ellauri036.html on line 603: Ce qui l'a dégradée, hélas ! c'est la misère,
ellauri049.html on line 654: Bois mêmes, prouve, hélas! que bien seul je m'offrais beweist, ach, daß ich ganz allein mir dargebracht totistaa, Tauno! et oikeesti yxin mä
ellauri049.html on line 679: La chair est triste, hélas ! et j'ai lu tous les livres. Liha on heikko, valitettavasti! Ja olen lukenut kaikki kirjat.
ellauri055.html on line 92: « La visite à Rolland, décevante hélas, il a l’air vieilli et fatigué. »
ellauri172.html on line 731: Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Vaan sille, voi nössö, lakkaa olemasta ongelma,
ellauri205.html on line 235: Allons, de mon erreur, hélas, trop éclaircis,
xxx/ellauri139.html on line 907: Couvre, hélas! ce triste chemin ; Peitä vitun masentava tie;
xxx/ellauri173.html on line 435: Bois mêmes, prouve, hélas ! que bien seul je m’offrais

xxx/ellauri176.html on line 170: Et le merveilleux Paradou du roman, ce paradis panthéiste, cet hymne à la nature, à l'amour – ces paysages décrits par Zola perdent toute vibration, toute poésie. On croit voir défiler les pages du catalogue Vilmorin où s'ébattent Serge et une Albine issue du Petit Echo de la Mode. Le film projeté ne montre pas la séquence du grenier, la découvert des toilettes féminines – les nombreux changements de robe d'Albine sont, dès lors, gratuits, irritants. Comme tous les autres acteurs, Gillian Hills (Albine) est mal dirigée, elle n'a aucune grâce, aucun naturel. Francis Huster (Serge), lui, a du charisme mais son dur combat, sa douceur sont hélas surtout perceptibles par le fard qui rantôt ranime, tantôt creuse un visage que des zooms inutiles amènent en gros plan. Et pour avoir voulu donner aux paysages de la Sainte-Baume, du Lubéron, du Parc Floral d'Orléans une certaine unité, on aboutit à des tonalités froides, éteintes. Seules les intérieurs (l'église, la chambre de Serge, la salle à manger de la cure) gardent leurs contrastes, leurs valeurs. Les personnages n'existent guère, aucune vibration n'émane d'eux, ni de la nature cruelle ou triomphante, de ce Paradou, terre-mère bruissante de vie, féconde.
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