ellauri033.html on line 221:

Ce qu´il y a de plus vrai dans toute leur œuvre, c´est ce qui relève de
ellauri036.html on line 628: Eh bien, lève-toi donc, puisqu'il en est ainsi,
ellauri036.html on line 733: Il la relèvera, la jeune fiancée,
ellauri036.html on line 801: Quand le soleil se lève aux beaux jours de l'automne,
ellauri036.html on line 897: Des baisers du 2éphir, qui me relèvera.
ellauri049.html on line 972: Le vent se lève !… Il faut tenter de vivre ! Tuuli nousee !... pitää koittaa elää!
ellauri055.html on line 136: Les temples érigés par la communauté sont appelés « Maison d’adoration », arabe : مشرق اﻻذكار (Mašriq al-Aḏkār) (« L’Orient des invocations» ou « lieu où se lève à l’aube la mention du nom de Dieu »).
ellauri102.html on line 443: Il recharge son arme et se rend, à nouveau, à l'avant de la classe, tirant par intermittence dans toutes les directions. À ce moment, Maryse Leclair, blessée, demande de l'aide. Lépine avance vers elle et, après avoir dégainé son couteau de chasse, la poignarde à trois reprises, l'achevant. Il enlève alors sa casquette, entoure son arme de son manteau, et s'exclame : « Oh, shit! », avant de se suicider d'une balle dans la tête, une vingtaine de minutes après avoir commencé son massacre.
ellauri118.html on line 406: Millainen on uskottoman romaanisankarittaren mieli? Kuinka kirjallisuuden vakiintuneet muodot vaikuttavat siihen, miten tulkitsemme todellisia ja fiktiivisiä mieliä? Onko toinen mieli vain lukijan fantasia? Ovatko aviorikosromaanit fantastisia? Uskoton mieli ja tekstuaaliset petokset pohtii kriittisesti kertomuksen ja mielten tutkimuksen ajankohtaisia kysymyksiä. Samalla se kartoittaa länsimaisen kaunokirjallisuuden uskottomuustraditiota. Tutkimuskohteet ulottuvat 1600-luvulla julkaistusta Madame de La Fayetten Clèvesin ruhtinattaresta Gustave Flaubertin Madame Bovaryyn, Kate Chopinin feministiseen klassikkoon Heräämiseen ja lopulta tosielämän kertomussikermään, joka syntyi Clintonin ja Lewinskyn seksiskandaalin ympärille. Mitä yhteistä on Emma Bovarylla ja Monica Lewinskylla ja missä määrin lukutapamme tuottavat heidän välilleen yhtäläisyyksiä? [Kiintoisa kysymys. Tärkeä ero kuitenkin että Monica imutti Billin siggeä, mitä Madame Bovary ei tiettävästi tehnyt.] Teos tarjoaa seitsemän tapaustutkimuksen lisäksi moniulotteisen kuvan narratologiasta ja mielten tutkimuksesta strukturalismin ajoilta tämän päivän monialaiseen kognitiotieteeseen. Teoksen esittelemät ja kommentoimat teoriat ja metodit ovat kirjallisuustieteen lisäksi sovellettavissa kulttuurintutkimukseen, sosiaalitieteisiin ja lingvistiikkaan.
ellauri118.html on line 795: Sanoo Maija Mäkelä, joka on frankofiili. Anglisti Monika Fludernik peukutti Aphra Behniä. Kai sit pitää kazoa myös tota Prinsessa Cleveä, jonka kirjoitti Madame de La Fayette. Madame de La Fayette, oik. Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, kreivitär de La Fayette, (18. maaliskuuta 1634 Pariisi - 25. toukokuuta 1693 Pariisi) oli ranskalainen kirjailija. Hän kirjoitti romaanin La Princesse de Clèves (suom. Clèvesin ruhtinatar), joka oli Ranskan ensimmäinen historiallinen romaani ja kirjallisuuden historian ensimmäisiä psykologisia romaaneja. Magdaleena oli aika viriilin näköinen. Kuin myös sen kamu Madeleine de Scudéry, molemmat presiöösin tyylisuunnan viirikukkoja (tai kanoja). Olikohan ne kaikki lepakoita? Cohérente avec elle-même, Mlle de Scudéry est d´ailleurs restée célibataire toute sa vie. Mikä ei ollutkaan aivan vähän, se eli 94-vuotiaaxi.
ellauri118.html on line 809: La Princesse de Clèves est un roman de Madame de La Fayette, d´abord publié anonymement en 1678. Le roman prend pour cadre la vie à la cour des Valois « dans les dernières années du règne de Henri Second », comme l´indique le narrateur dans les premières lignes du récit. Il peut donc être défini comme un roman historique, même s´il inaugure, par bien des aspects (souci de vraisemblance, construction rigoureuse, introspection des personnages) la tradition du roman d´analyse. C´est en effet un des premiers romans dits psychologiques, ce qui contribue à sa modernité.
ellauri118.html on line 812: Mademoiselle de Chartres est une jeune fille de 15 ans qui arrive à la cour du roi Henri II. Le prince de Clèves tombe amoureux d´elle, mais ce sentiment n´est pas partagé. Ils se marient. Elle tombe amoureuse du duc de Nemours, mais leur amour serait illégitime, puisqu´elle est mariée. Afin d´éviter de le revoir elle se retire de la cour, et avoue sa passion à son mari. Celui-ci meurt de chagrin. Elle décide alors de se retirer dans un couvent.
ellauri118.html on line 824: La Princesse de Clèves témoigne également du rôle important joué par les femmes en littérature et dans la vie culturelle du XVIIe siècle, marquée par le courant de la préciosité. Madame de La Fayette avait fréquenté avant son mariage le salon de la marquise de Rambouillet et, comme son amie Madame de Sévigné, faisait partie du cercle littéraire de Madeleine de Scudéry, dont elle admirait les œuvres.
ellauri118.html on line 826: Roman fondateur, La Princesse de Clèves est évoqué comme l’un des modèles littéraires ayant inspiré Balzac, Raymond Radiguet ou même Jean Cocteau. Pas Marcel Proust, qui etait inspiré par Madame de Sevigné.
ellauri118.html on line 830: With La Princesse de Clèves, Mme. de La Fayette created a new kind of fiction,—"substituting," says Saintsbury, "for mere romance of adventure on the one hand, and stilted heroic work on the other, fiction in which the display of character is held of chief account."
ellauri118.html on line 860: Certain critics have endeavored to trace the character of Mme. de La Fayette in that of the Princess of Clèves, of M. de La Rochefoucauld in that of M. de Nemours; but too strict an autobiographical interpretation destroys the charm of the story.
ellauri146.html on line 432: Un vent léger s’élève à l’horizon et ride Tuulenhenki nousee horisontista
ellauri150.html on line 261: Parmi les jeunes filles du monde, — peu nombreuses d’ailleurs, — que Christophe avait pour élèves, était la fille d’un riche fabricant d’automobiles, Colette Stevens. Son père était Belge, naturalisé Français, fils d’un Anglo-Américain établi à Anvers et d’une Hollandaise. Sa mère était Italienne. C’était une famille bien parisienne. Pour Christophe, — pour bien d’autres, — Colette Stevens était le type de la jeune fille française.
ellauri150.html on line 271: Toutes ces singeries, ces parades de petit chien, cette ingénuité frelatée, ne plaisaient à Christophe en aucune façon. Il avait autre chose à faire qu’à se prêter aux manèges d’une petite fille rouée, ou même qu’à les considérer, d’un œil amusé. Il avait à gagner son pain, à sauver de la mort sa vie et ses pensées. Le seul intérêt pour lui de ces perruches de salon était de lui en fournir les moyens. En échange de leur argent, il leur donnait ses leçons, en conscience, le front plissé, l’esprit tendu vers la tâche, afin de ne se laisser distraire ni par l’ennui qu’elle lui causait, ni par les agaceries de ses élèves, quand elles étaient aussi coquettes que Colette Stevens. Il ne faisait guère plus d’attention à elle qu’à la petite cousine de Colette, une enfant de douze ans, silencieuse et timide, que les Stevens avaient prise chez eux, et à qui Christophe enseignait aussi le piano.
ellauri151.html on line 281: Dilthey a le premier noté l’importance d’un texte de jeunesse de Hegel et y a signalé comme une première esquisse de ce que sera plus tard «la conscience malheureuse». On sait quelle importance revient à la conscience malheureuse dans la Phénoménologie de Hegel, et plus tard encore dans la Philosophie de la Religion. Sous une forme abstraite la conscience malheureuse est la conscience de la contradiction entre la vie finie de l’homme et sa pensée de l’infini. « En pensant je m’élève à l’absolu en dépassant tout ce qui est fini, je suis donc une conscience infinie et en même temps je suis une conscience de soi finie et cela d’après toute ma détermination empirique... Les deux termes se cherchent et se fuient — je suis le sentiment, l’intuition, la représentation de cette unité et de ce conflit et la connexion de ces termes en conflit... je suis ce combat, je ne suis pas un des termes engagés dans le confit, mais je suis les deux combattants et le combat lui-même, je suis le feu et l’eau, qui entrent en contact et le contact et l’unité de ce qui absolument se fuit. » La conscience malheureuse qui dans la Phénoménologie trouve son incarnation historique dans le judaïsme et dans une partie du moyen âge chrétien est en effet la conscience de la vie comme du malheur de la vie. L’homme s’est élevé au-dessus de sa condition terrestre et mortelle ; il n’est plus que le conflit de l’infini et du fini, de l’absolu qu’il a posé en dehors de la vie, et de sa vie réduite à la finitude…
ellauri161.html on line 914: Lors de son séjour à Turin, en 1793, Joseph de Maistre adhère à la loge de La Stricte Observance (La Stretta Osservanza) qui relève du Rite écossais rectifié. Enfin, à Saint-Pétersbourg, il fréquente la loge de M. Stedingk, ambassadeur de Suède auprès du Tzar.
ellauri164.html on line 80: J’ai avalé une fameuse gorgée de poison. — Trois fois béni soit le conseil qui m’est arrivé ! — Les entrailles me brûlent. La violence du venin tord mes membres, me rend difforme, me terrasse. Je meurs de soif, j’étouffe, je ne puis crier. C’est l’enfer, l’éternelle peine ! Voyez comme le feu se relève ! Je brûle comme il faut. Va, démon !
ellauri164.html on line 120: C’est le feu qui se relève avec son damné.
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri203.html on line 204: Le mariage de Maximilien et de Marie est célébré dans la chapelle du palais d’Hiver, à Saint-Pétersbourg, le 2 juillet 1839. Il donne lieu à 15 jours de festivités mais soulève la désapprobation des Moscovites, qui sont choqués de voir l’une de leurs princesses s’unir à un prince français, dont le père a participé à la prise de leur ville en 1812. Immédiatement après les épousailles, le duc de Leuchtenberg reçoit du tsar Nicolas Ier le prédicat d'altesse impériale et le titre de prince Romanovsky. Il est nommé major général de l'armée russe et colonel en chef du régiment de hussards de Kiev. Il reçoit par ailleurs une rente annuelle de 100 000 roubles. De son côté, le tsar confère à Marie une rente de 700 000 roubles ainsi qu'une somme de 2 millions payable en bons du trésor à 4%. Afin de loger le couple, l'empereur s'engage finalement à construire et à meubler à ses frais un palais meublé à Saint-Pétersbourg et un autre situé dans les environs de la capitale.
ellauri210.html on line 129: Jarry obtient en 1890 la seconde partie du baccalauréat, mention "Bien". En 1891-1892, il est élève d’Henri Bergson et condisciple de Léon-Paul Fargue et d’Albert Thibaudet au lycée Henri-IV. Il échoue au concours d'entrée à l’École normale supérieure (trois échecs successifs suivis de deux échecs pour la licence ès lettres).
ellauri210.html on line 863: Fils d'un cadre du grand magasin Le Bon Marché, il est d’abord un élève brillant au lycée Montaigne, où il obtient un prix de récitation et de français, puis il devient passable et dissipé au lycée Louis-le-Grand où il se fait remarquer par son excentricité.
ellauri210.html on line 889: Le jour se lève, ça vous apprendra, Éditions Cent Pages, Coll. Cosaques, 2009.
ellauri264.html on line 87: L’explication que donne Rolland à son refus de se jeter dans la bataille pour défendre Dreyfus n’est pas convaincante. Les raisons se situent ailleurs : elles relèvent, d’une part, d’une forme d’individualisme qui refuse toute association politique de peur de compromissions inévitables, et, d’autre part, de ses sentiments antisémites.
ellauri266.html on line 456: Un manuscrit enfermé dans une bouteille est retrouvé dans l´espace par Jinn et Phyllis, un couple en voyage spatial. Ce manuscrit raconte l´histoire suivante : en l’an 2500, le savant professeur Antelle a organisé une expédition pour l’exploration de l’étoile supergéante Bételgeuse. Il a embarqué à bord de son vaisseau son disciple, le jeune physicien Arthur Levain, et le journaliste, narrateur de cette aventure, Ulysse Méroua 12 ainsi qu’un chimpanzé baptisé Hector et plusieurs plantes et animaux pour ses recherches scientifiques dans l’espace. Arrivés à proximité de l´étoile, ils distinguent quatre planètes gravitant autour d´elle. L’une d’entre elles ressemble étrangement à la Terre. Ils décident alors de l’explorer. À bord d’un « engin à fusée » qu´ils nomment chaloupe, les trois aventuriers survolent des villes, des routes, des champs avant d’atterrir dans une forêt1. Après avoir effectué des tests, ils quittent leur chaloupe et découvrent l’étonnante ressemblance de l’atmosphère de cette planète, qu’ils baptisent Soror, avec celle de la Terre. Ils enlèvent leurs scaphandres et assistent impuissants à la fuite d’Hector. Par curiosité, ils s’engagent dans la forêt et arrivent à un lac naturel dont l’eau limpide leur donne envie de se baigner. Mais à leur grande surprise, ils découvrent au bord du lac les traces de pas humains.
ellauri365.html on line 168: nostamiemme mekkojen ihastuttava muukalainen, L’adorable inconnu des robes qu’on soulève,
xxx/ellauri127.html on line 436: L’œuvre littéraire de Prosper Mérimée relève d'« une esthétique du peu », son écriture se caractérisant par la rapidité et l'absence de développements, qui créent une narration efficace et un réalisme fonctionnel adaptés au genre de la nouvelle. Mais ce style a parfois disqualifié les œuvres de Mérimée, auxquelles on a reproché leur manque de relief — « Le paysage était plat comme Mérimée », écrit Victor Hugo.
xxx/ellauri128.html on line 529: Il fut l´élève du philosophe Alain, à qui il sera redevable de son orientation esthétique. À Paris, en 1924, il fait la connaissance de Simone de Caillavet, petite-fille de Madame Arman de Caillavet, née Léontine Lippmann, égérie et maîtresse d´Anatole France, et fille de Gaston Arman de Caillavet, auteur de pièces à succès; elle deviendra sa seconde épouse.
xxx/ellauri173.html on line 498: Rieur, j’élève au ciel d’été la grappe vide

xxx/ellauri178.html on line 288: L'enfant y est heureux, bon élève et enfant de chœur, mais réservé et taciturne. De cette époque remontent les premiers émois masculins de Genet, en la personne du petit Lou Culafroy — qui deviendra plus tard « Divine », héros et ensuite héroïne de Notre-Dame-des-Fleurs — ainsi que d’hommes plus âgés, braconniers de passage ou marginaux égarés. Il obtient la meilleure note de sa commune au certificat d'études primaires.
xxx/ellauri202.html on line 225: Il vit au milieu des livres, la cité des livres, mais se lance à la recherche, en Sicile et à Paris, du précieux manuscrit de La Légende dorée qu’il finit un jour par obtenir. Le hasard lui fait rencontrer la petite fille d’une femme qu’il a jadis aimée et, pour "protéger" l’enfant d’un autre tuteur abusif, il l’enlève. Après plusieurs années de bon usage par Sylvestre, la jeune fille épousera un élève de M. Bonnard. Tollanen pedofiilinen Goethen Mignon taas.
xxx/ellauri376.html on line 528: Qu’à Priape, on élève un temple
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