ellauri033.html on line 214: à l´homme, à l´homme en général, la science ne l´est pas par rapport à
ellauri037.html on line 521: Paremmalla syyllä kuin kauniixi vois naisia sanoa epäesteettisexi sukupuolexi. Niillä ei ole tajua eikä vastaanottokykyä kaunotaiteille, kuten musiikille, runoille tai kuvataiteille, kazovat vaan kun lehmä uutta veräjää, tai apinoivat miellyttämishalussaan jos ne niitä on harrastavinaan. Janne-Jaakko (Rusakko) sen jo sanoi: les femmes, en général, n’aiment aucun art, ne se connoissent à aucun, et n’ont aucun génie (lettre à d’Alembert, note x x). (Setämiehet haistaa kyllä toisensa ihan hännän alushajusta kuin koirat.) Jokainen joka kazoo huivin taa, huomaa kyllä sen. Ei tarvize kuin kazoa mihin naaraat keskittyy konsäärissä, uupperassa tai tiiatterissa (miekkoset keskittyy tietysti selvittämään juuri tän). Esim kazo niiden lapsellista hälinää, kun ne (miesten) suurenmoisten mestariteosten kauneimpien kohtien aikanakin jatkaa lätinää. Jos krekut ei tosiaan päästäneet naisenpuolikkaita kazomoon, ne teki siinä oikein; ainakin pystyi niiden teattereissa sentään jotain kuulemaan. (Jääkiekko- ja futismazeissakin liikuttaa miesyleisön rikkumaton hiljaisuus.)
ellauri063.html on line 218: Le théâtre du Grand Guignol, plus couramment appelé Grand Guignol, est une ancienne salle de spectacles parisienne qui était située 7, cité Chaptal, dans le 9e arrondissement. Spécialisée dans les pièces mettant en scène des histoires macabres et sanguinolentes, elle a par extension donné son nom au genre théâtral, le grand guignol, et à l'adjectif grand-guignolesque. Le terme est devenu avec le temps péjoratif et désigne désormais, de manière plus générale, des œuvres abusant de la violence ou d'effets grandiloquents.
ellauri110.html on line 995: Xavier de Maistre, né à Chambéry le 8 novembre 1763 et mort à Saint-Pétersbourg le 12 juin 1852, est un écrivain savoisien de langue française, un peintre et un général au service du tsar Alexandre Ier de Russie.
ellauri118.html on line 561: Charles-Louis Bally (4. helmikuuta 1865 Geneve – 10. huhtikuuta 1947 Geneve) oli sveitsiläinen kielitieteilijä. Nykyään Bally muistetaan ehkä parhaiten Bally-kengistä ja siitä, että hän toimitti yhdessä kollegansa Albert Sechehayen kanssa opettajansa Ferdinand de Saussuren postuumin kirjan Cours de linguistique générale, mutta 1920–1930-luvulla hän oli eräs keskeisimpiä eurooppalaisen kielitieteellisen strukturalismin edustajia yhdessä Roman Jakobsonin, Nikolai Trubetzkoyn ja Louis Hjelmslevin kanssa.
ellauri145.html on line 215: Peu fait pour comprendre la vive sensibilité de l´enfant, l´officier Aupick – devenu plus tard ambassadeur – incarne à ses yeux les entraves à tout ce qu´il aime : sa mère, la poésie, le rêve et, plus généralement, la vie sans contingences.
ellauri145.html on line 217: « S´il va haïr le général Aupick, c´est sans doute que celui-ci s´opposera à sa vocation. C´est surtout parce que son beau-père lui prenait une partie de l´affection de sa mère. […] Une seule personne a réellement compté dans la vie de Charles Baudelaire : sa mère. »
ellauri145.html on line 220: En seconde, il obtient le deuxième prix de vers latins au concours général.
ellauri145.html on line 281: Celle poétique, bien sûr, comme on l'entend généralement, bien loin de la mélancolie maladive, qui à défaut de torturer les âmes, désigne ce point de chute où la névrose rejoint la psychose.
ellauri161.html on line 851: Yleiset termit ja lausekkeet
ellauri161.html on line 910: Joseph de Maistre est dès 1773 membre de la loge maçonnique de La Parfaite Union qui relevait de la loge Saint-Jean des Trois Mortiers, à l'orient de Chambéry. Il a les titres de grand orateur, de substitut des généraux et de maître symbolique. Il entend concilier son appartenance à la franc-maçonnerie avec une stricte orthodoxie catholique: entre autres, il refuse les thèses qui voyaient en la franc-maçonnerie et l'illuminisme les acteurs d'un complot ayant amené à la Révolution[note 4]. Il écrit ainsi au baron Vignet des Étoles que « la franc-maçonnerie en général, qui date de plusieurs siècles […] n’a certainement, dans son principe, rien de commun avec la révolution françoise ».
ellauri162.html on line 689: Elle est blanche pour le pape et les chanoines réguliers, rouge pour les cardinaux, violette doublée et filetée de cramoisi pour les évêques et les prélats de rang supérieur, et généralement noire pour les prêtres et les autres clercs.
ellauri172.html on line 316: Le caractère de la vie qui nous a permis d’unir en une certaine mesure, l’égoïsme et l’altruisme, — union qui est la pierre philosophale des moralistes, — c’est ce que nous avons appelé la fécondité morale. Il faut que la vie individuelle se répande pour autrui, en autrui, et, au besoin, se donne ; eh bien, cette expansion n’est pas contre sa nature : elle est au contraire selon sa nature ; bien plus, elle est la condition même de la vraie vie. L’école utilitaire a été forcée de s’arrêter, plus ou moins hésitante, devant cette antithèse perpétuelle du moi et du toi, du mien et du tien, de l’intérêtpersonnel et de notre intérêt général ; mais la nature vivaute ne s’arrête pas à cette division tranchée et logiquement inflexible : la vie individuelle est expansive pour autrui parce qu’elle est féconde, et elle est féconde par cela même qu’elle est la vie.
ellauri172.html on line 552: Après la politique, la haine des Bourbons, le spectre noir de la Congrégation, les regrets du passé pour ces vaincus, toutes ces avalanches qui roulaient en bouillonnant d’un bout à l’autre de cette table fumante, il y avait d’autres sujets de conversation, à tempêtes et à tintamarres. Par exemple, il y avait les femmes. La femme est l’éternel sujet de conversation des hommes entre eux, surtout en France, le pays le plus fat de la terre. Il y avait les femmes en général et les femmes en particulier, — les femmes de l’univers et celle de la porte à côté, — les femmes des pays que beaucoup de ces soldats avaient parcourus, en faisant les beaux dans leurs grands uniformes victorieux, et celles de la ville, chez lesquelles ils n’allaient peut-être pas, et qu’ils nommaient insolemment par nom et prénom, comme s’ils les avaient intimement connues, sur le compte de qui, parbleu ! ils ne se gênaient pas, et dont, au dessert, ils pelaient en riant la réputation, comme ils pelaient une pêche, pour, après, en casser le noyau. Tous prenaient part à ces bombardements de femmes, même les plus vieux, les plus coriaces, les plus dégoûtés de la femelle, ainsi qu’ils disaient cyniquement, car les hommes peuvent renoncer à l’amour malpropre, mais jamais à l’amour-propre de la femme, et, fût-ce sur le bord de leur fosse ouverte, ils sont toujours prêts à tremper leurs museaux dans ces galimafrées de fatuité !
ellauri172.html on line 864: Illusions perdues, roman d'Honoré de Balzac 1836 et 1843 avec le personnage du vicaire général de l'évêque d'Angoulême. CHECK
ellauri188.html on line 73: La Délégation générale à la langue française et aux langues de France considère le marquisien comme une « langue de France ».
ellauri203.html on line 204: Le mariage de Maximilien et de Marie est célébré dans la chapelle du palais d’Hiver, à Saint-Pétersbourg, le 2 juillet 1839. Il donne lieu à 15 jours de festivités mais soulève la désapprobation des Moscovites, qui sont choqués de voir l’une de leurs princesses s’unir à un prince français, dont le père a participé à la prise de leur ville en 1812. Immédiatement après les épousailles, le duc de Leuchtenberg reçoit du tsar Nicolas Ier le prédicat d'altesse impériale et le titre de prince Romanovsky. Il est nommé major général de l'armée russe et colonel en chef du régiment de hussards de Kiev. Il reçoit par ailleurs une rente annuelle de 100 000 roubles. De son côté, le tsar confère à Marie une rente de 700 000 roubles ainsi qu'une somme de 2 millions payable en bons du trésor à 4%. Afin de loger le couple, l'empereur s'engage finalement à construire et à meubler à ses frais un palais meublé à Saint-Pétersbourg et un autre situé dans les environs de la capitale.
ellauri221.html on line 97: Elle dépose le 13 décembre 1945 devant le Conseil municipal de Paris un projet pour la fermeture des maisons closes. Dans son discours, elle ne s’en prend pas tant aux prostituées qu’à la société, responsable selon elle, de la « débauche organisée et patentée » et à la mafia, qui bénéficie de la prostitution réglementée ; le propos permet aussi de rappeler que le milieu de la prostitution s'est compromis avec l’occupant pendant la guerre. Sa proposition est votée et le 20 décembre 1945, le préfet de police Charles Luizet décide de fermer sans préavis les maisons du département de la Seine dans les 3 mois (au plus tard le 15 mars 1946, date qu'a fixée le conseil municipal). Encouragée, Marthe Richard commence une campagne de presse pour le vote d'une loi généralisant ces mesures. Elle est soutenue par le Cartel d'action sociale et morale et le ministre de la Santé publique et de la Population, Robert Prigent.
ellauri247.html on line 516: La smala avait passé la fin de l’hiver 1843 à deux journées de marche au sud de Tagdempt. Instruite qu’on était à sa poursuite, elle erra pendant quelque temps et se trouva le 16 mai à la source de Taguine. Le gouverneur-général Bugeaud avait été informé de la présence de la smala aux environs de Boghar ; mais on ignorait l’endroit.
ellauri247.html on line 518: Il donna ordre au général Lamoricière, ainsi qu’au duc d’Aumale de se mettre à sa poursuite. Le prince partit de Boghar avec 1 300 fantassins et 600 chevaux. Trois jours après, il apprit que la smala se trouvait à 80 kilomètres au sud de Goudjila. Pour l’atteindre, il fallait franchir vingt lieues d’une traite sans une goutte d’eau. Alors que les soldats étaient à la recherche de la source de Taguine pour se désaltérer, l’agha Ahmar ben Ferhat vint informer le prince de la présence inattendue de la smala à cette même source.
ellauri264.html on line 85: L’action du drame se passe à Mayence, au quartier général des armées françaises en 1793. Les officiers soupçonnent de trahison d’Oyron, un de leurs camarades, d’origine aristocratique. Une lettre saisie sur un paysan rhénanien semble prouver la trahison de d’Oyron. Rolland avait l’intention de démontrer son impartialité. Pour atteindre ce but, il voulait que l’innocence de d’Oyron ne pût être établie de manière définitive.
ellauri266.html on line 470: Zira donne ensuite à Ulysse une lampe et des livres grâce auxquels il apprend le langage simien et découvre l’organisation de la société des singes, leur système politique et leur culture. Profitant des promenades avec Zira et des entrevues avec Cornélius, le narrateur prépare le discours qu’il doit présenter lors du congrès. La guenon lui fait visiter le parc zoologique où il découvre des animaux ressemblant à ceux de la Terre et des « humains », parmi lesquels il retrouve le professeur Antelle, qui a perdu la raison. Les deux premiers jours du congrès dont parlait Zira sont consacrés aux théories. Le troisième jour, Zaïus présente le narrateur qui en profite pour exposer son cas dans le langage simien provoquant l’étonnement général des singes savants et des journalistes. Pressé par l´opinion publique, le congrès décide à contrecœur de libérer le narrateur et destitue Zaïus de ses fonctions. Mais Ulysse sait qu´il représente toujours une menace pour la civilisation simiesque.
ellauri285.html on line 667: La même année, il part à Cuba puis suit Che Guevara en Bolivie. Il théorise sa participation à la guérilla de l'ELN dans Révolution dans la révolution (1967) où il développe la théorie du foquisme de « foco » (foyer en espagnol) : la multiplication de foyers de guérilla. Ion Pacepa, ancien général des services secrets roumains, dit qu'alors le « terroriste français Régis Debray était un agent hautement prisé du KGB ». Il use alors du pseudonyme de « Danton »
ellauri352.html on line 309: Marcel Mauss, né le 10 mai 1872 à Épinal et mort le 11 février 1950 (à 77 ans) à Paris, est généralement considéré comme le « père de l´anthropologie française. Bonesin kolleega. Bonesin asia antropologina oli kysyä minkä sortin kääpiö oli UM:n narrina, muttei se sentään ollut hiänen oikeutensa.
ellauri365.html on line 51: M. var en kraftigt sensuell natur, en friluftsmänniska och atlet, sjudande af af lifslust, säker i sin styrka, måttlöst hängifvande sig åt alla sensationer, full af känsla inför naturens skådespel, en vacker natthimmel, ett doftande fält, en solbelyst öppning i den högstammiga skogen, älskande kvinnan med en naiv, nästan animal, men ( på samma gång blyg lidelse. I denna öfversval- lande lifsglädje blandade sig dock alltid en viss sorgbundenhet. Han har själf tecknat sitt väsen, då han någonstädes säger, att han vissa dagar hatar allt, så att han kunde önska sig döden, andra åter känner sig glad och lycklig som ett djur. I kraft af detta sitt lynne, hvars tendenser funno sin motsvarighet i den naturalistiska riktning, som behärskade litteraturen i det ögonblick, då M. framträdde, kom hela hans diktning att röra sig inom det sinnliga lifvets sfär, återgifvande enkla och rela- tivt föga sammansatta själstillstånd och med för kärlek tecknande folkliga typer. Hans analys är kanske icke så djup, men hans rika begåfning öf verskylde i viss mån denna brist genom den styrka och lysande klarhet, hvarmed han återgaf det sedda. Ingen har mästerligare än M. förstått att ge relief och betydelsefullhet åt hvardagliga ämnen. Han ser så skarpt och klart, och hans språk är så säkert och smidigt, att han i några få ord tecknar profilen af ett ansikte eller en individs karaktär, gester och hela yttre person. I början öfverlämnade han sig kanske alltför fritt åt en viss ytlig uppsluppen och sensuell lifsglädje. Större utrymme för sina rika anlag fann han i romanerna "Une vie" och "Bel-ami", hvilka återge vissa sidor af det moderna lifvet med en rikedom på nyanser och en ironi, som blottar alla motsägelser och löjligheter situationerna eller personernas karaktär. Och denna ironi är så öfverlägsen och så objektiv, att det förefaller, som om det vore icke författaren, utan tingen själfva, som talade. Hvad M. än skildrar, är uppfattningen så frisk, så omedelbar, så utan all sjuklighet och förkonstling, att han kan säga mycket, som skulle stöta hos andra författare. Sådant gestaltade sig M:s författarskap under de första åren af åttiotalet, men hans oerhörda produktion och hans i öfrigt våldsamma lefnadssätt. bröto snart hans krafter. Plötsligen stod han, som dittills endast haft öga för det fysiska lifvet, undrande inför en ny värld, hvilken uppgått i hans inre. Ett annat ljus faller öfver företeelserna och ger en ny karaktär åt hans diktning. Intet vittnar kanske mera om omedelbarheten och styrkan i hans begåfning än den säkerhet, hvarmed han äfven tecknat dessa nya själstillstånd. I "Le Horla" se honom redan kämpa med de vansinnets fantom, som snart skulle omtöckna hans själslif. Tankar på ålderdomen, på döden, ett mörkt tungsinne utbreda sig allt mer och mer öfver hans skrifter. Särskildt romanerna "Fort comme la mort" och "Notre coeur" präglas af en gripande och känslofull själsfinhet, som hans tidigare skrifter. knappast låtit ana. 1892 sökte han döda sig med rakknif, då han kände, att han icke längre kunde strida mot vansinnet. I tvångströja fördes han till ett sjukhus, där han dog af paralysie générale efter 18 månaders sjukdom. Han nekade flera gånger att taga säte i franska akademien liksom att mottaga hederslegionen. I Parc Monceau i Paris har man rest ett vackert monument öfver honom. Verlet; ett annat finnes i Rouen. Hans rykte har varit i ständigt stigande efter hans död. Ytterligare sv. öfv. äro "Lifsbilder" (1888), "Berättelser och skisser. Med en inledning om hans författarskap af T. Hedberg" 1893) och "En duell. Efterlämnade skisser och berättelser" (1900). Se J. Lemaître, "Les contemporains" I, V och VI (1885, 1892, 1896), R. Doumic, "Ecrivains d'aujourd'hui" (1894), G. Brandes, "Samlede skrifter", VII (1901), A. Lom- broso, "Souvenirs sur M." (1905), och Maynial, "La vie et l'œuvre de M." (1906). 1902 började Oeuvres complètes att utkomma. (Nordisk familjebok 1912 s.v. Maupassant)
ellauri419.html on line 57: Le système capitaliste actuel nous a conduits à un monde où la faune et la flore ont diminué de 73 % en 50 ans seulement. Il y a quelques jours, la COP16 sur la biodiversité s’est achevée à Cali, en Colombie, où, en dépit de certains résultats obtenus par les peuples indigènes, les afro-descendants et les paysans, on n’a généralement simulé qu’une préoccupation pour la Mère Nature, nos biens naturels et nos territoires qui sauvegardent 80 % de la biodiversité actuelle.
ellauri419.html on line 158: Cioran [sjɔʁɑ], de son vrai nom Emil Cioran (prononcé en roumain : [eˈmil tʃoˈran] Écouter), né le 8 avril 1911 à Resinár, alors en Autriche-Hongrie (actuelle Rășinari, en Roumanie), et mort le 20 juin 1995 dans le 13e arrondissement de Paris, était un philosophe et écrivain roumain, d'expression roumaine initialement, puis française à partir de 1949, date de la parution de son premier livre écrit directement en français : Précis de décomposition. Son œuvre en français est signée « E. M. Cioran » jusque vers 1987, puis en général « Cioran » uniquement. « E. M. » est un hommage à l'écrivain britannique E. M. Forster. Cioran trouvait que la francisation du roumain « Emil » était « un prénom de coiffeur».
xxx/ellauri075.html on line 114: En 1917, pendant la Révolution d'Octobre, il ne partage pas l'enthousiasme général ; son fils Sergueï Listopadov meurt au combat.
xxx/ellauri128.html on line 138: À l'Académie, il soutint généralement le parti des Philosophes, mais sans en faire partie car les excès de ses membres l’irritaient : « Les grands raisonneurs et les sous-petits raisonneurs de notre siècle, disait-il, en feront et en diront tant qu’ils finiront par m’envoyer à confesse. » Ses relations avec Voltaire furent froides et leur correspondance n’est qu’académique et de politesse. Il n’avait pas de relations avec Diderot, dont on lui reprocha d’avoir fait échouer la candidature à l’Académie. Il se brouilla avec D'Alembert et les deux hommes ne se réconcilièrent jamais entièrement. Généralement, son caractère autoritaire rendit ses relations souvent difficiles avec ses collègues.
xxx/ellauri128.html on line 531: Il préfère en effet une carrière littéraire à la direction de l’usine familiale et s’illustre d’abord par des romans qui lui gagnent un public féminin : Climats, Les Roses de septembre. Il obtient un Prix d´Honneur au Concours général et passe sa licence de lettres. Sa première épouse fut Jane-Wanda de Szymkiewicz (Jeanine) (1892-1923), fille d’un comte polonais qui lui donnera trois enfants, deux garçons et une fille, Michelle1.
xxx/ellauri128.html on line 536: Mais c´est dans les biographies que l´écrivain excelle : il les consacre, avec une fraternité inspirée, à des écrivains comme Shelley, Byron, Victor Hugo, George Sand ou Balzac, mais aussi à des personnages politiques comme Disraeli et le général Lyautey, ou scientifiques comme Alexander Fleming.
xxx/ellauri139.html on line 1031: En 1775 paraît sa première pièce majeure Le Dix-huitième siècle. C’est une satire en vers qui donne la caricature de son temps ; la philosophie y est le principe de la « chute des arts », de la « perte des mœurs ». Tout y est matière à charge : la bourgeoisie, la noblesse, le clergé libertin ; la littérature du moment y est passée au peigne fin. Des généralités sociales, on passe bientôt aux attaques ad hominem ; à la fin de la satire, du reste, le nom honni paraît enfin : Voltaire. Le Dix-huitième siècle est véritablement à sa parution, et pour reprendre le mot de Huysmans, « un météore dans le champ littéraire » de l’époque. Il n'est pas de bon ton, La critique se dechaine.
xxx/ellauri139.html on line 1033: Quelques mois avant sa mort, il écrit une Ode imitée de plusieurs psaumes, plus généralement connue sous le nom d'Adieux à la vie, un poème dont la thématique pré-romantique sera reprise par Alfred de Vigny dans Stello et Chatterton (voir ci-dessus).
xxx/ellauri202.html on line 214: Anatole France se marie en 1877 avec Valérie Guérin de Sauville, petite-fille de Jean-Urbain Guérin, un miniaturiste de Louis XVI, dont il a une fille, Suzanne (1881-1918). Elle épousa en 1901 le capitaine Henri Mollin, officier d'ordonnance du général André et protagoniste de la retentissante Affaire des Fiches, puis Michel Psichari (1887-1917), petit-fils d'Ernest Renan. Il confie souvent sa fille, dans son enfance, à Mme de Martel (qui écrivait sous le nom de Gyp), restée proche à la fois de lui-même et de Mme France.
34