ellauri049.html on line 718: Qui troublent l’eau sinistre et qui claquent des dents. jotka sotkee uhkaavaa vettä louskuttaen leukojaan.
ellauri109.html on line 453: Le poète du « Lac » « n’a jamais pissé que de l’eau claire ». Vieil écrivain incontinent, victime de sa facilité, il écrit sans marquer.
ellauri145.html on line 368: Où coule au lieu de sang l’eau verte du Léthé. Missä veren tilalla on Lethen vihreätä vettä.
ellauri145.html on line 456: De n´avoir pas de l’eau, du soleil, des pastèques. Ettei mulla ole vettä, aurinkoa, vesimeloneita.
ellauri145.html on line 690: Huysmans irtautui 1880-luvun aikana naturalisteista, sillä hänen seuraavat teoksensa olivat naturalistisiksi liian dekadentteja ja tyypillisesti väkivaltaisia. Dekadentit oli poliittisesti lähempänä jotain oikeistoanarkisteja vaikka jotkut olivatkin olevinaan punikkeja. Huysmansin uuden tyylin ensimmäinen romaani oli tragikoominen À vau-l’eau (1882). Hänen tunnetuin romaaninsa on vuonna 1884 ilmestynyt A rebours (1884, suom. Vastahankaan), joka kertoo päähahmonsa, tylsistyneen aatelisukuisen henkilön esteettisen dekadenssin kokeiluista. Että ne jaxavatkin olla ikävystyttäviä. Ikävystyneiden joutomiesten hätkäytysyrityxiä. Là-bas (1981) puolestaan kertoo 1880-luvun okkultismin uudelleenheräämisestä. Siinä 1800-luvun satanistien tarina lomittuu keskiajalla eläneen Gilles de Rais’n elämään. Kirjassa on mukana ensimmäistä kertaa omaelämäkerrallinen protagonisti Durtal, joka esiintyy myös Huysmansin kolmessa viimeisessä romaanissa, teoksissa En route (1895), La Cathédrale (1898) ja L´Oblat (1903).
ellauri151.html on line 281: Dilthey a le premier noté l’importance d’un texte de jeunesse de Hegel et y a signalé comme une première esquisse de ce que sera plus tard «la conscience malheureuse». On sait quelle importance revient à la conscience malheureuse dans la Phénoménologie de Hegel, et plus tard encore dans la Philosophie de la Religion. Sous une forme abstraite la conscience malheureuse est la conscience de la contradiction entre la vie finie de l’homme et sa pensée de l’infini. « En pensant je m’élève à l’absolu en dépassant tout ce qui est fini, je suis donc une conscience infinie et en même temps je suis une conscience de soi finie et cela d’après toute ma détermination empirique... Les deux termes se cherchent et se fuient — je suis le sentiment, l’intuition, la représentation de cette unité et de ce conflit et la connexion de ces termes en conflit... je suis ce combat, je ne suis pas un des termes engagés dans le confit, mais je suis les deux combattants et le combat lui-même, je suis le feu et l’eau, qui entrent en contact et le contact et l’unité de ce qui absolument se fuit. » La conscience malheureuse qui dans la Phénoménologie trouve son incarnation historique dans le judaïsme et dans une partie du moyen âge chrétien est en effet la conscience de la vie comme du malheur de la vie. L’homme s’est élevé au-dessus de sa condition terrestre et mortelle ; il n’est plus que le conflit de l’infini et du fini, de l’absolu qu’il a posé en dehors de la vie, et de sa vie réduite à la finitude…
ellauri266.html on line 456: Un manuscrit enfermé dans une bouteille est retrouvé dans l´espace par Jinn et Phyllis, un couple en voyage spatial. Ce manuscrit raconte l´histoire suivante : en l’an 2500, le savant professeur Antelle a organisé une expédition pour l’exploration de l’étoile supergéante Bételgeuse. Il a embarqué à bord de son vaisseau son disciple, le jeune physicien Arthur Levain, et le journaliste, narrateur de cette aventure, Ulysse Méroua 12 ainsi qu’un chimpanzé baptisé Hector et plusieurs plantes et animaux pour ses recherches scientifiques dans l’espace. Arrivés à proximité de l´étoile, ils distinguent quatre planètes gravitant autour d´elle. L’une d’entre elles ressemble étrangement à la Terre. Ils décident alors de l’explorer. À bord d’un « engin à fusée » qu´ils nomment chaloupe, les trois aventuriers survolent des villes, des routes, des champs avant d’atterrir dans une forêt1. Après avoir effectué des tests, ils quittent leur chaloupe et découvrent l’étonnante ressemblance de l’atmosphère de cette planète, qu’ils baptisent Soror, avec celle de la Terre. Ils enlèvent leurs scaphandres et assistent impuissants à la fuite d’Hector. Par curiosité, ils s’engagent dans la forêt et arrivent à un lac naturel dont l’eau limpide leur donne envie de se baigner. Mais à leur grande surprise, ils découvrent au bord du lac les traces de pas humains.
ellauri266.html on line 458: Ces traces appartiennent à une jeune femme qui, sans être gênée de sa nudité, s’approche d’eux avec méfiance2. Baptisée Nova, elle ne sait ni parler ni sourire et ses gestes ressemblent à ceux des animaux. Au moment où les quatre nagent dans l’eau, le chimpanzé Hector réapparaît mais il est soudain étranglé et tué par Nova dont le comportement animal choque le narrateur qui demeure, toutefois, soumis par la beauté physique de la sauvage. Le lendemain, Nova revient accompagnée de plusieurs hommes de sa tribu. Ces derniers ne parlent pas, ils hululent seulement. Irrités par les habits des trois aventuriers, les hommes de Soror ne tardent pas à les déchirer mais sans faire de mal aux aventuriers. Ils s’attaquent ensuite à la chaloupe qu’ils détruisent complètement après s´être adonnés à des enfantillages dans le lac sans prêter attention aux trois Terriens trop gênés par leur nudité. Conduits au campement, les trois aventuriers découvrent la vie primitive des humains de Soror. Nova leur donne à manger des fruits qui ressemblent à des bananes et se rapproche du narrateur avec qui elle passe la nuit.
xxx/ellauri123.html on line 1186: Baigné, trempé de l’eau, comme si la tempête Kasteltu likomärkä, kuin myrsky olisi
xxx/ellauri179.html on line 327: "Sipping his post-coital fine à l’eau in the afternoon, David Bourne feels relieved of the contents of his testicles."
xxx/ellauri376.html on line 647: Dans les cieux, sous l’eau, sur la terre,
11