ellauri033.html on line 79: Georges Pellissier, né le 7 février 1852 à Monflanquin (Lot-et-Garonne) et mort en 1918 à Montauban, est un écrivain français, spécialiste de littérature française. Il fut docteur ès lettres et professeur de rhétorique au lycée Janson-de-Sailly1. Il a notamment écrit un traité historique de versification française.
ellauri096.html on line 710: La reconnaissance de Frantz Fanon en France fut tardive. Fort-de-France possède désormais une avenue à son nom bien que la proposition qu´en avait faite son maire Aimé Césaire, en 1965, eût été rejetée pendant des années. Il faut attendre 1982 pour que s´organise, sous l´impulsion de Marcel Manville, un mémorial international (colloque) en son honneur en Martinique. Peu à peu, plusieurs hommages lui sont rendus dans son île natale. Le lycée de La Trinité est baptisé en son honneur, la ville de Rivière-Pilote lui consacre une avenue et une bibliothèque. En France métropolitaine toutefois, s´il existe de nombreuses rues portant ce nom, David Macey signale n´avoir trouvé aucune avenue Frantz Fanon. En Algérie, dès 1963, une avenue Frantz Fanon est inaugurée à Alger. La reconnaissance dépasse désormais ces deux pays et la mémoire de Frantz Fanon est honorée dans de nombreux pays (Italie, Nigeria, États-Unis) où des centres de recherche ont été baptisés à sa mémoire.
ellauri097.html on line 258: Julien Green est né à Paris, 4, rue Ruhmkorff, de parents américains, descendant du côté de sa mère du sénateur et représentant démocrate de la Géorgie au congrès américain Julian Hartridge (en) (1829-1879) et dont Julien Green porte le prénom (Green a été baptisé « Julian » ; l'orthographe a été changée en « Julien » par son éditeur français dans les années 1920). Il grandit dans le 16e arrondissement de Paris, puis au Vésinet et passe ses vacances dans la commune d'Andrésy, dans les Yvelines. Il poursuit toutes ses études en France au lycée Janson-de-Sailly. Sa mère, protestante pieuse et aimante, meurt alors qu'il a 14 ans, et la famille déménage rue Cortambert, à Paris. Il se convertit au catholicisme en 1916, à la suite de son père et de toutes ses sœurs, ainsi qu'il le raconte dans Ce qu'il faut d'amour à l'homme, son autobiographie spirituelle. Il abjure l'anglicanisme à la crypte de la chapelle des sœurs de la rue Cortambert. Âgé de seulement 17 ans, Julian Green réussit à rejoindre les rangs de la Croix-Rouge américaine, puis est détaché dans l’artillerie française en 1918 en tant que sous-lieutenant et sert en Italie. Démobilisé en mars 1919, il se rend pour la première fois aux États-Unis en septembre de la même année et effectue trois ans d'études à l’université de Virginie, où il éprouve un premier amour chaste et secret pour un camarade d'études. Il écrit son premier livre en anglais, avant de revenir vivre en France.
ellauri145.html on line 221: Renvoyé du lycée Louis-le-Grand en avril 1839 pour ce qui a passé pour une vétille, mais que son condisciple au lycée, Charles Cousin (1822-1894) a expliqué comme un épisode d´amitié particulière, Baudelaire mène une vie en opposition aux valeurs bourgeoises incarnées par sa famille. Il passe son baccalauréat au lycée Saint-Louis en fin d´année et est reçu in extremis. Jugeant la vie de l´adolescent « scandaleuse » et désirant l´assagir, son beau-père le fait embarquer pour Calcutta. Le Paquebot des Mers du Sud quitte Bordeaux le 9 ou 10 juin 1841. Mais en septembre, un naufrage abrège le périple aux îles Mascareignes (Maurice et La Réunion). On ignore si Baudelaire poursuit son voyage jusqu´aux Indes, de même que la façon dont il est rapatrié.
ellauri161.html on line 982: Ses études au lycée de Périgueux sont médiocres : retiré de l´établissement en classe de quatrième, il continue sa formation sous la direction de son père, qui l´oriente vers l´architecture. Bloy commence à rédiger un journal intime, s´essaie à la littérature en composant une tragédie, Lucrèce, et s´éloigne de la religion. En 1864, son père lui trouve un emploi à Paris, il entre comme commis au bureau de l´architecte principal de la Compagnie ferroviaire d´Orléans. Médiocre employé, Bloy rêve de devenir peintre et s´inscrit à l´École des beaux-arts. Il écrit ses premiers articles, sans toutefois parvenir à les faire publier, et fréquente les milieux du socialisme révolutionnaire et de l´anticléricalisme.
ellauri163.html on line 866: Émile Durkheim, bien que fils de rabbin, etait agnostique. Il entre à l'École normale supérieure où il est reçu septième à l'agrégation de philosophie en 1882. Par la suite, il enseigne la philosophie aux lycées du Puy (octobre 1882), de Sens (novembre 1882), de Saint-Quentin (février 1884), de Troyes (1885).
ellauri210.html on line 129: Jarry obtient en 1890 la seconde partie du baccalauréat, mention "Bien". En 1891-1892, il est élève d’Henri Bergson et condisciple de Léon-Paul Fargue et d’Albert Thibaudet au lycée Henri-IV. Il échoue au concours d'entrée à l’École normale supérieure (trois échecs successifs suivis de deux échecs pour la licence ès lettres).
ellauri210.html on line 863: Fils d'un cadre du grand magasin Le Bon Marché, il est d’abord un élève brillant au lycée Montaigne, où il obtient un prix de récitation et de français, puis il devient passable et dissipé au lycée Louis-le-Grand où il se fait remarquer par son excentricité.
ellauri285.html on line 665: Il est reçu premier au concours d'entrée à l'École normale supérieure (Lettres) en 1960 puis passe l'agrégation de philosophie en 1965, tout en militant à l'Union des étudiants communistes. Il étudie à la faculté des lettres de Paris. En 1965, il est nommé professeur de français au lycée Henri-Poincaré de Nancy, qu'il quitte après quelques mois d'enseignement merdeux.
ellauri349.html on line 492: Cette fortune familiale disparue avait permis aux trois enfants Aron de mener une vie aisée et de faire de bonnes études. Le frère aîné de Raymond, Adrien Aron (1902-1969), a étudié au lycée Hoche et poursuit par une classe de mathématiques supérieures et une licence en droit[7], mais il était plus attiré par une vie facile et devint un grand joueur de tennis et de bridge et mena une vie de « flambeur », à l'opposé de Raymond et au grand dam de leur père. Avant la naissance d'Adrien, la mère avait accouché d'un enfant mort-né. Après Raymond vint un troisième garçon, Robert Aron, qui obtint une licence en droit et en philosophie, publia une étude sur Descartes et Pascal[Laquelle ?] et après son service militaire entra dans l'administration de la Banque de Paris et des Pays-Bas (devenue en 1982 Paribas, qui fut ensuite rachetée en 2000 par la BNP pour former BNP Paribas), selon certains grâce à Raymond, qui jouait régulièrement au tennis avec son directeur.
ellauri419.html on line 162: Après quelques années de vie heureuse à Rășinari, petit village de Transylvanie, Cioran s'adapte mal à la vie en ville lorsqu'il doit intégrer le lycée à Sibiu, la cité à majorité saxonne en contrebas de son village natal. Cioran est placé en pension chez deux vieilles femmes saxonnes auprès desquelles il apprend l'allemand.
xxx/ellauri128.html on line 544: He had a good education at the lycée in Rouen, falling under the influence of a charismatic teacher, Émile-Auguste Chartier, known as “Alain.” Alain inspired other pupils, too, including Simone Weil and Raymond Aron, urging them to question received ideas. He gave Maurois a love of literature but also, perhaps surprisingly, urged him to take up the mill business after leaving school. Maurois did so, but in his Elbeuf office he kept a secret cupboard filled with Balzac novels and notebooks, and copied out pages of Stendhal to improve his writing style. He became a Kipling enthusiast, and learned excellent English. He travelled to Paris at least one day a week, and frequented brothels there.
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