ellauri097.html on line 258: Julien Green est né à Paris, 4, rue Ruhmkorff, de parents américains, descendant du côté de sa mère du sénateur et représentant démocrate de la Géorgie au congrès américain Julian Hartridge (en) (1829-1879) et dont Julien Green porte le prénom (Green a été baptisé « Julian » ; l'orthographe a été changée en « Julien » par son éditeur français dans les années 1920). Il grandit dans le 16e arrondissement de Paris, puis au Vésinet et passe ses vacances dans la commune d'Andrésy, dans les Yvelines. Il poursuit toutes ses études en France au lycée Janson-de-Sailly. Sa mère, protestante pieuse et aimante, meurt alors qu'il a 14 ans, et la famille déménage rue Cortambert, à Paris. Il se convertit au catholicisme en 1916, à la suite de son père et de toutes ses sœurs, ainsi qu'il le raconte dans Ce qu'il faut d'amour à l'homme, son autobiographie spirituelle. Il abjure l'anglicanisme à la crypte de la chapelle des sœurs de la rue Cortambert. Âgé de seulement 17 ans, Julian Green réussit à rejoindre les rangs de la Croix-Rouge américaine, puis est détaché dans l’artillerie française en 1918 en tant que sous-lieutenant et sert en Italie. Démobilisé en mars 1919, il se rend pour la première fois aux États-Unis en septembre de la même année et effectue trois ans d'études à l’université de Virginie, où il éprouve un premier amour chaste et secret pour un camarade d'études. Il écrit son premier livre en anglais, avant de revenir vivre en France.
ellauri109.html on line 441: Une première rupture avec Louise Colet en apporte la preuve. Dans sa lettre datée du dimanche 7 mars 1847, Flaubert ose enfin clamer à quel point il est allergique32 aux valeurs qu’elle véhicule, valeurs qui baignent et macèrent dans le discours ambiant du romantisme humanitaire33 : « tes idées de moralité, de patrie, de dévouement, tes goûts en littérature, tout cela était antipathique à mes idées, à mes goûts. »34 Ce qui vient immédiatement après est l’affirmation d’une esthétique, sur le mode de l’antithèse : « amoureux exclusif de la ligne pure, du galbe saillant, de la couleur criante, de la note sonore, je retrouvais toujours chez toi je ne sais quel ton noyé de sentiment qui atténuait tout, et altérait jusqu'à ton esprit ». Voilà les griefs d’un amant qui ne sépare pas l’art de la vie. Le lexique sentimental se trouve accaparé par le commentaire stylistique : « amoureux exclusif », écrit Flaubert, non pas d’une femme, comme Louise, elle, le voudrait, mais du tracé ferme, il lui reproche son « ton noyé de sentiment » qu’il interprète comme une déperdition de force et de précision. De même, les muscles relâchés, les lignes floues et les déliaisons trahissent le corps du texte féminin.
ellauri145.html on line 74: En 1938, Breton organise la première Exposition internationale du surréalisme à Paris. À cette occasion, il prononce une conférence sur l’humour noir. Cette même année, il voyage au Mexique et rencontre les peintres Frida Kahlo et Diego Rivera, ainsi que Léon Trotski avec qui il écrit le manifeste Pour un art révolutionnaire indépendant (ru), qui donne lieu à la constitution d’une Fédération internationale de l’art révolutionnaire indépendant (FIARI). Cette initiative est à l’origine de la rupture avec Éluard (n.h.).
ellauri145.html on line 1162: In 1871, he published La natation ou l’art de nager appris seul en moins d’une heure (Learning the art of swimming alone in less than an hour), then resigned from the Army and moved to Marseilles. Here he filed a patent for the "airlift swimming trunks and belt with a double compensatory reservoir". This commercial endeavor was a complete failure. He returned to Magdeburg, where he earned his living as a language teacher, developing a method for learning French, which he self-published in 1874.
ellauri150.html on line 329: — Cela me dégoûte d’entendre parler de la musique, comme d’un libertinage… Oh ! ce n’est pas votre faute. C’est la faute de votre monde. Toute cette fade société qui vous entoure regarde l’art comme une sorte de débauche permise… Allons, assez là-dessus ! Jouez-moi votre sonate.
ellauri172.html on line 550: En ces sortes de repas découronnés de femmes, les hommes les plus polis et les mieux élevés perdent de leur charme de politesse et de leur distinction naturelle ; et quoi d’étonnant ?… Ils n’ont plus la galerie à laquelle ils veulent plaire, et ils contractent immédiatement quelque chose de sans-gêne, qui devient grossier au moindre attouchement, au moindre choc des esprits les uns par les autres. L’égoïsme, l’inexilable égoïsme, que l’art du monde est de voiler sous des formes aimables, met bientôt les coudes sur la table, en attendant qu’il vous les mette dans les côtés.
ellauri254.html on line 461: Nach seinem Abitur im Jahre 1888 bereiste George die europäischen Metropolen London, Paris und Wien. In Wien lernte er 1891 Hugo von Hofmannsthal kennen. In Paris traf er auf den Symbolisten Stéphane Mallarmé und dessen Dichterkreis, der ihn nachhaltig beeinflusste und ihn seine exklusive und elitäre Kunstauffassung des l’art pour l’art entwickeln ließ. Seine Dichtungen sollten sich jeglicher Zweckgebundenheit und Profanierung entziehen. Zu Georges Pariser Kontaktpersonen gehörte auch Paul Verlaine. Unter dem Einfluss der Symbolisten entwickelte George eine Abneigung gegen den in Deutschland zu jener Zeit sehr populären Realismus und Naturalismus. Maxim Gorki wäre sehr böse gewesen, hätte er das gewusst. Seit 1889 studierte er drei Semester lang an der Philosophischen Fakultät der Friedrich-Wilhelms-Universität Berlin, brach sein Studium jedoch bald ab. Danach blieb er sein Leben lang ohne festen Wohnsitz, wohnte bei Freunden und Verlegern (wie Georg Bondi in Berlin), auch wenn er sich zunächst noch relativ häufig in das Elternhaus in Bingen zurückzog. Zwar hatte er von seinen Eltern ein beträchtliches Erbe erhalten, doch lebte er stets sehr genügsam. Als Dichter identifizierte er sich früh mit Dante (als der er auch beim Münchner Fasching auftrat), dessen Divina Comedia er in kleine Teile zerriss. Samanlainen ilkeä riippunokka se olikin kuin Dante.
xxx/ellauri165.html on line 75: Mercier vastusti ranskalaista klassillista näytelmätyyliä, Hän moitti Jean Racinea ja Pierre Corneillea siitä, että he olivat ammentaneet näytelmiensä aiheet työhuoneestaan eivätkä elämän avoimesta kirjasta. Omia käsityksiään draamasta hän esitti tutkielmassa Essai sur l’art dramatique (1773). Mercier itse oli kuitenkin ize niin keskinkertainen kirjailija, ettei hän voinut todellisuuden maaperään istuttamillaan omilla näytelmillään luoda mitään todella arvokasta. Hän oli ize asiassa aivan paska. Hänen näytelmiään ovat esimerkiksi Eugénie (1767), Les deux amis (1770), Le faux ami (1772), Le juge (1774), Le déserteur, L’indigent (1782).
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