ellauri012.html on line 624: Après ces instructions, qui doivent tenir la première place, je crois qu’il n’est pas inutile de laisser aux filles, selon leurs loisirs et la portée de leur esprit, la lecture des livres profanes qui n’ont rien de dangereux pour les passions : c’est même le moyen de les dégoûter des comédies et des romans. Donnez-leur donc les histoires grecques et romaines ; elles y verront des prodiges de courage et de désintéressement. Ne leur laissez pas ignorer l’histoire de France, qui à aussi ses beautés ; mêlez celles des pays voisins, et les relations des pays éloignés judicieusement écrites. Tout cela sert à agrandir l’esprit, et à élever l’âme à de grands sentiments, pourvu qu’on évite la vanité et l’affectation.
ellauri053.html on line 165: Pline l'Ancien mentionne plusieurs gisements : « Le bitume approche du soufre ; c'est tantôt un limon, tantôt une terre. Un limon, sortant d'un lac de Judée. Une terre, en Syrie, autour de la ville maritime de Sidon. Dans ces deux états, il s'épaissit et se condense. Il y a aussi un bitume liquide, témoin celui de Zacynthe et celui qu'on apporte de Babylone ; ce dernier bitume est blanc. Le bitume d'Apollonie est liquide aussi. Tous portent en grec le nom de pissasphalte, comme qui dirait mélange de poix et de bitume ». C'est l'origine des noms de spalt et d'asphalte.
ellauri055.html on line 620: Jean de La Bruyère s. elokuu 1645, Pariisi, Ranska - 10. toukokuuta 1696, Versailles oli ranskalainen kirjailija, moralisti ja satiirikko, joka tunnetaan parhaiten teoksestaan Les Caractères de Théophraste traduits du grec avec Les Caractères ou les moeurs de ce siècle, jota pidetään yhtenä Ranskan kirjallisuuden mestariteoksista. Ei se ollut aatelinen vaan tavallinen rotinkainen.
ellauri055.html on line 622: La première édition des Caractères paraît à Paris, chez Étienne Michallet, à l’automne de 1687, sous ce titre : les Caractères de Théophraste, traduits du grec, avec les Caractères ou les Mœurs de ce siècle. L’ouvrage comptait cent pages de traduction et deux cents pages originales.
ellauri062.html on line 536: Salvatore Quasimodo (Modica, 20 agosto 1901 – Napoli, 14 giugno 1968) è stato un poeta e traduttore italiano, esponente di rilievo dell'ermetismo. Ha contribuito alla traduzione di vari componimenti dell'età classica, soprattutto liriche greche, ma anche di opere teatrali di Molière e William Shakespeare. È stato vincitore del premio Nobel per la letteratura nel 1959 «per la sua poetica lirica, che con ardente classicità esprime le tragiche esperienze della vita dei nostri tempi».
ellauri145.html on line 261: Spleen est le terme anglais qui désigne la rate. Il dérive du grec ancien σπλήν (splên), de même sens.
ellauri161.html on line 882: Sivu 321 - J'ai fait réflexion aussi qu'au lieu de dire que le mot d'âne est en grec un mot très noble, vous pourriez vous contenter de dire que c'est un mot qui n'a rien de bas, et qui est comme celui de cerf, de cheval, de brebis, etc. ; ce très noble me paraît un peu trop fort.‎
ellauri172.html on line 583: On l’aurait cru le produit d’un mélange de plusieurs races. Il disait, lui, qu’il fallait prononcer son nom à la grecque : Άϊδον, pour Ydow, parce qu’il était d’origine grecque, et sa beauté l’aurait fait croire, car il était beau, et, le Diable m’emporte ! peut-être trop pour un soldat.
ellauri205.html on line 164: La traduction des passages cités dans L'Iliade est nouvelle. Chaque ligne traduit un vers grec; les rejets et enjambements sont scrupuleusement produits; l'ordre des mots grecs à l'intérieur de chaque vers est respecté autant que possible.
ellauri205.html on line 176: C'est cette notion grecque peut-être qui subsiste, sous le nom de kharma [sic], dans les pays d'Orient imprégnés de bouddhisme; mais l'Occident l'a perdue et n’a plus même dans aucune de ses langues de mot pour l’exprimer; les idées de limite, de mesure, d'équilibre, qui devraient déterminer la conduite de la vie, n'ont plus qu'un emploi servile dans la technique. Nous ne sommes géomètres que devant la matière ! Les Grecs furent d'abord géomètres dans l'apprentissage de la vertu.
ellauri205.html on line 217: Les Romains méprisaient les étrangers, les ennemis, les vaincus, leurs sujets, leurs esclaves; aussi n’ont-ils eu ni épopées ni tragédies. Ils remplaçaient les tragédies par les jeux de gladiateurs. Les Hébreux voyaient dans le malheur le signe du péché et par suite un motif légitime de mépris; ils regardaient leurs ennemis vaincus comme étant en horreur à Dieu même et condamnés à expier des crimes, ce qui rendait la cruauté permise et même indispensable. Aussi, aucun texte de l'Ancien Testament ne rend-il un son comparable à celui de l'épopée grecque, sinon peut-être certaines parties du poème de Job.
ellauri210.html on line 132: Littéralement ’pataphysique (contraction du pseudo-grec τὰ ἐπὶ τὰ μεταφυσικά – tà epì tà metàphusiká – d'après le titre « τὰ μετὰ τὰ φυσικά » – « tà metà tà phusiká » – de l'œuvre la Métaphysique d'Aristote) signifie « ce qui est sur la métaphysique », c’est-à-dire « ce qui est sur ce qui est après la physique » parce que le titre de l'œuvre la Métaphysique signifiait à l'origine « ce qui est (écrit) après (l'œuvre) la Physique ».
ellauri210.html on line 138: En outre, Jarry fait remonter l’origine de cette science à « Ibicrate le Géomètre » et « Sophrotatos l’Arménien », deux penseurs grecs fictifs.
ellauri210.html on line 1142: Γεννήθηκε το 1920 στην Κωνσταντινούπολη και μετανάστευσε με την οικογένειά της στην Γαλλία στην ηλικία των δύο χρόνων. Υπάρχουν ελάχιστες πληροφορίες σχετικά με τη ζωή της. La famille Prassinos fuit Constantinople et les persécutions que subissent alors les Grecs et s'installe à Nanterre en 1922. D'origine grecque par son père et italienne par sa mère, Gisèle Prassinos est la jeune sœur du peintre Mario Prassinos. Ο αδερφός της, Μάριο Πράσινος ήταν Γάλλος καλλιτέχνης και εικονογράφος. Ο πατέρας της δι­ηύ­θυ­νε το πε­ρι­ο­δι­κό «Λό­γος» στην Κων­σταντινούπο­λη. Ο άντρας της, Πέ­τρος Φρυ­δάς με­τέ­φρα­σε στα γαλ­λι­κά Κα­ζαν­τζά­κη.
xxx/ellauri075.html on line 112: Le 2 mars 1910, il rend visite à Tolstoï à Iasnaïa Poliana. Il s'installe en Suisse à Coppet, villa des Saules, où il demeure jusqu'en juillet 1914. Il travaille à des études sur la philosophie grecque, les mystiques, Luther et des théologiens allemands spécialistes de Luther, Harnack et Denifle. Ce travail aboutit à une première version de Sola Fide (« la foi seule ») qui lui est confisquée à la douane, à son retour en Russie en juillet 1914. Il s'installe à Moscou et commence à rédiger Le Pouvoir des clefs (Potestas Clavium), où il reprend nombre de thèmes abordés dans Sola Fide. En février 1915, il est élu membre de la Société de Psychologie de Moscou qui est un centre d'études religieuses.
xxx/ellauri173.html on line 162: Au IIIe siècle avant J-C, l’ingénieur grec Philon de Byzance classe les jardins suspendus de Babylone, au sud de l’actuel Irak, parmi les sept merveilles du monde antique. Le premier à les évoquer est le prêtre babylonien Bérose (IVe siècle avant J-C). Il attribue leur construction à Nabuchodonosor II, qui les aurait créés pour son épouse persane Amytis, laquelle se languissait de la verdure de son pays natal. Le texte de Bérose est perdu, mais il subsiste sous forme de fragments chez des historiens et géographes du Ier siècle avant J-C, tels Flavius Josèphe, Diodore de Sicile et Strabon ; on le retrouve également chez Eusèbe de Césarée (265-339 de l’ère chrétienne). Toutefois, à l’exception de Bérose, aucun texte babylonien ne mentionne les jardins suspendus, ou du moins pas un seul n’a été retrouvé. Aucune des inscriptions relatant les grands chantiers de Nabuchodonosor II ne contient une référence à un jardin surélevé. Dans ses Histoires, le géographe et historien grec Hérodote (480-425 avant notre ère), qui a visité Babylone un siècle seulement après la mort de Nabuchodonosor, ne les évoque pas non plus lorsqu’il décrit la ville. Les murailles, la tour de Babel ou Ziggurat d’Etemenanki, les palais royaux et autres constructions de la ville antique ont été identifiés par les fouilles archéologiques ou sont attestés dans les textes cunéiformes. Mais cela n’a pas été le cas pour les jardins.
xxx/ellauri173.html on line 198: Son visage un peu froid, mais d’un tour gracieux et sympathique, s’éclairait d’un sourire empreint de cette sorte de tristesse élevée qui décèle l’aristocratie d’un caractère. Ses traits, bien que d’une régularité grecque, attestaient par la qualité de leur finesse, une énergie de décision souveraine. De très fins et massés cheveux, une moustache et de légers favoris, d’un blond d’or fluide, ombraient la matité de neige de son teint juvénile. Ses grands yeux noblement calmes, d’un bleu pâle, sous de presque droits sourcils, se fixaient sur son interlocuteur. ― À sa main, sévèrement gantée de noir, il tenait un cigare éteint. Herrasmies kiireestä munapusseihin.
xxx/ellauri287.html on line 632: Bibliografia: Bost-Pouderon, C. 2000. "Le ronflement des Tarsiens: l'interprétation du Discours XXXIII de Dion de Pruse." REG 113: 636-51.—. 2003. "Dion de Pruse et la physiognomonie dans le Discours XXXIII." REA 105.1: 157-74.—. 2006. Dion Chrysostome: Trois discours aux villes (Or. 33-35). 2 osaa Salerno: Helios.—. 2009. "Entre predication morale, parénèse et politique: les Discours 31-34 de Dion Chrysostome (ou: la subversion des genres)." Julkaisussa Danielle van Mal-Maeder et ai., toim. Jeux de voix: enonciation, intertextualité et intencionalité dans la littérature antiikki. Bern: Peter Lang. 225-56.Desideri, P. 1978. Dione di Prusa: un intellettuale greco nell'impero romano. Messina: d'Anna. Gleason, Maud. 1995. Making Men: Sophistis and Self-Presentation in Ancient Rome. Princeton: Princeton University Press. Gangloff, Anne. 2006. Dion Chrysostome et les mythes: Hellénisme, communication et philosophie politique. Grenoble: Millon. Houser, J. Samuel. 1998. "Eros" ja "Aphrodisia" Dio Chrysostomin teoksissa. Classical Antiquity 17.2: 235-58. Jones, CP 1978. Dio Chrysostomosin roomalainen maailma. Cambridge, MA: Harvard University Press. Millar, F. 1968. "Local Cultures in the Room Empire: Libyan, Punic and Latin in Roman Africa." JRS 58: 126-34.Mras, K. 1949. "Die προλαλία bei den griechischen Schriftstellern." Wiener Studien 64: 71-81. Swain, Simon. 1996. Hellenismi ja valtakunta: kieli, klassismi ja valta kreikkalaisessa maailmassa, 50-250 jKr. Oxford: Oxford University Press.—. 2007. "Polemonin fysiognomia". Julkaisussa Simon Swain, toim. Kasvojen näkeminen, sielun näkeminen: Polemonin fysiognomia klassisesta antiikista keskiaikaiseen islamiin. Oxford: Oxford University Press. 125-202. Harvard University Press. Millar, F. 1968. "Paikalliset kulttuurit Rooman valtakunnassa: Libyan, Punic ja Latin in Roman Africa." JRS 58: 126-34.Mras, K. 1949.
xxx/ellauri354.html on line 406: lïèo agg. e s. m. [dal lat. Lyaeus, gr. Λυαῖος (propr. «liberatore»), der. di λύω «sciogliere»]. – Nella mitologia greca, epiteto di Dioniso perché, col dono della vite, avrebbe liberato i mortali dagli affanni. Per metonimia, nell’uso poet. (come s. m.), il vino: d’almo lieo [cioè: di generoso vino] Coronando il cratere, a tutti in giro Ne porsero i donzelli (V. Monti).
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