu que deuxième à l'agrégation de droit alors qu'un seul poste était attribué, il abandonna la perspective d'enseigner à l'université et devint professeur de droit à l'École normale supérieure de l'enseignement technique. Il arrêta de travailler au début du XXe siècle, vécut dès lors de l'héritage familial et fit construire une maison à Versailles en 1913-1915 avec un court de tennis. La famille Aron retourna ensuite à Paris. Après la guerre, Gustave Aron investit en bourse, mais sa fortune fut perdue du fait de la crise économique de 1929 et il fut obligé de reprendre un emploi. Il mourut en 1934 d'une crise cardiaque. La mère de Raymond mourut en juin 1940 à Vannes.
ellauri365.html on line 39: À la feuille de rose, maison turque zo ur gomedienn bornografek gant Guy de Maupassant en 1875 hag embannet e Pariz en 1945.
ellauri365.html on line 49: Maupassant [måpasa], Henry René Albert Guy de, fransk författare, f. 5 aug. 1850 på slottet Miromesnil i Normandie, d. 6 juli 1893 Auteuil, var ättling af en gammal lothringsk adels- familj; modern var sy- ster till skalden Alfred de Poittevin. Föräld- rarna skildes tidigt, och den intelligenta och litterärt intresse- rade modern, en barn- domsväninna till Gu- stave Flaubert, ledde sonens uppfostran. Hans barndom förflöt vid Normandies kust, där M. insöp sin kärlek till naturen och lärde kän- na dessa normandiska typer, som han sedan så gärna skildrade. Adertonårig inträdde han 1868 i Marinministeriet, men öfvergick 1878. till kultusministeriet. Han saknade emellertid intresse för ämbetsmannabanan. Redan tidigt vak- nade hans lust för litteraturen, som närdes af mo- derns ungdomsminnen. Flaubert omfattade honom med en faders kärlek, kritiserade strängt hans. första omogna försök, inpräntade i hans sinne sina egna konstnärliga principer, lärde honom att genom aldrig tröttnande observation söka uppfånga det förut icke iakttagna och därför nya och att återge. det så, att det skildrade fenomenet skiljer sig från alla andra och blir individuellt och enastående. Framför allt afhöll han honom från att debutera för tidigt. Från midten af 70-talet meddelade dock M. under hvarjehanda pseudonymer (oftast Guy de Valmont) smärre bitar åt tidningar och tidskrifter, och 1879 fick han uppförd en drama- tisk bagatell, Histoire du vieux temps. Hans verk- liga debut inföll dock först 1880 med diktsamlingen Des vers. Den har obestridligen ett originellt skaplynne och väckte uppseende kanske ej minst därför, att den hotades med ett åtal för osedlighet hufvudsakligen på grund af dikten Le mur), som deck afstyrdes genom inflytelserika vänner. M. insåg sedan själf, att hans talang låg mera för prosan, i all synnerhet sedan han samma år ut- gifvit novellen Boule de suif (i "Soirées de Mé- dan"). Med denna novell, som utmärktes genom skarp observationsförmåga och ypperlig prosa- stil, slog M. igenom och intog sin plats som en at den naturalistiska skolans förnämsta representanter och en af den franska litteraturens största novellister. Den efterföljdes af en lång rad novel ler, först publicerade i "Gil Blas" och "Echo de Paris" och sedan samlade i bokform under följande titlar: La maison Tellier (1881), M:lle Fifi (1882), Les contes de la Bécasse (1883), Clair de lune i (1884), Au soleil (resebilder, s. a.), Les soeurs Rondoli (s. a.), Miss Harriett (s. a.), Yvette (s. a.; sv. öfv. 1905), Monsieur Parent (s. a.), Contes du jour et de la nuit (1885), Contes et nouvelles (s. 4.), Contes choisis (1886), La petite Roque (s. a.), Toine (s. 1.), Le Horla (1887), Sur l'eau (rese- skildringar, 1888), Le rosier de Mime Husson (s. å.), L'héritage (s. a.), La main gauche (1889), Histoire d'une fille de ferme (s. a.), La vie errante (reseskildringar, s. å.) och L'inutile beauté (1890); efter hans död ha ytterligare publicerats Le père Milon (1899; "Gubben Milon", s. å.), Le colporteur (1900) och Dimanches d'un bourgeois de Paris (s. å.). Till dessa novellsamlingar ansluta sig sexromanerna Une vie (1883; "Ett lif", 1884), Bel-ami (1885; "Qvinnogunst", 1885 och 1901), Mont-Oriol (1887; sv. öfv. 1895), Pierre et Jean (1888; "Pierre och Jean", s. a.), Fort comme la vi mort (1889; "Stark som döden", 1894 och 1910) och Notre coeur (1890; "Vårt hjerta", 1894 och 1910). För scenen skref M. vidare treaktsskåde spelet Musotte (i samarbete med J. Normand, 1891) och La paix du ménage (uppf. på Théâtre fran- çais, 1893). M. skref äfven litterära studier, bl. a. öfver Emile Zola (1883) och Gustave Flaubert (1884). Denna oerhörda produktion fullbordades en på den korta tiden af omkr. tio år. Den gjorde honom hastigt världsberömd som en äkta represen tant för den franska conten, en ättling i rakt ned stigande led af de gammalfranske fabliåförfattarna, med ära upphärande Rabelais', La Fontaines och Voltaires traditioner.
ellauri367.html on line 116: La famille Rothschild, la plus célèbre famille à porter ce nom, sont des descendants de Mayer Amschel Rothschild (1744-1812). Né Mayer Amschel Bauer, à Francfort-sur-le-Main dans l'ouest de l'Allemagne, il changea son nom en Rothschild en référence au bouclier rouge, symbole de la maison familiale puis de la banque créée par son père. Ses descendants ont fondé depuis le XVIIIe siècle des dynasties de banquiers et financiers dans différents pays européens aux origines juives ashkénazes et aux différentes nationalités (allemande, française, britannique, israélienne, etc.).
xxx/ellauri057.html on line 913: Début 1938, il loue la villa Agnès, à La Rochelle, avant d’acheter en août 1938 « une simple maison des champs » à Nieul-sur-Mer. Son premier fils, Marc Simenon, y naît en 1939.
xxx/ellauri057.html on line 925: En 1946, il quitte le Canada pour les États-Unis et Hollywood qui lui faisait des appels d'offre pour l'adaptation de ses œuvres à l'écran depuis de nombreuses années. Il s'installe d'abord en Californie, puis en Floride et dans l'Arizona en 1947, à Carmel-by-the-Sea en Californie en 1949, avant de s'établir en juillet 1950 à Lakeville dans le Connecticut, dans une propriété nommée Shadow Rock Farm, dont la grande maison de dix-huit pièces comporte huit chambres à coucher et six salles de bains. Pendant dix années, il parcourt cet immense continent en voiture. Afin d’assouvir sa curiosité et son appétit de vivre, il visite intensément New York, la Floride, l’Arizona, la Californie et toute la côte est, des milliers de miles, de motels, de routes et de paysages grandioses.
xxx/ellauri057.html on line 939: En 1960, il préside le Festival de Cannes à l'issue duquel fut attribuée la Palme d'Or au film culte La Dolce Vita de Federico Fellini. En 1963, il s'installe à Épalinges, au nord de Lausanne, où il se fait construire une gigantesque maison. Sa femme Denise, qui sombre dans l'alcool et la dépression (comme sa fille Marie-Jo), quitte la maison, le laissant seul avec ses enfants.
xxx/ellauri057.html on line 945: En 1974, il quitte Epalinges pour vivre modestement dans la maison rose, avenue des Figuiers à Lausanne, se rapprochant de « l'homme nu » qu'il a toujours cherché à appréhender.
xxx/ellauri128.html on line 183: Veuve en 1802, elle se remarie en 1811 avec un jeune officier genevois, Albert de Rocca, et rouvre son salon parisien à la faveur de la Restauration de la maison de Bourbon. Elle meurt en 1817, peu de temps après une attaque de paralysie qui la terrasse au cours d´un bal que donnait le duc Decazes. Matami oli "Tuxu" Tukiaisen näkönen ja ylisteli Rusakon Heloisea. Sapienti sat.
xxx/ellauri177.html on line 249: Kun löytyy oikein kiva paikka mezässä: -- Oui, nous sommes chez nous, reprit-elle, si joyeuse, qu'elle tapa les herbes de son poing. C'est une maison à nous... Nous allons tout faire. - Veux-tu être mon mari? Je serai ta femme. Nytpä leikitäänkin kotia! -- Tu sais, dit-elle, c'est moi qui commande...
xxx/ellauri178.html on line 292: Il quitte les lieux à dix-huit ans et, devançant l'appel, s'engage pour deux ans dans la Légion étrangère. Il découvre alors l'Afrique du Nord et le Proche-Orient, qui lui font très forte impression par les passions qui y règnent, le charisme mâle et volontaire de ses habitants. Revenu à Paris, vivant de petits larcins (dont le vol de livres), Genet passe presque quatre ans dans des prisons pour adultes, pour l'essentiel à la Santé et à la maison d'arrêt de Fresnes.
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