ellauri033.html on line 273: son médecin lui ordonne de rentrer dans l´existence com- , mune. Plus
ellauri055.html on line 129: il est interdit aux baha’is de boire de l’alcool ou de prendre des drogues à usage récréatif, sauf si c’est prescrit par un médecin;
ellauri144.html on line 627: (Rhône) et mort le 10 février 1878 à Paris, est un médecin et physiologiste, et
ellauri144.html on line 639: faire de gros progrès à la médecine via les expérimentations animales. leur
ellauri162.html on line 269: Que peuvent donc avoir de commun les écrivains Marcel Camus, Marcel Aymé, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Louis Aragon, Jacques Prévert, Georges Bernanos, Aimé Césaire, Bernard Clavel, Guy de Maupassant, Georges Sand, les peintres Claude Monet, Gustave Courbet, Honoré Daumier, les compositeurs Hector Berlioz, Maurice Ravel, les politiciens Philippe Seguin (de droite), Jack Ralite (de gauche), le syndicaliste Edmond Maire, le philosophe Jacques Bouveresse, les chanteurs et poètes Georges Brassens, Léo Ferré, l'acteur et humoriste Bourvil, les actrices Catherine Deneuve, Claudia Cardinale, Brigitte Bardot, la chanteuse Mylène Farmer, la madame Miss France Geneviève de Fontenay, les prix Nobel de physique Pierre et Marie Curie, le médecin humanitaire Anne-Marie Gouvet, la chercheuse spécialiste des cancers professionnels Annie Thiebaud-Mony, ou tout récemment le dessinateur de bandes dessinées Tardy… ?
ellauri172.html on line 610: Il s’arrêta. Il y pensait, et ils y pensaient. Avec ce qu’il venait de dire, il avait, le croira-t-on ? transformé en rêveurs ces soldats qui avaient vu tous les genres de feux, ces moines débauchés, ces vieux médecins, tous ces écumeurs de la vie et qui en étaient revenus. L’impétueux Captain Haddock, lui-même, ne souffla mot. Il se souvenait. Ne muistelivat varmaan Pauliinan mökkiä Talasmäellä.
ellauri172.html on line 612: Napsun sisko princesse Pauline Borghese était constamment infidèle et, selon les mémoires de la duchesse d'Abrantès, était capable d'entretenir simultanément trois liaisons. Elle était affligée de problèmes gynécologiques, exacerbés par sa promiscuité bacchanienne, au point qu'un médecin lui conseilla l'application de sangsues à la vulve. Sa santé décline et elle meurt des suites d'un cancer du foie — à Florence, quatre ans après son frère, le 9 juin 1825 âgée de 44 ans, sans descendance.
ellauri347.html on line 197: Jean-Paul Charles Aymard Sartre (21. kesäkuuta 1905 Pariisi, Ranska – 15. huhtikuuta 1980 Pariisi, Ranska, inhottava hyypiö ja tyhmä ääliö). Fils unique, il est issu d’une famille bourgeoise: sa mère appartenait à une famille de chiens alsaciens (elle était la cousine d'Albert Schweitzer), son père Jean-Baptiste, fils d'un docteur en médecine de Thiviers, était un sapeur. Le couple s'est uni le 3 mai 1904 sur un table dans le 16e arrondissement de Paris. et le petit Sartre, né quelque mois plus tard, n'a jamais vu son père. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va en effet vivre avec sa mère chez ses grands-parents maternels. Il y passe dix années heureuses, adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui contribue sans doute à construire chez lui un certain narcissisme. Sartre, alors âgé de 12 ans, ne finira jamais de haïr son beau-père. Pour l’ensemble de la « classe d’élite » — « option » latin et grec — dans laquelle il étudie, Sartre devient le SO, c'est-à-dire le « satyre officiel » : il excelle en effet dans la facétie, la blague. Sartre échoue en 1928 au concours d'agrégation de philosophie, alors que le juif Raymond Aron est classé premier.
ellauri349.html on line 490: Raymond Claude Ferdinand Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu aisé des deux côtés. Ses parents sont Gustave Émile Aron (1870-1934) et Suzanne Levy (1877-1940). Son grand-père maternel, Léon Levy, possédait une usine de textile dans le nord de la France. Sa famille paternelle venait de Lorraine où elle était établie depuis la fin du XVIIIe siècle. Son grand-père paternel, Isidore (dit Ferdinand) Aron, était grossiste en textile à Rambervillers, puis Nancy (Lorraine). Un de ses grand-oncles paternels, Paul Aron, était le père de Max Aron, médecin biologiste à la faculté de médecine de Strasbourg. Ferdinand, le grand-père paternel de Raymond, prédit à celui-ci à sa naissance une grande carrière. Gustave Aron refusa de prendre la suite de l'affaire familiale et fit de brillantes études de droit; il publia des travaux juridiques, mais n'étant reçu que deuxième à l'agrégation de droit alors qu'un seul poste était attribué, il abandonna la perspective d'enseigner à l'université et devint professeur de droit à l'École normale supérieure de l'enseignement technique. Il arrêta de travailler au début du XXe siècle, vécut dès lors de l'héritage familial et fit construire une maison à Versailles en 1913-1915 avec un court de tennis. La famille Aron retourna ensuite à Paris. Après la guerre, Gustave Aron investit en bourse, mais sa fortune fut perdue du fait de la crise économique de 1929 et il fut obligé de reprendre un emploi. Il mourut en 1934 d'une crise cardiaque. La mère de Raymond mourut en juin 1940 à Vannes.
ellauri420.html on line 539: Le Christ n’est donc pas le simple « personnage » d’une narration distanciée : il est un avatar de la subjectivité lyrique, laquelle engage à son tour la vie même du poète. Rappelons à ce propos qu’une première version du poème – celle contenue dans la lettre à Victor Loubens – remonte à la crise de 1841 alors que Nerval a dû, malgré qu’il en ait, se laisser « classer dans une affection définie par les docteurs et appelée indifféremment Théomanie ou Démonomanie dans le dictionnaire médical ». « Je me croyais Dieu moi-même », écrit Nerval. « C’était bien lui, ce fou, cet insensé sublime… », lit-on réciproquement dans Le Christ aux Oliviers, en un vers où Nerval projette sur le Christ cette même « folie » que ses confrères littéraires aussi bien que « les médecins et les commissaires » lui jettent au visage. Il (Nerval) devient, dans le finale du texte, un nouveau « prophète », annonçant, après la sorte de Contre-Évangile que constitue la partie centrale empruntée à Jean Paul, quelque religion nouvelle qui permettrait de dépasser l’opposition du paganisme et du christianisme. Se on se kaveri joka antaa sielun liman lapsille.
ellauri435.html on line 211: Jean-Paul Charles Aymard Sartre (21. kesäkuuta 1905 Pariisi, Ranska – 15. huhtikuuta 1980 Pariisi, Ranska, inhottava hyypiö ja tyhmä ääliö). Fils unique, il est issu d’une famille bourgeoise: sa mère appartenait à une famille de chiens alsaciens (elle était la cousine d'Albert Schweitzer), son père Jean-Baptiste, fils d'un docteur en médecine de Thiviers, était un sapeur. Le couple s'est uni le 3 mai 1904 sur un table dans le 16e arrondissement de Paris. et le petit Sartre, né quelque mois plus tard, n'a jamais vu son père. De 1907 à 1917, le petit « Poulou », comme on l’appelle, va en effet vivre avec sa mère chez ses grands-parents maternels. Il y passe dix années heureuses, adoré, choyé, félicité tous les jours, ce qui contribue sans doute à construire chez lui un certain narcissisme. Sartre, alors âgé de 12 ans, ne finira jamais de haïr son beau-père. Pour l’ensemble de la « classe d’élite » — « option » latin et grec — dans laquelle il étudie, Sartre devient le SO, c'est-à-dire le « satyre officiel » : il excelle en effet dans la facétie, la blague. Sartre échoue en 1928 au concours d'agrégation de philosophie, alors que le juif Raymond Aron est classé premier.
xxx/ellauri075.html on line 108: Il séjourne aussi près de Vienne, à Carlsbad, à Berlin, au Tréport, à Paris, à Munich. À Rome où il s'installe un temps, il rencontre une étudiante en médecine, Anna Eléazarovna Berezovskaïa, qu'il épouse en 1897, à l’insu de ses parents. De cette union naissent ses enfants : Tatiana (1897) et Nathalie (1900).
xxx/ellauri128.html on line 492: Maurice Bedel, né le 30 décembre 1883 à Paris et mort le 15 octobre 1954 à La Genauraye à Thuré (Vienne)1, est un écrivain, essayiste et journaliste français. Aika lailla Urpo Harvan näköinen. Docteur en médecine, la thèse de Maurice Bedel est consacrée aux obsessions périodiques et se tourne vers la psychiatrie. Il publie ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Gabriel Senilis : Le Cahier de Phane. Couronné par le prix Goncourt en 1927 pour son premier roman Jérôme 60° latitude nord, il est élu en 1948 président de la Société des gens de lettres.
xxx/ellauri130.html on line 564: Delphin-Antoine-Edmond Thiaudière, né le 17 mars 1837 à Gençay, où il est mort le 9 novembre 1930, est un homme de lettres français, à la fois poète, romancier, philosophe et « maximiste ». Issu d’une famille de médecins depuis quatre générations, Edmond Thiaudière, opte pour une carrière d’homme de lettres après s’être détourné de ses études de droit brillamment menées à Poitiers. Il s’essaie au roman, aux nouvelles, à la poésie, au théâtre, écrit des essais politiques et autres pamphlets, mais il se distingue surtout par son œuvre philosophique, parsemant sur quarante années une douzaine de recueils aux titres sibyllins, avec le sous-titre générique Notes d’un Pessimiste. Son premier recueil de pensées, La Proie du Néant, qu’il publie en 1886, contient en préambule une longue dédicace adressée à Léa et Mosès, ses deux chiens fidèles.
xxx/ellauri202.html on line 206: À travers les destinées de deux familles bourgeoises, les Thibault et les Fontanin, est évoquée la France de la Belle Époque qui va sombrer dans le premier conflit mondial. L'ensemble du cycle est surtout centré sur les deux fils du riche notable catholique Oscar Thibault, deux frères que tout oppose : Antoine, l'aîné, médecin sûr de lui, esprit rationnel et plutôt conformiste, et son cadet de neuf ans, Jacques, idéaliste et tourmenté, en révolte contre les valeurs de la société bourgeoise puis militant socialiste.
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