ellauri033.html on line 340: Hij publiceerde in 1874 in eigen beheer de gedichtenbundel Le drageoir à épices. De heruitgave van het jaar daarop verscheen onder een gewijzigde titel, Le drageoir aux épices. Dankzij zijn artikel over L´Assommoir en een roman, Les Sœurs Vatard (1879), won hij Émile Zola voor zich. Hij leverde een bijdrage aan de bundel Les Soirées de Médan (1880), die het manifest wordt van de naturalistische literatuur. Zijn werken schetsen het beeld van een grijs, banaal en alledaags bestaan, zoals in En ménage (1881) en À vau-l´eau (1882), waarbij hij blijk geeft van pessimisme en van zijn weerzin voor een moderne, door "janhagel en zwakhoofdigen" bevolkte wereld.
ellauri033.html on line 369: ne laisse pas d´être piquant. Son mysticisme fait bon ménage avec sa
ellauri055.html on line 88: « Il est trop clair que nos chemins se sont séparés. Il ménage étrangement le fascisme hitlérien qui cependant ne le ménagera pas… »
ellauri071.html on line 112: Design for Living, written for Alfred Lunt and Lynn Fontanne, was so risqué, with its theme of bisexuality and a ménage à trois, that Coward premiered it in New York, knowing that it would not survive the censor in London.
ellauri097.html on line 258: Julien Green est né à Paris, 4, rue Ruhmkorff, de parents américains, descendant du côté de sa mère du sénateur et représentant démocrate de la Géorgie au congrès américain Julian Hartridge (en) (1829-1879) et dont Julien Green porte le prénom (Green a été baptisé « Julian » ; l'orthographe a été changée en « Julien » par son éditeur français dans les années 1920). Il grandit dans le 16e arrondissement de Paris, puis au Vésinet et passe ses vacances dans la commune d'Andrésy, dans les Yvelines. Il poursuit toutes ses études en France au lycée Janson-de-Sailly. Sa mère, protestante pieuse et aimante, meurt alors qu'il a 14 ans, et la famille déménage rue Cortambert, à Paris. Il se convertit au catholicisme en 1916, à la suite de son père et de toutes ses sœurs, ainsi qu'il le raconte dans Ce qu'il faut d'amour à l'homme, son autobiographie spirituelle. Il abjure l'anglicanisme à la crypte de la chapelle des sœurs de la rue Cortambert. Âgé de seulement 17 ans, Julian Green réussit à rejoindre les rangs de la Croix-Rouge américaine, puis est détaché dans l’artillerie française en 1918 en tant que sous-lieutenant et sert en Italie. Démobilisé en mars 1919, il se rend pour la première fois aux États-Unis en septembre de la même année et effectue trois ans d'études à l’université de Virginie, où il éprouve un premier amour chaste et secret pour un camarade d'études. Il écrit son premier livre en anglais, avant de revenir vivre en France.
ellauri145.html on line 693: Hän kirjoitti romaaninsa joutohetkinään, minkä niistä kyllä huomaa. Hänen tyylinsä oli ensin äärimmäisen realistinen mutta muuttui myöhemmin mystillis-esoteeriseksi. Tavallinen kehitys oikeistopaskiaisilla. Émil Zola oli alkuun hänen esikuvansa. Hänen naturalistisen kautensa teoksia ovat Le drageoir aux épices (1874), Marthe (1876), Les sœurs Vatard (1879), En ménage (1881) ja A rebours (1884), joista viimemainittuun perustuu hänen maineensa. Vuonna 1887 Huysmansista tuli Zolan katkera vastustaja ja muutenkin aika paskiainen. Myöhemmällä kehityskaudellaan Huysmans muuttui ankaran katoliseksi. Hizi tääkin oikeistolaistumiskehitys on nähty vitun monessa kynäilijässä. Hän kuvaa eri kehitysvaiheitaan teoksissa En Route (1895), La Cathédrale (1898) ja L’Oblat (1903). Huysmans kuoli sentään vuonna 1907 syöpään. Hänet haudattiin perhehautaan Montparnassen hautausmaalle.
ellauri162.html on line 208: laisse gouverner et qui s’occupe, dans le ménage, des
ellauri162.html on line 278: Bon, on s'en fiche de Gégé Deparpoutine ! Qu'il l'adopte, le pas dictateur et très démocrate chef suprême des poupée Russes - et qu'il adopte son pote Filou 1er par la même occasion. Bon débarras ! D'ailleurs, s'il pouvait en adopter d'autres, je suis prêt à lui faire une liste. Il y a de la place en Sibérie, et cela va nous faire une peu de ménage. Tiens, tous les légiond'honneurisés, qu'il les adopte pour commencer.
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri322.html on line 53: Il travaille quelque temps comme marchand, puis ouvre une boutique de corsets à Sandwich dans le Kent. Il épouse Mary Lambert le 27 septembre 1759 et son commerce fait faillite peu de temps après. Son épouse meurt alors qu'elle est enceinte. Il exerce ensuite plusieurs métiers et déménage souvent (Thetford, Gantham, Alford, Diss, Kensington, Moorfields, Grampound).
ellauri342.html on line 50: Kaj Franck, Tapio Wirkkala, Timo Sarpaneva, suomalaisia lasikukkoja. Joku niistä teki Kiitoketjun jätenauhasta teelaseja. Timo oli Urho Kekkosen saunan ja kossupullon henkilökohtainen hyvä ystävä. Sen Kuukerin Nelli oli työväenluokasta ponnistanut Marjatta Svennevig, armoton kuikelo. Viimeisenä jouzenlauluna Marjatta kertoo kaiken niiden ménage à troisista. Kiehtovaa. Meillä on kaapissa 2 pikku Kunin lahjoittamaa Timon räkälasia.
ellauri365.html on line 49: Maupassant [måpasa], Henry René Albert Guy de, fransk författare, f. 5 aug. 1850 på slottet Miromesnil i Normandie, d. 6 juli 1893 Auteuil, var ättling af en gammal lothringsk adels- familj; modern var sy- ster till skalden Alfred de Poittevin. Föräld- rarna skildes tidigt, och den intelligenta och litterärt intresse- rade modern, en barn- domsväninna till Gu- stave Flaubert, ledde sonens uppfostran. Hans barndom förflöt vid Normandies kust, där M. insöp sin kärlek till naturen och lärde kän- na dessa normandiska typer, som han sedan så gärna skildrade. Adertonårig inträdde han 1868 i Marinministeriet, men öfvergick 1878. till kultusministeriet. Han saknade emellertid intresse för ämbetsmannabanan. Redan tidigt vak- nade hans lust för litteraturen, som närdes af mo- derns ungdomsminnen. Flaubert omfattade honom med en faders kärlek, kritiserade strängt hans. första omogna försök, inpräntade i hans sinne sina egna konstnärliga principer, lärde honom att genom aldrig tröttnande observation söka uppfånga det förut icke iakttagna och därför nya och att återge. det så, att det skildrade fenomenet skiljer sig från alla andra och blir individuellt och enastående. Framför allt afhöll han honom från att debutera för tidigt. Från midten af 70-talet meddelade dock M. under hvarjehanda pseudonymer (oftast Guy de Valmont) smärre bitar åt tidningar och tidskrifter, och 1879 fick han uppförd en drama- tisk bagatell, Histoire du vieux temps. Hans verk- liga debut inföll dock först 1880 med diktsamlingen Des vers. Den har obestridligen ett originellt skaplynne och väckte uppseende kanske ej minst därför, att den hotades med ett åtal för osedlighet hufvudsakligen på grund af dikten Le mur), som deck afstyrdes genom inflytelserika vänner. M. insåg sedan själf, att hans talang låg mera för prosan, i all synnerhet sedan han samma år ut- gifvit novellen Boule de suif (i "Soirées de Mé- dan"). Med denna novell, som utmärktes genom skarp observationsförmåga och ypperlig prosa- stil, slog M. igenom och intog sin plats som en at den naturalistiska skolans förnämsta representanter och en af den franska litteraturens största novellister. Den efterföljdes af en lång rad novel ler, först publicerade i "Gil Blas" och "Echo de Paris" och sedan samlade i bokform under följande titlar: La maison Tellier (1881), M:lle Fifi (1882), Les contes de la Bécasse (1883), Clair de lune i (1884), Au soleil (resebilder, s. a.), Les soeurs Rondoli (s. a.), Miss Harriett (s. a.), Yvette (s. a.; sv. öfv. 1905), Monsieur Parent (s. a.), Contes du jour et de la nuit (1885), Contes et nouvelles (s. 4.), Contes choisis (1886), La petite Roque (s. a.), Toine (s. 1.), Le Horla (1887), Sur l'eau (rese- skildringar, 1888), Le rosier de Mime Husson (s. å.), L'héritage (s. a.), La main gauche (1889), Histoire d'une fille de ferme (s. a.), La vie errante (reseskildringar, s. å.) och L'inutile beauté (1890); efter hans död ha ytterligare publicerats Le père Milon (1899; "Gubben Milon", s. å.), Le colporteur (1900) och Dimanches d'un bourgeois de Paris (s. å.). Till dessa novellsamlingar ansluta sig sexromanerna Une vie (1883; "Ett lif", 1884), Bel-ami (1885; "Qvinnogunst", 1885 och 1901), Mont-Oriol (1887; sv. öfv. 1895), Pierre et Jean (1888; "Pierre och Jean", s. a.), Fort comme la vi mort (1889; "Stark som döden", 1894 och 1910) och Notre coeur (1890; "Vårt hjerta", 1894 och 1910). För scenen skref M. vidare treaktsskåde spelet Musotte (i samarbete med J. Normand, 1891) och La paix du ménage (uppf. på Théâtre fran- çais, 1893). M. skref äfven litterära studier, bl. a. öfver Emile Zola (1883) och Gustave Flaubert (1884). Denna oerhörda produktion fullbordades en på den korta tiden af omkr. tio år. Den gjorde honom hastigt världsberömd som en äkta represen tant för den franska conten, en ättling i rakt ned stigande led af de gammalfranske fabliåförfattarna, med ära upphärande Rabelais', La Fontaines och Voltaires traditioner.
ellauri367.html on line 120: Pillé par les Allemands et endommagé par les Américains pendant la Seconde Guerre mondiale, il a été ensuite vendu. Totalement abandonné, il tombe progressivement en ruine et est vandalisé. Très dégradé, il est acheté par le groupe immobilier Novaxia en 2016, qui a l'intention de le restaurer et probablement de construire des logements sur le terrain. Quinze hectares du parc subsistent en parc public, le reste est à l’abandon avec le château ou a fait place à divers aménagements et constructions.
xxx/ellauri129.html on line 621: Après avoir été fiancé avec Mlle Dietz-Monnin, petite-fille du sénateur Charles Dietz-Monnin, il rompt ses fiançailles et épouse, en 1910, Marie-Thérèse de Chevigné, veuve de Maurice Bischoffsheim (1875-1904), arrière-petite-fille par sa mère du marquis de Sade et mère de Marie-Laure de Noailles. Ils font aménager à partir de 1912 la villa Croisset à Grasse. À partir de 1934 et jusqu'à sa mort le 8 novembre 1937, il vécut avenue Gabriel à Paris. Élégant, brillant et mondain, il inspire à Marcel Proust la métamorphose de Bloch en Jacques du Rozier dans À la recherche du temps perdu. Tosi kova streeberi, joka antoi Marcelille kimmokkeen ruveta snobixi izekin.
xxx/ellauri165.html on line 346: By the autumn of the same year, upon Emma's advice, Nelson bought Merton Place, a small ramshackle house at Merton, near Wimbledon, for £9,000, borrowing money from his friend Davison. He gave her free rein with spending to improve the property, and her vision was to transform the house into a celebration of his genius. There they lived together openly, with Sir William and Emma's mother, in a ménage à trois that fascinated the public. Emma turned herself to winning over Nelson's family, nursing his 80-year-old father Edmund for 10 days at Merton, who loved her and thought of moving in with them, but could not bear to leave his beloved Norfolk. Emma also made herself useful to Nelson's sisters Kitty (Catherine), married to George Matcham, and Susanna, married to Thomas Bolton, by helping to raise their children and to make ends meet. Nelson's sister-in-law Sarah (married to William), also pressed him for assistance and favours, including the payment of their son Horatio's school fees at Eton. Also around this time, Emma finally told Nelson about her daughter Emma Carew, now known as Emma Hartley, and found that she had had nothing to worry about; he invited her to stay at Merton and soon grew fond of "Emma's relative". An unpublished letter shows that Nelson assumed responsibility for upkeep of young Emma at this time.
xxx/ellauri228.html on line 554: Zur gestrandeten Familie gehören der Vater, ein Pfarrer (parsons), der die Abenteuer erzählt, seine Ehefrau, die vier Knaben Fritz (16 Jahre), Ernst (14 Jahre), Jakob/Jack (12 Jahre) und Franz (9 Jahre) sowie die beiden Doggen Türk und Bill. Sie möchten ein neues Leben auf den Gewürzinseln beginnen. Auf dem Weg nach Australien werden sie mitten im Indischen Ozean infolge eines schweren Sturms schiffbrüchig, können aber noch eine ganze Menge von diversen Gebrauchsgegenständen und Tiere vom Schiff auf eine tropische Insel retten. Aber keine Mädchen! Hier lernen sie mit den vorhandenen Werkzeugen und mit den auf der Insel entdeckten Dingen umzugehen und diese zu nutzen. Aber keine Mädchen! So baut sich die Familie ein Baumhaus, lernt jagen und fischen und führt ein einfaches, aber zufriedenes Leben. Nach über zehn Jahren verschlägt es die englische Schiffbrüchige Jenny auf das verlassene Eiland. Sie wird von den Robinsons-Jungen feiernd in die Familie aufgenommen. (Na endlich!) Einige Zeit später nähert sich der Insel ein englisches Schiff. Die Eltern entschließen sich, mit einem Teil der Kinder auf „Neu-Schweizerland“ zu bleiben um dort mit ihnen alt zu werden. Fritz und Franz trennen sich gemeinsam mit Jenny dagegen von der Familie und reisen nach Europa zurück um eine ménage a trois in Ruhe zu genießen.
xxx/ellauri420.html on line 598: Der Gelehrte spielte mit dem Gedanken an eine ménage à trois. „Meine Frau sollte bei uns zu bleiben wünschen – als Mutter, als Führerin unseres Hauswesens. Frei und poetisch sollte Ihr Leben sein“, schlug er Günderrode vor. Es war die Zeit neuer Entwürfe des Zusammenlebens. So steht Creuzers Utopie in Beziehung zu den revolutionären Vorstellungen, wie sie zur gleichen Zeit in Frankreich Henri de Saint-Simon und sein Freundeskreis zu leben versuchten. Von einigen Kennern der Zeit wird sie gleichwohl als Charakterschwäche eingestuft – der kränkliche Friedrich Creuzer hatte nicht den Mut, sich von seiner Frau zu trennen. Karoline von Günderrode beschäftigte sich unter Creuzers Einfluss mit dem Studium früher, auch matriarchaler Gesellschaften. Auch darin war sie ihrer Zeit voraus. In Männerkleidung wollte sie Creuzers Vorlesungen besuchen, um dem Geliebten so nah wie möglich zu sein.
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