ellauri050.html on line 347: Whom wilt thou find to love ignoble thee, Ketä sä löytäisit joka sua rähmää rakastaisi,
ellauri095.html on line 107: The term Uranian was quickly adopted by English-language advocates of homosexual emancipation in the Victorian era, such as Edward Carpenter and John Addington Symonds, who used it to describe a comradely love that would bring about true democracy, uniting the "estranged ranks of society" and breaking down class and gender barriers. Oscar Wilde wrote to Robert Ross in an undated letter (?18 February 1898): "To have altered my life would have been to have admitted that Uranian love is ignoble. I hold it to be noble—more noble than other forms."
ellauri143.html on line 234: Indecorum's issue is ignoble birth.
ellauri164.html on line 88: Tais-toi, mais tais-toi !… C’est la honte, le reproche, ici : Satan qui dit que le feu est ignoble, que ma colère est affreusement sotte. — Assez !… Des erreurs qu’on me souffle, magies, parfums faux, musiques puériles. — Et dire que je tiens la vérité, que je vois la justice : j’ai un jugement sain et arrêté, je suis prêt pour la perfection… Orgueil. — La peau de ma tête se dessèche. Pitié ! Seigneur, j’ai peur. J’ai soif, si soif ! Ah ! l’enfance, l’herbe, la pluie, le lac sur les pierres, le clair de lune quand le clocher sonnait douze… le diable est au clocher, à cette heure. Marie ! Sainte-Vierge !… — Horreur de ma bêtise.
ellauri172.html on line 666: Le major Ydow tomba dans une de ces rages qui déshonorent le caractère d’un homme, et cribla la Pudica d’injures ignobles, d’injures de cocher. Je crus qu’il la rouerait de coups. Les coups allaient venir, mais un peu plus tard. Il lui reprocha, — en quels termes ! d’être… tout ce qu’elle était. Il fut brutal, abject, révoltant ; et elle, à toute cette fureur, répondit en vraie femme qui n’a plus rien à ménager, qui connaît jusqu’à l’axe l’homme à qui elle s’est accouplée, et qui sait que la bataille éternelle est au fond de cette bauge de la vie à deux. Elle fut moins ignoble, mais plus atroce, plus insultante et plus cruelle dans sa froideur, que lui dans sa colère. Elle fut insolente, ironique, riant du rire hystérique de la haine dans son paroxysme le plus aigu, et répondant au torrent d’injures que le major lui vomissait à la face par de ces mots comme les femmes en trouvent, quand elles veulent nous rendre fous, et qui tombent sur nos violences et dans nos soulèvements comme des grenades à feu dans de la poudre. De tous ces mots outrageants à froid qu’elle aiguisait, celui avec lequel elle le dardait le plus, c’est qu’elle ne l’aimait pas — qu’elle ne l’avait jamais aimé : « Jamais ! jamais ! jamais ! » répétait-elle, avec une furie joyeuse, comme si elle lui eût dansé des entrechats sur le cœur ! — Or, cette idée — qu’elle ne l’avait jamais aimé — était ce qu’il y avait de plus féroce, de plus affolant pour ce fat heureux, pour cet homme dont la beauté avait fait ravage, et qui, derrière son amour pour elle, avait encore sa vanité ! Aussi arriva-t-il une minute où, n’y tenant plus, sous le dard de ce mot, impitoyablement répété, qu’elle ne l’avait jamais aimé, et qu’il ne voulait pas croire, et qu’il repoussait toujours :
ellauri198.html on line 433: Such starved ignoble nature; nothing throve: En nähnyt koskaan, ihan elotonta,
ellauri222.html on line 761: The first novel to display Bellow's characteristic expansiveness and optimism, The Adventures of Augie March presents a dazzling panorama of comically eccentric characters in a picaresque tale narrated by the irrepressible title character, who defends human possibility by embracing the hope that "There may gods turn up anywhere." Subsequent novels vary in tone from the intensity of Seize the Day to the exuberance of Henderson the Rain King to the ironic ambiguity of Herzog, but all explore the nature of human male freedom and the tensions between the individual's need for self and the needs of society. Augie March, Tommy Wilhelm, Eugene Henderson, and Moses Herzog all yearn to please themselves by finding the beauty in life. By creating these highly individualistic characters and the milieu in which they move, Bellow reveals the flashes of the extraordinary in the ordinary that make such fun possible and rejects the attitude that everyday life must be trivial and ignoble. It is like that just for the losers.
xxx/ellauri235.html on line 267: Far from the madding crowd's* ignoble strife, Kaukana väkivaltaisen väkijoukon piittaamattomasta kiistasta
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