ellauri033.html on line 121: l´école alors régnante, Verlaine fut salué comme un maître par tous les
ellauri033.html on line 1030: Peut-être?…, oui, pardonne, ô maître de la lyre ! Ehkenpä?..., joo, sori siitä, lyyramestari!
ellauri033.html on line 1119: Villiers était « un inquiétant mythomane. Il revendiqua le trône de Grèce, poursuivit des critiques pour diffamation, se prétendit Prince du Saint-Empire Romain, unique héritier du grand maître de Rhodes fondateur de l´ordre de Saint-Jean de Jérusalem, Grand d´Espagne depuis Charles Quint, 22 fois comte ».
ellauri036.html on line 339: Se vit à dix-neuf ans maître de sa personne, —
ellauri036.html on line 809: Roi du monde, ô soleil! la terre est ta maîtresse;
ellauri036.html on line 839: À lui, qui n'avait eu ni logis ni maîtresse,
ellauri036.html on line 944: Doive éternellement ne prendre à sa maîtresse
ellauri055.html on line 84: Déstabilisé par l'élan mystique qui traverse alors la société autrichienne, Stefan Zweig affiche au début de la guerre un patriotisme en phase avec l'Allemagne. L’opiniâtreté de Romain Rolland dans sa lutte contre la guerre et l'amitié que se portent mutuellement les deux hommes permettra à Stefan Zweig de surmonter cette épreuve. L'admiration que l'écrivain autrichien voue désormais à celui qu’il considère comme son maître s'exprimera dans la biographie qu'il lui consacre en 1921, qualifiant Romain Rolland de « Conscience de l'Europe ».
ellauri109.html on line 389: Bien que jouissant d'une célébrité personnelle et d'un succès littéraire certains à son époque, l’œuvre de Louise Colet a connu un certain déclin au cours du XXe siècle, absente de la plupart des manuels d'histoire littéraire. Sa rupture difficile avec Gustave Flaubert à partir de 1856 pourrait y être pour quelque chose, celui-ci ayant dès lors dénigré fermement l’œuvre de son ancienne maîtresse, que d'autres comme Victor Hugo acclamaient.
ellauri109.html on line 417: Il meurt subitement d’une attaque cérébrale le 8 mai 1880. Son enterrement au cimetière monumental de Rouen se déroule le 11 mai 1880, en présence de nombreux écrivains importants qui le reconnaissent comme leur maître, qu’il s’agisse d’Émile Zola, d’Alphonse Daudet, d’Edmond de Goncourt, de Théodore de Banville ou de Guy de Maupassant, dont il avait encouragé la carrière depuis 1873.
ellauri118.html on line 877: Il dit aussi que, quand on n´est point aimé, on souffre encore davantage de voir sa maîtresse dans une assemblée; que plus elle est admirée du public, plus on se trouve malheureux de n´en être point aimé; que l´on craint toujours que sa beauté ne fasse naître quelque amour plus heureux que le sien; enfin, il trouve qu´il n´y a point de souffrance pareille à celle de voir sa maîtresse au bal, si ce n´est de savoir qu´elle y est, et de n´y être pas.
ellauri145.html on line 167: Après la démission de Bugeaud, en juin 1847, Borel est nommé inspecteur de la colonisation à Mostaganem, le 19 juillet. Le 2 septembre, il se marie à Alger avec Gabrielle Claye, dite Béatrix, fille de sa maîtresse Marie-Antoinette Claye et d´Augustin Claye (mort en 1827), âgée de 19 ans, avant de prendre son poste à Mostaganem le 7 septembre.
ellauri145.html on line 231: No 6 rue Le Regrattier: maison où Baudelaire logea sa maîtresse Jeanne Duval, dite la Vénus noire. De retour à Paris, Charles s´éprend de Jeanne Duval, une « jeune mulâtresse » avec laquelle il connaît les charmes et les amertumes de la passion. Une idylle au sujet de laquelle certains de ses contemporains, comme Nadar, se sont interrogés en s´appuyant sur les déclarations d´un amant de Jeanne Duval et de prostituées connues, qui témoignent au contraire de la chasteté surprenante de Baudelaire.
ellauri145.html on line 242: Le 21 septembre 1844, maître Narcisse Ancelle, notaire de la famille, est officiellement désigné comme conseil judiciaire qui lui alloue une pension mensuelle de 200 francs. En outre, Baudelaire doit lui rendre compte de ses faits et gestes. Cette situation infantilisante inflige à Baudelaire une telle humiliation qu´il tente de se suicider d´un coup de couteau dans la poitrine le 30 juin 1845. Outre sa réputation de débauché, Baudelaire passait pour homosexuel auprès de certains de ses amis: « C´est moi-même », écrit-il « qui ai répandu ce bruit, et l´on m´a cru »
ellauri145.html on line 761: Ton écuelle ni ton maître. Sun kuppia äläkä sun mattea.
ellauri146.html on line 441: Aux genoux réunis du maître jeune et grave On nuoren synkän isännän polvilla
ellauri146.html on line 563: Lorsque vous avez vu la menteuse maîtresse Kun näätte luikuria laskevaa emäntää
ellauri161.html on line 910: Joseph de Maistre est dès 1773 membre de la loge maçonnique de La Parfaite Union qui relevait de la loge Saint-Jean des Trois Mortiers, à l'orient de Chambéry. Il a les titres de grand orateur, de substitut des généraux et de maître symbolique. Il entend concilier son appartenance à la franc-maçonnerie avec une stricte orthodoxie catholique: entre autres, il refuse les thèses qui voyaient en la franc-maçonnerie et l'illuminisme les acteurs d'un complot ayant amené à la Révolution[note 4]. Il écrit ainsi au baron Vignet des Étoles que « la franc-maçonnerie en général, qui date de plusieurs siècles […] n’a certainement, dans son principe, rien de commun avec la révolution françoise ».
ellauri162.html on line 214: je le dis,Je voudrais qu’il se fît le maître du logis :Je
ellauri164.html on line 98: Je vais dévoiler tous les mystères : mystères religieux ou naturels, mort, naissance, avenir, passé, cosmogonie, néant. Je suis maître en fantasmagories.
ellauri192.html on line 117: Combien de maîtresses de maison lui demandérent-elles, à titre de faveur insigne, de dire à leurs invités le Vase brisé? Elles ne se doutaient pas que si l’homme du monde s’exécutait, après les résistances d’usage, le poéte grondait en dedans à la pensée de débiter une fois de plus cet éternel “pot cassé” qu’il avait fini par prendre en horreur. “Qu’il se brise sur leur nez, ce vase!” s’écriait-il dans un accés de fureur.
ellauri192.html on line 216: Les maîtres plus hardis, les âmes plus serviles, Paatuneimmat isännät, sielut orjamaisimmat,
ellauri206.html on line 274: Le 27 juin 1829, Gautier rencontre celui qui allait devenir son « maître » en littérature, Victor Hugo, auquel le présentent Gérard et Pétrus Borel. Cet évènement précipite sa carrière d'écrivain.
ellauri247.html on line 286: CICISBEO: In 18th- and 19th-century Italy, the cicisbeo (Italian: [tʃitʃiˈzbɛːo]; plural: cicisbei) or cavalier servente (French: chevalier servant) was the man who was the professed gallant or lover of a woman married to someone else. With the knowledge and consent of the husband, the cicisbeo attended his mistress at public entertainments, to church and other occasions, and had privileged access to this woman. The arrangement is comparable to the Spanish cortejo or estrecho and, to a lesser degree, to the French petit-maître.,(petit-maître m (plural petits-maîtres) (archaic) dandy, coxcomb). The exact etymology of the word is unknown; some evidence suggests it originally meant "in a whisper" (perhaps an onomatopeic word). Other accounts suggest it is an inversion of bel cece, which means "beautiful chick (pea)". According to the Oxford English Dictionary, the first recorded usage of the term in English was found in a letter by Lady Mary Wortley Montagu dated 1718. The term appears in Italian in Giovanni Maria Muti's Quaresimale Del Padre Maestro Fra Giovanni Maria Muti De Predicatori of 1708 (p. 734).
ellauri266.html on line 476: Après avoir été nommé directeur de l’Institut des recherches biologiques, Cornélius désigne Ulysse comme son collaborateur et l’amène sur un site archéologique daté de plus de dix mille ans. Cornélius espère y trouver des indices sur l’origine des singes et de leur civilisation car ils ne savent absolument rien au-delà de dix mille ans d´histoire, période depuis laquelle ils ont très peu évolué. Cornélius y découvre une poupée d´apparence humaine habillée et parlante, confirmant son pressentiment selon lequel les humains avaient régné en maîtres sur leur planète avant les singes.
ellauri339.html on line 324: Notre ennemi, c'est notre maître : Vihollisemme on herramme:
ellauri352.html on line 70: Friedrich von Schiller litteröi vain yhden luvun Denis Diderot'n Jacques the Fatalist and his Master, Jacques le fataliste et son maître (kirjoitettu vuosina 1765–1784), joka ilmestyi saksaksi vuonna 1785. Sitten vuonna 1792 Wilhelm Christhelf Sigmund Mylius julkaisi ensimmäisen täydellisen käännöksen.
ellauri365.html on line 51: M. var en kraftigt sensuell natur, en friluftsmänniska och atlet, sjudande af af lifslust, säker i sin styrka, måttlöst hängifvande sig åt alla sensationer, full af känsla inför naturens skådespel, en vacker natthimmel, ett doftande fält, en solbelyst öppning i den högstammiga skogen, älskande kvinnan med en naiv, nästan animal, men ( på samma gång blyg lidelse. I denna öfversval- lande lifsglädje blandade sig dock alltid en viss sorgbundenhet. Han har själf tecknat sitt väsen, då han någonstädes säger, att han vissa dagar hatar allt, så att han kunde önska sig döden, andra åter känner sig glad och lycklig som ett djur. I kraft af detta sitt lynne, hvars tendenser funno sin motsvarighet i den naturalistiska riktning, som behärskade litteraturen i det ögonblick, då M. framträdde, kom hela hans diktning att röra sig inom det sinnliga lifvets sfär, återgifvande enkla och rela- tivt föga sammansatta själstillstånd och med för kärlek tecknande folkliga typer. Hans analys är kanske icke så djup, men hans rika begåfning öf verskylde i viss mån denna brist genom den styrka och lysande klarhet, hvarmed han återgaf det sedda. Ingen har mästerligare än M. förstått att ge relief och betydelsefullhet åt hvardagliga ämnen. Han ser så skarpt och klart, och hans språk är så säkert och smidigt, att han i några få ord tecknar profilen af ett ansikte eller en individs karaktär, gester och hela yttre person. I början öfverlämnade han sig kanske alltför fritt åt en viss ytlig uppsluppen och sensuell lifsglädje. Större utrymme för sina rika anlag fann han i romanerna "Une vie" och "Bel-ami", hvilka återge vissa sidor af det moderna lifvet med en rikedom på nyanser och en ironi, som blottar alla motsägelser och löjligheter situationerna eller personernas karaktär. Och denna ironi är så öfverlägsen och så objektiv, att det förefaller, som om det vore icke författaren, utan tingen själfva, som talade. Hvad M. än skildrar, är uppfattningen så frisk, så omedelbar, så utan all sjuklighet och förkonstling, att han kan säga mycket, som skulle stöta hos andra författare. Sådant gestaltade sig M:s författarskap under de första åren af åttiotalet, men hans oerhörda produktion och hans i öfrigt våldsamma lefnadssätt. bröto snart hans krafter. Plötsligen stod han, som dittills endast haft öga för det fysiska lifvet, undrande inför en ny värld, hvilken uppgått i hans inre. Ett annat ljus faller öfver företeelserna och ger en ny karaktär åt hans diktning. Intet vittnar kanske mera om omedelbarheten och styrkan i hans begåfning än den säkerhet, hvarmed han äfven tecknat dessa nya själstillstånd. I "Le Horla" se honom redan kämpa med de vansinnets fantom, som snart skulle omtöckna hans själslif. Tankar på ålderdomen, på döden, ett mörkt tungsinne utbreda sig allt mer och mer öfver hans skrifter. Särskildt romanerna "Fort comme la mort" och "Notre coeur" präglas af en gripande och känslofull själsfinhet, som hans tidigare skrifter. knappast låtit ana. 1892 sökte han döda sig med rakknif, då han kände, att han icke längre kunde strida mot vansinnet. I tvångströja fördes han till ett sjukhus, där han dog af paralysie générale efter 18 månaders sjukdom. Han nekade flera gånger att taga säte i franska akademien liksom att mottaga hederslegionen. I Parc Monceau i Paris har man rest ett vackert monument öfver honom. Verlet; ett annat finnes i Rouen. Hans rykte har varit i ständigt stigande efter hans död. Ytterligare sv. öfv. äro "Lifsbilder" (1888), "Berättelser och skisser. Med en inledning om hans författarskap af T. Hedberg" 1893) och "En duell. Efterlämnade skisser och berättelser" (1900). Se J. Lemaître, "Les contemporains" I, V och VI (1885, 1892, 1896), R. Doumic, "Ecrivains d'aujourd'hui" (1894), G. Brandes, "Samlede skrifter", VII (1901), A. Lom- broso, "Souvenirs sur M." (1905), och Maynial, "La vie et l'œuvre de M." (1906). 1902 började Oeuvres complètes att utkomma. (Nordisk familjebok 1912 s.v. Maupassant)
xxx/ellauri128.html on line 181: Madame de Staël (/stal/) ou bien Anne-Louise-Germaine Necker, baronne de Staël-Holstein, était une romancière, épistolière et philosophe genevoise et française née le 22 avril 1766 à Paris où elle est morte le 14 juillet 1817. Issue d´une famille de protestants valdo-genevois richissimes, fille du ministre des finances de Louis XVI Jacques Necker, elle est élevée dans un milieu de gens de lettres. Elle épouse, en 1786, le baron Erik Magnus Staël von Holstein, ambassadeur du roi Gustave III de Suède auprès de la cour de France à Versailles. Le couple se séparera en 1800. Devenue baronne de Staël, elle mène une vie sentimentale agitée et entretient en particulier une relation orageuse avec Benjamin Constant, écrivain et homme politique franco-vaudois rencontré en 1794. Entretemps, sa réputation littéraire et intellectuelle s´est affirmée grâce à trois essais philosophiques que sont les Lettres sur les ouvrages et le caractère de Jean-Jacques Rousseau (1788), De l´influence des passions sur le bonheur de l´individu et des nations (1796) et De la littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales (1800). Favorable à la Révolution française et aux idéaux de 1789 au debut, elle adopte une position critique dès 1791 et ses idées d´une monarchie constitutionnelle la font considérer comme une opposante gênante par les maîtres de la révolution. Malgré le statut de diplomate de son mari, elle doit se réfugier auprès de son père en Suisse à plusieurs reprises. Interdite de séjour sur le sol français par Napoléon Bonaparte qui la considère comme un obstacle à sa politique, elle s´installe en Suisse dans le château familial de Coppet qui sert de lieu principal de rencontres au groupe du même nom, et d´où elle fait paraître Delphine (1802), Corinne ou l´Italie (1807) et De l´Allemagne (1810/1813b). Ses œuvres fictionnelles majeures, dans lesquelles elle représente des femmes victimes des contraintes sociales qui les enchaînent, sont Delphine (1802) et Corinne ou l´Italie (1807).
xxx/ellauri128.html on line 529: Il fut l´élève du philosophe Alain, à qui il sera redevable de son orientation esthétique. À Paris, en 1924, il fait la connaissance de Simone de Caillavet, petite-fille de Madame Arman de Caillavet, née Léontine Lippmann, égérie et maîtresse d´Anatole France, et fille de Gaston Arman de Caillavet, auteur de pièces à succès; elle deviendra sa seconde épouse.
xxx/ellauri130.html on line 778: En septembre 1913, la sculptrice Camille Claudel, sœur de Paul (et ancienne maîtresse d'Auguste Rodin) , est internée en asile d'aliénés à Mondevergues (Montfavet - Vaucluse) à la demande de la famille et à l'instigation de son frère Paul, qui décide d'agir immédiatement après la mort de leur père. En trente ans d'hospitalisation, Paul Claudel ne va voir sa sœur qu'à douze reprises. Lors de la rétrospective qui lui fut consacrée en 1934, des témoins ont rapporté que Paul Claudel s'emporte : il ne veut pas qu'on sache qu´il a une sœur folle.
xxx/ellauri137.html on line 216: Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses,
xxx/ellauri137.html on line 220: Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses!
xxx/ellauri139.html on line 1045: Kun hän lähti Avonista vuonna 1828 (esipuheessaan Hégésippen kerätyille teoksille, Sainte-Beuve ilmoittaa meille, että Hégésippe oli erinomainen klassisen kirjallisuuden opiskelija ja että hänellä oli lahjakkuus latinalaiseen tulkintaan), hän aloitti oppisopimuskoulutuksen oikolukijana Provinsin kustantaja, monsieur Lebeau - Hégésippe viittaa teoksissaan M. Lebeaun tyttäreen "sisarekseen" ja hän omisti lyhyet proosakertomuksensa hänelle. Kun Kaarle X kulki Provinsin läpi vuonna 1828, Sainte-Beuve ilmoittaa meille, Moreau kirjoitti isänmaallisen runonsa Vive le roi! . Hégésippe Moreau meni Pariisiin ennen vuotta 1830. M.Lebrunin neuvosta hän lähetti kopion kirjeestään painamisesta M. Firmin Didotille, ja hänet palkattiin Didot -kustantamolla, joka sijaitsi rue Jacobilla, mutta lähti tämä työnantaja pian sen jälkeen. Hän osallistui heinäkuun vallankumoukseen 1830, työskenteli lyhyesti opettajana ( maître d'étude ) ja alkoi johtaa Böömin elämää.
xxx/ellauri173.html on line 87: « Salut, maître ! » (Salëm, rabboni, je crois), du jardin des Oliviers ― et le bruit du baiser de l’Is-Karioth, ― l’Ecce Homo du tragique préfet ! Muisk! Homoerotiikkaa. Vähän vittuilua suupielestä Andre Dupinille jolta epäonnistui työläisten vallankumous 1848.
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