ellauri014.html on line 622: Chaque fois que deux époux s’unissent par un nœud solennel, il intervient un engagement tacite de tout le genre humain de respecter ce lien sacré, d’honorer en eux l’union conjugale ; et c’est, ce me semble, une raison très forte contre les mariages clandestins, qui, n’offrant nul signe de cette union, exposent des cœurs innocents à brûler d’une flamme adultère. Le public est en quelque sorte garant d’une convention passée en sa présence, et l’on peut dire que l’honneur d’une femme pudique est sous la protection spéciale de tous les gens de bien. Ainsi, quiconque ose la corrompre pèche, premièrement parce qu’il la fait pécher, et qu’on partage toujours les crimes qu’on fait commettre ; il pèche encore directement lui-même, parce qu’il viole la foi publique et sacrée du mariage, sans lequel rien ne peut subsister dans l’ordre légitime des choses humaines.
ellauri014.html on line 712: Julkku sanoo jälleen kerran adieu à toujours. Ja pirauttaa pienen lämpäreen paperille. Vaikka perse on jo tervattu.
ellauri014.html on line 723: Ingrat ami, seras tu toujours occupé de toi-meme?
ellauri014.html on line 1157: O grand Etre ! Etre éternel, suprême intelligence, source de vie et de félicité, créateur, conservateur, père de l’homme et roi de la nature, Dieu très puissant, très bon, dont je ne doutai jamais un moment, et sous les yeux duquel j’aimai toujours à vivre ! je le sais, je m’en réjouis, je vais paraître devant ton trône.
ellauri014.html on line 1197: « On ne sait pas, disait-elle, quelle douceur c’est de s’attendrir sur ses propres maux et sur ceux des autres. La sensibilité porte toujours dans l’âme un certain contentement de soi-même indépendant de la fortune et des événements. Que j’ai gémi ! que j’ai versé de larmes ! Eh bien ! s’il fallait renaître aux mêmes conditions, le mal que j’ai commis serait le seul que je voudrais retrancher ; celui que j’ai souffert me serait agréable encore.»
ellauri028.html on line 450: Toujours gaie comme un pinson
ellauri033.html on line 170: Né en 1862 à Charmes en Lorraine, Maurice Barrès a huit ans en 1870 et jamais il n´oubliera l´humiliation de la défaite et de l´occupation : « C´est persuasif pour toujours, écrira-t-il vers la fin de sa vie, d´avoir vu dans sa huitième année une troupe prussienne entrant sur un air de fifre dans une petite ville française. »


ellauri033.html on line 186: belles découvertes, je le sais, curent presque toujours des précurseurs
ellauri033.html on line 223: Journal. Encore ne sont-ils pas toujours exacts. Renan eut à s´en
ellauri033.html on line 236: l´instable équilibré. Tantôt surchargée et tantôt elliptique, elle manque toujours la juste plénitude.
ellauri033.html on line 294: trahiraient-elles pas une inquiétude d´âme qui fut toujours le prélude
ellauri033.html on line 361:

Le scepticisme intellectuel de M. Bourget s´allia toujours avec un fond
ellauri033.html on line 382: encore, à tel roman dont le héros est toujours une victime de l´analyse,
ellauri033.html on line 391: cléricalise la vertu. Pour deus ex machina, toujours un prêtre : l´abbé Taconnet dans Mensonges ; dans Un Saint, le Père Griffi. Dans son dernier ouvrage, voici Léon XIII en personne, ce « prisonnier », ce « martyr » — debitricem martyrii fidem,
ellauri033.html on line 837: Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
ellauri033.html on line 865: Des plus beaux de nos jours !
ellauri033.html on line 869: Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
ellauri033.html on line 885: Que les jours de malheur ?
ellauri033.html on line 893: Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
ellauri033.html on line 1017: Murmurera toujours celui d’Eléonore ! vuosisadoille aina Eleonooran sitä!
ellauri033.html on line 1066: Elvire, et tu vivras toujours ! anna, Elviira, niin elät meeminä!
ellauri033.html on line 1135: Nommé, le 11 janvier 1862, professeur d´hébreu au Collège de France où il succède à Étienne Quatremère, il est suspendu quatre jours après sa leçon inaugurale pour injure à la foi chrétienne et remplacé dans sa chaire d´hébreu le 11 juin 1864 en raison de sa Vie de Jésus, ouvrage sur Jésus de Nazareth jugé sacrilège. L´érudit Salomon Munk lui succède à cette chaire.
ellauri036.html on line 309: Les jours sont revenus de Claude et de Tibère;
ellauri036.html on line 393: Après trois jours de marche, attend un jour d'orage
ellauri036.html on line 801: Quand le soleil se lève aux beaux jours de l'automne,
ellauri036.html on line 847: Attendait de ses jours la dernière étincelle,
ellauri036.html on line 934: Lui qui se croit encore aux jours de ton enfance,
ellauri046.html on line 631:

No siis mix? Mikä on sen argumentti? Ei oikeen selviä mut Sörkan tuntien jotain kummaa. L’un des auteurs dramatiques les plus joués du XIXe siècle, en France comme dans le reste du monde, Eugène Scribe a été élu à l’Académie française en 1834. La célébrité dont il a joui de son vivant contraste singulièrement avec l'oubli total dans lequel son œuvre est tombée de nos jours. höpöhöpöä takuulla. Se on eri sairas epeli. Niinku ezen miälestä on hienoa et naiset on miehille alamaisia ja et synnytys on niille kipeää. Vitun ääliö.
ellauri049.html on line 319: Qu’ont dans leurs jours heureux les esclaves des Mores. kuin maureilla jotka hommat hoidettua sai mennä.
ellauri049.html on line 572: Des jours anciens itken kyyneleen; kouluaikoja
ellauri049.html on line 745: Sans relâche et sans fin, semble planer toujours ilman taukoa saati loppua, leijuu aina
ellauri049.html on line 809: La mer, la mer, toujours recommencée ! Meri, meri joka alkaa aina uudestaan!
ellauri049.html on line 861: Sonnant dans l’âme un creux toujours futur ! onttoa kohtaa sielussa, tulematonta!
ellauri074.html on line 347: Celui qui parle au nom des autres est toujours un imposteur. Politiques, réformateurs et tous ceux qui se réclament d'un prétexte collectif sont des tricheurs.
ellauri077.html on line 738: Est-ce là des promesses extravagantes? Nous ne le croyons pas. Ces promesses se réalisent parmi nous parfois rapidement, parfois lentement, mais se matérialisent toujours si nous travaillons dans ce sens.
ellauri096.html on line 703: Les Damnés de la terre est le dernier livre de Frantz Fanon, publié quelques jours avant sa mort aux Éditions Maspero en 19611 et traduit en 15 langues.
ellauri109.html on line 441: Une première rupture avec Louise Colet en apporte la preuve. Dans sa lettre datée du dimanche 7 mars 1847, Flaubert ose enfin clamer à quel point il est allergique32 aux valeurs qu’elle véhicule, valeurs qui baignent et macèrent dans le discours ambiant du romantisme humanitaire33 : « tes idées de moralité, de patrie, de dévouement, tes goûts en littérature, tout cela était antipathique à mes idées, à mes goûts. »34 Ce qui vient immédiatement après est l’affirmation d’une esthétique, sur le mode de l’antithèse : « amoureux exclusif de la ligne pure, du galbe saillant, de la couleur criante, de la note sonore, je retrouvais toujours chez toi je ne sais quel ton noyé de sentiment qui atténuait tout, et altérait jusqu'à ton esprit ». Voilà les griefs d’un amant qui ne sépare pas l’art de la vie. Le lexique sentimental se trouve accaparé par le commentaire stylistique : « amoureux exclusif », écrit Flaubert, non pas d’une femme, comme Louise, elle, le voudrait, mais du tracé ferme, il lui reproche son « ton noyé de sentiment » qu’il interprète comme une déperdition de force et de précision. De même, les muscles relâchés, les lignes floues et les déliaisons trahissent le corps du texte féminin.
ellauri109.html on line 461: Il me déplaît pour avoir mis en axiomes et pratique « la Poésie du cœur » (double farce à l'usage des impuissants et des charlatans). En voilà un qui a été peu critique ! Il me paraît avoir eu sur l'humanité le coup d'œil d'un coiffeur sentimental ! Toujours « mon pauvre cœur », toujours les larmes ! — je crois du reste que la mère Colet l'a reproduit assez fidèlement ? et il est facile maintenant de le bien connaître. As-tu remarqué ses affectations de noblesse ? Ses éternels bals aux ambassades ? Comme c'est beau cet homme qui porte sa douleur dans le monde ! — telle qu'un bijou rare, pour l'ébahissement de ces Messieurs et ces Dames !
ellauri110.html on line 997: C´est en 1794 qu´il écrit le Voyage autour de ma chambre, au cours des quarante-deux jours d´arrêts qui lui sont infligés dans sa chambre de la citadelle de Turin pour s´être livré à un duel contre un officier piémontais du nom de Patono de Meïran, dont il est sorti vainqueur. Un premier duel l´avait déjà opposé à un autre camarade, le lieutenant Buonadonna15. Il est nommé capitaine de l´armée sarde le 26 janvier 1797. Sa carrière militaire ne présente pas de perspectives très favorables après 16 ans de service ! Mais le sort va en décider autrement.
ellauri118.html on line 816: Sacré roi de France le 26 juillet 15471 à Reims, il prend comme emblème le croissant de lune, qui est depuis toujours celui de la maison d´Orléans à laquelle il appartient en tant que fils cadet de François Ier[réf. nécessaire]. Ses devises sont Plena est œmula solis (« L´émule du soleil est pleine ») et Donec totum impleat orbem (« Jusqu´à ce qu´elle remplisse le monde tout entier »).
ellauri118.html on line 822: Il meurt accidentellement à l´âge de quarante ans : le 30 juin 1559, lors d’un tournoi tenu rue Saint-Antoine à Paris (devant l´ancien hôtel des Tournelles), il est blessé d´un éclat de lance dans l´ œil par Gabriel de Montgommery, capitaine de sa garde écossaise. Il en meurt dix jours plus tard.
ellauri118.html on line 877: Il dit aussi que, quand on n´est point aimé, on souffre encore davantage de voir sa maîtresse dans une assemblée; que plus elle est admirée du public, plus on se trouve malheureux de n´en être point aimé; que l´on craint toujours que sa beauté ne fasse naître quelque amour plus heureux que le sien; enfin, il trouve qu´il n´y a point de souffrance pareille à celle de voir sa maîtresse au bal, si ce n´est de savoir qu´elle y est, et de n´y être pas.
ellauri144.html on line 627: santé fragile et des vicissitudes du monde moderne. Lors de ses séjours en
ellauri145.html on line 173: Baudelaire: j´ai toujours eu quelque sympathie pour ce malheureux écrivain dont le génie manqué, plein d´ambition et de maladresse, n´a su produire que des ébauches minutieuses, des éclairs orageux, des figures dont quelque chose de trop bizarre… altère la native grandeur.»
ellauri145.html on line 184: « Phus phoyez, - dit-il, gue le mié hait de phus dénir dranguile; et maintenant phus zaurez gui che zuis. Recartez-moâ ! che zuis l´Ange ti Pizarre. - Assez bizarre, en effet, - me hasardai-je à répliquer; mais je m´étais toujours figuré qu´un ange devait avoir des ailes.
ellauri145.html on line 285: D'humeur dépressive, l'auteur des Fleurs du mal effectue plusieurs tentatives de suicide. Son état psychique l'inspire artistiquement. Il s'y complaît même, non sans masochisme. Mais son spleen s'inscrit toujours dans sa quête de l'idéal, auquel il accède parfois grâce à de secrètes correspondances.
ellauri145.html on line 330: Qui s’acharnent toujours sur mes morts les plus chers. Ja kiusaavat izeään mun rakkaat vainajat.
ellauri145.html on line 366: Et dont sur leurs vieux jours les puissants se souviennent, Jotka valtaapitävät muistavat loppupeleissä,
ellauri145.html on line 488: Très lentement se balance ? toujours, toujours, toujours. Heiluu hitaasti ? iäti 3x
ellauri145.html on line 1137: Derrière son écriture légère et son style narquois, on sent dans les écrits d´Allais une sorte de déception ; ses critiques des militaires, des politiques et des curés sont toujours empreintes d´un certain pessimisme.
ellauri145.html on line 1141: Ca semble cependant fortement contredite par une lettre d’Alphonse Allais à sa mère du 23 octobre 1905, dans laquelle il lui apprend qu’à la suite d’une phlébite il vient effectivement de passer 40 jours sur le dos, sans même pouvoir travailler.
ellauri146.html on line 469: L’Homme a toujours besoin de caresse et d’amour, Miespä tarvii koko ajan haleja,
ellauri146.html on line 490: Et, plus ou moins, la Femme est toujours Dalila. Ja yhtä kaikki nainen on aina Delila.
ellauri146.html on line 531: Toujours voir serpenter la vipère dorée Aina saa nähä kultakyyn kiemurtavan
ellauri146.html on line 533: Toujours ce compagnon dont le cœur n’est pas sûr, Aina tää partneri jonka sydän pettää,
ellauri146.html on line 535: Toujours mettre sa force à garder sa colère Aina saa pidätellä vihaansa
ellauri150.html on line 273: Mais Colette était trop fine pour ne pas sentir qu’avec Christophe toutes ses grâces étaient perdues, et trop souple pour ne pas s’adapter instantanément à ses façons d’être. Elle n’avait même pas besoin de s’appliquer pour cela. C’était un instinct de sa nature. Elle était femme. Elle était comme une onde sans forme. Toutes les âmes qu’elle rencontrait lui étaient comme des vases, dont, par curiosité, par besoin, sur-le-champ, elle épousait les formes. Pour être, il fallait toujours qu’elle fût un autre. Toute sa personnalité, c’était qu’elle ne le restait pas. Elle changeait de vases, souvent.
ellauri150.html on line 277: Elle faisait de la musique, comme la plupart des jeunes filles oisives d’à présent. Elle en faisait beaucoup et peu. C’est-à-dire qu’elle en était toujours occupée, et qu’elle n’en connaissait presque rien. Elle tripotait son piano, toute la journée, par désœuvrement, par pose, par volupté. Tantôt elle en faisait, comme du vélocipède. Tantôt elle pouvait jouer bien, très bien, avec goût, avec âme, — (on eût presque dit qu’elle en avait une : il suffisait, pour cela, qu’elle se mît à la place de quelqu’un qui en avait une). — Elle était capable d’aimer Massenet, Grieg, Thomé, avant de connaître Christophe. Mais elle était aussi capable de ne plus les aimer, depuis qu’elle connaissait Christophe. Et maintenant, elle jouait Bach et Beethoven très proprement, — (ce qui, à la vérité, n’est pas beaucoup dire) ; — mais le plus fort, c’était qu’elle les aimait. Au fond, ce n’était ni Beethoven, ni Thomé, ni Bach, ni Grieg, qu’elle aimait : c’étaient les notes, les sons, ses doigts qui couraient sur les touches, les vibrations des cordes qui lui grattaient les nerfs comme autant d’autres cordes, son épiderme chatouillé.
ellauri150.html on line 279: Dans le salon de l’hôtel aristocratique, décoré de tapisseries un peu pâles, avec, sur un chevalet, au milieu de la pièce, le portrait de la robuste madame Stevens par un peintre à la mode, qui l’avait représentée languissante, comme une fleur sans eau, les yeux mourants, le corps tordu en spirale, pour exprimer la rareté de son âme millionnaire, — dans le grand salon aux baies vitrées, donnant sur de vieux arbres, que la neige poudrait, Christophe trouvait Colette toujours assise devant son piano, ressassant indéfiniment les mêmes phrases, se caressant les oreilles de dissonances moelleuses.
ellauri150.html on line 293: — J’entends… C’est toujours la même chose.
ellauri150.html on line 337: Elle jouait son morceau, s’appliquant de son mieux ; et, comme elle était habile, elle y réussissait très passablement, parfois même assez bien. Christophe, qui n’était pas dupe, riait en lui-même de l’adresse « de cette sacrée mâtine (sekarotuinen narttu), qui jouait, comme si elle sentait ce qu’elle jouait, quoiqu’elle n’en sentît rien ». Il ne laissait pas d’en éprouver pour elle une sympathie amusée. (Narsismimarkkeri!) Colette, de son côté, saisissait tous les prétextes pour reprendre la conversation, qui l’intéressait beaucoup plus que la leçon de piano. Christophe avait beau s’en défendre, prétextant qu’il ne pouvait dire ce qu’il pensait, sans risquer de la blesser : elle arrivait toujours à le lui faire dire ; et plus c’était blessant, moins elle en était blessée : c’était un amusement pour elle. Mais comme la fine mouche sentait que Christophe n’aimait rien tant que la sincérité, elle lui tenait tête hardiment, et discutait mordicus (izepäisesti). Ils se quittaient très bons amis.
ellauri151.html on line 105: Proust considérait l’homosexualité comme un enfer, une dépravation vouée obligatoirement à l’humiliation morale et physique, au contraire d’un Gide qui dépeint une « pédophilie juvénile et souriante ». Il a toujours eu la hantise que sa mère découvre ses penchants et ce n’est qu’après la mort de ses parents qu’il s’affichera plus ouvertement avec ses amants.
ellauri151.html on line 107: Car d’après ce que j’entendis les premiers temps dans celle de Jupien et qui ne furent que des sons inarticulés, je suppose que peu de paroles furent prononcées. Il est vrai que ces sons étaient si violents que, s’ils n’avaient pas été toujours repris un octave plus haut par une plainte parallèle, j’aurais pu croire qu’une personne en égorgeait une autre à côté de moi et qu’ensuite le meurtrier et sa victime ressuscitée prenaient un bain pour effacer les traces du crime. J’en conclus plus tard qu’il y a une chose aussi bruyante que la souffrance, c’est le plaisir, surtout quand s’y ajoutent—à défaut de la peur d’avoir des enfants, ce qui ne pouvait être le cas ici, malgré l’exemple peu probant de la Légende dorée—des soucis immédiats de propreté. Enfin au bout d’une demi-heure environ (pendant laquelle je m’étais hissé à pas de loup sur mon échelle afin de voir par le vasistas que je n’ouvris pas), une conversation s’engagea. Jupien refusait avec force l’argent que M. de Charlus voulait lui donner. (SG 609/11).
ellauri151.html on line 238: Toutes choses sont dites déjà; mais comme personne n'écoute, il faut toujours recommencer. (The Treatise of the Narcissus)
ellauri152.html on line 87: Berthe Clorine Jeanne Le Barillier (parfois orthographiée Berthe Clorinne Jeanne Le Barillier ou même Berthe Corinne Jeanne Le Barillier, sans doute par une suite d'erreurs de recopiage orthographique erroné dans les divers ouvrages où elle est citée), née à Bordeaux le 24 juillet 1858 et morte au Cannet le 24 janvier 1927, est une femme de lettres française. Takkutukkainen naisoletettu, rekkalesbon näköinen. Väsäs paljon sinisukkajuttuja, mm. Heloisesta ja Abelardista. Takuulla ei kääntänyt mitään kreikasta. Son œuvre, si elle est assez largement tombée dans l'oubli, est servie par un style sobre et une documentation toujours très solide. La part la plus consistante de son œuvre est probablement celle consacrée à l'antiquité romaine. Elle batit une maison à proximité immédiate de l'Hermitage de Jean-Jacques Rousseau, un écrivain qu'elle admirait et dont elle voulait se rapprocher. Mit vit JJ oli kuollut jo aikapäiviä?? Ja aika misogyyni kaiken kukkuraxi. Näitä vale-uudelleen
ellauri161.html on line 1002: “Mon existence est une campagne triste où il pleut toujours.”
ellauri162.html on line 148: L´évolution de son antisémitisme est toujours débattue. Bernanos rend hommage à Édouard Drumont, avec lequel il partage sa détestation de la bourgeoisie, mais aussi l´association des juifs à la finance, aux banques, au pouvoir de l’argent au détriment du peuple, un thème qui fait florès dans la France de cette époque et qui suscite des propos antisémites de l´écrivain. Bernanos, qui a fait la guerre de 1914-1918, fustige aussi un patriotisme perverti qui humilie l´ennemi allemand dans la défaite au lieu de le respecter, trahissant ainsi l´honneur de ceux qui ont combattu et hypothéquant l´avenir. Täähän kuulostaa suorastaan Ezra Poundilta. «Les juifs traînent nonchalamment sur les colonnes de chiffres et les cotes un regard de biche en amour » ou « ces bonshommes étranges qui parlent avec leurs mains comme des singes ». J’aimerais mieux être fouetté par le rabbin d’Alger que faire souffrir une femme ou un enfant juif ». Juutalaiset kiistelevat vieläkin oliko Ykä hyvis vaiko pahis.
ellauri164.html on line 92: Les hallucinations sont innombrables. C’est bien ce que j’ai toujours eu : plus de foi en l’histoire, l’oubli des principes. Je m’en tairai : poëtes et visionnaires seraient jaloux. Je suis mille fois le plus riche, soyons avare comme la mer.
ellauri164.html on line 112: Décidément, nous sommes hors du monde. Plus aucun son. Mon tact a disparu. Ah ! mon château, ma Saxe, mon bois de saules. Les soirs, les matins, les nuits, les jours… Suis-je las !
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 598: Nous étions accoutumés à de belles filles, si vous voulez, mais presque toujours du même type, décidé, hardi, presque masculin, presque effronté ; le plus souvent de belles brunes plus ou moins passionnées, qui ressemblaient à de jeunes garçons (mmm!), très piquantes et très voluptueuses sous l’uniforme que la fantaisie de leurs amants leur faisait porter quelquefois…
ellauri172.html on line 608: La Rosalba était pudique comme elle était voluptueuse, et le plus extraordinaire, c’est qu’elle l’était en même temps. Quand elle disait ou faisait les choses les plus… osées, elle avait d’adorables manières de dire : « J’ai honte ! » que j’entends encore. Phénomène inouï ! Elle fût sortie d’une orgie de bacchantes, comme l’Innocence de son premier péché. Jusque dans la femme vaincue, pâmée, à demi morte, on retrouvait la vierge confuse, avec la grâce toujours fraîche de ses troubles et le charme auroral de ses rougeurs… (Vizi tää hemmo on aika sick. Mutta se on just kuten Huismanni totesi: pyllistely tuntuu vielä rotevammalta kun pyllyn takana kyttää kiivas Jehova piiska handussa. Niin varmaan junioriapinastakin joka pääsee salaa silverbäkin nartun vulvalle. Sisään vaan vaikkei seisokkaan!)
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri192.html on line 162: Toujours intact aux yeux du monde, Muiden silmissä se näyttää ehjältä,
ellauri203.html on line 204: Le mariage de Maximilien et de Marie est célébré dans la chapelle du palais d’Hiver, à Saint-Pétersbourg, le 2 juillet 1839. Il donne lieu à 15 jours de festivités mais soulève la désapprobation des Moscovites, qui sont choqués de voir l’une de leurs princesses s’unir à un prince français, dont le père a participé à la prise de leur ville en 1812. Immédiatement après les épousailles, le duc de Leuchtenberg reçoit du tsar Nicolas Ier le prédicat d'altesse impériale et le titre de prince Romanovsky. Il est nommé major général de l'armée russe et colonel en chef du régiment de hussards de Kiev. Il reçoit par ailleurs une rente annuelle de 100 000 roubles. De son côté, le tsar confère à Marie une rente de 700 000 roubles ainsi qu'une somme de 2 millions payable en bons du trésor à 4%. Afin de loger le couple, l'empereur s'engage finalement à construire et à meubler à ses frais un palais meublé à Saint-Pétersbourg et un autre situé dans les environs de la capitale.
ellauri205.html on line 166: Presque toute l'Iliade se passe loin des bains chauds. Quel dommage. Moi, j'aime les bains chauds. Presque toute la vie humaine s’est toujours passée loin des bains chauds.
ellauri206.html on line 277: Teophile ois aina halunnut bylsiä Grisin Carlottaa mutta joutuu tyytymään sen rumempaan isosiskoon Ernestaan. Sen kanssa se teki 2 tyttöä, joista Judith on kuuluisa. Il lui écrira (a Carlotta) jusqu'à ses derniers jours en 1872, elle âgée de 53 ans et lui de 61 ans, toujours avec passion et admiration, quémandant encore un regard, un baiser. Mitähän Ernesta tuumi siitä.
ellauri206.html on line 458: « M. Gassendi ayant été toujours si curieux de chercher à justifier par les expériences la vérité des spéculations que la philosophie lui propose, et se trouvant à Marseille en l'an 1641 fit voir sur une galère qui sortit exprèz en mer par l'ordre de ce prince, qu'une pierre laschée du plus haut du mast, tandis que la galère vogue avec toute la vitesse possible, ne tombe pas ailleurs qu'elle ne feroit si la même galère étoit arrêtée et immobile. »
ellauri210.html on line 144: « L’ère ’Pataphysique commence le 8 septembre 1873, qui d’ores en avant prend la dénomination de 1er du mois Absolu An 1 E.P. (Ère ’Pataphysique, et à partir de quoi l’ordre des 13 mois (douze de 28 jours et un de 29) du Calendrier ’Pataphysique est fixé comme suit » :
ellauri210.html on line 156: Gueules 28 / 29 du 26 janvier au 22 ou 23 février Ce mois fait 29 jours les années bissextiles, dont le dernier jour ajouté hors-semaine est appelé « hunyadi gras ».
ellauri210.html on line 1001: Il meurt des suites d'un cancer du poumon, lui qui fumait trois paquets de cigarettes par jour et en avait toujours une à la bouche, a 77 ans.
ellauri210.html on line 1008: Des jours heureux quand nous étions amis, Se hehkumaan saa loistoaan Onnelliset päivät ystävyytemme
ellauri247.html on line 211: Alain-René Lesage ou Le Sage, né le 8 mai 1668 à Sarzeau1 et mort le 17 novembre 1747 à Boulogne-sur-Mer, est un romancier et dramaturge français. Bien qu’il soit aujourd’hui surtout connu pour son roman picaresque Histoire de Gil Blas de Santillane, Lesage est l’auteur d’une importante production théâtrale. Il a notamment contribué au développement et au renouvellement du « théâtre de la Foire » Après les marionnettes et les danseurs de corde, les acteurs forains en vinrent progressivement à jouer de véritables petites comédies, souvent écrites par des auteurs de renom et de talent. Toujours modeste, c’est par ses ouvrages seuls qu’il obtint sa réputation, et jamais il ne rechercha les dignités et les titres littéraires. Nietsche piti Gil Blasista enemmän kuin Shakespearesta. Varmaan se oli parempi kuin tuo nenäkäs skottitohtori.
ellauri247.html on line 510: Abd el-Kader organisait la smala toujours selon le même principe : elle se composait de quatre enceintes circulaires et concentriques où chaque douar, chaque famille, chaque individu avait sa place fixe et marquée, suivant son rang, son utilité, ses fonctions, ou la confiance qu’il inspirait. La smala arrivant à son gîte, la tente de l’émir se dressait au centre du terrain que le camp devait couvrir.
ellauri247.html on line 518: Il donna ordre au général Lamoricière, ainsi qu’au duc d’Aumale de se mettre à sa poursuite. Le prince partit de Boghar avec 1 300 fantassins et 600 chevaux. Trois jours après, il apprit que la smala se trouvait à 80 kilomètres au sud de Goudjila. Pour l’atteindre, il fallait franchir vingt lieues d’une traite sans une goutte d’eau. Alors que les soldats étaient à la recherche de la source de Taguine pour se désaltérer, l’agha Ahmar ben Ferhat vint informer le prince de la présence inattendue de la smala à cette même source.
ellauri264.html on line 83: Comme il l’écrit à son grand ami et écrivain Jean-Richard Bloch en 1939 : « Il faudrait pouvoir toujours tenir compte, en lisant chacun de mes drames révolutionnaires, du cycle épique dont il est un fragment. Tels des jugements exprimés dans un drame sont des jugements d’étape, que corrige et complète la suite du voyage. » En effet, les Loups témoignent de son antisemitisme, tandis que sa dernière pièce, Robespierre, datée de 1938, reflète son compagnonnage de route avec le grand ours d’URSS.
ellauri266.html on line 468: Le narrateur commence à apprendre le langage simien. Profitant d’une visite de routine, il dessine à Zira des figures géométriques et les théorèmes qui en découlent, puis le Système solaire et celui de Bételgeuse, la trajectoire de son vaisseau et son origine, la Terre. Zira comprend son message et lui demande de garder le secret car Zaïus pourrait lui causer des problèmes. Zira commence à apprendre le français et les deux peuvent communiquer facilement. Elle lui apprend comment les singes se sont développés sur cette planète alors que l’homme est resté à un stade d’animalité. Enfin, le narrateur retrouve l’air libre lorsque Zira l´amène en promenade, après trois mois d’enfermement, pour lui présenter Cornélius, son fiancé, un chimpanzé biologiste très intelligent et intuitif. Il se laisse tenir en laisse comme le lui a recommandé Zira et tente de dissimuler son intelligence. Zira lui apprend que Zaïus voulait le transférer à la division encéphalique pour pratiquer sur son cerveau des opérations délicates mais qu’elle l’en a empêché. Avec Cornélius, elle lui conseille de faire très attention et d´attendre le congrès des savants biologistes qui va se tenir dans les jours suivants où il sera présenté par Zaïus, pour révéler son secret.
ellauri266.html on line 470: Zira donne ensuite à Ulysse une lampe et des livres grâce auxquels il apprend le langage simien et découvre l’organisation de la société des singes, leur système politique et leur culture. Profitant des promenades avec Zira et des entrevues avec Cornélius, le narrateur prépare le discours qu’il doit présenter lors du congrès. La guenon lui fait visiter le parc zoologique où il découvre des animaux ressemblant à ceux de la Terre et des « humains », parmi lesquels il retrouve le professeur Antelle, qui a perdu la raison. Les deux premiers jours du congrès dont parlait Zira sont consacrés aux théories. Le troisième jour, Zaïus présente le narrateur qui en profite pour exposer son cas dans le langage simien provoquant l’étonnement général des singes savants et des journalistes. Pressé par l´opinion publique, le congrès décide à contrecœur de libérer le narrateur et destitue Zaïus de ses fonctions. Mais Ulysse sait qu´il représente toujours une menace pour la civilisation simiesque.
ellauri285.html on line 669: Engagé aux côtés de Che Guevara dans les années 1960, il est emprisonné et torturé à plusieurs reprises en Amérique du Sud. Selon Jorge Castañeda Gutman, Debray est passé à tabac les premiers jours de sa détention, mais jamais torturé au sens propre.
ellauri316.html on line 245: La nuit du 14 au 15 avril 1718, nuit du Vendredi Saint, Boureau-Deslandes est à Brest. Il raconte : « sur les 4 heures du matin, il fit trois coups de tonnerre les plus horibles que j’aye jamais entendus. Dans cet espace de la Côte de Brêtagne qui s’étend depuis Conquerneau jusqu’à St. Paul de Leon, on a observé que le tonnerre étoit tombé sur 24 eglises differentes et à la même heure ». Cinq jours plus tard, Deslandes entreprend son enquête à Gouesnou, village voisin de Brest, dont l’église a été transpercée par la réunion de « 3 globes de feu, chacun 3 piés et demi de diamètre » qui ont occasionné la mort de trois sonneurs de cloches. « Le tonnerre n’est tombé que sur les Eglises où l’on sonnoit des cloches, à dessein de l’écarter, et il a épargné toutes les autres. »
ellauri324.html on line 166: Tout le monde est libre de croire en Dieu par rapport à ce qu'il voit ou dans les conditions dans lesquelles où il vit. Pour moi, Dieu existe et guide ma vie et celle de ma famille. Il y a tant de choses, dont je n'énumère pas, qui m'ont convaincues que Dieu en Jesus Christ est toujours là pour moi et pour tous ceux qui y croient. Je ne suis pas sur terre par hasard comme les microbes et autres organismes issus de la dégradation de notre environnement.
ellauri339.html on line 349: La Terre tournera toujours. Maapallo tulee aina pyörimään.
ellauri365.html on line 244: présence de Gustave Flaubert, toujours, d'Edmond de Goncourt, Zola, Paul Alexis, Léon Hennique, Henry Céard,
xxx/ellauri057.html on line 908: Passé vingt-deux ans, il abat directement avec sa machine à écrire deux écrits de genre populaire par semaine à raison de huit heures et quatre-vingts pages par jour. À la maturité, commençant toujours à partir de 4 heures du matin, il avoue rédiger vingt pages fermes par d'intenses matinées et écrire invariablement un roman en onze journées, nécessairement continues.
xxx/ellauri057.html on line 945: En 1974, il quitte Epalinges pour vivre modestement dans la maison rose, avenue des Figuiers à Lausanne, se rapprochant de « l'homme nu » qu'il a toujours cherché à appréhender.
xxx/ellauri123.html on line 1199: Toujours gonflé d’orgueil et gorgé de semence, aina ylpeydestä paisuen ja täynnä siementä
xxx/ellauri123.html on line 1227: Un arc toujours courbé et qui jamais ne bande, Kaareutuva kaari joka ei koskaan oikene,
xxx/ellauri123.html on line 1228: Un nerf toujours lâché et qui jamais ne tende. Aina löysä jäntere joka ei koskaan jännity.
xxx/ellauri123.html on line 1232: Un c.. toujours puant comme vieille marée ; v.. joka aina haisee kuin vanha laskuvesi,
xxx/ellauri139.html on line 846: Qu'ils meurent pleins de jours, Kuolkoot täynnä päiviä,
xxx/ellauri139.html on line 967: Qu’ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Kuolkoot täynnä päiviä, siitä tulkoon itkua,
xxx/ellauri139.html on line 1017: Qu’ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Kunpa kuolisivat niinkuin mä, ja niitä vollattais,
xxx/ellauri173.html on line 89: Toujours est-il qu’il a permis seulement qu’on imprimât son Évangile, et non qu’on le phonographiât. Cependant, au lieu de dire : « Lisez les Saintes Écritures ! » on eût dit : « Écoutez les Vibrations Sacrées ! » ― Enfin, il est trop tard… Par contre, trop tot! Nythän se jo löytyy äänikirjana varmaan jonkun baptistijuhon lukemana.
xxx/ellauri173.html on line 294: C’est toujours l’être humain qui exploite la différence entre l’homme et l’animal, qui l’inserre dans un programme scientifique, que ce soit d’éthologie ou de génétique, qui l’écrit et la commente, et qui réussit certes à faire à la fois de lui-même et de l’animal un objet d’étude, mais qui ne fait pas de l’animal le sujet actif d’une recherche scientifique, et encore moins la directrice d'un groupe recherche!
xxx/ellauri173.html on line 310: Enfin, puisque vous le désirez, voici : ― j’ai le malheur de subir un amour très pénible, le premier de ma vie (et, dans ma famille, le premier est presque toujours le dernier, c’est-à-dire le seul) pour une très-belle personne ― tenez ! pour la plus belle personne du monde, je crois ! ― et qui est, actuellement à New York, au théâtre, dans notre loge, où elle fait miroiter les pierres de ses oreilles en paraissant écouter le Freyschütz. ― Là !… Vous voilà satisfait, j’imagine, monsieur le curieux ?
xxx/ellauri177.html on line 258: Ils restèrent longtemps silencieux, toujours très graves. Ils avaient roulé leurs têtes, les éloignant insensiblement, comme si la chaleur de leurs haleines les eût gênés. Puis, au milieu du grand silence, Serge ajouta cette seule parole:
xxx/ellauri329.html on line 51: Je m’en vais, ces jours-là, vers les tristes banlieues. minä menen niinä päivinä kohti surullisia esikaupunkialueita.
xxx/ellauri356.html on line 321: Sa poésie est concise, directe comme du rock, brute et généreuse, mais toujours suggestive.
xxx/ellauri376.html on line 624: Ayez toujours le vit au con ;
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