ellauri049.html on line 419: Moi, l’autre hiver, plus sourd que les cerveaux d’enfants, mä, toinen talvi, mykempi lasten aivoja,
ellauri055.html on line 106: Quand un homme meurt, l’âme passe dans un autre monde, où le développement spirituel de celle-ci dans le monde physique devient une base pour le jugement et la place dans le monde spirituel. Le paradis et l’enfer sont décrits comme des états spirituels de proximité ou de distance à Dieu qui décrivent les relations dans ce monde et dans l’autre, et non des endroits de récompense ou de punition après la mort.
ellauri146.html on line 439: L’une est grande et superbe, et l’autre est à ses pieds : Toinen on iso muskelimasa, toinen on sen jaloissa:
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 576: — À l’heure de la mort, je ne sais pas ce que vous ferez, Messieurs, — répondit lentement Mesnilgrand ; — mais quant à moi, avant de partir pour l’autre monde, je veux faire à tout risque mon portemanteau. Siitä voi olla jotain hyötyä.
ellauri172.html on line 578: — Pour mon compte, — dit nonchalamment Sélune, avec la fatuité d’un vieil endurci qui n’entend pas qu’on l’émeuve de rien, — pour mon compte, j’ai vu un jour quatre-vingts religieuses jetées l’une sur l’autre, à moitié mortes, dans un puits, après avoir été préalablement très bien violées chacune par deux escadrons.
ellauri172.html on line 606: Qui donc a dit — ce doit être un Anglais — que le monde est l’œuvre du Diable, devenu fou ? C’était sûrement ce Diable-là qui, dans un accès de folie, avait créé la Rosalba, pour se faire le plaisir… du Diable, de fricasser, l’une après l’autre, la volupté dans la pudeur et la pudeur dans la volupté, et de pimenter, avec un condiment céleste, le ragoût infernal des jouissances qu’une femme puisse donner à des hommes mortels.
ellauri172.html on line 712: — Est-ce là tout ? — dit Mautravers. — Et si c’est là tout, voilà une fière histoire ! Quelle relation a ton histoire avec tes dévotions à l’église, de l’autre jour ?…
ellauri210.html on line 1346: Prassinos, heredera de los cuentos tradicionales de hadas contamina su imaginario con personajes desviados, transformándolos en “contes bizarres”. En un marco irreal, típico de los cuentos surrealistas juega con las metamorfosis: objetos que adquieren dimensión animal, humanos que se animalizan, animales que se transforman en humanos, o personas que se reapropian de otras, como muestran algunos de sus cuentos, como “la Psyché” donde la protagonista sufre por parte de otra mujer una apropiación de su voluntad, de su personalidad, llegando a ser su doble. Como en el estadio del espejo de Lacan, la protagonista reacciona al contemplar su imagen, no ante el espejo, sino ante la otra mujer: “Nous étions plus que jumelles et nous nous regardions subjuguées, chacune dans le miroir humain que lui tendait l’autre”.
ellauri210.html on line 1348: “C’est dans cette intensité que l’autre Louise, après avoir détaillé ma mise élégante, fixa mon ventre longuement, d’un regard effaré, vaincu, où je recevais comme un reproche”.
xxx/ellauri173.html on line 445: Mais, l’autre tout soupirs, dis-tu qu’elle contraste

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