ellauri014.html on line 1037: « Milord, me dit-il, en me donnant le saint nom d’ami, vous m’apprîtes à le porter. J’ai rempli la fonction dont vous m’avez chargé ; et vous voyant prêt à vous oublier, j’ai dû vous rappeler à vous-même. Vous n’avez pu rompre une chaîne que par une autre. Toutes deux étaient indignes de vous. S’il n’eût été question que d’un mariage inégal, je vous aurais dit : Songez que vous êtes pair d’Angleterre, et renoncez aux honneurs du monde, ou respectez l’opinion. Mais un mariage abject !… vous !… Choisissez mieux votre épouse. Ce n’est pas assez qu’elle soit vertueuse, elle doit être sans tache… La femme d’Edouard Bomston n’est pas facile à
ellauri014.html on line 1038: trouver. Voyez ce que j’ai fait. »
ellauri014.html on line 1157: O grand Etre ! Etre éternel, suprême intelligence, source de vie et de félicité, créateur, conservateur, père de l’homme et roi de la nature, Dieu très puissant, très bon, dont je ne doutai jamais un moment, et sous les yeux duquel j’aimai toujours à vivre ! je le sais, je m’en réjouis, je vais paraître devant ton trône.
ellauri014.html on line 1197: « On ne sait pas, disait-elle, quelle douceur c’est de s’attendrir sur ses propres maux et sur ceux des autres. La sensibilité porte toujours dans l’âme un certain contentement de soi-même indépendant de la fortune et des événements. Que j’ai gémi ! que j’ai versé de larmes ! Eh bien ! s’il fallait renaître aux mêmes conditions, le mal que j’ai commis serait le seul que je voudrais retrancher ; celui que j’ai souffert me serait agréable encore.»
ellauri049.html on line 323: Me ravit en extase, et j’aime à la fureur se hurmaa mut extaasiin kuin oopiumi
ellauri049.html on line 424: Plus léger qu’un bouchon j’ai dansé sur les flots kuin pieni pyppeli, hypin aalloilla
ellauri049.html on line 446: Et j’ai vu quelquefois ce que l’homme a cru voir ! ja oon nähnyt mitä jotkut luulee nähneensä!
ellauri049.html on line 518: Mais, vrai, j’ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes. Totta mooses, liikaa olen itkenyt! Sarastus
ellauri049.html on line 521: Ô que ma quille éclate ! Ô que j’aille à la mer ! Räjähtäis mun kynä! Jos menisinkin mereen!
ellauri051.html on line 3296: Avec celle que j’ai perdue sen jonka olen menettänyt
ellauri109.html on line 421: "Ce matin à midi, cher et pauvre vieux, j’ai reçu ta bonne et longue lettre tant désirée. Elle m’a remué jusqu’aux entrailles. J’ai mouillé. Comme je pense à toi, va ! inestimable bougre ! Combien de fois par jour je t’évoque, et que je te regrette ! Si tu trouves que je te manque, tu me manques aussi [...]
ellauri109.html on line 429: [...] Pauvre cher bougre, j’ai bien envie de t’embrasser. Je serai content quand je reverrai ta figure. [...] Adieu, je t’embrasse et suis plus que jamais "Maréchal de Richelieu, juste-au-corps bleu, Mousquetaire gris, régence et cardinal Dubois", sacrebleu !
ellauri145.html on line 1101: Puis, quand j’ai ravalé mes rêves avec soin, Sit kun mä olen nielaissut takasin mun unet huolella,
ellauri146.html on line 503: — Donc ce que j’ai voulu, Seigneur, n’existe pas ! — Eli herraa sellaista kuin halusin ei ole !
ellauri164.html on line 88: Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici : Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. — Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums faux, musiques puériles. — Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. — La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… — Horreur de ma bêtise.
ellauri164.html on line 92: Les hallucinations sont innombrables. C’est bien ce que j’ai toujours eu : plus de foi en l’histoire, l’oubli des principes. Je m’en tairai : poëtes et visionnaires seraient jaloux. Je suis mille fois le plus riche, soyons avare comme la mer.
ellauri172.html on line 578: — Pour mon compte, — dit nonchalamment Sélune, avec la fatuité d’un vieil endurci qui n’entend pas qu’on l’émeuve de rien, — pour mon compte, j’ai vu un jour quatre-vingts religieuses jetées l’une sur l’autre, à moitié mortes, dans un puits, après avoir été préalablement très bien violées chacune par deux escadrons.
ellauri172.html on line 649: Je dis, sentant la pressure monter dans mes culottes, — Moi, j’ai ce soir une autre frénésie.
ellauri172.html on line 676: « — Tu ne le sauras pas ! — dit-elle, en le narguant. Et elle le cingla de ce tu ne le sauras pas ! mille fois répété, mille fois infligé à ses oreilles ; et quand elle fut lasse de le dire, — le croiriez-vous ? — elle le lui chanta comme une fanfare ! Puis, quand elle l’eut assez fouetté avec ce mot, assez fait tourner comme une toupie sous le fouet de ce mot, assez roulé avec ce mot dans les spirales de l’anxiété et de l’incertitude, cet homme, hors de lui, et qui n’était plus entre ses mains qu’une marionnette qu’elle allait casser ; quand, cynique à force de haine, elle lui eut dit, en les nommant par tous leurs noms, les amants qu’elle avait eus, et qu’elle eut fait le tour du corps d’officiers tout entier : « Je les ai eus tous, — cria-t-elle, — mais ils ne m’ont pas eue, eux ! Et cet enfant que tu es assez bête pour croire le tien, a été fait par le seul homme que j’aie jamais aimé ! que j’aie jamais idolâtré ! Et tu ne l’as pas deviné ! Et tu ne le devines pas encore ? »
ellauri172.html on line 714: Well, j’ai porté plusieurs années, ce cœur d’enfant dont je doutais ; mais quand, après la catastrophe de Waterloo, il m’a fallu ôter cette ceinture d’officier dans laquelle j’avais espéré de mourir, et que je l’eus porté encore quelques années, ce cœur, — et je t’assure, Mautravers, que c’est lourd, quoique cela paraisse bien léger, — la réflexion venant avec l’âge, j’ai craint de profaner un peu plus ce cœur si profané déjà, et je me suis décidé à le déposer en terre chrétienne. Sans entrer dans les détails que je vous donne aujourd’hui, j’en ai parlé à un des prêtres de cette ville, de ce cœur qui pesait depuis si longtemps sur le mien, et je venais de le remettre à lui-même, dans le confessionnal de la chapelle.
ellauri206.html on line 310: Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron : Twice victorious I crossed Acheron :
ellauri365.html on line 110: Ja yhtäkkiä näin naisen jota rakastin, Et j’aperçus soudain la dame que j’aimais,
ellauri365.html on line 117: koska minulla on hienot kengät ja mekkoni on uusi; Car j’ai des souliers fins et ma toilette est neuve ;
xxx/ellauri057.html on line 943: « Des idées, je n’en ai jamais eu. Je me suis intéressé aux hommes, à l’homme de la rue surtout, j’ai essayé de le comprendre d’une façon fraternelle… Qu'ai-je construit? Au fond, cela ne me regarde pas. »
xxx/ellauri139.html on line 889: » Bois que j’aime! adieu… je succombe. "Skuzi jota rakastan! Heippa...mä kukistun.
xxx/ellauri139.html on line 905: Et j’ai vu, comme une ombre vaine, Ja mä nään katoavan
xxx/ellauri139.html on line 961: Salut, champs que j’aimais, et vous, douce verdure, Terve, niittu jota rakastin, ja te, sulovihanta,
xxx/ellauri139.html on line 1011: Salut, champs que j’aimais! et vous, douce verdure! Terse, kenttä jota rakastin! Ja te, vihannexet!
xxx/ellauri139.html on line 1179: D’un vieux singe j’ai la malice ; Mulla on vanhan paviaanin ilkeys;
xxx/ellauri173.html on line 310: Enfin, puisque vous le désirez, voici : ― j’ai le malheur de subir un amour très pénible, le premier de ma vie (et, dans ma famille, le premier est presque toujours le dernier, c’est-à-dire le seul) pour une très-belle personne ― tenez ! pour la plus belle personne du monde, je crois ! ― et qui est, actuellement à New York, au théâtre, dans notre loge, où elle fait miroiter les pierres de ses oreilles en paraissant écouter le Freyschütz. ― Là !… Vous voilà satisfait, j’imagine, monsieur le curieux ?
xxx/ellauri173.html on line 496: Ainsi, quand des raisins j’ai sucé la clarté,
xxx/ellauri173.html on line 556: Sur le sable altéré gisant et comme j’aime
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