ellauri014.html on line 1037: « Milord, me dit-il, en me donnant le saint nom d’ami, vous m’apprîtes à le porter. J’ai rempli la fonction dont vous m’avez chargé ; et vous voyant prêt à vous oublier, j’ai dû vous rappeler à vous-même. Vous n’avez pu rompre une chaîne que par une autre. Toutes deux étaient indignes de vous. S’il n’eût été question que d’un mariage inégal, je vous aurais dit : Songez que vous êtes pair d’Angleterre, et renoncez aux honneurs du monde, ou respectez l’opinion. Mais un mariage abject !… vous !… Choisissez mieux votre épouse. Ce n’est pas assez qu’elle soit vertueuse, elle doit être sans tache… La femme d’Edouard Bomston n’est pas facile à
ellauri014.html on line 1040: Alors il me remit la lettre. Elle était de Laure. Je ne l’ouvris pas sans émotion. « L’amour a vaincu, me disait-elle ; vous avez voulu m’épouser ; je suis contente. Votre ami m’a dicté mon devoir ; je le remplis sans regret. En vous déshonorant, j’aurais vécu malheureuse ; en vous laissant votre gloire, je crois la partager. Le sacrifice de tout mon bonheur à un devoir si cruel me fait oublier la honte de ma jeunesse. Adieu, dès cet instant je cesse d’être en votre pouvoir et au mien. Adieu pour jamais. O Edouard ! ne portez pas le désespoir dans ma retraite ; écoutez mon dernier vœu. Ne donnez à nulle autre une place que je n’ai pu remplir. Il fut au monde un cœur fait pour vous, et c’était celui de Laure. »
ellauri049.html on line 520: L’âcre amour m’a gonflé de torpeurs enivrantes. Hapan rakkaus on pullistanut mut juoppounesta.
ellauri049.html on line 829: À ce point pur je monte et m’accoutume, tähän puhtaaseen pisteesen noustua alan tottua,
ellauri049.html on line 845: Je m’abandonne à ce brillant espace, heittäydyn tähän kirkkaaseen avaruuteen,
ellauri049.html on line 847: Qui m’apprivoise à son frêle mouvoir. totuttaen mut hauraaseen liikkeeseensä.
ellauri109.html on line 421: "Ce matin à midi, cher et pauvre vieux, j’ai reçu ta bonne et longue lettre tant désirée. Elle m’a remué jusqu’aux entrailles. J’ai mouillé. Comme je pense à toi, va ! inestimable bougre ! Combien de fois par jour je t’évoque, et que je te regrette ! Si tu trouves que je te manque, tu me manques aussi [...]
ellauri117.html on line 49: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
ellauri146.html on line 542: Pour m’annoncer la mort ! — Ce qui sera, sera ! » Ilmoittamaan mulle kuolemastani! Whatever will be, will be!
ellauri172.html on line 627: Non, si je la quittai, ce fut pour une raison de dégoût moral, de fierté pour moi, de mépris pour elle, pour elle qui, au plus fort des caresses les plus insensées, ne me faisait pas croire qu’elle m’aimât… Quand je lui demandais : M’aimes-tu ? ce mot qu’il est impossible de ne pas dire, même à travers toutes les preuves qu’on vous donne que vous êtes aimé, elle répondait : « Non ! » ou secouait énigmatiquement la tête. Elle se roulait dans ses pudeurs et dans ses hontes, et elle restait là-dessous, au milieu de tous les désordres de sens soulevés, impénétrable comme le sphinx. Seulement, le sphinx était froid, et elle ne l’était pas… Mikä Katariina Suuri sekin oli olevinaan!
ellauri172.html on line 714: Well, j’ai porté plusieurs années, ce cœur d’enfant dont je doutais ; mais quand, après la catastrophe de Waterloo, il m’a fallu ôter cette ceinture d’officier dans laquelle j’avais espéré de mourir, et que je l’eus porté encore quelques années, ce cœur, — et je t’assure, Mautravers, que c’est lourd, quoique cela paraisse bien léger, — la réflexion venant avec l’âge, j’ai craint de profaner un peu plus ce cœur si profané déjà, et je me suis décidé à le déposer en terre chrétienne. Sans entrer dans les détails que je vous donne aujourd’hui, j’en ai parlé à un des prêtres de cette ville, de ce cœur qui pesait depuis si longtemps sur le mien, et je venais de le remettre à lui-même, dans le confessionnal de la chapelle.
ellauri206.html on line 301: Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m’as consolé, In the night of the Tomb, You who comforted me,
xxx/ellauri116.html on line 434: Ce recueil de réflexions et d’observations, sans ordre et presque sans suite, fut commencé pour complaire à une bonne mère qui sait penser. Je n’avais d’abord projeté qu’un mémoire de quelques pages; mon sujet m’entraînant malgré moi, ce mémoire devint insensiblement une espèce d’ouvrage trop gros, sans doute, pour ce qu’il contient, mais trop petit pour la matière qu’il traite. J’ai balancé longtemps à le publier; et souvent il m’a fait sentir, en y travaillant, qu’il ne suffit pas d’avoir écrit quelques brochures pour savoir composer un livre. Après de vains efforts pour mieux faire, je crois devoir le donner tel qu’il est, jugeant qu’il importe de tourner l’attention publique de ce côté-là; et que, quand mes idées seraient mauvaises, si j’en fais naître de bonnes à d’autres, je n’aurai pastout à fait perdu mon temps. Un homme qui, de sa retraite, jette ses feuilles dans le public, sans prôneurs, sans parti qui les défende, sans savoir même ce qu’on en pense ou ce qu’on en dit, ne doit pas craindre que, s’il se trompe, on admette ses erreurs sans examen.
xxx/ellauri139.html on line 889: Ton deuil m’avertit de mon sort ; Sun suruaika muistuttaa mua mun karmasta;
xxx/ellauri139.html on line 893: Tu m’as dit : » Les feuilles des bois Sä sanoit mulle: Puiden keltainen
xxx/ellauri139.html on line 941: J’ai bien maudit le jour qui m’a vu naître ; Mä olen kironnut päivää jona synnyin!
xxx/ellauri139.html on line 977: Il guérit mes remords, il m’arme de constance: Hää paransi mun harmituxen, hää aseisti mut sisulla;
xxx/ellauri167.html on line 159: che, come vedi, ancor non m’abbandona. et nääs se ei ole hellittänyt vieläkään.
xxx/ellauri173.html on line 321: ― Oui, c’est désastreux, en effet, ce que vous m’apprenez là ! murmura-t-il froidement. Mit vit? Ewald ei ole vielä sanonut halaistua sanaa siitä mikä mimmissä on vikana. (Paizi eze on amerikkalainen ja tykkää saxalaisesta oopperasta. No ehkä siinä on jo tarpeexi.)
xxx/ellauri173.html on line 491: Syrinx, de refleurir aux lacs où tu m’attends !

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