ellauri033.html on line 200: aujourd´hui l´intérêt d´un livre que par ce qui, demain, n´aura plus
ellauri033.html on line 201: aucun intérêt.
ellauri077.html on line 731: Mettant nos propres intérêts de côté, nous nous intéresserons davantage à nos semblables.
ellauri150.html on line 271: Toutes ces singeries, ces parades de petit chien, cette ingénuité frelatée, ne plaisaient à Christophe en aucune façon. Il avait autre chose à faire qu’à se prêter aux manèges d’une petite fille rouée, ou même qu’à les considérer, d’un œil amusé. Il avait à gagner son pain, à sauver de la mort sa vie et ses pensées. Le seul intérêt pour lui de ces perruches de salon était de lui en fournir les moyens. En échange de leur argent, il leur donnait ses leçons, en conscience, le front plissé, l’esprit tendu vers la tâche, afin de ne se laisser distraire ni par l’ennui qu’elle lui causait, ni par les agaceries de ses élèves, quand elles étaient aussi coquettes que Colette Stevens. Il ne faisait guère plus d’attention à elle qu’à la petite cousine de Colette, une enfant de douze ans, silencieuse et timide, que les Stevens avaient prise chez eux, et à qui Christophe enseignait aussi le piano.
ellauri172.html on line 316: Le caractère de la vie qui nous a permis d’unir en une certaine mesure, l’égoïsme et l’altruisme, — union qui est la pierre philosophale des moralistes, — c’est ce que nous avons appelé la fécondité morale. Il faut que la vie individuelle se répande pour autrui, en autrui, et, au besoin, se donne ; eh bien, cette expansion n’est pas contre sa nature : elle est au contraire selon sa nature ; bien plus, elle est la condition même de la vraie vie. L’école utilitaire a été forcée de s’arrêter, plus ou moins hésitante, devant cette antithèse perpétuelle du moi et du toi, du mien et du tien, de l’intérêtpersonnel et de notre intérêt général ; mais la nature vivaute ne s’arrête pas à cette division tranchée et logiquement inflexible : la vie individuelle est expansive pour autrui parce qu’elle est féconde, et elle est féconde par cela même qu’elle est la vie.
ellauri172.html on line 639: — Elle n’a donc pas duré ? Tu sais donc, toi, ce que cette chienne de femme-là est devenue ? — fit Capitain Haddock, haletant d’intérêt excité, et oubliant pour une minute cette visite à l’église qui le tenait si dru.
ellauri317.html on line 316: Tout le mond savait que l´intérêt délibéré pour la femme de Pouchkine n´était qu´un écran derrière lequel le Français cachait des détails secrets de sa vie personnelle. Le terrain fertile pour de telles rumeurs était la relation entre d´Anthès et l’émissaire du roi hollandais, le baron Louis Heeckeren, qui avait adopté le jeune homme après son arrivée dans l´Empire russe. Quoi qu’il en soit, d´Anthès avait trop fortement harcelé Natalia et dépassé toutes les limites.
ellauri370.html on line 620: Largement ignorées lors de la parution de l’Essai en France, c'est en Allemagne que les théories de Gobineau suscitèrent le plus d'intérêt. Introduites par Richard Wagner dans sa revue Bayreuther Blätter, elles connaissent un certain écho dans les milieux wagnériens, notamment Houston Chamberlain. En France, le crédit dont Gobineau jouissait en Allemagne contribua à son rejet par les nationalistes qui voyaient en lui un avatar du «germanisme», si ce n'est du «pangermanisme».
ellauri420.html on line 381: Sombrant tôt dans une folie qui lui accorde néanmoins de longues périodes de lucidité, il finira par se suicider lors d'une glaciale nuit d'hiver. Héritier direct des romantiques allemands qu'il contribue à faire découvrir en France, son influence sera grande chez les symbolistes et même chez les surréalistes, par son intérêt pour l'intériorité psychique et notamment pour les rêves. Le 26 janvier 1855, on le trouve pendu aux barreaux d'une grille qui ferme un égout de la rue de la Vieille-Lanterne.
xxx/ellauri128.html on line 135: C’était, dit Jean-Jacques Rousseau, « un homme droit et adroit ». « Il faisait profession, écrit La Harpe, d’une franchise brusque qui ne déplaisait point […] Soit habitude, soit dessein, il gardait ce ton même dans la louange et l’on peut juger qu’elle n’y perdait pas. Il avait d’ailleurs un fonds de droiture qui le rendait incapable de plier son opinion ni sa liberté à aucun intérêt ni aucune politique ; et cependant ce ne fut point un obstacle à son avancement, parce qu’il n’offensa jamais l’amour-propre des gens de lettres, et qu’il sut intéresser en sa faveur celui des gens en place. » Duclos avait beaucoup d’esprit et une grande liberté de parole ; on cite de lui nombre de mots heureux.
xxx/ellauri376.html on line 603: L’intérêt sacré de la couille ;
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